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Allégeances à Fitzounette

lonia
Un pigeon fatigué par le voyage depuis le Béarn, arriva par la fenêtre et lâcha un parchemin...

Citation:
Nous, Lucasd et Lonia de kervanech, Seigneur et Dame de Thouarcé, de Tournay et de la Fosse de Tigné, fait noble de mérite par le Duché d'Anjou


Par la présente, nous reconnaissons comme suzeraine vous, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d'Anjou par la grâce des urnes.

Nous, Lucasd et Lonia de kervanech, Seigneur et Dame de Thouarcé, de Tournay et de la Fosse de Tigné, maintenant reçu comme votre vassaux à vous, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d'Anjou, notre suzeraine, nous vous jurons fidélité.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d'Anjou, notre suzeraine, à un tiers du Royaume François, n'ayant aucun traité d'amitié nous liant, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d'Anjou, notre suzeraine, à un tiers du Royaume François, autre que Sa Majesté, Lévan, Roy de France, notre souverain, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation d'Aristote tout-puissant.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main.

Espérons que vous ferez prospérer ce comté si cher à nos yeux, et le conduirez sur les routes de la grandeur qui est sienne.



Lucasd de kervanech, Seigneur de Thouarcé, de Tournay et de la Fosse de Tigné, a écrit et ratifié, en ce 31 mars de l'an de Grâce 1458 en le Castel de Pau
Au nom d'Aristote, heureusement. Amen.


Lonia de kervanech, Dame de Thouarcé, de Tournay et de la Fosse de Tigné, a écrit et ratifié, en ce 31 mars de l'an de Grâce 1458 en le Castel de Pau
Au nom d'Aristote, heureusement. Amen.



Changeante...Mais toujours la même...En vadouille...
Thomas de Clérel
À peine eut il salué la duchesse Pair et mère d'Anjou, que la Duchesse d'Anjou fit son apparition accompagnée d'une jeune femme que le Duc ne connaissait pas. Le Pair regarda la scène un sourire d'amusement aux lèvres et inclina la tête sur leur passage.

En retrait, le Duc laissa la cérémonie débuter avant qu'il n'ait eut le temps de l'ouvrir, et la duchesse Kilia faire son serment d'allégeance, après tout, en Anjou, rien ne devait se passer comme ailleurs, c'était ce qui faisait le charme de ce petit Duché.


Otissette
Tiss avait mit un temps fou à trouver la bonne tenue, d'ou son léger très léger retard à la cérémonie.
C'est d'un pas rapide qu'elle était entrée dans la salle du trône, sourire aux lèvres, prête à faire allégeance à la tridukaillonne.
Frissons qui envahissent la Vicomtesse en voyant Nore, surtout l'empêcher d'approcher Kilia de trop près, elle en restait persuadée si la Duchesse de Chasteau en Anjou avait prit feu lors des dernières allégeances, cela ne pouvait être que de la faute d'Aléanore.
C'est toujours la faute de Nore de toute façon !

Petite voix intérieur :
reste sur tes gardes Tiss, reste sur tes gardes...

Chassant ses pensées, regard vers le trône, impatiente de voir la trogne du jour, la Duchesse est déjà installée, et Kilia fini son allégeance, pas moyen de tâter l'humeur, Kilia lui cache la vue.

Silencieuse, elle écoute... Puis enfin elle la voit, toujours aussi gracieuse que la veille voir un peu plus... Quoi que Tiss lui trouve mauvaise mine quand même. Il est grand temps qu'elle accouche, sa progéniture va finir par la faire exploser si ça continue. A chaque fois qu'elle voit la Duchesse -et elle la voit pourtant tous les jours- Tiss a comme l'impression qu'elle a encore enflé. Cependant elle est rassurée... c'était pareil lorsque Fitz attendait le fils prodigue -ou pas - et finalement elle avait bien vite retrouvé toute sa Ducale splendeur.

Pas le temps de se perdre dans ses pensées qu'elle croise le regard de son adorable baleine, sourire qui s'esquisse sur le visage de la Vicomtesse qui s'avance vers la Duchesse et met genou à terre.


Ma Duchesse c'est avec un grand plaisir que ce jour je met genou à terre devant toi. Je te promet à toi Fitzounette, Duchesse d'Anjou, fidélité et conseils, mon épée et bien entendu à ton service également. Tu peux compter sur mon aide si besoin tu avais.
Il n'est nul doute dans mon esprit qu'une très bonne Duchesse comme à ton habitude tu feras, tu es et resteras notre petite Reyne.


La Vicomtesse resta genou à terre.



jchris
Alors qu'on est en train déjà de prêter allégeance, Jchris pénètre dans la salle du trône. Une étrange ambiance y règne, exactement comme s'il perturbait par sa présence une sorte de cérémonie familiale.
Cette impression vite dissipée, car le château est à tous les angevins, il va se trouver une place tranquille, point trop visible pour ne pas déranger outre mesure tout de même, ce qu'il a cru percevoir. Il tourne la tête. C'est Rose qu'il croit avoir aperçue, il se dirige donc dans sa direction.


Alatariel
[La veille - Chemillé, dans une cellule monacale. [/i]
- Baronne, la nouvelle duchesse d'Anjou a été élue. Berry vous a fait envoyer un message pour les allégeances...
Hochement de la tête, la baronne hoche la tête, prends le vélin. Un rire sonore retenti alors dans le couvent.
- Ma mère, je vais m'absenter quelques jours, j'ai à faire... Ma nièce vient de monter sur le trone d'Anjou... Par tous les Saints, Il est hors de question que je ne sois pas là !
- Ma fille, ne jurez point...

[...]
Après une âpre discutions, dans laquelle l'angevine -jurant comme il sied a une Penthos lorsqu'elle qu'on lui dit qu'il ne faut pas jurer - essayait de justifier son escapade et le fait qu'elle devait porter LA dernière robe qu'elle avait fait faire chez Kalopsite... La baronne partit brides abattues, en direction du château d’Angers.

[Jour des allégeances – Château ducal]
La baronne avance dans le couloir, regard hautain, les manières penthièvriques dans sa robe de velours vert.


Elle entre, royale, dans la salle du trône, s’attendant comme tous les deux mois depuis plusieurs années à trouver là la Malemort. Une moue blasée apparue sur son visage lorsqu’elle découvrit Berry, attendant sagement que la cérémonie déroule : ce n’est pas qu’elle ne voulait point le voir, ou qu’elle s’obstinait à avoir Nebisa comme Hérault, non… c’est qu’elle ne savait si elle pouvait se permettre d’offrir une bouteille de prune à un Paire de France qu’elle ne connaissait pas, et qu’elle ne savait pas quoi faire de la bouteille.

Elle avance, un pas, puis deux, ses talons claquent bruyamment sur le parquet. Le genoux plis presque gracieusement, lorsqu’elle fit sa révérence à Fitzounette et à Kilia… les poutous, ce seraient pour l’allégeance… Elle salue aimablement Aleanore, dernière cliente en date, et puis s’en va vers le parisien – chez la baronne est parisien toute personne, sauf elle bien sur, qui travail de près ou de loin pour le roy – pour lui offrir la bouteille.



- Vous aimez la prune ? Elle aurait put se présenter, dire bonjour, souhaiter la bienvenue à l’homme, mais non, l’angevine était en Anjou, à l’intronisation de sa nièce, alors les manières, elle n’en avait que faire. Nan parce que j’en ai apportée une bouteille au cas où il y aurait Nébisa… je lui apporte toujours une bouteille d’alcool au moment des allégeance… mais elle ne semble pas être là… Alors vu que vous êtes notre nouveau Héraut… elle vous revient.


L’Angevine, tendit franchement la bouteille au Duc, se demandant comme le Paire réagirait… valait mieux pas qu’il préfère la Chatreuse ou je ne sais quel alcool fort…


Yolanda
Et dans un ventre quand on s'ennuie, qu'est ce qu'on peut bien faire ? Compter ses doigts ? Un, deux .. Après deux, y a quoi ? Il faudra penser à demander à Père. Et une question en amenant une autre, se pose donc la deuxième question : A quoi ressemble Père ? Alors l'Etoile de se l'imaginer grand, beau et fort enfin, un modèle d'elle en plus viril surtout, loin d'arriver à imaginer vraiment à quoi peut ressembler un homme. En somme Père est une sorte de crevette géante - on me souffle dans l'oreillette que les crevettes géantes sont des homards - avec des muscles.

Mais pour rencontrer Père et Mère, il faut sortir de là, et Mère ne semble pas d'accord avec l'idée, et pourtant, l'Etoile se sent à l'étroit, tentant de s'étirer avec difficulté, les mains poussent sur les côtés, les jambes s'étirent, et soudain, c'est le drame, la poche douillette et aquatique se perce et se déverse, laissant là une crevette au bord de la crise de nerfs, perturbée par l'évènement. La poche se colle contre elle, poisse, et frisant la panique, l'Etoile de coller un coup de pied dans le ventre de sa mère en s'agitant.


_ Mère ! S'il vous plait ! Je veux sortir ! C'est plus drôle làààààà !

Et de s'agiter d'autant plus que le corps mécontent de la duchesse se rebelle contre le parasite en son sein.


Thomas de Clérel
La noblesse d'anjou se pressant tour à tour pour remplir ses devoirs, le Maréchal se contentait d'annoter sur un parchemin contenant la liste de la noblesse d'anjou ceux qui avaient remplit leurs obligations, lorsqu'une voix près de lui lui tira le nez de son parchemin. Le Duc la regarda un sourire aux lèvres :

Le bonjour. Ma foi, j'avoue préférer la poire de sancerre à la prune, mais cela ne m'empêche pas d'apprécier cet alcool, d'autant que je connais une jeune femme qui l'apprécie énormément...et c'est peu dire, hum.
Le Pair pensa à sa Vicomtesse, puis poursuivit. Merci pour ce cadeau, je vous apporterais une bouteille de Poire pour la prochaine cérémonie d'allégeance angevine. Thomas prit la bouteille.


Fitzounette
[Ca presse !]

Enfin ça s'active ! Enfin ça fourmille ! Y a enfin comme un parfum d'Anjou qui lui chatouille les narines... A moins que ce soit une odeurs de pieds.
Ah bah oui, c'est Tiss qui s'avance ! Rhooo si elle savait lire dans les pensées... Pis c'pas bien de penser du mal, c'est mieux de le faire. Et alors que votre narratrice se perds en conjectures et porte nawack, la Duduche blonde de répliquer.


A toi, Otissette, mon amie, ma complice, contre vents et marées,
Moi, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d'Anjou, ai bien entendu ton serment, et te promet protection, justice et subsistance.
Et pis si tu daignes rester mon amie pour la vie, moi j'dis que ça sera simple et funky.


A peine a t'elle fini, alors que la noblesse d'Anjou se presse avec classe (non mais mattez moi la finesse de la tenue de sa Tante, c'est à rendre une vraie Lady gaga... Comprenne qui pourra...), c'est le drame. Y a comme une fuite. Certes, elle avait très envie de faire pipi, et n'arrêtait pas de se tortiller. Mais elle n'a plus 5 ans tout de même, elle ne fait plus sur elle... L'évidence, le souvenir du précédent enfantement. La crevette a décidé de se faire la malle, elle ne veut plus de son bocal. Mais bon Dieu, c'est pas le moment ! Elle déglutit péniblement alors que les premières contractions lui arrachent un râle de douleur.

Au suivant ! J'ai autre chose sur le feu, rhhaaaaaaaaaaa !
Snipy De Montmorency
Un pigeon, arriva lourdement, chargé, il déposa son paquet, avant de s'en aller, manquant de se prendre la fenêtre.

Citation:
Par la grasce d'Aristote,
Nous, Jaëlle et Snipy De Montmorency, humbles Vicomtes de La Roë, Barons de Candé-en-La-Mée, Seigneurs de Montreveau, en Anjou,

A vous, Fitzounette, Duchesse d'Anjou par la grâce des urnes,

Salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Fitzounette, Duchesse d'Anjou par la grasce des urnes.

Que nous vous devons désormais obsequium, auxilium et consilium,

Que si un conflit venait vous opposer vous, Fitzounette, Duchesse d'Anjou, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Nous Vicomtes de La Roë, Barons de Candé-en-La-Mée, Seigneurs de Montreveau en Anjou, Jaëlle De Montmorency, Récipiendaire de l'Angevine d'Honneur et Snipy De Montmorency, Grand-Maistre de l'Ordre Royal Hospitalier, ont écrit et ratifiés,

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.


Faict au Campement Hospitalier, à Conflans-lès-Sens, Duché de Champagne,
Ce 5 Avril MCDLVIII.


Snipy et Jaëlle De Montmorency


PS : Petit souvenir Champenois, une bouteille de cru local


Aimbaud
[Aux pieds de la duchesse.]

Installé dans les plis crêpés de la robe de sa Grasce sa Mère, le petit Roy d'Anjou faisait semblant d'être sage, balayant son regard adorablement agaçant sur les plus grands que lui. Il aimait à croire que ces messires en manteaux bouffants et ces dames aux corsets étriqués, étaient tous réunis pour le saluer, lui, la perfection faite garnement. C'aurait pu être encore plus kiffant, comme une sorte de sacre : on l'aurait prit sous les aisselles et soulevé au dessus de la foule, alors il aurait été adulé au milieu des cris de singes et des barrissements. Après tout, c'était un enfant béni quand il mentait.

Mais une impression désagréable le tira de ses réflexions.
Son coussin moelleux de dentelles et de soie lui sembla soudain humide. Il se retourna vivement et afficha une grimace du plus vif mécontentement, et avant qu'il eut même finit de tirer une conclusion plausible sur l'événement, il brailla par réflexe aux oreilles de tous :

HHHIIiiiin...! Maman elle m'a fait pipi dessus !


Alatariel
C'était une faute de gout assurément.. La poire de Sancerre ! Le grand Llyr lui aurait répondu qu'il préférait le coteau du Layon... mais si toute l'Anjou et les proches voisins qui étaient venu séjourner en Anjou pendant les diverses guerres qu'avait subit le Duché, savaient presque obligatoirement qu'on doit aimer la bière de Chez Jacky, le coteau du Layon et pour quelques hérétiques : le chouchen...
Je suis heureuse que cela vous plaise... Soyez présent aux prochaines allégeances, j'ai horreurs de manquer une livraison d'alcool, surtout lorsqu'il vient de la cave d'un Paire de France...

Toutes les caves de tous les paires de France n'étaient pas forcément bien fourni en alcool, mais l'angevine ne pouvait s'en douter... les quelques paires qu'elle avait croisée dans la vie étant tous de fins connaisseurs... Elle se retourne alors, pour prêter allégeance.

Un pas, deux pas, trois pas... non elle n’était pas ivre, mais cela aurait pu. L’Angevine comptait.
5 Penthos ducs d'Anjou...
5 survivants, dont elle, des Grandes Heures des buses angevines. Elle s'avançait lentement encore, prenant alors conscience qu'elle était parmi les "vieux" ceux qui " y étaient"...

Elle met enfin genoux a terre, regarde Fitzounette, un grand sourire vint éclairer son visage à la vu du ventre gros de sa nièce.


- Je ne saurai pas dire depuis combien d'années je répète inlassablement ce serment... Nous Alatariel du Bois doré de Penthièvre, Baronne de Chemillé, Dame de Luché-Pringé... gna gna... Mais que vaut un serment si on le répète tant de fois qu'on en oublie la teneur.

J’ai deux serments à faire aujourd’hui… deux différents que l’on trop tendance à mélanger.

Le premier, c’est au peuple d’Anjou.
En prenant les terres de Chemillé, j’ai choisi de protéger un peuple, et en ce neuvième jour d’Avril, je réaffirme que je protéger les hommes et les femmes d’Anjou, leurs terres et leurs âmes jusqu’à ce que je trépasse.


Le second c’est à ma nièce, la « petite reyne d’Anjou »… c’est peste incomparable, caractérielle, autoritaire, égoïste et généreuse… Penthièvrique somme toute.
A toi, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, ma nièce, je te jure de toujours être présent…


Le cri strident du gamin qui est assis aux pieds de sa nièce arrête nette la baronne, qui enfin remarque le visage crisper de sa nièce. Elle ouvre alors des gros yeux, vois le liquide incolore qui macule la robe ducale.
Fitz ‘ !!! Tu ne peux pas accoucher en taverne, comme moi !?
Après s’être indigner en imaginant sa nièce entrain d’accoucher dans la salle du trône - ce qui est plus classe que d’accoucher ivre en taverne lorsqu’on est la seule sage femme du coin - Alatariel se retourna.
Mais faites chercher un médecin bordel ! C’est quand même pas moi qui vais… A ba si, ça pourrait être elle, elle est sache femme, infirmière de Saint Jean de Jérusalem… et ce serait pas la première…


fifounijoli
La rouquine arriva, souriante, en salle du trône espérant ne pas être une fois encore l'une des dernière arrivante, ravit de venir une fois encore prêter serment à sa chère nièce, regardant les personnes présentent et reconnaissant avec plaisir plusieurs visage qu'il lui faisait plaisir de revoir. Sa nièce pourtant confortablement installer sur le trône ne semblait pas au mieux de sa forme, elle s'avança de façon à ne pas être trop loin, les dernières allégeances lui ayant laisser des souvenirs plutôt cocasses
jchris
Alors qu'il allait prêter serment, un jeune homme entra dans la salle du trone et se dirigea droit vers lui, lui tendant une note. Il la parcourut, regarda la duchesse et se dit qu'il ne pouvait pas bacler son allégeance, que celle-ci était importante et solennelle. Il fit signe au jeune homme de sa garde de prendre les devants et le suivit avec discrétion, se promettant de se manifester bientôt, car c'était son devoir


Balestan
Un nouveau pigeon arriva en salle du trône, y déposant une lettre cachetée portant les armoiries de Liré.

Citation:
De nous, Balestan de Belsart, seigneur de Liré,

à vous, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d’Anjou élue par et pour le peuple angevin urnes,

Bonjour,

Par la présente, nous vous reconnaissons comme suzeraine, vous, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d’Anjou élue par et pour le peuple angevin,
De par ces mots écrits avec sincérité et amitié, nous vous donnons assurance de notre respect (obsequium) et nous confirmons que notre aide (auxilium) ainsi que nos conseils (consilium) vous sont acquis.

Si un conflit venait vous opposer vous Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d’Anjou, notre suzeraine, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Jamais nous pourrons enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire.


Ecrit en date du 15 d'avril 1458, à Saumur,



jchris
Suite au départ précipité de Jchris de Beaufort de la salle du trône pour raisons personnelles (lien gargote), Jchris se trouvait dans une vieille ferme devant une table rustique mais fort solide. Il ne pouvait pas être présent mais envoya le courrier par l'entremise d'un domestique d'Andrezé

Citation:
De nous, Jchris de Beaufort, seigneur d'Andrezé et de Senonnes,

A vous, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d’Anjou élue par et pour le peuple angevin, reconnue trois fois comme Duchesse légitime et avisée

Vostre Grasce

Par la présente, nous vous reconnaissons comme suzeraine, vous, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d’Anjou élue par le peuple angevin, reconnue par vostre conseil.

Que l'écrit vaille engagement et respect de ma promesse faite envers l'Anjou que vous représentez avec continuité, obsequium, auxilium et consilium vous sont acquis.

Si un conflit venait vous opposer, vous, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d’Anjou, notre suzeraine, à un tiers, nous jurons que nous prendrons fait et cause pour vous.

Jamais nous n'enfreindrons la page de ce serment, car aller à son encontre serait faire preuve d'hybris et serait pure folie.


Ecrit en date du 16 d'avril 1458, sur les routes angevines,

Jchris de Beaufort, Seigneur d'Andrezé


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