Krystel_martin
C'était le matin du quatrième jour de la semaine. Ce n'était pas un lundi, ni un mardi, et encore moins un mercredi. C'était donc un jeudi.
Le soleil commençait à sortir de sa léthargie et à réchauffer la couenne des cochons. Le coq avait depuis longtemps salué l'astre du jour, mais celui-ci avait eu quelques soucis à percer les nuages et imposer ses vues. Mais quand enfin, il réussit à s'imposer, tout ce que la terre comptait de vieux et de mouillé était sorti de leur tanière, et...
Mais qu'est-ce qu'on s'en fout !
Pardon ?
Viens en au fait, je vais pas passer ma vie au lit !
Ah oui, excuse-moi, Krystel. Bon, bah, on va faire court alors : c'était un jeudi matin, il faisait beau et un rayon de soleil rentrait dans la chambre de la jeune endormie...
Non mais je dors pu, là.
Hein ? Ah ouais... Krystel avait été réveillée par un rayon de soleil qui filtrait à travers les rideaux fermés.... T'es contente comme ça ? Krystel ? Houhou Krystel ?
Rrrr... rrron... pshhhhhhhh !
KRYSTEL ! C'est à toi !
Hein ? Ah oui ! Oh ! Mais quel beau temps ! Enfin un peu de soleil.
Ces dialogues sont à ch...
En même temps, c'est pas le plus important.
Oui, mais dans une histoire, c'est bien de commencer par une mise en scène de trois pages et des dialogues qui tiennent la route. Les pavés, c'est la vie.
...
Je vais faire comme si tu n'avais rien dit... Ainsi donc, Krystel, réveillée par un rayon de soleil plus matinal qu'elle, ouvrit les yeux en grognant, s'étira et bailla. Puis, elle se frotta le cuir chevelu et, sans attendre Nounou, sortit du lit en bondissant. Elle s'étira encore un peu, puis passa un châle sur les épaules et jeta un coup d'oeil par la fenêtre. Un soleil magnifique inondait de lumière un paysage gris souris...
Toc ! Toc !
J'aimerais que les personnages me laissent finir ma description !!!
En même temps, c'est Nounou qui arrive pour te permettre de raconter la suite.
Hein ? Ah oui en effet ! A ce moment-là, Nounou frappa à la porte, puis, après quelques instants d'attente, entra (par la porte, pas par la fenêtre). Elle apportait à Krystel la robe qu'elle porterait pour se rendre à une réunion de dunkerquois.
Sinon, en langage courant, on appelle ça "aller à la taverne".
Nounou posa délicatement la robe sur le lit de la donzelle, puis s'approcha d'icelle et lui défit son pané.
En langage courant, on dit...
... Vêtement de nuit. Niark ! Faut être plus rapide ! Et arrête de me tirer la langue, sale môme !
J'fais ce que je veux, je te signale qu'on est chez moi.
Après lui ôté son vêtement de nuit, Nounou passa à Krystel une chemise propre, et lui glissa la tête, puis les épaules, dans la robe. Arriva alors l'étape de la poitrine, puis du bedon, ou plutôt de la bedaine. La vieille tira de toutes ses forces sur le vêtement, qui ne glissait plus. La vieille domestique tira sur le vêtement une nouvelle fois, en vain. Krystel l'arrêta d'un geste :
Arrête, vieille folle, tu vas me déchirer ma robe !
Krystel repoussa la vieille et retira elle-même le vêtement qui la boudinait et l'étouffait presque, puis se tâta le ventre. Diantre, la jeune fille avait pris du poids et ne rentrait plus dans des robes. Voilà qui promettait de gros embêtements...
Mais que vais-je faire ?
Comme tout le monde : tu vas te mettre à l'exercice, ma vieille.
Oh non !
Et arrêter de te goinfrer lors des buffets comtaux.
C'est injuste.
C'est la vie, cocotte.
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Le soleil commençait à sortir de sa léthargie et à réchauffer la couenne des cochons. Le coq avait depuis longtemps salué l'astre du jour, mais celui-ci avait eu quelques soucis à percer les nuages et imposer ses vues. Mais quand enfin, il réussit à s'imposer, tout ce que la terre comptait de vieux et de mouillé était sorti de leur tanière, et...
Mais qu'est-ce qu'on s'en fout !
Pardon ?
Viens en au fait, je vais pas passer ma vie au lit !
Ah oui, excuse-moi, Krystel. Bon, bah, on va faire court alors : c'était un jeudi matin, il faisait beau et un rayon de soleil rentrait dans la chambre de la jeune endormie...
Non mais je dors pu, là.
Hein ? Ah ouais... Krystel avait été réveillée par un rayon de soleil qui filtrait à travers les rideaux fermés.... T'es contente comme ça ? Krystel ? Houhou Krystel ?
Rrrr... rrron... pshhhhhhhh !
KRYSTEL ! C'est à toi !
Hein ? Ah oui ! Oh ! Mais quel beau temps ! Enfin un peu de soleil.
Ces dialogues sont à ch...
En même temps, c'est pas le plus important.
Oui, mais dans une histoire, c'est bien de commencer par une mise en scène de trois pages et des dialogues qui tiennent la route. Les pavés, c'est la vie.
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Je vais faire comme si tu n'avais rien dit... Ainsi donc, Krystel, réveillée par un rayon de soleil plus matinal qu'elle, ouvrit les yeux en grognant, s'étira et bailla. Puis, elle se frotta le cuir chevelu et, sans attendre Nounou, sortit du lit en bondissant. Elle s'étira encore un peu, puis passa un châle sur les épaules et jeta un coup d'oeil par la fenêtre. Un soleil magnifique inondait de lumière un paysage gris souris...
Toc ! Toc !
J'aimerais que les personnages me laissent finir ma description !!!
En même temps, c'est Nounou qui arrive pour te permettre de raconter la suite.
Hein ? Ah oui en effet ! A ce moment-là, Nounou frappa à la porte, puis, après quelques instants d'attente, entra (par la porte, pas par la fenêtre). Elle apportait à Krystel la robe qu'elle porterait pour se rendre à une réunion de dunkerquois.
Sinon, en langage courant, on appelle ça "aller à la taverne".
Nounou posa délicatement la robe sur le lit de la donzelle, puis s'approcha d'icelle et lui défit son pané.
En langage courant, on dit...
... Vêtement de nuit. Niark ! Faut être plus rapide ! Et arrête de me tirer la langue, sale môme !
J'fais ce que je veux, je te signale qu'on est chez moi.
Après lui ôté son vêtement de nuit, Nounou passa à Krystel une chemise propre, et lui glissa la tête, puis les épaules, dans la robe. Arriva alors l'étape de la poitrine, puis du bedon, ou plutôt de la bedaine. La vieille tira de toutes ses forces sur le vêtement, qui ne glissait plus. La vieille domestique tira sur le vêtement une nouvelle fois, en vain. Krystel l'arrêta d'un geste :
Arrête, vieille folle, tu vas me déchirer ma robe !
Krystel repoussa la vieille et retira elle-même le vêtement qui la boudinait et l'étouffait presque, puis se tâta le ventre. Diantre, la jeune fille avait pris du poids et ne rentrait plus dans des robes. Voilà qui promettait de gros embêtements...
Mais que vais-je faire ?
Comme tout le monde : tu vas te mettre à l'exercice, ma vieille.
Oh non !
Et arrêter de te goinfrer lors des buffets comtaux.
C'est injuste.
C'est la vie, cocotte.
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