Heloise_marie
La jeune fille venait davoir une altercation avec sa mère. Elle qui était toujours encline aux bavardages incessant voilà quelle venait de se faire envoyer paître par sa mère. La raison, trop de travail. La raison, une surcharge de travail. Mais la vrai raison, cette stupide attaque du château qui rendait aux membres du conseil, la vie impossible. La vie de famille invivable, la vie tout court trop dure. Sa mère avait des cernes énormes, telles quHéloise nen avaient jamais vues. Avec un gros soupire posé elle était sortie en froissant ses jupes du bureau de sa mère. Certes avait-elle pensé à claquer la porte de fureur et de frustration, mais elle savait également quirriter un peu plus sa mère en ces temps fort mouvementés naurait fait quaccentuer sa prochaine punition.
Avec rage par contre elle ouvrit la porte de sa chambre et la claque derrière elle. Cen était presque au temps des larmes de fureurs de morde ses cils. Elle tira la chaise de son bureau vers elle en manquant de peu de lenvoyer sur ses genoux. Après sêtre maudit tout en jurant dans ses dents, la jeune fille sassit et serra les poings. Oh comme elle les haïssait ces pilleurs, comme elle aurait aimé les avoir là devant elle pour leur tordre leur minable cou. Le visage crispé par la colère et les joues devenues rouges, elle se remémora les noms qui l'avaient tant marquée dans une discussion entre sa mère et son père.
A ce sois disant Aurélien, l'usurpateur d'une terre qui revenait de droit à sa mère. A cette fichu Hanadora qui avait trahi tous les siens, à cette de Soeli, la sale gueuse pourtant issue de sa famille Mais, Surtout à ce vermisseau de Leandre, le foutu batard de Valfrey qui était pourtant un des plus proches amis de sa mère Et qui avait à peine deux ans de plus quelle. Cest sur ce prénom et sur le sanglot quil créât dans les tréfonds de sa gorge quelle sorti plume et parchemin. Les dents serrées de rage, les yeux pétillant de colère, sa main glissait avec fougue sur le parchemin tandis que ses pieds battaient la cadence contre le sol.
Très cher Leandre Non, pardon, je ne devrais point dire ça
Très cher ladre vert !!!
Cette missive ne nécessite aucunement une réponse, cette missive nécessite que tu la lises de bout en blanc et que tu reviennes parmi nous en prendre conscience. Sache mon cher sottard quavant de me présenter à ta minable personne, malgré que tu nen vailles vraiment point la peine, je voudrais te signaler deux trois choses quil me tarde que tu prennes en plein dans ta face de méprisable freluquet. Tout dabord, ta réaction de poule mouillée, tellement méprisable, tellement petit, tellement abjecte que tu me fais pitié. Sans avoir même le courage de revenir pour assumer tes actes. NON, minable minable minable.
Tous les jours je dois voir ma mère affligée de boulot pour récupérer ce que toi et ton déchet de bande à accompli. Tous les jours elle est tant surmenée sans avoir rien fait à Aristote. Et tout ça cest de ta faute, excrément de rejeton famélique. Tu as intérêt à me revenir très vite et sache que si ce jour je croise ta route, tu nen sortiras point vainqueur, escot de barnecs.
Ensuite, sache sale débauché que tu fais honte à ta famille tu fais honte à ton nom, tu fais honte à cet ami tellement cher aux yeux de ma mère. Il me tarde de sentir ton rachitique cou entre mes mains pour venger enfin ce que tu as Sali devant mes yeux. Tu nes quun pourceau, sort, vaniteux, impertinent. Ton futur va sarrêter là, ta vie ne sera plus que chaos et jespère que jamais jamais tu ne connaîtras de jours heureux. Jamais ta vie ne sera tranquille tant que moi et ma famille nous seront de ce monde.
Jamais ta vie ne sera de repos tant que tu ne seras point venu rendre ce que tu as si salement volé de tes mains de batard souillée par le sang et la soif dargent. Sache également que sur lhonneur de ma mère Erine Von Riddermark de Sparte, sur lhonneur de mon père Bobyzz De Sparte et sur lhonneur de ma famille, je jure de ne jamais te laisser en paix. Même si je n'ai que 12 ans, même si je ne suis qu'une fille, même si à tes yeux je ne suis rien, je jure de prier Aristote pour que ton âme repose en enfer ou tu brûleras à jamais dans des souffrances atroces.
Ton nom restera sur mes lèvres jusquà ce que ton visage marrive devant les yeux. Ton nom ne quittera pas mon esprit tant que tu ne seras point venu rendre largent et la force de la Franche Comté. Tant que ma mère ne sera pas indemnisée pour ce travail quelle a accompli par ta faute.
Sache méprisable vermisseau, que moi, Héloise Marie Von Riddermark De Sparte, je ne toublierais pas et je tattends !!!!
La jeune fille plia avec hâte la lettre et s'en alla vers le pigeonnier sans aucun regard pour les gens qu'elle croisait.
Lors, elle resta au rebord de la fenêtre, dans un courant d'air chaud et regarda l'oiseau s'envoler, un poids en moins sur le cur.
Avec rage par contre elle ouvrit la porte de sa chambre et la claque derrière elle. Cen était presque au temps des larmes de fureurs de morde ses cils. Elle tira la chaise de son bureau vers elle en manquant de peu de lenvoyer sur ses genoux. Après sêtre maudit tout en jurant dans ses dents, la jeune fille sassit et serra les poings. Oh comme elle les haïssait ces pilleurs, comme elle aurait aimé les avoir là devant elle pour leur tordre leur minable cou. Le visage crispé par la colère et les joues devenues rouges, elle se remémora les noms qui l'avaient tant marquée dans une discussion entre sa mère et son père.
A ce sois disant Aurélien, l'usurpateur d'une terre qui revenait de droit à sa mère. A cette fichu Hanadora qui avait trahi tous les siens, à cette de Soeli, la sale gueuse pourtant issue de sa famille Mais, Surtout à ce vermisseau de Leandre, le foutu batard de Valfrey qui était pourtant un des plus proches amis de sa mère Et qui avait à peine deux ans de plus quelle. Cest sur ce prénom et sur le sanglot quil créât dans les tréfonds de sa gorge quelle sorti plume et parchemin. Les dents serrées de rage, les yeux pétillant de colère, sa main glissait avec fougue sur le parchemin tandis que ses pieds battaient la cadence contre le sol.
Très cher Leandre Non, pardon, je ne devrais point dire ça
Très cher ladre vert !!!
Cette missive ne nécessite aucunement une réponse, cette missive nécessite que tu la lises de bout en blanc et que tu reviennes parmi nous en prendre conscience. Sache mon cher sottard quavant de me présenter à ta minable personne, malgré que tu nen vailles vraiment point la peine, je voudrais te signaler deux trois choses quil me tarde que tu prennes en plein dans ta face de méprisable freluquet. Tout dabord, ta réaction de poule mouillée, tellement méprisable, tellement petit, tellement abjecte que tu me fais pitié. Sans avoir même le courage de revenir pour assumer tes actes. NON, minable minable minable.
Tous les jours je dois voir ma mère affligée de boulot pour récupérer ce que toi et ton déchet de bande à accompli. Tous les jours elle est tant surmenée sans avoir rien fait à Aristote. Et tout ça cest de ta faute, excrément de rejeton famélique. Tu as intérêt à me revenir très vite et sache que si ce jour je croise ta route, tu nen sortiras point vainqueur, escot de barnecs.
Ensuite, sache sale débauché que tu fais honte à ta famille tu fais honte à ton nom, tu fais honte à cet ami tellement cher aux yeux de ma mère. Il me tarde de sentir ton rachitique cou entre mes mains pour venger enfin ce que tu as Sali devant mes yeux. Tu nes quun pourceau, sort, vaniteux, impertinent. Ton futur va sarrêter là, ta vie ne sera plus que chaos et jespère que jamais jamais tu ne connaîtras de jours heureux. Jamais ta vie ne sera tranquille tant que moi et ma famille nous seront de ce monde.
Jamais ta vie ne sera de repos tant que tu ne seras point venu rendre ce que tu as si salement volé de tes mains de batard souillée par le sang et la soif dargent. Sache également que sur lhonneur de ma mère Erine Von Riddermark de Sparte, sur lhonneur de mon père Bobyzz De Sparte et sur lhonneur de ma famille, je jure de ne jamais te laisser en paix. Même si je n'ai que 12 ans, même si je ne suis qu'une fille, même si à tes yeux je ne suis rien, je jure de prier Aristote pour que ton âme repose en enfer ou tu brûleras à jamais dans des souffrances atroces.
Ton nom restera sur mes lèvres jusquà ce que ton visage marrive devant les yeux. Ton nom ne quittera pas mon esprit tant que tu ne seras point venu rendre largent et la force de la Franche Comté. Tant que ma mère ne sera pas indemnisée pour ce travail quelle a accompli par ta faute.
Sache méprisable vermisseau, que moi, Héloise Marie Von Riddermark De Sparte, je ne toublierais pas et je tattends !!!!
La jeune fille plia avec hâte la lettre et s'en alla vers le pigeonnier sans aucun regard pour les gens qu'elle croisait.
Lors, elle resta au rebord de la fenêtre, dans un courant d'air chaud et regarda l'oiseau s'envoler, un poids en moins sur le cur.