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[RP] du haut des Remparts

Yvondelaroulette
Yvon s'apprêtait à redescendre, lorsqu'un jeune femme l'aborda. Elle lui sourit en la reconnaissant.

- Matinale? Heu... non, en fait je n'ai pas dormi... Oui une tisane sera la bienvenue, cela fait un moment que je suis là et je suis gelée.

Elle marcha aux côtés de son amie en direction de la ville et de ses tavernes bien chaudes.
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Wu
La neige était tombée drue la nuit dernière, il vint sur le remparts
adimrer le paysage.

Il manqua de glisser et se rattrapa de justesse.


Il vit un sergent passé en bas des murailles et lui fit tomber de la neige sur le crâne.

Il continua de se promener sur les remparts et fit quelques croquis de la campagne mainoise enneigée.
Yvondelaroulette
Yvon se rendit sur les remparts. Cela faisait longtemps, mais elle avait une bonne raison. Enfin deux. L'une permettant l'autre...

Il faisait nuit. Nuit et froid... Comme son coeur.
La jeune femme regarda un instant la campagne mancelle. Les moulin tournaient lentement dans la brise nocturne.

Elle grimpa sur un créneau et se mit debout. Elle regarda en bas. Non pas encore... pas encore le moment, mais presque. Une dernière chose à faire avant...

Derrière elle, la ville commençait à s'endormir. Seuls quelques bruits de rires sortaient des tavernes. Mais cela ne lui suffisait plus...
De nouveau le regard qui balaie la campagne. Elle s'attarde sur la caserne et dit tout bas :

- Pardon...

Elle pris une grande inspiration et commença à chanter :

- Sur un bateau
Sans étoile,
Le vent me porte
Sur les vagues
De l'Histoire,
De la mémoire.

Une plume
Dans le sable,
Comme la rose
Se fane.
Et les ruines
Se séparent
Dans l'oubli
De nos mémoires.

Et pourtant,
Souviens-toi,
De ce temps
Où les rois
Se battaient
Sur le champ,
Se tuaient
Pour du vent.

Rage au coeur,
Coeur de glace,
Pas de vainqueur,
Les morts passent
Et dansent
Dans la lumière
Et l'ombre immense
De la mémoire des pierres.

C'est pour le monde en colère
Que gronde le tonnerre,
La mer se déchaine,
La terre brise ses chaines.

Sur un bateau
Sans étoile,
Le vent me porte
Sur les vagues
De l'Histoire,
De la mémoire.

Rien qu'un geste,
Tout s'évanouit,
Ce qui reste
Tombe dans l'oubli
Pour faire taire l'ennemi,
Le malheur et la douleur.

Et pourtant,
Souviens-toi,
De ce temps
Où les rois
Se battaient
Sur le champ
Et mouraient
Pour du vent.


Elle ouvrit les bras au vents avant de finir.

- Sur un bateau
Sans étoile,
Le vent me porte
Sur les vagues.
Toile blanche dans le ciel,
Soleil noir à mon réveil.


Et elle mis un pied dans le vide pour plonger. En finir. Enfin...
Lylou
Lylou avait vu énora s'éloigner de la mésange en direction des remparts alors qu'elle devait rentrer dans son nouveau chez elle ....
Lylou surprise se décida donc à la suivre discrêtement ...


Arrivée à son tour sur les remparts elle aperçu énora qui avait un pied dans le vide, elle se mit à crier :

Enora !!!!!!!!!!! attention !!!!!!!!!!!! que fais tu ? noooooooooooooooonnnnnnnnnnnnn!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Yvondelaroulette
Enora !!!!!!!!!!! attention !!!!!!!!!!!! que fais tu ? noooooooooooooooonnnnnnnnnnnnn!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Elle n'avait pas eu le temps de fermer les yeux. Elle se retourna et reposa son pied sur le créneau.

- Lylou?

Ses yeux s'emplirent de larmes.
Lylou
Lylou regarda énora poser son pied sur le créneau et lui demanda interrogative :

que t'arrive t'il ?pourquoi es tu là ? que fais tu ? et pourquoi tu pleures ?

Lylou avait l'impression de faire subir un interrogatoire à son amie mais elle se demandait vraiment ce qu'il se passait
Yvondelaroulette
Elle regarda son ami, tremblant de toute part, pas sous le coup de la peur, mais plutôt celui de la douleur.

Une larme coula sur sa joue et elle ne pu contenir ses sanglots.

- Oh! Je l'aime, Lylou. Je ne peux vivre sans lui...

A ces mots, ses jambes lâchèrent sous elle et elle s'affala sur le chemin de ronde. Une chance? Peut être, peut être pas...
Bezuto
Bezuto n'avais pas l'habitude de monter sur les remparts mais ce soir n'était pas n'importe qu'elle soir.

La haut l'air frais s' abattais sur son visage lui séchant les joues.
un doux parfum de braise se faisait humer .

il respira profondément , s'efforça de chasser toute pensé .
ce qui malheureusement échoua.

une pensée lui revenait sans cesse...
un pensée pleine de regret , de déception , de tristesse, mais pas seulement elle était aussi composé de d'amour , de tendresse , de joie.
Ce qui ne faisait que plus le contrarié ,

Il s'allongea et se mit a contempler le ciel , il ouvrit sa flasque en bu un bonne partit et la rangea .

il se projeta dans l'avenir ce qui le fît soupirer .
alors seulement il se laissa aller , laissant sa pensée vagabonder en lui comme un feu qui ne s’éteindrait pas .
Ce feu en lui avait un effet purificateur ,
il s’écoula quelque malheureuses gouttes qui avais tenue bon de c'est yeux .

Enfin il se sentit libre , il s'adonna alors a la rêvasserie tout en contemplant ce ciel magnifique et cette terre fertile qui bientôt serais souillé .
Joaqim
Joaqim avait fait ses premiers pas au Mans en été 1458, et il avait appris comment sa ville avait été pillée, comment sa région avait été ravagée par les brigands, malgré l'héroïsme des Mainois. La guerre, la ruine , la mort, les deuils, les nuits terrifiantes où chacun restait barricadé chez soi....le Maine à genoux....il ne voulait pas revivre cela.
C'est pourquoi il se trouvait ici, sur les remparts, par cette nuit de février, guettant avec anxiété le moindre mouvement dans le camp des brigands de la Lune Poupre.
Ils étaient nombreux, ils parlaient peu , mais se donnaient du courage par quelques gestes. Un sourire, une gourde qui circulait de main en main....et l'attente, interminable.
Chacun pensait aux siens, chacun essayait de maitriser ce mélange de peur et d'excitation qui flottait dans l'air.
Puis, vers la fin de la nuit, un mouvement dans le camp adverse.


Ils partent ! Ils lèvent le camp !

Joaqim poussa un long soupir de soulagement, pendant que les autres défenseurs se congratulaient. Rien n'était gagné, mais il était heureux de la mobilisation des mainois. Il s'étira et sourit en pensant à Rose qu'il allait bientôt rejoindre.
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Thorn
Ce soir, c'était défense !
Oui, et il n'allait pas fermer l'oeil de la nuit
Il tournerait en rond, espérant qu'il y aura de la bastaille
Il manquait du sang sur son épée, il fallait remédier à ça.
Son épée, d'ailleurs
Il la sortit de son fourreau et la fit tinter contre les remparts,
Profitant du -pas- doux son que cette rencontrer produisait

On les attends ces marauds !
On leur montrera le Haka Manois, on les embrochera après

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Yvondelaroulette
Enora n'avait pas été de garde cette nuit là, mais était debout de bon matin, la boulangerie à faire tourner pour approvisionner un peu le marché. A peine sortie des fourneaux qu'elle se rendit sur les remparts afin d'aller à la rencontre de ceux qui y avaient passés la nuit, leur apportant pain frais, fruits et boissons chaudes.

Elle chacun d'entre eux, y allant de son petit mot :

- Puce, Krys, la nuit n'a pas été trop froide?
Didounet, Hykesia, Macheckett, merci d'avoir rejoins la lance de notre maire.
Roselucie, toujours prête à aider, hein? Un petit pain? Et toi Bezuto?
Joaqim, Rahm, je suis contente de votre travail.
Ça va, schtroumpf? Ajisai, bonjour.
Légo, Thorn, Lyssea, Ofedant, Stratovarius, merci d'être là. Prenez donc une boisson chaude.
Squalow, cette nuit s'est bien passée? tu veux quelque chose?


Après un sourire à ce dernier, elle continua de discuter avec tout le monde tandis que le brouillard se dissipait, laissant place à la rosée matinale.
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Irys_
Beaucoup de monde étaient sur les remparts cette nuit et finalement la nuit avait été calme.

Au matin, je vis arriver quelques connaissances lavalloises aux côtés de la Comtesse, j'étais contente de la revoir.

J'aperçus Enora, qui avec sa gentillesse habituelle venait réconforter ses amis.

Lasse de cette nuit de veille, la tête vide, je repris le chemin de l'auberge pour un repos réparateur.

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Schtroumpf
Té, Enora fait la tournée des popotes, c'est sympa de ta part, bon, c'est pas qui fait froid, mais tout de même, comme on dit, j'ai éponger le brouillard avec mes vieux os.
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Arnaud_giboint
Une nuit de veille se terminait.
Une nuit comme tant d'autres déjà vécues. Une nuit passée à arpenter les rempart d'une villes à scruter l'horizon et a guetter l'éventuelle sortie des bois d'un ennemi avide de pillage.
L'humidité du matin et la brume qui trainait au raz du sol rendait difficile la vision alentour et donnait une impression de froidure.
Légo et ses compagnons avaient passé la nuit à parcourir le chemin de ronde échangeant quelques mots avec les autres défenseurs à l'occasion, se tenant prêt à combattre si necessaire.

Au petit matin ils virent arrivé un petit groupe accompagnant la Comtesse en titre Lego se emanda un instant ce qu'il venait faire là, mais jugea cela de peu d'importance en entandant la voix d'Enora qui venait de faire son apparition sur les remparts pour leur proposer soupe chaude et pain frais


Bonjour Dame Enora quel charmante attention de votre part que de venir nous apporter le reconfort d'une soupe bien chaude au petit jour.
Les nuits étant encore fraiches et le brouillard matinal peut agréable j'accepte avec plaisir.


Légo pris le bol tendu par Enora ainsi que la miche gentiment offerte, et déjeuna ainsi en prenant le temps de savourer la chose en devisant sur la nuit passée avec ses compagnons
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Roselucie
Rose s'était assise à même le sol du chemin de ronde, le dos appuyé contre le mur des remparts. Elle n'était pas vraiment fatiguée, elle avait l'habitude de veiller la nuit. Mais elle était tendue, comme tout, un, chacun elle n'aimait pas cette ambiance d'inquiétude et de peur. Elle tremblait aussi pour Joaqim. Elle se replia sur elle même, les genoux sous le menton, les bras les entourant, la tête posée dessus les yeux fermés. Elle pensait à lui et à ses enfants.
Citation:
Roselucie, toujours prête à aider, hein? Un petit pain?

Elle leva la tête soudainement et vit Yvon les bras chargés de pains et de boissons chaudes. Rose se leva d'un bond.

Et comment que j'en veux ! Merci Yvon c'est vraiment une attention très délicate. Rose prit le pain et la remercia d'un sourire avant de le dévorer.
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