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[RP]Allègeances de Franche Comté

--Foestus_au_chaud
Petit foestus était bien au chaud dans le ventre de sa maman. Balloté par les mouvements de sa marche il commencait à faire sa sieste de l'instant. Oui comme tout le monde se doit de le savoir un foestus il dort quand maman bouge mais il bouge quand maman dort. D'ailleurs il adore taper dans la vessie pile au moment où il la sent qui commence à s'endormir. Bon revenons en à notre fameux petit foestus. Vous allez me dire oui d'accord il est dans le ventre de sa maman mais qui est sa maman?? Hey oh laissez moi continuer voyons!
Donc sa maman bougeait, lui il peut pas dire ce qu'elle fait ni où elle va marcher lui étant un mot inconnu mais bon bref on sait tous que pour aller aux allégeances faut marcher donc sa maman marchait. Mais au début elle avait dormit. Et petit foestus avait joué dans le ventre de maman. D'ailleurs il aimait bien entendre les bruits dehors, les chariots qui repartaient, les hommes qui s'affairaient a tout réemballer. Soudain il sentit maman bouger il se dit chouette on va dodoter, donc il essaya de se rendormir sauf que c'est à ce moment la que sa merveilleuse maman voulu essayer de l'écrabouiller en faisant réduire le volument intra-utérin qu'il occupait. Pas décider à se laisser faire il bougea dans tous les sens. Elle voulait le tuer!!! Mais l'enserrement s'arreta, ouf sauvé. Petit foestus regarda en bas vers la sortie et fut rassuré, rien avait bougé. Ensuite maman se mit à marcher(raccorder avec le début) elle partit pour les allégeances. Petit foestus entendait des bruits diverses et varié mais pas la voix si rassurante de sa maman. Mais elle allait bien, il le sentait il n'y avait donc aucun danger. Il épia aussi les bruits peut-etre entendrait-il papa... Petit foestus voyait aussi des formes et des couleurs passer sous ses paupières et d'un coup ca devint très lumineux, et il entendit la voix de sa maman qui parlait. Bercé par la voix et la marche petit foestus s'endormit rapidement. Sauf que sa maman c'était maintenant arreter de marché. Flute quoi faire. Mais petit foestus voulait sommeiller alors il s'agita dans le liquide amyotique et balloter par ce dernier il s'endormit tranquillement bercé par les voix inconnus qui l'environnait, il semblait qu'on disait presque toujours la meme chose, ils sont fou ses choses à tuos dire la meme chose. Mais il finit par ne plus rien entendre.

Et la vous allez me dire : mais tu nous as pas dit d'ou tu viens?? Mais tu sais pas comment sont fait les bébés?? Et bien il y a le papa et la maman il s'aiment fort quoique non pas toujours mais ca marche pareil et puis moi maman et mon papa ils s'aiment alors on dit que les papas et maman s'aiment pour l'exemple. Et donc papa il plante une graine dans maman qui rejoint une seconde graine. Et voilà.
Ah vous vuolez savoir d'ou viennent les graines et dans quel ventre je suis?? Ben regardé qui est enceinte ici! Moi je dors.
Debenja
Le Franc Comte revenait dans la salle, accompagné de sa fille soulagée. Il lui demanda de retourner s'asseoir et de discuté avec Lizzie.

Debenja retourna à sa place et reçu ensuite l'allégeance d'Elfried que Victor représentait.


Messire Victor, vous pourrez dire à votre cousine la vicomtesse Elfriede que, de part votre allégeance, je lui apporterai protection, justice et subsistance.

J'espère qu'elle honorera son serment quand le Très Haut le voudra.


Et hop aller suivant, l'allégeance numéro 28 est prête devant le trône
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L'ex Franc Comte très très méchant. Il faisait tellement peur que personne il voulait attaquer Dole.
Yde
Passant d'un pied a l'autre afin de soulager son dos, Yde vit avec plaisir revenir le franc comte. Quelle ne fut pas sa surprise de voir Victor de Spartes passer devant elle et l'autre homme qui attendait avant elle dejà depuis un moment et preter allegeance par procuration.

Les deux mains sur les hanches, elle bougonna interieurement. Elle n'eut pas l'occasion de le gratifier d'un regard perçant. Le mal poli ne s'etant pas fatigué a saluer les autres.

Elle esperait que l'homme devant elle n'allait pas trainer trop

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Estelbad
Quand son frère revint avec sa fille, Estelbad en profita pour adresser à sa chère nièce un sourire complice... il était stupéfié de voir à quel point celle-ci avait grandi.... elle qui n'était qu'un tout petit bébé, quand il avait dû prendre retraite sur ses terres pour sa longue convalescence, elle était devenu à ce jour, une merveilleuse enfant pour qui s'annonçait un bel avenir.

Aussi, il était si heureux de retrouver enfin ses proches, qu'il ne fit pas cas du malotru qui lui était passé devant.

Quand son frère lui eu répondu, Estelbad s'avança et mit un genou à terre avant de s'exprimer:


Moi, Estelbad von Riddermark, Baron d'Hérimoncourt, reconnait comme suzerain Debenja, Comte de la Franche Comté.

Je lui jure fidélité, conseil, aide et service armé.


Plus doucement afin que cela ne soit entendu que du Comte, il poursuivit:


Et bien entendu, l'accès illimité à ma cave, mais ça tu le savais déjà frangin
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Uruk
Se frayant un passage dans la neige, évitant les armées qui rodaient dans le coin, le messager avait crapahuté sur les chemins sinueux de la Bourgogne. Une belle bande de bras cassés a ce qu'on lui avait raconté. Il avait d'ailleurs entendu, alors qu'il se soulageait contre un arbre, des pas, presque en rythme, allant dans la direction opposée. Une belle frousse, mais il courait bien plus vite que ces tocards en armure.
D'ailleurs, il ne courait pas pour rien. On lui avait donné deux instructions : amener la lettre d'allégeance du Prince de Condé, et salir au possible les tapis du vieillard qui régnait sur le comté, avec la meilleure boue qu'il pouvait trouver, bien sur.
Il était arrivé au château sans trop d'embrouilles au final, ce qui était un exploit, et avait même eut le temps de passer a la taverne se rincer le gosier. Si On avait su cela...

Quelques pintes plus tard, et une course plus que chancelante pour arriver a la salle ou se déroulaient ces allégeances, il allait remettre la lettre au premier pecno qui passa devant lui, d'ailleurs il en remarqua un qui tenait par la main une petite fille. Mais le temps qu'il essuie ses pieds sur la distance qui les séparait, et sans savoir pourquoi, le pecno en question se tenait débout dans la grande salle ou il s'était aventuré, un homme agenouillé a ses pieds, lui faisant la cour surement. Il ne devrait pas s'attarder ici, ca pourrait déteindre sur lui. Bref, il fila droit vers l'homme et tendit l'enveloppe, espérant que celui ci puisse l'aider. Une petit courbette et...


- De la part de son Altesse le Prince de Condé, messire, pourriez vous m'indiquer ou je pourrais admirer Sa Grandeur Debenja de Riddermark ?

Cette lettre n'était pourtant pas a prendre a la légère, elle contenait un texte écrit par la main d'un Prince, qui d'ailleurs était celui ci :

Citation:
Nous, Uruk de Margny-Riddermark, Prince de Condé, Comte du Hainaut, Vicomte de Bourbon-Lancy, Baron d'Antigny, de Beaune et de Jussey,
A vous, Debenja de Riddermark, Comte de Franche-Comté,

Salutations.

Par la présente, tenons a vous faire porter nos allegéances pour les terres de Jussey. Nous vous reconnaissons, nous Uruk de Margny-Riddermark, comme suzerain pour celles-ci. Que nous vous devons désormais obsequium, auxilium et consilium a vous, et a la Franche-Comté.

Nous tenons a vous avertir, notre cousin, de notre retour prochain sur les terres de Franche-Comté, et espérons pouvoir occuper un peu de vostre temps après notre arrivée.

Faict a Dijon, le quatorzieme jour du premier mois de l'an de grâce mil quatre cent cinquante huit.


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Katarina
Munie de la lettre que lui avait confié son époux, Katarina arriva dans la salle des allégéances. Elle aurait aimé que Leif l'accompagne mais le savait fort occupé dans sa mairie.

Elle s'avança un peu puis attendit son tour.

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Katarina von Dumb de Sparte
Comtesse de Sochaux
Vicomtesse de Rochefort sur Nenon
Baronne de Mouthe
Debenja
Baron d'Hérimoncourt, de part votre allégeance, je vous apporterai protection, justice et subsistance.

Je sais que vous honorerai votre serment quand le Très Haut le voudra.


Le Franc Comte remarqua un crado qui venait d'entrer. Rien qu'à le voir il avait compris d'où il venait. Alala Monsieur le Prince n'avait pas pu se déplacer une fois de plus, il devait surement encore avoir des problèmes avec Inge, bah bien fait pour lui Condée est tombé bien bas entre ses mains ... enfin, Deb attendit les nobles suivantes.
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L'ex Franc Comte très très méchant. Il faisait tellement peur que personne il voulait attaquer Dole.
Kenny78
La petite ayant fait son pipi, il put retourner dans l'ombre afin de neutraliser d'éventuels assassins. Paranoïaque lui ? Non, juste un poil. Mais il valait mieux se méfier. Comme il disait souvent, un traître c'est toujours un ami.

Son nez fut assailli par un fumet des plus désagréables. En un éclair son stylet trouva sa place dans sa main droite. La garde avait laissé entrer un bouseux des bas fonds d'on ne savait où, il allait devoir discrètement botter le derrière du chef de la garde. Mais non, il se contenta de remettre une lettre. Probablement une allégeance quelconque.

Ah visiblement un prince d'après ce qu'il entendait. Preuve que plus on était puissant moins on bougeait sa carcasse. Enfin lui ce qu'il en pense tout le monde s'en tape et c'est tant mieux.

Un peu déçu de ne pas pouvoir faire d'exercice, l'arme retourna dans sa manche droite. Il continua d'observer et d'écouter. Une mission fastidieuse mais néanmoins nécessaire.

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Kenny de Mazière premier Glandu d'Argent JNCPien de l'histoire de l'humanité.
Nayenna
Son papa l’accompagna jusqu’aux latrines. Elle trottinait devant lui avec hâte. Faut dire qu’elle avait encore du mal à se retenir, quand c’était très pressé et c’est tout à fait normal, tout le monde il a ça aussi ! L’épisode des latrines fut moins agréable. D’abord elle eut du mal à retirer touts ses froufrous, que sa mère lui avait mit avant d’aller à la cérémonie. Ensuite, sa robe, il fallait que quelqu’un la tienne. Puis, elle aimait bien rester un peu aux latrines pour chanter des chansons qu’elle inventait… Assise sur le trône, son père tenant sa robe et elle jouant avec une mèche de ses cheveux, elle chantait, comme si de rien n’était.

Le bateau, il y a du soleil… Alooooors il peut partir sur l’eaaaauuu, maaais,… mais…. Y a des vagues sur l’eaaaaaau alooooors, quand il fait pas beaaaaaaaaau, les geeeens, ils aiment pas quand il fait pas beaaaaaux, le soleil, il est là parfois, mais sur l’eau, il faaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaait souvent mouilléééééé…
Voilà, j’ai fini.
Elle se laissa choîr de la latrine, rajusta sa robe, frotta ses mains contre un chiffon posté là sur le côté, et trottina en prenant la main de son père pour le ramener vers la cérémonie. Son père l’envoya discuter avec Lizzie. Comme si elle n’avait que ça à faire dans une salle ou y avait plein d’adultes rigolos à regarder. La petite fille rejoignit bien Lizzie oui, mais elle la prit dans ses bras, et se balada entre les nobles et non nobles qui se paradaient ici.
Des pas beaux avec tout pleins de boutons. Des pas belles mais avec des robes qui rendait folle de jalousie la petite fille. Des qui avaient des belles coiffures, mais un peu toute grasse, des monsieurs qui regardaient les madames avec des regards drôles, comme quand maman disait à papa qu'elle voulait bien qu'il vienne lui faire des calins "comme la nuit dernière". Parfois, les gens la regardait, mais elle s'en fichait. Hortense était là pas loin, mais avec Aristote, et elle ne voulait pas les déranger. Ainsi qu'oncle Este qui semblait passionné par quelque chose mais elle ne savait pas quoi. peut-être qu'il pensait au poney, qu'il allait lui offrir?

Après avoir fait un petit tour entre les jupons et les costumes soyeux, Nayenna fila se rassoir sur sa chaise, tout près du gros monsieur pas beau qui dégoulinait. Posant sa poupée sur ses genoux, elle regarde à nouveau son papa et tous les gens qui lui apportaient des messages ou se mettaient à genoux devant lui. A la maison, elle jouera aussi à ça avec lui, mais ça serait elle la reine. Et lui et ses poupées et tous ses jouets ils viendraient lui apporter des cadeaux et des messages. Les gens lui apportaient surement des beaux dessins comme elle les faisait. Plein de couleurs, ou bien alors des bricolages ? Elle demanderait après à son papa si elle pouvait les avoir pour les garder dans sa boîte à dessins.

La petite fille soupira, puis secoua légèrement sa tête. C’est qu’on s’ennuyait, à ce genre de fête. Papa lui avait dit que c’était super cool et qu’on rigolait beaucoup. Mais elle, elle n’avait rien à faire. Lizzie non plus du coup. Elle se mit alors à compter le nombre de dalle qui avait autour d’elle. De sa chaise, jusqu’à la suivante... 1, 2, 3, 4....53. Puis, amusée par ce jeu, elle se laissa glisser de sa chaise et se divertit à sauter d’une dalle à l’autre, sans toucher les lignes, lizzie dans ses bras. Et si elle y arrivait, elle pourrait alors prendre une nouvelle part de gâteau sur la grande table du buffet. Encouragée par ce lot, elle se mit au travail, et sautilla d'une dalle à l'autre avec grâce.

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Gundard
Gundard sort de ses livres qui le monopolise jour et nuit pour se rendre dans la grande salle .


Moi, Gundard Baron de vernier Fontaine renouvelle mon allégeance au parlement et à son représentant. Leurs jurant fidélité, aide, conseil et service armé.

Il salue ses amis présent et se retire aussi vite qu'il est venu.
Debenja
Le Franc Comte remercia le baron Gundard


Baron de vernier Fontaine, de part votre allégeance, je vous apporterai protection, justice et subsistance.

Je sais que vous honorerai votre serment quand le Très Haut le voudra.

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L'ex Franc Comte très très méchant. Il faisait tellement peur que personne il voulait attaquer Dole.
Erine
La Comtesse arriva à la cérémonie, elle s'avança vers la droite, certains prestaient allégeances, d'autres attendaient leur tour.
Elle remarqua sa belle-soeur, Katarina, et s'approcha d'elle.


Coucou toi. Tu vas bien?

Elle chercha du regard son jeune beau-frère mais il ne semblait être là.

eh bien...je remarque que toi aussi, tu viens prester allégeance au nom de ton mari. Erine en rigolait ... ah lala les hommes de la famille...
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CaC de FC
Fondatrice de MCPP (Mouvement Comtois Pour le Peuple)
Adrien72
Adrien voyait les courrier défile à vive allure, il répéta le mouvement continuelle, prendre le feuillet à la vitesse de l'éclair, lire tel les crieur dans la rue, lister comme le marchand qui fait son inventaire, et signer accompagnait d'un énorme "Vu". Il demanda un verre d'eau à un domestique qui venait compléter le banquet plus qui ne l'était déjà. Parmi les lettres on pouvait lire :

Citation:
Nous Daresha de Jeeffe Riddermark, du fin fond de notre douillette retraite d'un monastère bourguignon, Comtesse de Scye, Baronne de St Laurent en Grandvaux, reconnaissons comme suzerain Debenja, Comte de la Franche Comté.

Je lui jure fidélité, conseil, aide et service armé.

Daresha de Jeneffe Riddermark

Bourgogne, 15 janvier 1457



Citation:
Bonjour,

Par la présente,

Moi

Brennus McAneyth de Les-2-Brebis de Ferroux,
Vicomte de Audincourt
Gouverneur de l'armée Audin Morituri Sequanorum,

renouvelle mon allégeance, à la Franche Comté, son peuple et son parlement.

Je lui jure fidélité, aide et service armée, par mon foie.

Brennus

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Lluna
Hop, hop, hoppppp, Lluna avait eu l'œil perçant et, cette fois-ci, personne ne saurait la dépasser, non mais, quand même. Même du temps où elle réfléchissait sur l'opportunité d'une bicoque pleine de puces entre deux allées au marché et six miches de pain qu'il fallait se battre entre badauds, elle n'avait jamais vu ça... Y'a pas à dire, plus les mandats passent, et plus y'a du monde à venir jouer de vocalises, quelle idée!
Bref, Lluna vérifia quand même qu'il n'y ait pas de garde qui survienne d'un coup ou de messager sautant sur le Hérault et, zouh, elle lâcha le bras du Comte de Saint Amour pour avancer vers celui-qui-est-pris-d'une-folie-à-vouloir-retenter-le-coussin-rouge, non sans lui souffler dans un sourire


Ne filez point, je reviens toute à vous dans quelques infimes secondes.

D'ailleurs, là, d'un coup, une illumination... Pourquoi Debby avait eu cette nouvelle folie, ne se souvenait-il point du bouton-magique-qu'on-veut-chaque-nuit-pousser-et-vite-filer-au-loin, avait-il perdu à un gage quelconque, ou que sais-je...? Lluna avança donc perplexe, mais assez vite pour que personne n'ose se faufiler avant elle. Et hop, révérence, sourire taquin amusé, et de sa belle voix toute jeunette -ne jamais contrarier une dame, hein

Moi, Lluna Adams de Melincour, au titre de la Vicomté d’Amancey, renouvelle mon serment d'allégeance à la Franche Comté, son Peuple et son représentant par les urnes, le Parlement.

Je leur jure fidélité, aide, conseil et service armé, sur ma vie, mon honneur, ma foi, sur tout ce que je répète tous les deux mois, les dahuts, la soule, et même la boulasse que je ne connais plus depuis des lustres, dame que je suis, et sur tous les rêves qui me tiennent tant à cœur et qui prennent plaisir à m'éloigner en des terres sereines.


D'ailleurs, oups... Lluna ne savait même pas qui composait le Parlement... Etre toute ailleurs que ça offre cette ignorance fort malvenue, chose qu'elle réparerait dès la prochaine venue à l'université, tient. Et, comme pour faire fuir cette lacune de son esprit, elle se pencha tout doucement, un œil vers le garde, l'autre essayant de deviner ce qui se cachait dans le regard de Debenja

Dis... C'est bien toi sous ce coussin...? Ca va, ça fait pas trop mal...? Parfois, un tel coussin, ça penche, c'est pas commode, tu te souviens...? T'as pas de fièvre, hein, et... et... pfiou, rho... on t'a quand même à l'époque pas lancé une boule trop fort et pas assez vers le sol...? euh... je compatis mais quand même, t'as un coussin rouge sur la tête, hein... Et, oh, ton nouveau teint te va tout bien, je trouve ! Puisse le coussin ne point l'effacer, hein.

Puis elle se releva, comme si de rien n'était, fit un sourire innocent au garde qui avait p'têt eu discernement à s'interroger, et elle refit une révérence toute polie. Je vous apporterai protection, justice et subsistance, qu'il répète le Franc Comte. Ca veut p'têt dire plein de choses pour de vrai, tout ça, heum... mais l'idée la fatigua déjà, pas envie d'aller se promener dans les ruelles et couloirs pour découvrir. Et, en attendant que le Franc Comte lui conte ces mots de reconnaissance, elle se mit à compter en silence les secondes qui la retenaient encore un peu de son tendre et cher. Ce sera ensuite à son tour, puis... zouh, d'autres instants, bien moins allégencieux, bien plus merveilleux. Sourire.
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Artifice
Artifice attendit que la place devant le Franc Comte soit libre mais la défilé des nobles ne s'arrêtaient point, alors il laissa son regard se porter sur d'autres choses. Curieux de savoir ce qui se passa un peu dans la salle pour sortir de sa bulle. Et il vit une petite forme sautillé de dalle en dalle et un sourire s'affichait sur son visage, il avait reconnu la fille du Franc-Comte. Il eu alors une idée, il se retourna et piqua une fausse fleur dans les bouquets qui garnissaient le banquet. Il aurait voulu une qui se fane, c'était plus doux au toucher et plus naturel à contempler mais pas le choix vu la saison en cours.

Il s'approcha doucement en direction de Nayenna, elle était dos à lui, et profita de l'instant où elle prit son élan avant son saut vers une autre dalle et tapota délicatement son index sur l'épaule de la jeune fille. Quand elle se retourna, elle lui laissa un instant pour le reconnaitre et glissa la fleur dans ces cheveux tout en s'agenouillant devant elle.


Bonjour Nayenna,

tient voilà de quoi te rendre encore plus belle.

Tu t'ennuies pas trop ici?
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