Azmoden.
Azmoden, petit et grand blondinet de son état, encapuchonné de haut en bas, traversait malgré lui un sous-bois...
L'air était pur, les bêtes réintégraient progressivement la pâture.
Belle journée, enfin si on aime le soleil.
Azmoden, énervé et grognon de son état, n'appréciait pas le temps qu'il faisait, absolument pas.
Contraint et forcé... par lui même de voyager, il préférait se déplacer de nuit, non pas qu'il voulait se cacher, mais plus qu'il appréciait la liberté de ne point être épié. Aussi la nuit, calme, douce, et tranquille repoussait le plus souvent les voyageurs vils et coquins, abrutis et bons à rien.
Certes, il aimait le soleil et les gens, mais pas tout le temps, il avait besoin de la froide tranquillité pour se ressourcer.
Lunatique et atypique, ce petit type avait des tripes.
Jeune et pas si insouciant que ça, il lui arrivait... la plupart du temps ou tout le temps, de voyager, seul sans la compagnie de personnes.
Ne craignant ni bestioles, ni personne... que ce soit vils gredins, ou honnêtes hommes... Il continuait son long péril commencé en Gascogne...
Campant le plus souvent dans la forêt, ce petit homme s'était endurci et habitué aux situations les plus extrêmes ou presque.
Il avait pu tracer sa route, grâce aux économies d'un sympathique cadavre trouvé sur le bas côté du chemin que les brigands l'ayant assassiné n'avait pas si bien été dépouillé.
Vivant de récupération par ci par là, il n'avait pas deux attributs vestimentaires pareils.
Pauvre un jour et riche un autre, il ne se plaignait pas de sa condition et savait pertinemment qu'il y aurait toujours des hauts et des bas...
Il cherchait un lieu où se reposer avant de continuer sa route vers un lieu calme où la vie lui serait favorable.
Enfin arrivé à une rivière, dans cette forêt des plus sympathiques, il s'agenouilla face à l'eau ruisselante et enleva le masque de fer qu'il mettait sur sa tête pour paraître menaçant et repousser les éventuels agresseurs.
Il se rafraîchit le visage, puis découvert de ses sombres vêtements, il se laissa tomber contre un grand chêne centenaire.
Bien qu'affalé dans son creux, il gardait un œil ouvert et son épée à portée de main.
Il s'endormit attentif, afin de récupérer la fatigue de son voyage...
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L'air était pur, les bêtes réintégraient progressivement la pâture.
Belle journée, enfin si on aime le soleil.
Azmoden, énervé et grognon de son état, n'appréciait pas le temps qu'il faisait, absolument pas.
Contraint et forcé... par lui même de voyager, il préférait se déplacer de nuit, non pas qu'il voulait se cacher, mais plus qu'il appréciait la liberté de ne point être épié. Aussi la nuit, calme, douce, et tranquille repoussait le plus souvent les voyageurs vils et coquins, abrutis et bons à rien.
Certes, il aimait le soleil et les gens, mais pas tout le temps, il avait besoin de la froide tranquillité pour se ressourcer.
Lunatique et atypique, ce petit type avait des tripes.
Jeune et pas si insouciant que ça, il lui arrivait... la plupart du temps ou tout le temps, de voyager, seul sans la compagnie de personnes.
Ne craignant ni bestioles, ni personne... que ce soit vils gredins, ou honnêtes hommes... Il continuait son long péril commencé en Gascogne...
Campant le plus souvent dans la forêt, ce petit homme s'était endurci et habitué aux situations les plus extrêmes ou presque.
Il avait pu tracer sa route, grâce aux économies d'un sympathique cadavre trouvé sur le bas côté du chemin que les brigands l'ayant assassiné n'avait pas si bien été dépouillé.
Vivant de récupération par ci par là, il n'avait pas deux attributs vestimentaires pareils.
Pauvre un jour et riche un autre, il ne se plaignait pas de sa condition et savait pertinemment qu'il y aurait toujours des hauts et des bas...
Il cherchait un lieu où se reposer avant de continuer sa route vers un lieu calme où la vie lui serait favorable.
Enfin arrivé à une rivière, dans cette forêt des plus sympathiques, il s'agenouilla face à l'eau ruisselante et enleva le masque de fer qu'il mettait sur sa tête pour paraître menaçant et repousser les éventuels agresseurs.
Il se rafraîchit le visage, puis découvert de ses sombres vêtements, il se laissa tomber contre un grand chêne centenaire.
Bien qu'affalé dans son creux, il gardait un œil ouvert et son épée à portée de main.
Il s'endormit attentif, afin de récupérer la fatigue de son voyage...
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