....marie....
Marie avait quitté Nancy tard dans la nuit n'emportant avec elle que Lune, la grande chienne blanche, seule trace vivante du passer après la débâcle.
En une semaine tout s'était envolé...Sa vie, ses rêves, tout ce qu'elle avait construit et en quoi elle croyait.
Son amour, lavait trahis une fois de plus, une fois de trop. Ne pouvant souffrir plus que LOng se tourne vers des péronnelles sans cervelles lors de ses absences au vue et au su de tous Marie avait lâché cette main si précieuse à son cur.
Certes elle le savait depuis leur rencontre en mai de l'année passée, LOng n'était pas homme fidèle, mais il s'était assagit et de là à sauter sur la donzelle que Marie haïssait le plus la sachant prête à tout pour les séparer l'affichant clairement et ne cherchant que ça depuis des lustres...
Peste ne vivant que pour le plaisir de faire le mal autour d'elle, LOng l'avait laissé gagner, et c'est d'un air victorieux qu'elle avait toisée Marie lors de son dernier passage à la taverne du Caboulot de Nancy.
Avouant sans vergogne qu'il ne représentait rien à ses yeux et qu'elle se satisfaisait seulement de les avoir séparés.
Son meilleur ami l'avait aussi trahie, bien qu'il ne semble pas vouloir le reconnaitre.
Duke maire respectable de Nancy, celui qui l'avait guidé, lui apprenant tout ce qui était nécessaire à savoir pour survivre dans se bas monde.
Marie était certes intransigeante de nature mais la franchise était la seule vertu qu'elle exigeait tant des autres que d'elle même.
Suite à l'arrivée d'une damoiselle pleine d'entrains et de projets mais à laquelle il était visiblement nécessaire d'expliquer beaucoup des us et fonctionnement des choses pour que tout ses rêves ne finissent pas par des utopies irréalisable; une discussion animée avait eu lieux entre la jeune fille, Duke et Marie .Se soldant par la démission de la dite damoiselle du conseil municipale. Seule Marie avait par la suite supporté les conséquences de cette conversation, se faisant taxer d'agressivité alors que Duke parlait sur le même ton et avait seul décidé de congédier du poste de Tribun la donzelle dont les propos avait été vif et irrespectueux et qui visiblement ne tenait pas à comprendre que tout à un chemin et que rien ne se fait sans le suivre, la bercer d'illusions n'était pas du goût de Marie, mais d'autres préféraient cela à être franc plutôt que de paraitre dur.
Alors non Marie n'était ni méchante ni rancunière ...seulement réaliste peut être un peu trop dailleurs et il est vrais sans y mettre toujours les formes, certains l'avait compris comme Ama et Moomin ou bien encore Didine et Thephenix, d'autres faisait fit et ne s'attachaient qu'aux apparences.
De rage, de désespoir et se sentant trahie de toute part Marie avait sortis de chez elle toutes les affaires de LOng , les jetant pêle-mêle dans le jardin .S'y était entassés également les parchemins de son travail à la mairie en tant que conseillère à l'emplois.
Elle avait ensuite mis le feu à tout cela regardant bruler tout ce qui avait été sa vie, silencieuse et immobile comme une statue.
La main du destin ou celle d'un amis mal intentionné avait alors embrasé sa maison qui partie également en fumée.
LOng arrivant sur ces entrefaits suivis de prés par la catin du malheur n'avait pu que constater l'étendu des dégâts et n'avait eu que trois mots fort peu réconfortants au grand désarroi de Marie.
Moomin la sur de Marie avait alors proposé de partir, de l'éloigner de tout cela avant que la folie ne la guette.
Sa démission remise au conseil municipal, non sans avoir dit sa façon de penser, son champ vendu, Marie avait conclut marché avec des gitans arrivés quelques jours auparavant en ville pour s'acheter une roulotte comme celle de sa sur.
Les voici donc sur les routes Moom, Marie et Lune ainsi que deux chevaux de trais en charge de tirer ce qui était devenus leur maisons.
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En une semaine tout s'était envolé...Sa vie, ses rêves, tout ce qu'elle avait construit et en quoi elle croyait.
Son amour, lavait trahis une fois de plus, une fois de trop. Ne pouvant souffrir plus que LOng se tourne vers des péronnelles sans cervelles lors de ses absences au vue et au su de tous Marie avait lâché cette main si précieuse à son cur.
Certes elle le savait depuis leur rencontre en mai de l'année passée, LOng n'était pas homme fidèle, mais il s'était assagit et de là à sauter sur la donzelle que Marie haïssait le plus la sachant prête à tout pour les séparer l'affichant clairement et ne cherchant que ça depuis des lustres...
Peste ne vivant que pour le plaisir de faire le mal autour d'elle, LOng l'avait laissé gagner, et c'est d'un air victorieux qu'elle avait toisée Marie lors de son dernier passage à la taverne du Caboulot de Nancy.
Avouant sans vergogne qu'il ne représentait rien à ses yeux et qu'elle se satisfaisait seulement de les avoir séparés.
Son meilleur ami l'avait aussi trahie, bien qu'il ne semble pas vouloir le reconnaitre.
Duke maire respectable de Nancy, celui qui l'avait guidé, lui apprenant tout ce qui était nécessaire à savoir pour survivre dans se bas monde.
Marie était certes intransigeante de nature mais la franchise était la seule vertu qu'elle exigeait tant des autres que d'elle même.
Suite à l'arrivée d'une damoiselle pleine d'entrains et de projets mais à laquelle il était visiblement nécessaire d'expliquer beaucoup des us et fonctionnement des choses pour que tout ses rêves ne finissent pas par des utopies irréalisable; une discussion animée avait eu lieux entre la jeune fille, Duke et Marie .Se soldant par la démission de la dite damoiselle du conseil municipale. Seule Marie avait par la suite supporté les conséquences de cette conversation, se faisant taxer d'agressivité alors que Duke parlait sur le même ton et avait seul décidé de congédier du poste de Tribun la donzelle dont les propos avait été vif et irrespectueux et qui visiblement ne tenait pas à comprendre que tout à un chemin et que rien ne se fait sans le suivre, la bercer d'illusions n'était pas du goût de Marie, mais d'autres préféraient cela à être franc plutôt que de paraitre dur.
Alors non Marie n'était ni méchante ni rancunière ...seulement réaliste peut être un peu trop dailleurs et il est vrais sans y mettre toujours les formes, certains l'avait compris comme Ama et Moomin ou bien encore Didine et Thephenix, d'autres faisait fit et ne s'attachaient qu'aux apparences.
De rage, de désespoir et se sentant trahie de toute part Marie avait sortis de chez elle toutes les affaires de LOng , les jetant pêle-mêle dans le jardin .S'y était entassés également les parchemins de son travail à la mairie en tant que conseillère à l'emplois.
Elle avait ensuite mis le feu à tout cela regardant bruler tout ce qui avait été sa vie, silencieuse et immobile comme une statue.
La main du destin ou celle d'un amis mal intentionné avait alors embrasé sa maison qui partie également en fumée.
LOng arrivant sur ces entrefaits suivis de prés par la catin du malheur n'avait pu que constater l'étendu des dégâts et n'avait eu que trois mots fort peu réconfortants au grand désarroi de Marie.
Moomin la sur de Marie avait alors proposé de partir, de l'éloigner de tout cela avant que la folie ne la guette.
Sa démission remise au conseil municipal, non sans avoir dit sa façon de penser, son champ vendu, Marie avait conclut marché avec des gitans arrivés quelques jours auparavant en ville pour s'acheter une roulotte comme celle de sa sur.
Les voici donc sur les routes Moom, Marie et Lune ainsi que deux chevaux de trais en charge de tirer ce qui était devenus leur maisons.
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