L'attaque des brigands ! Matage de la révolte .

Les combats venaient de prendre fin , et les castillonais qui avaient défendu la mairie haletaient encore , épuisé par la courte mais brutale échauffourée.

Le lieutenant monta sur les premières marches de la mairie et cria :


Défenseurs , je vous sait fatigués ! Mais ils faut maintenant rassembler les témoignages pour pouvoir mettre ces brigands dans nos geôles !

Si vous avez reconnu un des attaquants de cette nuit venez donnez son nom ou sa description ici !

Un de ses soldats prit un morceau de vélin et une plume prêt à noter :

Regardez dans vos événements si vous avez défendu :
02-04-2010 04:07 : Une tentative de révolte a eu lieu devant la mairie, et vous avez contribué à la mater.
02-04-2010 04:00 : Pour votre implication dans la renommée de votre village
Moi par exemple je n'ai reconnu personne .

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Louanne arriva toute écheveulée le regard haineux la houppe pleine de poussière et tenant encore dans la main son épée pleine de sang.
Elle se dirigeat vers Hagos qui était dans le même état d'esprit qu'elle

Héhé mon ami alors ce fut chaud mais bon!!ca te rappelle quelques bons souvenirs?moi oui diantre!! qu'il y avait longtemps que je n'avais pas bagarrée ainsi
Bon je voies que tu réunis des preuves hummm j'en ai bien sur,entre tous leurs cris et les notres j'en ai repéré une surtout elle vociférait comme une bouchère qui égorgeait une truie tiens je vais te l'écrire

Elle prit une plume l'encra et apposa sur le velin ce dont elle se souvenait



Voila mon témoignage en espérant ce coup ci que notre justice leur donnera une bonne leçon avec cette nuit ca fera bonne mesure il apprendrons qui sont les Périgourdins et Angoumoisins AU SUIVANNNNNNT!!!
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Hagos sourit et donna l'ordre au soldat de noter Miramaz :



Parfait , allez au suivant !

Puis à Louanne ,

Oui nous avons réussi ... une bonne bagarre c'est sur !

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Romane était aussi toute épuisée par les combats de la nuit dernière, elle entendit le Lieutenant Hagos demander des preuves des gens impliqués dans la révolte.

- Bonjour Messire Hagos , cette nuit a été dure pour mes petits bras mais nous avons su résister, je n'ai malheuresement rien vu.

- je prends note du nom de Dame Miramaz et lance une plainte tout de suite.
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Farmers s'en était donné à coeur joie de pouvoir administrer une bonne correction à ses quelques rebelles sans foi ni loi, il se sentait redevable de cette belle ville qu'est Castillon ,même s'il n'en était pas un officiellement, il se fit le devoir de remettre un rapport immédiatement après la démêlé ... se dirigeant vers Hagos auprès duquel se trouvait Louanne:

J'ai reconnu une des forcenés en la personne de Miramaz ,j'espère que celle ci sera justement puni et que sa peine soit exemplaire



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«Celui qui n'est plus ton ami ne l'a jamais été.»

Brunette en goguette qui baguenaude dans les rues de Castillon. Sourire aux coins des lèvres, elle écoute l'attroupement pérorer et caqueter.

Di-dites, le-l'est bien u-u-urbaine, v-vot'Da-dame Mi-miramaz.
E-elle s'est a-arrêtée d-de frapper à-à la po-porte p-pour v-vous do-donner s-s-son nom?
Cré-révindiou, s'pas u-une brigande, a-a-alors.
Jen-J'en co-connaisssions p-point q-qu'étions d-de si bo-bonne vo-volonté.

Drole d'accent pour la bègue, me direz vous? Bah, elle est persuadée d'être dans une province primaire. Alors, elle se met au diapason.
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Le Capitaine, ayant mené sa bande de joyeux drilles (primaires mais néanmoins joyeux hein)en promenade digestive à Castillons suite à des aigreurs probablement contractées au Château écouta avec attention les conversations du jour tout en laissant divaguer son cervelet en de lointaines nébuleuses fort abstraites...
Il en conclu néanmoins que le printemps favorisait les suicidaires de tous poils et qu'il se ferait une joie plus qu'un devoir de les aider à trouver les chemins tortueux qui mènent droit à Aristote sans omettre de consulter la fée Res parendo pour la bonne cause.

Hélant une Dame de la prévôté visiblement.
-Dame, un nom est un nom...Vous devriez tous vous appliquer à en retracer les traits principaux et l'habillement, nuls doutes ne peut être autorisé pour une affaire aussi grave...
Saluant le Lieutenant Hagos et la Bourgmestre...
-Joli combat nocturne, désolé d'avoir manqué la fête...Mais qui sait de quoi vêpres sera faite...
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CANA,au service du Périgord Angoumois.

Un pas en arrière pour Sibylle, histoire de laisser les gens intervenir sur sa pique et BOUM!
Comment ça, boum? Ah non, hein, ça va pas recommencer....
Ah non, ça ne recommence pas. Juste une collision malencontreuse avec une armure.

Pa-pardon, Me-messire...?

Le ton est juste ce qu'il faut d'interrogatif pour appeler aux présentations si l'homme se sent d'humeur bavarde.
Sibylle le regarde gravement de ses grands yeux verts. Les armures périgordines ne lui réussissent pas vraiment. Enfin, c'est peut être l'occasion de savoir enfin pourquoi ça ne lui réussit pas.


Edité car post précédent édité^^
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Bon bah moi, j'vous avoue que j'ai pas trop regardé ou je donnais mes coups de bâton... J'me suis contenté de fracasser les têtes que je ne connaissais pas...





Ah si.... y'avait bien un grand brun à qui j'ai démoli les rotules.... et puis un p'tit gros aussi, qui m'a bien fait marrer à essayer de détaler aussi vite qu'un lapin de garenne.... mais bon, les noms des brigands hein... j'les connais pas moi....
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C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certaines personnes paraissent brillantes avant d'avoir l'air connes...

Souffle passait par là, contraint bien à regret dans un premier temps de rester ici pour quelques jours.

Devant la Mairie les traces d'un combat.

Des coqs et des poules braillards, du genre qui respire de soulagement alors même que la ville est confite, si il osait penser ainsi en périgord, de moisissures gangrenante dont le passe temps préféré semblait se limiter trop souvent à ... Ben à rien en fait ... Déllation, courber l'échine faute de talent ...

Au moins pas trop de trace d'urine ... Plus on crit fort, plus on a frôlé ...

Souffle sourit.

La mairesse revancharde, avait malencontreusement omit de leur déconseiller le voyage . Au moins avait elle eut le culot de profiter de l'aubaine de leur blé.

Pas étonnant ... Drôle de ville où l'autorité devait se substituer au talent ...

Souffle avise quelques conversations en cours, sourit et voit que la vie n'est pas où on l'attend.

"Après tout ... Rien ne nous presse ..." pense-t-il.

Alors il rejoint la taverne espèrant y trouver son Ange, pour envisager l'avenir avec elle.
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