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[RP] Fête du printemps

Aegidia
Aegidia sentait les larmes qui coulaient doucement sur ses joues.Car son époux avait été emporté rapidement .Le conte avait été si gentiment raconté
par Messire Ursus.
Il lui restait l'espoir qu'un jour elle rencontrait un autre compagnon . Mais la en ce moment elle était triste .
Elle se levât , allât remercier Messire Ursus ,et s'en allât en portant la petite Orléane pour regagner sa chaumière.
Ella


Ella se sentait si bien après ce conte merveilleux et surtout de la manière dont l'avait brillamment interpréter Ursus. Elle devait le dire.

Sa soirée se terminait avec un brin de magie. Elle se leva. Elle remit la peau de mouton à Aegidia en la remerciant chaleureusement. Puis elle s'approcha d’Isa et Ursus.

Je tiens à vous remercier de tout mon cœur, Orléans ne serait pas pareil sans vous. Ursus a un don pour animer les foules, et Isa toujours pas très loin sait nous le faire apprécié encore un peu plus.

Elle fit une bise à Isa, la regarda en souriant et lui demanda la permission de faire la bise à Ursus. Elle fit donc la bise la bise à Ursus, emportant un peu de magie dans sa petite maison. Elle s'éloigna, elle s'effaça... Blancau suivait au pas!

Ils disparurent dans la nuit, l’heure où tous les deux se sentaient bien. La nuit est aussi l'heure où les licornes courrent au clair de lune.


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Ninouchka
La voix du conteur s'était tue, celle de la harpe aussi ...

Ninou gardait encore un peu ses yeux fermés ... ils étaient trop remplis de mille pensées qui lui appartenaient.

Elle finit par les rouvrir et son regard se posa sur l'homme qu'elle aimait.

L'Amour ... comme ce conte en était rempli ! Il ne parlait que de ça au fond ! La force de l'amour qui maintient en vie, qui trouve les parades contre les méfaits de la vie ... et de la mort, qui donne tant d'importance à l'autre qu'on s'oublie soi-même.

L'amour dont tout le monde rêve mais que bien peu ont le bonheur de connaître.

Ninou se leva afin que Pompom puisse en faire autant.

Orléans était silencieuse ... juste ici et là un cri vite étouffé, un pleur d'enfant, un juron d'ivrogne, de temps en temps la chute d'un morceau de bois calciné et le murmure des voix de ceux qui avaient été unis en cette nuit et qui se saluaient avant de se quitter.

Elle leva la tête ... la lune brillait de tout son éclat tel un chef d'orchestre et les étoiles jouaient une symphonie qui s'achevait chaque fois que le soleil se levait.

Elle eut un long frisson de froid, mais aussi de crainte rétrospective pour cette femme dont elle avait entendu l'histoire, de cette peur ancestrale qu'ont les humains au fond d'eux quand on parle de ce qu'ils ne connaissent pas ... l'invisible, la mort.

Elle mit sa main dans celle de son amoureux et la serra très fort. Elle découvrait que, elle qui n'avait plus peur de la mort depuis des années ... elle avait déjà tout perdu ! ... retrouvait cette crainte maintenant qu'elle aimait un homme.

Elle lâcha sa main, le laissa avec ses amies et se dirigea vers le duc et la duchesse de Châteaurenard.

Elle s'inclina devant la duchesse, qu'elle ne connaissait que par courrier puis devant le duc.


Merci Votre Grâce pour ce moment magique. Les mots me manquent pour vous exprimer tout ce que ce conte a fait surgir et je ne peux que vous redire "merci" ... Je vous souhaite à tous deux une excellente nuit.

A ce moment, elle aperçut Hector, s'en approcha pour le saluer et se mettant sur la pointe des pieds lui fit un petit bisou sans lui laisser le temps de réagir :

Bonne nuit Hector ! Merci pour tout !

Elle retourna près de ses amis, embrassa chaleureusement Ju et regarda la harpe de plus près dans les dernières lueurs du feu :

Quel instrument superbe ma Ju !! Il convenait parfaitement à l'atmosphère de cette soirée. Et quel talent que le tien !!!

Elle sourit et chercha Pompom des yeux ... il était là et il l'attendait.
Jmorelle
Ju regarda Ursus et Ninou en souriant, pas besoin de mots pour terminer cette soirée dans le calme. Elle reposa légèrement sa harpe contre son épaule, et se remit à pincer les cordes, à la recherche d'une mélodie sur bourdon.

Et les notes dégringolèrent les unes après les autres...

Elle finit par se lever, et rangea son instrument dans le calme, tout en regardant le feu s'éteindre et les derniers fêtards prendre le chemin de leur maison. Elle aussi rentrerait des étoiles plein les yeux de cette fête du printemps...

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Manoir des artistes
François85
François avait suivit le conte d’Ursus dans son coin. Sans un bruit. Enfin, il avait suivit… c’est beaucoup dire car, il ne pensait qu’à une chose et ce n’était pas le conte.
A la fin de celui ci, il se leva . Les gens commençaient à rentrer chez eux mais, pour François, il fallait attendre un peu encore.
Il lui restait une dernière chose à faire .

Il regarda autour de lui, cherchant Ju du regard et la vit ranger son instrument.
Il s’approcha d’elle et lui posa une main délicate sur l’épaule.


Euh…………Ju. As tu un peux de temps à m’accorder avant de rentrer ?
J’ai ………euuuuuuuuuuuhhhh…………… quelques chose à te montrer.


Son visage se mit à rougir. Mais, désormais, il ne pouvait plus reculer. Trop souvent, il avait hésité puis fait marche arrière au dernier moment.
Jmorelle
Ju allait porter sa harpe jusqu'à la charrette du paysan qui avait proposé de la décharger jusqu'à Blois, quand une main se posa sur son épaule. Ju se retourna, et aperçut François dans la pénombre. Quelque chose à lui montrer? Ah, qu'est-ce que cela pouvait bien être? Curieuse comme elle était, elle le suivrait bien entendu. Mais avant ça...

Oui bien sûr François, mais avant ça il faut que je mette ma harpe sur la charrette, sinon je vais devoir la porter sur le chemin du retour. Tu m'aiderais? Après ça il n'y a pas de souci, j'ai tout mon temps, je rentre à pied avec Ebène, ça nous fera du bien de marcher un peu.

Souriant malicieusement, elle ne lui laissa pas trop le choix en lui mettant les sangles pour porter la harpe entre les mains, puis, elle lui montra le chemin vers la charrette du paysan qui ramènerait son précieux colis chez elle.

Tu as passé une bonne soirée au moins?
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Manoir des artistes
François85
François ne pu refuser cet ultime service de la soirée à son amie. Il attrapa donc la harpe et l’aida à la porter jusqu’à la charrette.

Tu as passé une bonne soirée au moins?

Oui, très bonne. Je ne pensais pas que cette fête aurait une telle réussite. J’en suis ravi.

La harpe était désormais chargée.
François regarda Ju dans les yeux.


Bon………euh……..et bien, comme tu le propose………..euh………..marchons un peux.

François lu tendit la main pour l'inviter . Des bruits de pas derrière eux se firent entendre. François se retourna et aperçut la boule de poil toute fofolle. Ebène venait les rejoindres.
Une caresse sur la tête reçut en réponse une grosse lèchouille bien baveuse sur la main.

Le coeur de François se mit à battre de plus en plus fort. Il allait bientôt enfin savoir.
Jmorelle
Ca y est, la harpe était chargée. François avait l'air tendu, ce qui la fit froncer du sourcil. Ca avait l'air d'être grave. Malade? Mauvaise nouvelle? La mort de quelqu'un peut-être... Oh non... A moins que ce ne soit une démission? Ou tout simplement besoin de parler à une amie. Ju mit sa main dans la sienne, puisqu'il l'invitait à la suivre. Rapidement rejoints par Ebène, qui comme d'habitude ne pouvait se passer de sa maîtresse. Rapidement dépassés aussi, car celui-là avait repéré un hérisson. Lui aboyant dessus, il le reniflait alors que l'animal, craintif, s'était roulé en boule. Ju de se précipiter, en entraînant François par la main.

Ebène! Laisse le tranquille, le pauvre! En plus tu vas réussir à te faire piquer et tu vas chouiner après...

Et Ju d'attraper Ebène par la peau du cou et de le dégager avec la force qu'elle avait dans un bras, à à peine quelques centimètres de l'hérisson. Puis elle attrapa une branche, et la jeta de toutes ses forces devant afin de capter l'attention de sa grosse boule de poils. Ni une ni deux, celui là partit devant comme une flèche... Enfin une flèche énorme...

Elle se retourna vers François, et le regardant...


Excuse-moi... De quoi voulais-tu me parler?
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Manoir des artistes
Xalta
Elle a écouté jusqu'au bout cette histoire qui fait l'éloge des sentiments et de l'amour , et du courage que celui-ci donne. La mort dejouee si facilement enfin de compte, si cela était si facile.

Elle se relève, plie la peau de mouton qu'elle redonne à Aegidia tout en la remerciant. Puis se dirige vers Ursus et son épouse , le remercie et le félicite pour ce merveilleux conte, puis aller se diriger vers Ju, mais elle a ete devancée par un homme François. Un sourire vient étirer ses lèvres.

Referme sa cape sur elle, rabat la capuche sur son visage, puis prend la route de Gien, route qu'elle ne fera pas à pied mais en carriole. Mais avant elle ira flaner sur les berges de la Loire, juste voir la lune se miroiter dans l'eau, moment magique qu'elle aime voir à chaque nuit.
François85
Les deux amis commençaient à marcher tranquillement quand Ebène trouva le moyen de faire encore une bêtise. Ce chien était décidément incorrigible.
On dit que les chiens prennent le caractère de leur maîtres… affaire à suivre…


Excuse-moi... De quoi voulais-tu me parler?

François ne dit pas un mot. Il se contenta de se placer devant Ju. Son cœur batttait rapidement , quelques gouttes de sueurs commençaient à perler sur son front.
Il la regarda droit dans les yeux et plongea sa main dans la poche de son mantel.
Il en ressortit le fameux ruban de Ju qu’il avait dérobé au mât un peu plus tôt dans la journée.
Il le tendit vers Ju . Il n’y avait rien à expliqué, toutes réponses étaient dans ce ruban.
Elisel
Elisel avait écouté avec attention le conte, perdue dans ses pensées, bercée par la musique envoûtante de la harpe. Elle voulait partir en voyage, le récit d'Ursus l'avait exaucée.
Elle imaginait les paysages désertiques, les falaises sur lesquelles se fracassaient les vagues. Elle n'avait jamais rien vu comme cela, n'étant jamais partie des alentours, mais son esprit était fertile, il lui suffisait de broder sur les paroles pour voir devant ses yeux se dessiner le décor, sûrement pâle copie de la réalité.
Elle essayait de s'imaginer à la place des personnages, mais aussitôt des questions l'assaillaient, se demandant comment elle réagirait, comment elle devait réagir maintenant... Ne pas penser, se contenter d'écouter sans réfléchir, profiter du moment présent...

Songeuse, elle resta prostrée un long moment après que la dernière note de musique se fut éteinte, les yeux dans le vague, contemplant sans le voir le feu du bûcher qui mourait doucement. L'Ankou passait, pour lui aussi...

Frissonnant de froid, elle finit par se relever lentement. Même si les journées se réchauffaient, les nuits étaient encore fraîches. Non loin, elle aperçut deux ombres dans le noir qui paraissaient proches, partit dans une autre direction pour ne pas les déranger, et s'en retourna là où la portaient invariablement ses pas.

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Jmorelle
François s'était arrêté et s'était placé devant elle. Puis cherchant quelque chose dans son mantel. Ju, curieuse, regardait la scène. Peut-être allait-il lui faire un tour de magie? Ah peut-être bien, quand elle le vit sortir un ruban. Et?

Ju regardait François, le ruban, se demandant ce qu'il allait en faire. Oui c'était un ruban, elle avait bien vu mais... où était le tour? Fallait-il qu'elle l'attrape? Peut-être que oui, de là une colombe allait en sortir... Elle baissa son regard vers le ruban, tendant la main pour l'attraper quand...

Ce ruban... Son coeur se mit à battre la chamade... Non... C'était pas possible... Elle fixait ce dernier, figée elle-même sans savoir comment réagir. "Bouge toi ma vieille, tu peux pas rester là sans rien faire..."

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Manoir des artistes
François85
Ju semblait surprise. Presque aussi gêné que François.
Elle ne disait rien et François s’angoissa. Il imaginait déjà un refus de la part de son amie.


Hum… !

Petit rire nerveux.

Excuse mon attitude, ce n’est pas évident pour moi de t’avouer cela.
Heu… en fait… enfin voilà…

Il y a un moment que l’on se connaît tous les deux et………euh……. tu as été une excellente amie. Sans doute la meilleure même.
Mais depuis quelques temps, je ne te regarde plus comme amie… mes sentiments à ton égard ont changés.
J’ai envie de vivre quelques chose de fort avec toi.


Le visage écarlate, il attendit que celle ci parle. "T’aura l’air malin gros bêta si elle dit rien."
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Jmorelle
Amie... Vivre quelque chose de fort avec toi... Ces mots résonnaient dans sa tête. Mais tout s'éclairait peu à peu. Pourquoi cette réaction au mariage de Lexhor et Naluria... Et chez lui... Et à pleins d'autres moments pendant lesquels elle n'avait jamais rien soupçonné... Un frisson quand des mains se touchent par hasard, un sourire, une présence, toujours. Et une amitié. Comment aurait-il pu en être autrement? Et pourtant, c'était le cas... Et Ju ne savait pas comment réagir. Elle n'avait même pas envisagé de voir plus loin que ce lien qui les unissait depuis près d'un an, depuis leur rencontre au bureau d'animation. Enfin, leur véritable rencontre, ils se seraient rencontrés quelques mois auparavant, mais sans vraiment apprendre à se connaître.

Depuis un an, ils en avaient partagé des moments. Parfois agréables, parfois douloureux. Une bague rendue, un deuil, des unions, des fêtes... Que de souvenirs. Et voilà qu'à présent, ce n'était plus que de simples moments qu'il souhaitait partager avec elle. Mais sa vie. Lui savait. Elle, était embrouillée par tout un tas d'hypothèses qui venaient troubler son esprit et son coeur.

Et si cela ne pouvait pas fonctionner... Si encore une fois elle souffrait... Et si elle le décevait... Et si c'était choisir entre amitié et amour. Et si elle ne savait pas vraiment ce qu'elle ressentait... Trop de si... Et l'angoisse qui monte...

Sa main glissa lentement de celle de François, quelques pas en arrière, le regardant bouche ouverte... Ne sachant quoi répondre... quoi faire... A part se laisser porter par ses pas... Lents, puis qui s'accélèrent, jusqu'à une course effrénée... Oui, encore une fois elle fuyait. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle fuyait. Jusqu'à être assez loin pour pouvoir s'arrêter, cachée contre une porte cochère, où elle reprit son souffle.

Haletante, elle ferma les yeux. Une larme perla sur sa joue. Puis une deuxième. Elle éclata en sanglots. Pourquoi... Pourquoi n'arrivait-elle pas à réagir... Pourquoi l'avait-elle fui... Pourquoi avoir aussi peur d'un avenir qui se présentait à elle. Quelqu'un qui l'aimait sincèrement... Qui ne cherchait pas à lui faire de mal...

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Manoir des artistes
--Ebene



Hop hop je choppe le bâton, ouééééééé je suis le plus fort!

Maîtresse! maîtresse! Regarde! Je te le rapporte! Mais??? Maîtresse??? Pourquoi tu pars en courant??? Me laisse pas tout seul!

Je me rapproche du monsieur qui t'accompagne souvent, même s'il ne sent pas aussi bon que toi... Dis, tu sais pourquoi elle est partie?

Jappement... mmoouuu? Je mets une patte devant (je mets une patte derrière...), j'hésite... Je la rattrape? Trop loin...

Super flair en actionnnnnnnnnnn.... Snirfl... Viens avec moi monsieur, on va la retrouver, on n'a pas fini la promenade! Elle s'est trompée de route, faut lui dire!

Hop hop hop je cours devant en aboyant... Reviens en arrière... Allez, viensssss, ça traîne les 2 pattes c'est pas possible ça...
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