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[RP]Allègeances de Franche Comté

Debenja
Le Franc Comte répondit donc à l'allégeance de Léonin

Baron de Sellières, , de part votre allégeance, je vous apporterai protection, justice et subsistance.

J'espère que vous honorerai votre serment quand le Très Haut le voudra.

Vous pouvez y aller Baron. Je pense que notre sécurité vous attend.


Le Franc Comte attendit que le noble suivant se présente face à lui
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L'ex Franc Comte très très méchant. Il faisait tellement peur que personne il voulait attaquer Dole.
Fleur


Fleur écouta sa Grandeur s'adresser à Léonin, puis s'avança devant lui quand il eut fini.

Étant à sa troisième allégeance, elle commençait à prendre un peu d'assurance. Elle fit une révérence et porta allégeance comme suit.


Si vous me le permettez Votre Grandeur. Mon époux étant comme bien trop souvent indisponible ces temps-ci, je vais faire allégeance en son nom et le mien.

Fleur reprit donc...


Nous, Faross et Fleur, porteurs du titre de la Baronnie de Quingey, nous prêtons allégeance au Parlement Franc-Comtois et à sa Grandeur Debenja qui le représente. Nous jurons fidélité, conseil, aide et service armé. Nous serons toujours présents à vos côtés pour vous aider. Nous mettons nos vies, nos bras armés et nos terres à votre service, en échange de votre protection pour notre famille.



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Hortense
Les fesses appuyées sur la table du buffet... le regard posé ici et la sur les différentes personnes présentes... hortense arrêta le sien sur sa jeune belle-soeur et lui sourit. Elle n'avait pas eu la chance toute deux de bien se connaitre mais Green les réussissait et c'était bien suffisant pour la jeune Riddermark. Riese était la soeur de son homme... elle se devait de la considérer comme sa propre soeur!

Elle tourna ensuite son regard vers le Franc comte et vint pour s'approcher lorsqu'une dame prit sa place. Elle trépigna sur place ayant très hâte de se présenter devant son ainé et de lui prêter allégeance....

Elle attrapa donc un second verre et en bonne vesulienne .. le but d'un trait!
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Leonin
Léonin écouta avec attention la réponse faite par Debenja et se releva.

Je vous remercie Votre Grandeur. Je vais devoir vous laisser pour vaquer à mes occupations de Connétable. Je m'excuse platement Votre Grandeur.

Il se releva et croisa Fleur à qui il fit un clin d'oeil et un sourire. Et prit le chemin de la sortie.
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Vicomte de Sellières
Lothilde
Franchissant le seuil de la salle des allégeances, Lothilde retint de justesse un petit sifflement admiratif qui n'aurait pas été du meilleur goût, et soulevant entre ses deux mains sa longue robe, redressa le menton avant de remonter lentement l'allée centrale.
Un mince sourire aux lèvres, elle s'inclina devant les quelques nobles déjà rassemblés. Ils devaient eux aussi avoir sauté du campement militaire où ils étaient tous consignés aux étuves, pour se débarrasser des hôtes indésirables qui vivaient en bonne harmonie avec eux sous les tentes depuis quelques temps...Sans doute aussi contents qu'elle de cette aubaine qui les dispensait de l'entraînement pour la journée !

Tournant à peine la tête, les yeux mobiles, elle admirait les fresques nouvellement peintes aux murs de la salle...Bigre, on était donc devenu si riche que ça, en Franche-Comté, qu'on fasse venir de grands artistes pour le plaisir des sens ? Arrêtant son regard sur quelques comtois qui chapardaient sur les tables dressées pour le banquet avant que le franc-comte donne le signal des agapes, elle sourit. Non, rien de changé de ce côté là...Les nobles allaient faire allégeance à leur suzerain, les comtois feraient allégeance au buffet...comme toujours...

Amusée par le sérieux du connétable, elle le suivit des yeux jusqu'à ce qu'il disparaisse, englouti dans la foule qui avait envahi l'allée et fit un pas en avant, consciente de brûler la politesse à ceux qui étaient là bien avant elle. Mais tant pis...Une journée de liberté...elle avait des tas de choses à faire avant de rejoindre sa paillasse de l'autre côté des murailles.

Un genou posé au sol, la tête inclinée, elle affermit sa voix


Devant vous, franc-comte Debenja, je renouvelle mon allégeance à notre empereur Long Jean d'Argent, au parlement de Franche-Comté et au peuple comtois.
Je leur jure fidélité, conseil, aide et service armé, sur mon honneur et sur ma foi

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Debenja
C'était au tour de Fleur de prester allégeance pour Faross. Lorsqu'elle eu fini, le Franc-Comte sorti sa formule habituelle.

Madame la Baronne de Quingey , de part votre allégeance pour votre mari, je vous apporterai protection, justice et subsistance.

J'espère que vous honorerai votre serment quand le Très Haut le voudra.

J'espère que nous reverrons bien vite votre époux, il me doit encore quelques verres.


Le Comte sourit et attendit la prochaine intervention. Ah bah voila que c'était Lothilde, en robe ... et bien c'était tellement rare cela. Le comte écouta attentivement.

Vicomtesse de Dampierre-Sur-Salon, je ne sais si je peux accepter votre allégeance. Je sais que vous avez difficile a prononcer certains nom, mais je pensais que von Riddermark associé à Debenja pouvait sortir plus facilement de votre bouche qu'associé à Margny Le Franc Comte fit un grand sourire à la Vicomtesse quoi qu'il en soit de part votre allégeance, je vous apporterai protection, justice et subsistance.

J'espère que vous honorerai votre serment quand le Très Haut le voudra.


Le franc Comte termina en lui chuchotant

C'est tellement rare de vous voir en robe, cela vous sied a ravir, vous devriez en mettre plus souvent, pour sur que tous les hommes seraient à vos pieds, et pas parce que vous faites peur à la tête de votre armée mais bien parce qu'ils ne pourraient résister à votre beauté

Le Franc comte rigola et attendit la personne suivante.
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L'ex Franc Comte très très méchant. Il faisait tellement peur que personne il voulait attaquer Dole.
Sacrai
Ça y est encore une fois le jour des allégeances était arrivé, même si cette fois si il allait avec plus volontiers qu'au mandat précédent, il traina encore les pieds jusqu'à la salle ou aurait eu la cérémonie.
En entrant il vit Lothilde finir son allégeance et en profita pour s'avancer et s'agenouiller.Pour une fois il n'était pas trop en retard.Il prononça alors les mots habituels.


Moi, Sacraï d'Eirbal, Vicomte de St-Loup-Sur-Semouse, Baron de St-Sauveur, renouvelle mon allégeance au parlement et à son représentant.
Lui jurant fidélité, aide, conseil et service armé.

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Yde
Yde avait ouvert un oeil paresseux, puis les deux....Sacrebleu que cet état était fatiguant...Un état des lieux...la tente, le froid , le bruit, les odeurs, les chariots qui repartaient, les hommes qui s'affairaient a tout réemballer...Une robe trop etroite, des lacet difficilement liés..des chausses boueuses..Tout pour plaire...
Elle se présenta a l'éntrée de la salle où Artifice etait toujours en peine d'avancer. Elle lui prit le bras en souriant


Vicomte, j'ai besoin d'un bras...Me ferez vous l'amabilité de me conduire?
Il vous faudra encore entrer de nombreuses fois en ces lieux...

elle tendit son bras, esperant qu'il le prenne
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Hortense
Il était maintenant tant pour elle de s'avancer. Elle aurait voulu que son homme soit présent pour la voir ... elle... prêter allégeance au Franc Comte.. à Debenja von Riddermark.... son ainé..

Elle avait tenté de trouver une petite phrase intérieurement... une petite phrase qui démontrerait l'allégeance qu'elle ferait au nom de son jumeau ... mais également le respect... et l'affection d'une cadette pour son ainé... l'amour profond qu'elle.. Hortense... témoignait à son debby chéri.

Cette phrase ... elle l'avait tourné dans des tons très sérieux... moi Hortense blablabla... ta cadette... ait entièrement confiance en ton jugement... et te jure fidélité... et blablabla...

elle l'avait également tournée à la rigolote.. j'te prête tout ce que tu voudras.. tant que ca me revient!

C'est donc émue... sans trop savoir comment elle allait pouvoir la présenter d'Hortense ... après le départ de Sacrai ... s'approcha du trône où siègeait son frère ainé et s'agenouilla
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Greenwarrior
Le Baron de Rougemont remontait le couloir menant à la salle des allégeances en chantant.

Ma mie dit que c'est folie d'aller guerroyer du Franc
Mais je dis que c'est folie de ne pas respecter Debenja plus longtemps.


Il portait sa nouvelle tenue. Un pantalon noir, une chemise blanche, un manteau rouge de Romagne à capuche et une cape fixée à l'épaule gauche portant les armoiries de sa lignée.

Il entra calmement cette fois, attrapant par la même occasion le bras libre d'Yde. Hortense allait prester allégeance
Tout en avançant, il jettait un regard discret en direction d'Hortense et de son postérieur.


Bon, allégeances permanentes maintenant.

Ce fut leur tout. Il passa le premier, Yde tirant toujours Artifice par le bras. Il posa un genou au sol après avoir extirpé sa lame. De là, il la présenta à plat au Franc Comte.

Sire Comte "Bien Aimé" Debenja Von Riddermark, mon épée est votre. Veuillez accepter mon allégeance que je donne sans rien attendre en retour à votre personne, représentante de Dieu sur les terres comtoises. Je vous jure assistance, conseils et services armés de la part de la population de Rougemont et la mienne.

Je jure de vous défendre et de vous protéger sur ma vie, mon honneur, mes armes et ma Foi.

Puissiez-vous vivre éternellement afin que la Franche-Comté vive à nouveau des heures de gloire sous un soleil perpétuel illuminé par les rayons de votre personne.

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Estelbad
C'est au moment ou sa chère jumelle, Hortense, s'agenouillait pour prêter allégeance envers Debenja, leur frère ainée qu'Estelbad arriva.

Voilà des mois, si ce n'est des années, qu'il avait du confier cette tâche à sa sœur et vassale. Et cela faisait autant de temps, que lui était confiner sur ces terres, terrassé par un terrible mal qui avait failli à de nombreuses reprises avoir raison de lui.

Depuis quelques jours, la santé lui était revenue.... sans attendre, il avait pris son cheval, pour retourner vers la ville et y découvrir les changements qui y avait été opéré. Aussi, c'est avec une immense joie qu'il constata l'élection de son frère au rang de Franc Comte.
C'est alors que l'idée lui vint de faire la surprise à sa chère famille, qui ne l'avait pas vu depuis des années, de réapparaitre à l'occasion de la cérémonie d'allégeance envers Debenja.

C'est donc vêtu d'une toute nouvelle tenue, frappé du seaux des Riddermark et de son propre fief, Hérimoncourt, qu'Estelbad arriva dans la salle préparé pour cette occasion. A sa ceinture luisait son épée.... aussi en apercevant le Baron de Rougemont, ainsi reluquer le derrière de sa jumelle, Estelbad résista difficilement à l'envie de piquer le derrière du Baron Rouge avec son épée.

Il s'abstint et se contenta de lui murmurer, d'un ton menaçant:


Tant que tu ne l'auras pas épouser.... évite de la reluquer de la sorte devant moi....

Sans attendre de réponse de sa part, il s'avança vers sa soeur, qui s'était donc déjà agenouillé devant leur frère ainé... il lui posa une main sur l'épaule,avant que celle-ci ai commencé à prononcer son allégeance....

Ma soeur, si tu le permet, aujourd'hui je vais le faire moi même....
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--Valentine

Valentine était là également, mais cachée dans les ombres des murs. Elle n'avait jamais raté une occasion de venir. Voir des beaux nobles tous beau, qui sentent bon et qui sont si populaires.
Quand elle était encore au service de sa bien aimée maitresse, elle profitait toujours d'une occasion pour sortir de la demeure et de se retrouver ici.

Elle regarda les nobles défiler les uns derrière les autres. Sa lui rappelait quand elle était petite, tous les enfants du village ou elle était née faisait cette file d'attente pour avoir un bonbon de la voisine.

Val posa ensuite son regard sur le beaux vieux noble à la couronne sur la tête. Il avait une drôle de tête avec cette couronne, il ressemblait au roi d'Agobert comme dans l'histoire que racontait sa mère avant qu'elle s'endorme. Elle l'avait déjà vu ce Franc Comte, il était déjà venue voir sa maitresse plusieurs fois. Il trainait derrière lui une femme laide comme toute les femmes nobles. Elle avait essayer de l'amadouer, mais il avait même pas poser un regard sur elle. Il ne regardait que sa moche de femme.

Bon, le moment était venue. Elle réajusta sa coiffure et se mit à déambuler devant cette noblesse. Elle était toujours à la rechercher de son noble, un mari qui l'aimerait toujours.

A l'affut, elle passa devant plusieurs hommes mais ceux ci étaient trop grassouillets et sentaient la transpiration dans leurs apparats trop épais.
Nayenna
Nayenna était perchée à côté d’une table énorme, remplie de plein de trucs à manger, des trucs qu’elle n’avait jamais vus de toute sa vie. Des gens étaient aussi assis là plus loin et regardaient l’assemblée avec de grands yeux, mais Nayenna ne parvenait pas à définir à quoi ils pensaient. Son sac contre son ventre, elle regarda encore une fois les plats, hésitant entre un truc tout brun et tout couvert de brillant qui sentait bon, ou un gâteau tout jaune donc sans doute bon, avec de la crème au dessus. Il y avait même des petites ailes de poulet, et des sortes de gros pains couvert de jambons. Mais bon, elle n’avait pas assez faim pour ça et elle préférerait prendre un truc qu’elle saurait manger facilement. Se décidant pour une part du gâteau, elle la prit dans sa main libre, retenant son sac de l’autre et trottina jusqu’à une chaise libre. Ayant pour l’occasion mit une belle robe rouge sombre, qu’elle aimait bien parce qu’il y avait un voile en dessous, que sa mère appelait tulle elle se rappela des recommandations de la domestique, qui lui avait dit et redit qu’une tache sur ce tissus, serait irrécupérable. Mais bon, elle s’en fichait, Nayenna. C’était la domestique qui devait laver, pas elle, et si son père disait qu’il fallait laver et plus voir la tache, elle devait tout faire pour qu’on ne la voit plus.

Nayenna se glissa sur la chaise et s’y installa confortablement. Elle posa son sac sur un de ses genoux et s’entreprit à mordre dans le truc qu’elle avait choisit. Ça goutait comme le pain d’épice que Dina lui avait fait gouter, mais ça goutait aussi un peu le citron, et c’était bon. Une grosse bouchée l’occupa tout un temps. Et, en mâchant son gâteau d’un air distrait, elle observait les gens. Son père était arrivé un peu plus tôt mais il n’avait pas fait attention à elle, il l’avait même peut-être pas vue, mais elle s’en fichait, elle irait lui dire après qu’elle était là !

Un gros monsieur était assit deux chaises plus loin. Il n’était vraiment pas beau, et tellement gros qu’on aurait dit qu’il avait du mal à respirer à cause de son ventre. Il transpirait aussi, ou alors, il devait avoir reçu un verre d’eau sur la tête parce que des gouttes tombaient de son front. Nayenna eu un petit rire en le voyant essayer d’attraper un truc à manger derrière lui mais ne point y parvenir. Les adultes étaient vraiment bizarres. Quittant des yeux le gros monsieur elle regarda les gens dans la salle. il y avait des belles femmes avec des belles robes. Hortense était là elle aussi, avec le gros Aristote qui la regardait comme s’il voulait la manger. Elle se souvenait bien, de lui, qui l’avait sauvé des ogres dans la forêt quand elle s’était enfuie. Il avait une très grande épée et Hortense elle, elle le regardait toujours comme si c’était le Dieu. Ses yeux s’émerveillèrent lorsqu’elle vit la Dame Lothilde qui s’avançait. Elle regardait autour d’elle et se pliait parfois. Peut-être qu’elle avait mal à son dos, comme elle était partie chasser du méchant brigand, elle avait peut-être été blessée. Ou peut-être pas, puisque son oncle Kenny lui avait dit qu’elle était très très forte !

Légèrement rassurée, Nayenna mordit une nouvelle fois dans son gâteau en reniflant. Balançant ses jambes elle se grattouilla un genou et porta son regard sur l’assemblée. En fait, tout le monde allait dire quelque chose à son papa. Ils se mettaient à genoux devant lui et puis ils parlaient. C’est bizarre, quand même comme fête. Elle irait aussi, alors, dire quelque chose à son papa. Comme la Dame Lothilde ou sa tant Hortense ou…

Oncle Este… Murmura-t-elle en souriant. Son oncle aussi était là, en fait c’était presque une fête de la famille, comme quand elle avait eu 7 ans, ou quand sa maman avait eu 63 ans… ou c’était 36 ? Elle se trompait toujours dans les chiffres. Son oncle il est beau !! Comme Hortense et quand elle serait grande, elle aussi serait belle et forte ! Nayenna soupira d’aise et en deux petites bouchées, fini son gâteau. Chose faite, elle frotta ses mains sur ses cuisses et sortit de son sac sa petite poupée toute blonde. Lizzie.
Tu vois, Lizzie, les gens là ils vont dire bonjour à mon papa, parce que mon papa c’est le chef des polis tiques. Ils sont parfois méchants, que Thierry m’a dit, parce qu’ils attaquent tous les gens pas beaux et pas intelligents. Mais je sais pas si ils sont intelligents eux, parce que papa dit souvent qu’ils sont bêtes.

Elle assit sa poupée sur ses genoux et désigna les gens dans la salle.
Alors là tu vois, il y a tata Hortense, la plus jolie de la salle. Puis, oncle Este celui qui m’offrira un poney. La c’est Dame Lothilde qui m’avait appris à me battre contre les monstres. Le gros barbu c’est Aristote, on dirait que c’est un ami d’oncle Este, tu trouves pas ? Regarde, y a même monsieur le maire de Vesoul.
Elle sourit, puis se crispa… Sa petite tête se tourna à droite, à gauche, et ses lèvres se pincèrent. Elle se laissa glisser de sa chaise, légèrement inquiète et, serrant Lizzie contre son cœur, elle s’approcha de son père en trottinant. Sans se soucier des gens qui regardaient son papa, elle arriva près du grand fauteuil pas beau ou il était assit et lui tira la manche deux trois fois jusqu’à ce qu’il se penche à sa hauteur.
Les larmes arrivant à ses yeux, elle lui murmura…

Papa… j’dois faire pipi…
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Flavien_von_frayner
le jeune homme après être arrivé en FC prêt à la bataille, fut finalement épargné par cette guerre qui l'aurait certainement tué! le destin lui avait laissé le droit de vivre quoique de toute manière il était un Von Frayner et représenterait les siens dans les moments les plus difficiles, avec acharnement.

enfin...

Après quelques jours de marches en compagnie du capitaine impérial le baron Niconoss et de jehan de arcy, il arriva à poligny dans une petite ville sympathique et assez active! Tout cela le réjouissait fortement, cependant il devait rencontrer le franc comte pour remettre l'allégeance de son père qui le lui avait confié juste avant son départ.
il se dirigea donc là où la cérémonie avait lieu, il ne connaissait que très peu de monde, mais fièrement et gracieusement le jeune homme à l'allure d'un von frayner avançait vers le comte...

il attendit que les quelques nobles présents devant lui fassent leur allégeance et s'avança à son tour pour se présenter


enchanté cher comte,

nous sommes le fils du duc Mun Von Frayner, régent des terres d'Amance et nous venons vous remettre son allégeance

la voici....



Citation:
Nous Mun von Frayner von Strass, Vidames Vice Dominus Vétéranus, Duc de Vittel, Régent des Baronnies de Fontnoy et d’Amance et Seigneur de Montigny,
Commandeur de l'ordre de l'Alérion Lorrain, Etoile de Rubis d'Isendul, Grand Officier de l'Ordre de Sainte Kyrène et Lieutenant Banneret de l’Office des Trois Ecus.

Reconnaissons comme Franc Comtois , Debenja, et pour cela nous lui rendons hommage.
Nous leur promettons fidélité, conseil, aide, protection et assistance, en échange de protection, justice et subsistance.
Tout en renouvelant notre prime allégeance à Rome.

Fait à Lourdes
En ce huitième jour du premier mois de l'an de grâce MCCCCLVIII
Scellons de notre estampille pour authentifier le parchemin.


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Adrien72
Les nobles passaient un par un, Adrien écrivait, puis regardait, puis signé, puis fouillé, parfois, des domestique venaient apportant des lettres pour les allégeances, il prit les différents feuillets, trempa son pouces avec le langues et feuilleta en parcourant les lettres pour mettre de côté les blabla respectueux qui ne prenez pas en considération. Sur une de ces lettres on pouvait y lire :

Citation:
Nous, Diane. de Cheroy Comtesse de Moissey, Vicomtesse de Chaumergy reconnaissons comme suzerain vous Debenja Comte de la Franche Comté.

Je jure de vous apportez aide (auxilium) et conseil (consilium), respect (obsequium).

Que si un conflit venait vous opposer vous Debenja, Comte de Franche Comté, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Fait en notre maison de Cheroy, ce jour 7 Janvier de l'an de grace 1458

Diane. de Cheroy.





Par la suite il leva la tête et se rendit compte que la fille du franc comte était là... avec son pére.

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