--Strombstad
Mais quest ce que cest que ce bazar
Pourquoi je suis attachée ? Vous êtes qui vous ?
Père ?
Mais quest ce que je fais là moi ?
Regard toujours impassible sur le visage de la dame qui semble reprendre peu à peu ses esprits, ils ne l'avaient donc pas trop amoché, ça comptait énormément pour sa valeur marchande, et il valais mieux qu'il ne le sache pas, il lui avait bien dit "je la veux intacte"
Il la regarde, encore, dans le blanc de ses yeux, sans ciller, se demandant bien en quoi cette dame avait de la valeur, elle a un titre certes, mais du noble y'en a partout, et temps qu'à faire autant taper dans le duc plutôt que dans la subordonnée.
Père? il ressemble à son père le viking? y'aurait il eu un de ses ancêtres à venir fouler les terres Bretonnes et s'accommoder d'une indigène de cette contrée? Non surement pas, pas encore remise la dame, elle divague toujours
Sans un mot il se lève, guettant l'arrivée de son homme de main, la nuit est noire, profonde, et seul quelques personnes bien au fait de cette cache peuvent la trouver, et seuls des hommes courageux osent venir dans cette partie sombre de la forêt. Le vent souffle dehors, et il pleut... il pleut tout le temps dans ce fichu pays. Il imagine le printemps chez lui, les neiges fondre au soleil avec l'arrivée du printemps, les températures qui remonte et un pays qui se réveille de sa léthargie hivernale.
Ici pas d'hiver, juste de la pluie du vent et de la boue, et les gens complètement gaga dès que 3 flocons de neige tombent... pathétique.
Mais il ne pouvait pas refuser le service qu'il lui proposait, un ami de longue date qui l'avait sortit du pétrin il y a bien longtemps, longtemps mais pas oublié, on oublie pas ce genre de choses là.
Et cette cheminée, vide, triste, froide... Se risquerait il à allumer un bon feu pour réchauffer la pièce? non hors de question.
Il retourne près de la table et de sa besace, il sort un morceau de viande séché et entreprend de couper de fines tranches avec sa dague.
Dans un breton avec un fort accent du nord il s'adressa à la captive
La dame a t'elle faim?
Père ?
Mais quest ce que je fais là moi ?
Regard toujours impassible sur le visage de la dame qui semble reprendre peu à peu ses esprits, ils ne l'avaient donc pas trop amoché, ça comptait énormément pour sa valeur marchande, et il valais mieux qu'il ne le sache pas, il lui avait bien dit "je la veux intacte"
Il la regarde, encore, dans le blanc de ses yeux, sans ciller, se demandant bien en quoi cette dame avait de la valeur, elle a un titre certes, mais du noble y'en a partout, et temps qu'à faire autant taper dans le duc plutôt que dans la subordonnée.
Père? il ressemble à son père le viking? y'aurait il eu un de ses ancêtres à venir fouler les terres Bretonnes et s'accommoder d'une indigène de cette contrée? Non surement pas, pas encore remise la dame, elle divague toujours
Sans un mot il se lève, guettant l'arrivée de son homme de main, la nuit est noire, profonde, et seul quelques personnes bien au fait de cette cache peuvent la trouver, et seuls des hommes courageux osent venir dans cette partie sombre de la forêt. Le vent souffle dehors, et il pleut... il pleut tout le temps dans ce fichu pays. Il imagine le printemps chez lui, les neiges fondre au soleil avec l'arrivée du printemps, les températures qui remonte et un pays qui se réveille de sa léthargie hivernale.
Ici pas d'hiver, juste de la pluie du vent et de la boue, et les gens complètement gaga dès que 3 flocons de neige tombent... pathétique.
Mais il ne pouvait pas refuser le service qu'il lui proposait, un ami de longue date qui l'avait sortit du pétrin il y a bien longtemps, longtemps mais pas oublié, on oublie pas ce genre de choses là.
Et cette cheminée, vide, triste, froide... Se risquerait il à allumer un bon feu pour réchauffer la pièce? non hors de question.
Il retourne près de la table et de sa besace, il sort un morceau de viande séché et entreprend de couper de fines tranches avec sa dague.
Dans un breton avec un fort accent du nord il s'adressa à la captive
La dame a t'elle faim?