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[Rp]La cloche sonne!

Russocarine
Après tout, elle avait l'avantage de connaitre déjà 3 élèves, avantage qui était loin d'être mince comparé aux autres magisters. Et puis, parler à cette chétive assistance n'était rien comparé aux hordes hargneuses de Toulousains assoiffés de sang, ou aux menaces de l'Eglise et des biens pensants lorsqu'elle avait voulu enseigner la torture lors d'un cours de justice à l'Université. Et puis, ces enfants semblaient pour l'instant sages, et si l'un d'eux s'agitait, en deux coups de bottes ferrées il serait remis au pas, et si jamais il la mordait au passage, au moins elle n'attraperait pas le garou. Quoique.. elle devrait alors affronter les sangsues que Majda trimballait sans doute dans ses bagages, et qu'elle vous mettait sur une plaie et .... irk .... beurk...
Renonçant à disserter mentalement sur les avantages comparés de la saignée et des sangsues, Russo se leva et s'avança à son tour. D'un revers de la main, elle balaya de sa peau d'ours une miette de pain qui n'était pas là auparavant.

Raclement de gorge


Je suis Russo, Vicomtesse de Salvagnac, Baronne de Privas et de Chateau-Verdun. J'ai été Capitaine du Comté de Toulouse et je suis ici pour vous enseigner l'Histoire Militaire. Les études comprendront une partie théorique, comme l'évolution des armes et des fortifications, quelques bases d'organisation d'armée, et une partie pratique où, hummm, vous pourrez montrer si vous avez bien écouté en cours.

Cette fois c'est sur, elle a vu un projectile voler.

Il est bien évident que les travaux pratique de catapulte ne se feront pas en visant vos petits camarades, et encore moins à l'heure du déjeuner, à moins que vous ne vouliez finir en patée pour mon chien Cracotte.

Et de désigner le chien qui dormait sur l'estrade.
Son nom, mes chers zenfants, vient du bruit que font les os quand il les croque. Mais vous n'avez rien à en craindre, c'est un chien de chasse fort bien dressé.

Puis de se rassoir, laissant la place aux autres magisters.
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Majda_eulalie


Quirin va bien, je te... je vous remercie Magister.

Clin d'oeil espiègle de Majda qui malgré le deuil, ne reste pas les deux pieds dans la même chausse, sachant que ce n'aurait pas été faire honneur à ses parents que de sombrer dans la mélancolie, et qu'ils préféraient certainement et de loin, la voir se bouger et se remuer. Regard vers le plafond, se sentant mal à l'aise entourée de mioches, alors qu'elle pourrait être mère... Mais elle veut étudier, c'est son choix et ses parents l'avaient laissée faire, ils savaient qu'elle étudierait à Saint-Louis, donc, elle était à sa place.

Suivant le groupe, elle entre, écoute le discours et quand enfin Russo présente son cours, un sourire éclaire le visage de Majda. La pratique, elle en a déjà un peu, mais la théorie fait parfois un peu défaut. La catapulte servant sur les remparts d'Exat aux expériences de feu son baron de père, pour savoir si les chats pouvaient voler, elle maîtrisait, le combat à l'épée aussi, mais il restait à apprendre à diriger une armée, vu qu'elle dirigeait déjà la caserne de Carcassonne depuis l'âge de 13 ans, et que là, elle se retrouvait à la tête d'une bannière, voilà un cours qui serait des plus intéressant. Plus qu'à espérer que les mioches ne viennent pas perturber les cours...

Silence quasi religieux qui s'installe, elle attend le reste du programme qui fortifiera son esprit.

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Elyaelle
La gamine allait répondre à son interlocuteur lorsque la cloche sonna enfin, indiquant l'heure aux élèves et aux professeurs de rentrer à l'intérieur.
Un peu intimidé devant tout le monde présent, complètement perdue aussi, Ely souleva légèrement sa robe et suivit alors l'ensemble des personnes.

Première impression du Collège. Immense... grand... très grand... trop grand... Ely se sent de plus en plus petite, toute seule perdu au milieu de cette foule.
Une salle... Tout le monde entre et s'installe. La gamine regarde à gauche et à droite, cherche des yeux une petite place, de quoi se frayer un passage et s’installe sur le banc en prenant soin de bien lissé sa robe.

Il ne manquerait plus qu’elle ait taché sa belle robe, offerte par sa tutrice, juste expres pour son entrée au college. Robe qui pourrait passer quelconque au yeux e n’importe qu’elle fillette habitué a tant de luxe mais qui pour Ely parraissait comme un véritable trésors.
Elle se tiens droite sur ce banc, essayant d’imiter les mimique des autres jeunes filles. Pas facile de paraitre noble quand on n’en avait pas l’éducation. Pas facile d’etre une grande quand on se sentait toute petite.
Elyaëlle tentait d’écouter la rectrice mais son regard, perdue, se promene sur l’ensemble de la salle… Par Aristote qu’elle aurait voulu qu’Ana soit pres d’elle, qu’elle aurait voulu que son père ne soit pas loin… Pourquoi devait-elle affronter tout cela toute seule ? Pourquoi n’avait-elle pas pu rester au domaine tout simplement…

Sa gorge se serre, la fillette serre les dents et les poings. Elle ne pleurerait pas, elle l’avait promis. Elle serait forte et courageuse, elle voulait qu’Ana soit fier d’elle, très fier, alors non ! Elle ne pleurerait pas…
Prenant une profonde inspiration, Ely se reconcentre sur le premier Magister qui prend la parole. Celle qui sera son professeur d’équitation.
L’équitation ! Chouette ça ! Depuis le temps qu’elle voulait apprendre pour de vrai ! Elle savait bien monter sur son poney, mais c’était toujours avec quelqu’un et à l’intérieur du domaine… Alors peut être que là… oui ça sera surement chouette.
Par contre les joutes ? Mais qu’est ce c’est ?

Les doigts de la fillette se tortille dans tout les sens, inquiète, certain professeur lui semble si sévère… Et si elle ne parvenait pas à réussir comme les autres ? Et si elle ne comprenait pas tout ? Apres tout, elle ne savait lire que depuis peu… Et même si elle avait réussi à faire sa pastorale, à répondre à toutes les questions qu’on lui posait, même si elle parvenait maintenant à lire un livre sans se tromper, arriverait-elle à suivre les leçons dans ce Collège ?
Un nouveau professeur se présente… Histoire Militaire… qu’est c’est qu’ça encore ? On va apprendre la castagne ? Parce que ça la gamine, elle en rêve. Depuis le temps qu’elle veut mettre une raclée a ceux qui lui ont fait du mal… et puis a son frère aussi… Mais est ce qu’elle aurait le droit d’apprendre ça ? Les filles aussi y participeront ?

Les petits yeux se promènent sur l’assistance, quelque murmure s’elevent déjà, qui sera le prochain magister a se presenter ? Quels lecons seront proposé ? Tant de question, comme a son habitude trote dans la tete de la fillette qui se retient de toute ses forces pour ne pas montrer cette envie de pleurer et de s’enfuir en courant….

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Cassian_darlezac
De suppliant ses azurs étaient devenus rageurs, une rage contenue certes mais tout de même présente. A peine lui avait-elle dit qu’on ne s’adressait pas à elle sans sa permission qu’il avait compris que le refus était imminent. Celle-là, à n’en point douter, était du genre des sales chichiteuses à la peau de vache… Mais si elle pense que ça suffira à le calmer elle s’en chatouille vigoureusement le nerf optique. Les règles c’est juste bon pour les chochottes qui n’ont pas le courage de les contourner. Lui, l’intrépide, s’en fiche magistralement, bien plus que de la dernière pluie d’ailleurs, qui encore présente, ne cesse de s’abattre sur lui. Et alors que les mots ont du mal à sortir, qu’il s’apprête à lui exprimer le fond de sa pensée, le voilà interrompu par Sa ‘Cianne adorée. Vient le temps des au revoirs, un simple baiser, quelques paroles, un sourire échangé suffisent. Puis deux paumes se lèvent, dans un ultime salue les cicatrices se jaugent. Dans mes veines coule ton sang, dans les tiennes le mien, pour toujours…

Il reste cependant impassible le môme, après tout Fléance est toujours avec lui, dormant dans l’une des malles. Et il n’est pas du genre à se laisser gagner par l’émotion, préférant se concentrer sur la colère et l’injustice ressenti que verser quelques larmes inutiles. Puis la cloche sonne, sans qu’il n’est rien écouté à l’invitation préalable, il s’en fiche de ce qu’elle peut raconter celle là de toute façon. Elle même l’a t’elle écouté quand il a fait sa superbe plaidoirie ? Sans doute que non, sinon Alycianne serait avec lui, c’est certain. Du moins le pense t-il, non sans prétention. Entraîné vers une vaste salle, il lui fallu quelques secondes avant de choisir où se placer. Fallait-il se mettre au premier rang et narguer la rectrice en la fixant, un sourire angélique ornant sa trogne ? Ou bien se mettre à l’arrière, se tenir n’importe comment en regardant ailleurs, pour bien montrer qu’il s’en fiche et qu’il boude ? Notez qu’il paraît évident pour le môme que Nennya, qui a probablement des choses bien plus importantes que lui en tête, l’a déjà pris en grippe et qu’il constitue pour elle le centre d’attention primordial. Comment cela pourrait-il en être autrement après tout, au regard des autres chochottes qui l’entourent ?

Finalement, en bon cancre, c’est sur une des place du fond que se porte sa préférence. A côté de lui siége un autre môme, gamin bizarre au teint pâlichon. Du genre louche songea aussitôt Cassian, tout en le détaillant rapidement du regard. Puis à la Duchesse d’entamer son discours dont le môme, toujours aussi buté, n’aura retenu que quelques brides éparses. « Gnagnagna… Collège Saint Louis de France… Gnagnagna, Gnagna Blackney. *Poum pouloum pouloum, m’en fiche toi j’t’écoute pas de toute les manières ! Gnagnagna, gnagnagna…* je demande à Dame Stéphandra de me rejoindre pour vous décrire ce que vous allez subir. » *Gnagna…* On pourrait presque voir un cierge s’allumer au dessus de sa tête... Et c’est un sourire malicieux qui prend place sur sa trogne, alors que Stéphandra s’avance, et qu’il vient de rebaptiser mentalement par le surnom de "Gnagna" sa chère rectrice.

C'est toutefois avec un peu plus d'attention qu'il écoute le discours de la magister. Il faut dire qu'en tant qu'écuyer et futur Chevalier, les équidés c'est plutôt son rayon. Il se laisse alors surprendre à penser qu'à ce cours au moins il tentera d'être un minimum attentif. Mais alors qu'il se fait cette réflexion son regard se pose sur son voisin, le louche, qui habilement balance des petites miettes de pain sur l'une des pintades de devant. Oui, les filles étant forcément plus ou moins de la chochotte, il convenait plutôt de considérer celles-ci comme des pintades. Equité, parité, tout le monde à la même enseigne, il est en avance sur son temps le môme. Si chochotte est moins péjoratif pour les filles que pour les garçons autant attribuer à celles-ci un autre quolibet. Et tandis que Dona Russo a commencé son discours, le voilà entrain de farfouiller dans sa besace pour en sortir une large aumônière remplie de pâtes de fruit. Au gamin donc d’en saisir une et de l’engloutir avant d’en prendre une autre et de la balancer à son tour avec force sur la chevelure de la jeune fille. Un regard malicieux adressé au louche et le voilà qui chuchote tout en lui passant l’aumônière :
« Pâte de fruit à la framboise, rien de tel ! Fichtrement plus efficace et collant que le pain… » Décidément il fallait tout leur apprendre à ces chochottes...
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Titca
Typhanie c'était glissé dans un coin, à l'abri de la pluie, loin du monde et du bruit de là elle observait en silence... Il y avait quelque tête connue, quelques mots échangé et tout ce genre de choses que provoquait une rentrée. Bien plus tard la cloche sonna et avec les autres elle entra, trouvant un banc elle prit place et écouta le discourt de la Rectrice, ce revoyant sur les blancs de l'école, mauvais souvenir.

Stephandra et Russocarine prient la parole devant les élèves plus ou moins attentifs, après quoi tout le monde semblait attendre qu'un nouveau professeurs se lève et parle, mais personnes ne semblaient vraiment vouloir le faire... Un coup d'oeil à gauche, un autre à droite. Bon ben, autant sauter directement dans la cage hein ! Typhanie ce leva et s'avança également. Toussant légèrement elle regarda les ''fauves'' et sourit doucement entre amusement et crainte.


Bonjour ! C'était un bon début non ? Continuons. Je suis la soeur Typhanie de Divonne, Dame de Soye, Ambassadrice Apostolique en Guyenne, Maître des Novices de l'ordre Cistercien... Et euuh... Plein d'autres choses. Ne pas trop en dire, c'est mieux ! Question de survit à vrai dire. Je suis ici pour vous apprendre Aristotélicisme. Au programme nous allons apprendre la hiérarchie, le Dogme, le Droit Canon, visité une chapelle et rencontrer diverses personnes importantes aux seins de l'Église.

Silence, regardant les élèves elle leur accorda un tout dernier sourire et quitta le devant de la scène pour rejoindre sa place et laisser un autre enseignant se présenter, pour elle le pire était passé ! Retrouvant donc sa place elle s'installa et écouta la suite.
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Isaure.beaumont
Trêve de bavardages. La cloche a sonné, la rectrice va parler. Bientôt, la procession de jeunes nobles se met en marche et pénètre dans une salle. On est au sec et l’on est assis.

Isaure, le dos droit, était au premier rang. Non point qu’elle soit vivement intéressée par ce qu’il se dirait, mais elle devait se montrer irréprochable pour contenter sa chère cousine, et son Parrain bien entendu. Faire honneur à sa famille était ce qui importait le plus, et ça personne ne l’en empêcherait. Et s’il fallait régler ses comptes en douce, elle le ferait. Le jeune vicomte de Sauhnac – elle était certaine de sa culpabilité – serait d’ailleurs le premier sur sa liste de victimes. S’il pensait l’avoir en la canardant d’elle-ne-savait-trop-quoi, il se mettait son doigt cadavérique dans son œil rouge ! Foi de Wagner !

Le minois sérieux, la jeune fille suivait cependant les présentations d’une oreille distraite. Ignorant de nouveau ses camarades, elle pensait à cette scolarité imposée et pourtant nécessaire pour prouver à Clémence qu’elle était digne d’être de sa famille. Elle pensait que si tout se passait bien, très vite, elle pourrait à nouveau passer du temps avec elle. Clémence avait pris le rôle de la sœur ainée, parfois même d’une mère de substitution. Pour ceux qui connaissaient le caractère impulsif et borné de la jeune Wagner, ils seraient sûrement surpris de la voir se soumettre ainsi à sa jeune parente. Mais que voulez-vous, quand du sang italien coule dans vos veines, même en quantité infime, la famille prend une place importante. Peut-être la seule chose qui rapprochait les deux cousines d’ailleurs.

Les magisters défilaient, présentaient leur programme. Certaines matières seraient certainement intéressantes, mais de là à être passionnantes, la jeune fille ne se faisait pas de vains espoirs. Elle avait hâte d’avoir quartier libre, et de pouvoir enfin vaquer à ses occupations qui seraient de visiter les alentours et de trouver l’endroit qui serait sien. Un endroit où personne ne viendrait l’importuner. Mais arriverait-elle seulement à trouver son petit jardin secret dans ce lieu infesté ? Elle n’en était pas certaine.

Et la jeune fille se reporta son attention sur la réunion de bienvenue qui se tenait. Peut-être que le temps passerait plus vite ainsi.
P27kw
Le Sire Lyonis devait à son tour se présenter, il était un peu anxieux, mais après la présentation de sa collègue, il se leva de son assise puis dit alors à l'assemblée. Il avait un peu les mains qui tremblaient mais il se dit qu'il fallait surmonter ce stresse.

Bonjour à vous, je vais donc me présenter à mon tour, je suis le Sire Lyonis d'Appérault, je m'occuperais de la chaire Ethique et règles de vie, et pour ce cours même si la théorie est importante, je crois que la pratique est tout aussi primodiale et l'on apprendra avec des jeux de rôles mettant en scènes les jeunes collégiants. Me concernant j'ai été ecclésiastique, et je m'occupe actuellement de l'Hopital militaire d'Alençon, et j'ai un fiston que j'adore. Ileut un léger ricanement puis reprit. Je serais donc de vous avoir à mon cours, et je laisse la parole à ma collègue.

Le Sire Lyonis se rassit puis attendit que sa collègue se présente.
Hervald
Répondant a l'invitation d'Isaure, Hervald était venu saluer Aliénor. Isaure avait retenu son attention, elle devenait énigmatique cette petite. Parfois elle paraissait aimable, presque concernée par les autres, puis en un instant redevenait indiférente a ses camarades.

Cette indiférence avait repris le dessus lors de la présentantions des magisteres. Il était venu s'assoir a coté d'elle, et l'épiait du coin de l'oeuil essayant de comprendre ce qui se cachait derriere ce regard fixe, et cette attitude froide.

Elyaelle aussi avait retenue son attention. Elle semblait profondément male a son aise, comme opréssée, cachant mal son manque de familiarité avec les usages des nobles. Il se promit de l'aider a se sentir plus a l'aise.

Le drole d'amis d'Isaure aussi l'intriguait, hormis son aspect physique, il savait chasser, et hervald se rapella la premiere fois que son pere l'avait enmené poser des collets, et lui apprendre la chasse.

Il y avait aussi Clemence, la copie conforme d'Isaure, tout aussi énigmatique, et tous les autres...

Il y'en aurais bien un qui accepterait d'etre son amis, du moins l'espérait il.

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Pyrrus
Pyrrus s'avança à son tour. Il voulut s'éclaircir la voix mais il toussa un peu trop fort et manqua de s'étouffer,

AHEM ! Kof Kof !!

Il reprit ses esprits rapidement et lança un regard fixe sur les élèves. Un regard fier et plein d'assurance, un peu comme un général qui s'apprêtait à parler à ses troupes...

Jeunes gens bonjour. Je m'appelle Pyrrus, Lieutenant de l'Ost du Béarn, érudit et ... c'est tout. Mais pour vous ce sera Magister Pyrrus et je vous enseignerai la chaire "culture et tradition" autrement dit l'Histoire.
Avec moi, il y aura de la théorie mais pas de pratique, puisque l'Histoire ne expérimente pas. Mais sachez que l'Histoire vit en nous a travers nos ascendants qui nous ont légués un Nom et un Patrimoine. Et c'est ceux de nos aïeux lointains que je vais vous instruire.
Etudiez-les, suivez leurs exemples et vous serez vous aussi des personnes au destin exceptionnel.

Bonne chance pour vos futurs études.

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Pyrrus, Magister au collège Royale Saint-Louis de France et Lieutenant dans l'Ost Béarnais
(Veut être noble à tout prix !! ^^)
Custodes regum antiquiores (Antiques Gardes des Rois)
Clemence


Présentation qui se poursuivent, au tour de la Vicomtesse Russo qui enseignera l'Histoire Militaire ....il lui faudrait aussi retenir les rangs de chacun des Magisters, car même si en ce lieu ils portent tous l'étiquette de magister, il fallait tout de même prendre garde au rang de chacun.
Militaire donc? Théorie et pratique...intéressant, peut-être comprendrait-elle mieux ce que vit actuellement sa mère en Provence et puis une fois le collège finit elle serait apte à la rejoindre sur le champs de bataille, dans le cas où il devait s'éterniser. Le chien Cracotte est également présenté -dont la taille ne l'effraie point-, Clémence ne l'avait pas remarqué jusque là, ce qui l'étonne et ses yeux qui commencent à piquer...la fatigue?

Entre deux interventions de magisters, la jeune Maledent baisse la tête et se frotte les yeux de sa main gauche toujours ganté. Il lui faut tenir jusque la fin...mais quand serais-ce la fin? Après la présentation, il y aurait la visite des lieux, ensuite il lui faudrait s'occuper de ses affaires, peut-être un premier cours dès le premier jour? Après tout ils ne sont qu'à la matinée. A cette idée, son esprit s'embrume un cours instant.
Clémence est rappelé à l'ordre par la prise de parole de la sœur Typhanie, cependant son regard s'arrête un cours instant sur Elyaelle qui semble inquiète ou du moins très peu à son aise, pendant qu'elle découvre qu'il s'agit de leur magister sur l'Aristotélicisme.
Venant d'une famille où la religion est encré jusque dans les gênes, un frère archevêque et primat, un père qui fut diacre, elle même qui suit la voie de l'Eglise, il ne faudrait pas décevoir sa famille -ou du moins ce qu'il en reste- et assurer pendant ses cours.

Certains Objets Volants Non Identifié semblent se diriger du fond de l'amphi vers l'avant, mais elle n'y prête pas attention et se concentre sur le magister suivant, tant qu'elle n'est pas visé, point la peine de défier les malotrus. Sans parler du faite que se préoccuper déjà d'un élève est énorme, alors si elle commençait à s'occuper des autres...c'est qu'elle devait couver quelque chose la petite.

« Ethique et règle de vie »...elle y trouverait certainement un complément à ce qu'elle connais déjà.

Quatre cours, quatre magisters, quatre domaine qui l'intéressent...elle ne regrette vraiment pas d'être venu. Et sur le banc à côté, sa camarade qui semble toujours autant mal à l'aise. Le faite d'être séparé de ceux qu'elle aime? Etant plus jeune que Clémence, cela devait être la première fois qu'elle quitte sa famille. La jeune Compalite connait cela, malgrès qu'elle ne soit pas venu pour se faire des amis et que niveau relation humaine elle n'est pas très douée, elle ne peut la laisser seule à s'inquiéter.
Quittant son banc, qui bien sur se met à grincer -niveau discrétion, c'est raté-, Clémence prend sa cape et va s'installer au côté d'Elyaelle, lors d'un passage entre deux magisters.
La jeune Maledent esquisse un fin sourire qui se veut rassurant et pose ensuite sa main ganté sur la main de la jeune enfant, en signe de soutien.

Puis son visage se ferme à nouveau, et son azur se porte sur l'avant en direction du prochain magister à prendre la parole.
Ce déplacement sans demander l'autorisation, même si il risque de lui attirer un regard foudroyant d'un magister ou pire de la rectrice, lui aura au moins permis de se réveiller un peu et de pouvoir ainsi suivre correctement la présentation du prochain enseignant, dont la prise de parole devrait attirer l'attention des dissipés.

Pyrrus...du Béarn? Elle connait le comté, et ce prénom ne lui est pas étranger. Il faut dire qu'elle a fréquenté pendant un temps la caserne, peut-être avait-elle entendu le prénom à ce moment là. Heureusement pour elle, aucun autre souvenir ne reviens à l'esprit, toute concentré sur le collège et son avenir.

Un soldat qui enseigne l'Histoire? Intéressant...cela intrigue notre jeune fille.
Vite qu'elle puisse se reposer, faire ce qu'elle doit faire...pour ensuite attaquer ses études.

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12 Description à venir
Loelia
Premier jour d'ecole.... en retard! Non pas que la jeune Vaucanson était partie en retard, simplement que entre le mauvaise temps sur la route depuis le Dauphiné, et l'incapacité de son cochet a se reperer dans la capitale et bien.. elle n'avait pas prévu assez. Qu'elle idée aussi d'imaginer un conducteur de campagne capable de se reperer dans une grande ville, naiveté! Parce qu'il faut le dire, Cyanne avait beau etre fille d'un Duc, le domaine en soit était clairement perdu.

Au petit matin donc, la toilette terminée, la tenue de rentrée enfilée, legerement moins tape à l'oeil que celle mise au bal du roy mais tout aussi luxueusement ornée, les bagages dans la voiture, la damoiselle s'y était enfilée avec grace avant de prendre la route.
Dans sa robe violine de velour brodée de motifs maniere arabesques, munie d'un col en V jusqu'au nombril caché jusqu'au cou d'un tissu de satin de meme couleur, un jupon 'secret' donnant un leger volume au bas sa robe, des manches bouffonées en 3 parties resserées au dessus du coude, au milieu de l'avant-bras et au poignet, une ceinture d'or ravissant sa taille de guêpe le tout ornée d'une coiffe sertie d'améthystes, Cyanne arriva enfin au devant du collège, personne.. néanmoins les portes semblaient ouvertes et l'entrée gardée.
D'un pas préssé, honteuse de ne pas avoir été assez prevoyante, la dame de Mions se présenta au garde avant de pénétrer dans la bâtisse, la tête abritée par un manteau ouvert et tenue au dessus d'elle par des laquais, pas qu'elle ne voulait pas le mettre ce manteau mais avec la coiffe cet exercice gacherait sa tenue mais surtout la retarderai definitivement, bien qu'au vu de l'environnement c'était deja le cas..

Hasardeuse la jeune fille s'annonça au garde qu'il aille chercher une personne pour l'accueillir. Le regard noisette aux reflets verdoyants, de la dame de Mions, dont le blond de ses quelques meches de cheuveux habituellement si éclatant avait sombré au chatain clair à l'ombre des nuages et sous l'humidité de la pluie, parcourait l'interieur avec un sens de l'observation aigu en attendant.


(hum desolee j'avais pas vu le sujet de la rentrée... )
Aymeric_de_saunhac
Alors que je commence à m’ennuyer faute de munition, je vois filer dans les airs un projectile bien plus gros que les miens. Un coup d’œil sur le coté, et je repère le fameux garçon qui avait osé tenir tête à la rectrice dès son arrivée.

- (Le voisin) : Pâte de fruit à la framboise, rien de tel ! Fichtrement plus efficace et collant que le pain…
- (Aymeric) : Certainement ! Mais un peu plus visible aussi non ?


Quoi qu’il en soit, il ne faut pas passer pour une mauviette. D’un hochement de tête, j’accepte une de ses pâtes de fruit. Qui que plus intéressé de la croquer plutôt que de la lancer, je laisse de coté les envies de mon estomac.
Le garçon me regarde, il ne faut pas que je loupe mon lancé. Entrainé d’avantage à l’arc qu’à l’épée, je suis d’habitude bon tireur. Repérer la tignasse d’Isaure, mise au point du tire, puis… feu ! Un peu comme au couard d’après ce que j’ai pu comprendre de l’engin…
Regarder le projectile partir, taper contre le rebord du banc puis rebondir avant de se retrouver aux pieds de Russo. Se rapetisser sur son siège et faire semblant de regarder ailleurs le temps que Russo conclue que les pâtes de fruit tombent du ciel… ou pas...
Petit commentaire à son voisin pour montrer que l’on n’a pas perdu la face :


- (Aymeric chuchotant) : C’est plutôt bien mais… un peu élastique comme matière…

Puis passer à autre chose pour faire oublier cette malencontreuse aventure.

- (Aymeric toujours en chuchotant) : Je suis désolé pour ta sœur… ils nous on fait la même chose… Quoi que la raison avancée n’était pas l’âge puisque nous sommes jumeaux…

Enfin, terminer sur une mise en garde vis-à-vis de la personne visée par nos projectiles.


- (Aymeric en montrant par un mouvement de tête Isaure) : Je te conseille de faire attention à elle. C’est une vraie… (se gratter la tête en cherchant le mot approprié) précieuse… oui voila precieuse… Maaadeeemoiiseeellll de Môôôrvillier… (pouffe de rire)

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Majda_eulalie


Majda essaye de détailler les autres étudiants. Aymeric, l'éternel espiègle, aura-t-il apporté ses osselets pour faire une partie dans la cour ? Hervald, le jeune guerrier prometteur rencontré sur le front en Provence... que dire des autres ? des pimbêches, fières de leur noms, se comportant comme des reines. Haussant les épaules, la jeune femme, l'aînée des étudiants a priori ne leur accorde pas une once d'attention. Ce n'est pas à la noblesse de ses parents, mais à celle du coeur qu'elle s'est toujours fiée. Si elle respecte les nobles, il n'en reste pas moins que se montrer hautain est du dernier commun, du ridicule des parvenus et non du vrai lignage noble. De quoi se poser des questions en voyant certaines attitudes. Pour elle, la noblesse, c'est depuis qu'elle est venue au monde, et ça comporte surtout bien plus de devoirs et d'obligations que de droits, alors de là à se montrer hautaine, faudrait dégonfler les égos de certains...

Puis elle reporte son attention sur les magisters, et se fait un récapitulatif ...
Steph pour l'équitation :
sa pauvre collègue de la Garde Royale n'en a pas fini avec elle
Russo pour la chasse :
trop bien ! se rappelant la chasse à laquelle elle a participé
Soeur Tiphanie pour la Foy :
Ca tombe bien, sa cellule du séminaire de Narbonne semble avoir brûlé
Sire Lyonis d'Appérault pour l'étiquette :
Houla, il va en avoir du travail avec elle ! Elevée dans une caserne, elle est plus habituée au langage des soldats qu'au vocabulaire des salons et des courtisans
Magister Pyrrus pour l'Histoire :
Quoi de plus barbant comme cours ? Elle en baille discrètement derrière sa main.

Attendant la suite, elle se retourne aussi discrètement que possible vers Aymeric en voyant l'attérissage inopiné d'une pate de fruit. Genre : fais gaffe, si tu me touches tu va voir ta goule à la récré...


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Nennya
La Duchesse écoutait et surtout regardait, les punitions fusaient dans sa tête à grande vitesse, elle voyait le jeune Aymeric and co pouffer de rire et lancer diverses choses, elle les classerait dans « monstres en puissance » à vite remettre dans le droit chemin. Plusieurs magisters avaient déjà émis des idées à ce sujet, c’était identique à la chasse aux malades, l’excitation de la chasse, la proie à capturer, à dompter, et à assommer…Nennya n’avait plus peur, elle était plutôt excitée de les mettre dans le bain qu’elle avait prévu pour eux.

Bref, elle observait, écoutait aussi ce que tous se présentent correctement, il manquait qui à la liste, Agnés de Saint Just, Gérault le retardataire, Dame Naluria, et Sire François Noel de Voltaire. Un garde interrompit quelque peu le déroulé de la rentrée pour venir lui souffler à l’oreille :


-Une élève vient d’arriver


Elle consentit de la tête, se raclant la gorge, elle dit à haute voix :


-Continuez, Dame Agnès de Saint Just, venez expliquer à quelle sauce seront mangés ces damoiseaux et damoiselles !

Puis, avec discrétion, elle suivit le garde pour recevoir la retardataire. Pour retard le matin, c’était huile de foie de morue mouhaha. Elle se dirigea jusqu’à l’entrée, où attendait une jeune fille trempée. Elle lui demanda en se penchant vers elle :

-Bonjour, je suis Nennya Blackney, la rectrice du Collège Saint Louis, vous êtes?

Elle est en retard ca c’est certain, ce que la Duchesse avait pu retenir pour le moment.
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--Cracotte


Chpong*bruit mou d'un machin collant qui atterit sur le le plancher ciré de l'amphithéatre*

Ho, ho, un truc qui vient de me tomber devant la truffe. Je renifle. C'est pas de l'os à moelle, mais ça sent la cuisine-biscuit.


Gnap!! Slurp !!
A moi le machin rose gluant, avant que les deux-pattes me le prennent. Je l'ai vu en premier, c'est à moi.

Gnap !! Gnap !!
ça colle aux crocs ce truc, et ça fait baver. Faut que je m'en débarrasse. Pas moyen de l'enterrer ou de le mettre dans une plante en pot. Et je vais pas avaler ce truc, on dirait de la limace séchée.

Je secoue la tête, mais ça reste collé à mes crocs. Je m'aide avec mes pates. Haa ça va mieux.
Je trottine vers l'académichien et je lui mets la pate sur le genou pour le saluer. Ni vu ni connu. Je lui fais un gros regard baveux de gentil toutou. Il va peut être me gratouiller derrière les oreilles.
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