[RP] Allégeances et Serments en Duché de Touraine

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Par Soucis de cohérence la signature ne reviendra qu'après la cérémonie de prise de fonction qui ne devrait tarder

Les conseillers devaient faire un serment, un vieux serment qui était fait au temps jadis et que l'on remettait au goût du jour. Bien sûr qu'elle allait le faire, pourquoi ne l'aurait-elle pas fait ? Avant même de recevoir le message qui le lui indiquait, elle s'était présentée dans la salle de la cérémonie des allegeances et des serments. Surprise d'être la première arrivée, elle s'avanca et salua Llyr et Jiji d'un signe de tête appuyé. Ecoutant le premier, admirant l'attitude grognon du second... Elle osa tout de même demander lorsque tous deux se furent exprimés.

- Mmmh peut être en ce cas les conseillers non nobles devraient-ils commencer ? Ou puis-je m'avancer et faire serment suivi d'allégeance pour mes fiefs ?

Une question potentiellement stupide. Mais la Vicomtesse aimait les questions... Elle avait d'ailleurs tendance à en poser trop, ce qui participait à répandre comme une trainée de poudre sa réputation de grande chieuse. Mais bien sûr ce n'était pas là le seul élément. Attentive, elle attendit la réponse, prête à aller s'agenouiller ou bien a reculer d'un pas pour écouter les conseillers roturiers. Après tout ce serait l'occasion de s'approcher du buffet et de taper discute avec sa liège qui ne devait trop tarder... Ainsi qu'avec Zades.
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Dans une Touraine qui reprend peu à peu des couleurs, après un hiver en noir et blanc; surtout blanc bien sur. Les plaines se bleuissent d'herbe pâle tandis que les arbres demeurent d'immobiles silhouettes décharnées, les branches se balançant entre les premiers oiseaux dégelés et le vent encore trop frais.

Dans les villes, les rouges museaux pointent aux portes, les fontaines offrent à nouveau leur mince filet liquide, les pavés se montrent moins farceurs et rares sont ceux qui permettent de battre des records de voltige sur caniveau.

Dans la capitale, enfin, au cœur de ses rues provinciales, voici des jours que les habitants, certains seulement, les plus courageux et observateurs, peuvent assister aux va-et-vient d'une forme informe flottant de ruelles en places. Un sac de toile grossière, épaisse et mitée, tachée, raccommodée. Un sac brunâtre, aux plis obtus, un sac avec des jambes. De courtes guiboles qui dépassaient d'en dessous, allant bon train. Ce sac ne se contentait pas que de jambes; il avait aussi des bras, de long tubes de laine anthracite, d'où nulle main ne pointait. Et on pouvait même, avec de l'imagination, se dire que ce sac avait une tête, ou du moins quelque chose entre la capuche et le rempart de tissu qui tenait lieu d'écharpe.


Emmitouflée, enrubannée, ficelée par nombre de frusques les plus variés en matière et en couleurs, quoique ternes dans l'ensemble, Prudence avance avec... prudence. Ses vieux souliers glissent dans les flaques où les crottes de bétail flottent ou émergent comme autan de barques le long de la Seine.

De par ruelles et places, donc, ce petit bout de fille de même pas six printemps, dont seul le bout du nez dépasse de ses vêtements, évolue inlassablement à la recherche de l'Auberge du Blason, laquelle n'a pas l'air décider à apparaître pour l'instant. Guidée par sa ténacité et un bienheureux hasard, Prudence marchait depuis l'aube dans le quartier rupin, gravitant autour du Palais Ducale, réduisant peu à peu son orbite, se rapprochant de la poterne, jusqu'à se retrouver mêlée à une arrivé de fèves parmi lesquelles elle se glisse, pénétrant à son propre insu dans la place. Fèves et mioches déchargées, elle poursuit ses déambulation, avant d'être attirée par les armoiries lui rappelant un certain tabard.

Au fil du hasard, le sac de trois pommes arrive dans la salle du trône, camouflée au milieu des surplus de tissus virevoltant de la foule qui manque de l'effaroucher a chacun de ses pas. Avec la proportion non négligeable de couleurs de Touraine qu'il y avait dans cette salle, il faudrait une sacrée guigne pour qu'elle se soit trompée de chemin. De derrière la tenture ou elle a pris position, Prudence dissémine l'eau de ses chaussures en mince filet qui serpente entre les dalles. Elle lorgne d'envie l'âtre ou une grandiose flambée lui cuit les joues qu'elle sent rougir et même briller. La petite enlève enfin son bonnet mité et se dégage de son amas de frusque humide, révélant une trogne rougeaude, au joues pommelées, des cheveux fins en bataille devant ses yeux invisibles. Elle lève les bras pour les dégager de ses vastes manches, ses petits doigts bleus tenant fermement un bout de parchemin, miraculeusement sec. Ses yeux aux aguets, elle cherche avec conviction ce que seule la Providence pourrait lui accorder. Son regard obnubilé autan par les flammes que part un grand personnage, haut en couleur, portant tabard de Touraine, et surtout... Yeux gris, cheveux rouges, grand, visage av... avem... qui sourit. C'est Llyr.

Enfin, Prudence s'avance à l'encontre du Héraut fort affairé, s'arrêtant a seulement quelques pas de lui, en retrait, espérant qu'on la remarque...


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La mioche sourit et son regard dissimulé pétille. Aussitôt elle tend le bras et le parchemin qui se trouve au bout.

Bongour meusieur. J'vous ai trouvé ! S'suis Miette. Y'a ça pour vous. Faut le lire vite. Et aussi ''Gne m'escuse'', voilà...

A l'intérieur du plis, griffonné de bien peu lisible façon, des traits escarpés aux lignes épaisses, tachées par une main lourde avant que l'encre ne sèche :

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Håkon se présenta dans la salle du trône. Il devait faire son serment en tant que conseiller ducal. Non noble, il semblait devoir passé d'après la discussion qu'il entendit en entrant dans la salle. Il se présenta donc et adressa un regard au Duc pour savoir s'il devait s'avancer. Dans la mesure où aucun noble ne semblait être prêt à faire son allégeance, Håkon s'avança et salua le Duc qui n'était autre que la tête de sa liste aux élections ducales. Il ne connaissait pas beaucoup Hijikata mais s'entendait plutôt bien avec lui, une fois les choses mises au point. Il prit la parole d'une voix claire et forte, le regard dans celui du duc.

- Votre Grasce, je me présente à vous en tant que conseiller ducal, Bailli de par votre volonté.

Moi, Håkon von Ahlefeldt-Oldenbourg, Conseiller ducal de Touraine renouvelle la reconnaissance en tant que Duc que je vous aie accordée lors du vote initial.

Moi, Håkon von Ahlefeldt-Oldenbourg, Bailli Élu de Touraine, sur les Très Saintes Écritures, devant le peuple de Touraine et devant Dieu, jure et fait serment d'être un conseiller ducal exemplaire, de faire preuve d'assiduité et d'être le plus compétent possible dans le domaine dont vous m'avez donné la responsabilité. Je devrais servir les intérêts des tourangeaux avant les miens. Je serais présent à chaque réunion, à chaque crise. J'irais au contact du peuple, que je défendrais de toutes les manières possibles dans les limites de mes engagements ecclésiastiques, si la Touraine était en danger.

Je jure devant Dieu et les Hommes d'accomplir mes taches dans la meilleure entente possible et de faire en sorte de faire progresser la Touraine en exerçant mon devoir de conseil. Le Conseil ducal est un et indivisible. Ainsi, je jure de ne point l'attaquer dans ses fondements en public, instillant ainsi faiblesse auprès de nos ennemis.

S'il advenait que je renie ce serment, que l'on me considère parjure et traitre à ma parole. Je devrais démissionner alors et laisser ma place à un tourangeau plus compétent et animé d'une force plus grande que la mienne.

Håkon attendit la réponse du duc, son visage serein dans ses responsabilités. Il avait toujours été sincère dans son engagement et n'avait jamais renié une parole donnée, ce serment devenant alors la simple continuité de son action.
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Son meilleur ami, celui qui l'adorait a un point inimaginable, le dénommé Hans, fit rapidement son entrée, la Vicomtesse lui adressa un petit signe de la main puis regarda a nouveau la scène émouvante Jiji - Hakon qui se déroulait aux abords du trône ducal.

Soudain une voix plus que connue, reconnue, et aimée, se fit entendre. Le regard tourna alors comme au ralentit dans un élan d'amour et de joie mêlés. Imaginez cette scène sur fond de musique à l'eau de rose et cadre à fleurs délicates... Enfin, bref, la Vicomtesse reconnut son amie Zades. Elle voulut le crier, mais se retint de justesse en entendant les efforts de la MN. Souriante elle se contenta donc d'un :

- Jades ! Bonjour. Puis l'écouta lui proposer un autre verre d'une liqueur de framboise s'il vous plait.

- Oh avec plaisir ! Il ne me semble pas avoir déjà gouté ce... Breuvage.
Grand sourire qui eclairat les traits de la Vendômoise.

- Tu l'as sur toi ?
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L'Vénérable était donc present pour l'allegeance... tout était en place... Llyr à ses cotés... un peu de boisson... il n'aimait pas les choses qui comportaient quelques grammes d'ivresse... ça allait raler mais tant pis... une petite fille... le fauteuil.... une petite fille? Bien étrange fillette qui venait d'entrer dans la salle... parchemin tendu vers Llyr... une presque envie de regarder par dessus l'épaule pour lire... et ouais curieux... un autre defaut du Vieux Con... on ne se refait pas... mais cette fois ci impossible d'assouvir cette envie... la carrure du Heraut étant bien superieure à la sienne... il aurait du monter sur le fauteuil afin de pouvoir passer le regard au dessus de son épaule... bref... tant pis... entre temps Bitterly venait d'arriver dans la salle... comme à son habitude elle posait des questions... et devait surement lorgner sur le buffet afin de compenser sa chasteté par du vin... elle allait etre deçue...

Pendant ce temps la lecture continuait... missive des plus importantes semblait-il... le Heraut prenant en charge la petite fille des la lecture terminée... il allait murmurer à Llyr comme quoi il ne savait pas que celui ci avait une fille... precher le faux pour savoir le vrai... mais une personne penetra dans la salle... obligation d'abandonner sa curiosité pour se concentrer sur ce qui allait se passer... il s'agissait de Messire Hakon, bailli et responsable du port de la capitale... il était la pour le serment du conseiller envers le peuple de Touraine... le medicastre de Duc y tenait... s'engager envers les personnes qui les ont élu était le miminum... ils étaient la pour servir le duché... pour servir ses habitants... la quasi l'unanimité du conseil l'avait compris et allait se presenter devant lui... quel mal y avait-il a ne pas vouloir s'engager a etre un bon conseiller... obscure... peu importe...

Il hocha la caboche lorsque le conseiller Hakon termina son serment.

Je vous remercie Messire Hakon, vous etes le premier à le faire.

Encore un arrivant... pas le temps de tailler un bout de gras... voila Hans arrivait... Hans... Vieux de la vieille de Touraine... souvent croisé dans les couloirs de l'université... et qui ces temps apprenait au Duc à distinguer les étoiles... il lui rendit la salutation de la main... pourquoi restait-il si loin... avait-il comme objectif le buffet lui aussi... bien étrange l'ambiance dans cette cérémonie... des gens par ci... d'autres par la... peu osent s'approcher... meme Jades qui d'ordinaire si expressive n'avait daigner s'approcher de lui... ça le laissait perplexe le Vieux mine de rien... seule chose qui ne change pas... elle s'était rapidement rendu vers la boisson...

Petit regard vers Llyr... faut dire que le Vieux ne bougeait pas une oreille... pas d'impairs lors de la cérémonie... et lui murmura...

Petit verre Llyr en attendant les arrivés et les passages?
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Tandis que la chieuse aux cheveux bruns parlait avec "Zadeuuuuuuuuuuuh", elle écouta d'une oreille Hijikata, le Duc s'il vous plait, qui remerciait Hakon pour finir par attendre le conseiller ducal non noble suivant. Quelques secondes tout juste après, Kref faisait son entrée et... Se dirigeait vers elle.

L'accueillant d'un sourire elle lui répondit rapidement.

- Bonjour Kref ! J'ai l'impression que cela fait une petite eternité que je ne t'ai vu ! J'espère que tu as amené ta flasque avec toi... La boisson n'est que peu abondante ce jour comme tu peux le voir... Enfin si on excepte les boissons non alcoolisées evidemment. Passer après moi ? Oui bien sur si tu le souhaites. Enfin pour l'instant il nous faut attendre que les conseillers non nobles aillent prêter serment. Tu sais cette vieille tradition ? Jij... Euh Hijikata sa grasce magnifique, l'a remise au gout du jour... Donc il nous faudra patienter un peu, sauf si tu es pressé, je suppose que tu pourras dans ce cas, t'avancer un peu avant.

Regard vers Jades tandis que Senctus s'avançait pour prêter serment à son tour.

- Je ne te présente pas Jades, je suppose que tu connais notre actuelle capitaine.

Et rebelote.

- Et que toi Jades tu connais Kref, notre intendant au chateau, entre autres multiples fonctions.

Un petit sourire puis elle glissa a son amie :

- Et cette liqueur de framboise dis moi ?.. Car j'ai fini mon verre...

Au même instant la fin des paroles du surnommé "clown" resonnaient dans la salle. Bitterly nota avec amusement que Senctus passait après son grand ami. Allait-elle passer après Elissan ? Un fin sourire se déssina sur ses lèvres a cette pensée puis elle reporta son attention sur Kref et Jades.
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Elle était impressionnée par la salle, trop peut être même. Elle ne regardait pas vraiment où elle marchait, et plus d'une fois elle faillit
percuter l'une ou l'autre personne. Tomber aussi, mais jamais elle ne le fit. Son père lui avait demandé, comme à tous les autres conseillers, de preter serment, et c'est ainsi qu'elle se trouvait ici.

Elle s'exposa alors aux différents regards et autres commérages, un peu sur son âge, parfois. Elle faisait mine de rien écouter, de regarder droit devant elle, vers le duc. Puis quand elle arriva à destination, s'agenouilla. Une fille qui est en génufexion devant son père, la situation était cocasse pour elle qui n'avait pas pour habitude de le respecter totalement, étant souvent en conflit avec lui, mais pas tant que celà tout de même.

Moi, Natsuki, par la presente, main posée sur le livre des vertus,
et devant le peuple de Touraine et devant Dieu, jure et fait
serment d'estre un conseiller ducal exemplaire, de faire preuve d'assiduité
et de d'estre le plus compétent possible en mon domaine.
Je devrais servir les intérêts des tourangeaux et non les miens.
Je serais présente à chaque réunion, à chaque crise. J'irais au contact du peuple,que je défendrais en prenant les armes si la Touraine était en danger.

Je jure devant Dieu et les Hommes d'accomplir mes taches dans la meilleure entente possible et de faire en sorte de faire progresser la Touraine.
Le Conseil est un et indivisible. Ainsi, je jure de ne point l'attaquer en public, instillant ainsi faiblesse auprès de nos ennemis.

S'il advenait que je renie ce serment, qu'on me considere parjure et
traitre à la parole donnée. Je devrais démissionner et laisser ma place à un tourangeau plus compétent et animé d'une force plus grande que la mienne.

Puis elle se releva et parti dans un coin de la salle, vers un endroit où elle était plus à l'aise.
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Besoin de m'écrire ou à mon perso ? Utilisez le forum, moins de soucis de point.....

Un léger frisson parcoure l'échine du maître d'armes tandis que les doigts gelés de son élève lui effleurent la nuque. Et déjà il pousse le second, ou troisième, il ne sait plus trop, soupirs de la soirée en ayant droit à l'entrée en matière de la jeune insolente.

Tssss... Ellesya, arriveras-tu un jour à me saluer de manière normale?
Je ne demande même pas la version gentille, juste normale.

Et méfie toi du vieux loup qui donne l'impression de somnoler, il pourrait encore te surprendre. Cela dit tu ne respires pas la joie de te retrouver ici toi non plus...

Hans bougonne pour la forme, râle un brin et lance quelques regards désolés, ou plus ou moins faussement exaspérés. Réactions habituelles au petit jeu auquel ils aiment se livrer tous les deux, mais finalement comme à chaque fois il est plutôt content de la voir. Surtout que c'est devenu plutôt rare ces derniers temps. Au moins un visage apprécié pour lui tenir compagnie comme ça, ne le laissant pas seul au milieu du bal des casse-noisettes -oui car le si aimable et affable germain n'aime pas beaucoup les gens, dans leur grande majorité il les trouve énervants, pour rester poli.

Hum tu n'as pas raté grand chose. Hijikata a remis au goût du jour le serment des conseillers. Ceux qui n'ont pas de fief en Touraine défilent donc à la chaîne devant le duc pour ouvrir la danse. Tiens d'ailleurs j'ai aperçu Hakon en tête de file tout à l'heure, mais je ne sais pas s'il traine encore dans les parages.

Ensuite je suppose que ce sera du classique. Le premier agenouillé a gagné, et certains vont encore jouer des coudes pour être débarrassés plus rapidement.
Pour les rares qui feront le déplacement bien entendu. Les piles de courriers scellés ont tendance à vite s'amonceler dans ce genre de cérémonies...

Le regard clair avise ensuite la table située à deux ou trois pas de son poste d'observation, avant de se reporter sur la petite Valkyrie.

Tu tombes bien finalement ma grande. Puisque tu es debout, peux-tu, s'il te plait, m'apporter de quoi rincer mon gosier desséché?
J'ai la désagréable impression que les breuvages alcoolisés ne sont pas légions, mais si tu arrives à me trouver un verre, avec quelque chose de "buvable" à l'intérieur, cela me conviendra parfaitement.

Et pour encourager sa serveuse de luxe, le baron de Ligueil lui donne une petite tape sur les fesses, en l'orientant vers le buffet tout proche. Oh juste un contact tout à fait amical hein, au bruit à peine marqué et si bref qu'on ne peut y déceler aucune caresse ou geste plus ambigu. Simplement un mauvais réflexe sans doute...

Allez hop hop hop! On se dépêche votre grâce. J'ai soif.

... ou l'art consommé de chercher des ennuis plutôt. Ca ne doit pas être pratique de se curer le nez avec un moignon, mais le lochois ne prend pas ce genre de considérations en compte avant d'agir désormais.
Il arbore un air parfaitement innocent, affiche un sourire angélique, et adresse à la duchesse bafouée un regard mi-amusé mi-désolé, semblant lui dire qu'à son âge avancé on peut se permettre quelques familiarités, qu'il ne faut pas le gronder trop fort, et qu'elle n'a qu'à faire comme si ce n'était pas si grave. En plus il n'a pas amené son épouse, le dragon est resté à la maison, donc il n'y a pas grand chose à craindre.

Faut bien qu'il se venge lui aussi. Et pour les bêtises ou l'audace fort malvenue, pas sur que le plus vieux des deux soit le moins pourvu.

Hans ouvre tout de même une dernière fois la bouche -qui sera peut-être effectivement la der des ders, l'ultime parole du condamné- et rajoute à mi-voix, sur un ton plus chaleureux, un petit...
Merci Ellesya.

Avec un clin d'oeil complice pour essayer d'emballer le tout et de ne pas provoquer de réaction trop vive chez la fille de la Louve.
Espérons qu'à force de trainer à Rome elle a appris à se maîtriser en toutes circonstances...

Elle poussa la porte de la salle, intimidée, plutôt habituée aux lieux saints qu'aux salles de cérémonie quelles qu'elles fussent. Elle osa quelques pas, salua timidement les gens reconnus et, après un temps d'hésitation, se dirigea vers Hijikata. Si elle avait bien compris elle devait prêter serment avant les nobles de Touraine. Elle avait apporté un exemplaire du livre des vertus au cas où il ferait défaut au moment propice mais elle constata que tout avait déjà été prévu afin d'effectuer un serment dans les règles.
Un sourire timide se dessina sur son visage et elle s'agenouilla devant le Duc :
Moi, Hermine Hanke, par la présente, main posée sur le livre des vertus, devant le peuple de Touraine et devant Dieu, jure et fait
serment d'estre un conseiller ducal exemplaire, de faire preuve d'assiduité et d'estre le plus compétent possible en mon domaine.

Je devrai servir les intérêts des tourangeaux et non les miens.
Je serai présente à chaque réunion, à chaque crise. J'irai au contact du peuple que je défendrai avec les armes que m'autorisent mes fonctions ecclésiastiques.

Je jure devant Dieu et les Hommes d'accomplir mes taches dans la meilleure entente possible et de faire en sorte de faire progresser la Touraine.
Le Conseil est un et indivisible. Ainsi, je jure de ne point l'attaquer en public, instillant ainsi faiblesse auprès de nos ennemis.

S'il advenait que je renie ce serment, qu'on me considère parjure et traitre à la parole donnée. Je devrai démissionner et laisser ma place à un tourangeau plus compétent et animé d'une force plus grande que la mienne.

La diaconesse se releva, se demanda un instant si elle devait attendre une quelconque réponse et se retira dans un coin de la salle ; préférant se fondre dans la masse des personnes présentes.
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[Je ne passerais pas là, tu passeras par ici et BOUM]

De l’union de tous nait une seule est grande entité nommé nous. Hein…quoi… comment depuis quand une fille ça pense. Lourde pensée qui s’agite alors que la Montbazon, confortablement assise dans son siège moelleux à souhait comme le veut la tradition avec ce nouveau conseil. La plume à la bouche, les jambes croisées, la main libre qui tapote négligemment sur le bureau avec un vélin noircit par les idées que la jeune femme avait pour la Prévôté. Sachant qu’elle aimait avoir plusieurs choix et écrivait comme la lumière infusait en elle, l’écriture partait souvent en entrelacement de lettres. Un art en soit, vu qu’il fallait décrypter l’incompréhensible langage.

Le corps qui fait basculer la chaise d’arrière en avant, jusqu’à qu’émerge une folle invention de sa part. Les yeux s’écarquillent, la plume glisse de ses lèvres au vélin et voilà que le siège à bascule s’immobilise dans un vacarme. Sa main glissa griffonnant ce qu’elle soumettrait le lendemain à la maréchaussée, police et ce qui en suit. Des couinements vinrent à elle, une grimace déforma peu à peu son visage angélique (en tout cas elle aimait le croire). Pour une fois que la Montbazon était sérieuse voilà que des souris venaient troubler la frêle concentration. D’un geste des bras, la brunette repoussa le siège du bureau et se dirigea droit vers la porte. Dans un geste tendre et sans animosité aucune, le regard émeraude bondit d’un serviteur plus silencieux que jamais à une drôle de bonne femme. Inutile de parler, ils savaient ce que signifiait « le regard ».

On vous attend, encore.

[Une biche courant dans les ruelles]

Une petite course à travers des couloirs, elle ne voulait pas être la dernière, pas encore. C’était bien pour cela qu’Al commença par un pas rapide pour poursuivre en accélérant et terminant par une pointe d’essoufflement. Tout un art d’éviter l’ultime heure et de se montrer sous son jour tête l’air ad vitam aeternam. Un souffle de plus, la Montbazon était enfin arrivée dans la fameuse salle. Un regard rapide dans la salle, il y avait déjà un peu de monde, la jeune femme salua l’assemblée tout en se frayant un chemin vers le buffet. La brunette commençait dangereusement à mourir de faim, à force d’être sous des piles de parchemin elle en oubliait de manger.

Dans une grande discrétion, la Sale Gosse passa derrière Bitter et Cie pour manger en paix un fruit, cette fois elle pourrait le manger. Les pupilles qui tombent sur les verres que tenaient le trio, humant légèrement l’air. C’est que cela sentait drôlement bon, la jeune femme secoua sa caboche, il fallait rester concentrer à remplir son estomac. Hermine prêtait serment, elle trouverait bien un moment pour s’y faufiler elle aussi.
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Haussement d'épaules. Froncement du bout du nez. Air vaguement détaché et angélique.

Loup, certes. Vieux, tu le dis toi même. Tu sais que ce ne sont pas ces braves bêtes qui peuvent m'effaroucher. Et puis, si je tombais dans la platitude polie, tu serais déçu tout autant.
Ainsi la mauvaise conscience ne m'effleure même pas...

...et avec raison ! Ajouta t'elle au vu de ce qui suivait.

Quant à mon humeur... ce sont des soucis de jeune héritière que tu trouveras tout à fait futile. Je t'en fais donc grâce, rassure toi.

Elle se plaça, toujours debout à coté de lui alors qu'il lui résumait le début du spectacle auquel ils devraient participer le moment venu. D'ailleurs le moment semblait plutôt au défilé des conseillers.

J'ai remarqué pour les courriers. Cela m'a étonné. Si le ron ron des allégeances n'est pas des plus passionnants, il n'en reste pas moins que c'est le moment pour les membres de la noblesse de se croiser. Du moins pour ceux qui ne fréquentent pas les mêmes cercles.
Si certains sont en mission ou en voyage, il est tout de même dommage que d'autres ne fassent jamais le déplacement. Enfin, je ne suis pas en leurs demeures pour juger de leurs raisons.

Vint la demande, peu courtoise mais acceptable venant d'Hans, de lui servir à boire. Elle allait répondre que, par égard pour son grand âge, elle acceptait, lorsqu'il se permit de lui "flatter l'arrière-train".

Et oui, Hans peut remercier Morgwen et surtout Kreuz de l'avoir éduquée comme il sied à dame de son rang même si souvent elle jouait à passer outre.
Sans cela, elle se serait vengée de manière scandaleuse et de manière à ce que tout un chacun ne puisse l'ignorer. La violence n'est pas la seule arme. En tout cas pas la plus délectable...

Faisant mine de n'avoir rien remarqué devant l'assistance, elle arbora le sourire serein et doux par excellence, cueillit le regard complice d'Hans et s'en fut prendre un verre de jus dont la robe pouvait se confondre à l'un des crus du terroir si l'on n'y met le nez pour chercher les arômes alcoolisées.
De retour devant le vieux à ménager, elle lui offrit puis posa une poigne d'acier sur le poignet du germain.

Cher baron, si l'un de cette assemblée avait remarqué ce geste, j'aurais été contrainte de regagner mon honneur en vous défiant. Cela aurait été dommage... Nous ne sommes point en taverne ou seuls.

Je crois pouvoir dire que vous avez assez honorer le maternel fessier que pour laisser le mien en paix. Surtout si ce n'est pas pour assumer ensuite les libertés que vous désirez prendre.

Ne serait-ce pas triste que l'on me pense fille facile comme certaines -même si j'ai cru comprendre que parmi la noblesse de Touraine, on faisait peu cas des commandements de l'Eglise en ce domaine ? Ou injuste que l'on imagine une intimité débridée que je n'ai jamais connu?

Ton lent et étrangement tranchant, malgré le regard toujours garant de l'attachement qu'elle lui porte, peut-être du ou à cause de quelques souvenirs cuisants de la Maison d'Armes ambacienne que la jeune femme n'a pas encore éteints.
Elle le relâcha et reprit le verre.

Boudicca arriva à cet instant. Elle sourit à la Dame des Roches Saint Quentin.

J'espère que vous allez bien. Je m'excuse, je reviens. J'ai promis à notre vénérable baron ici présent de lui faire servir un verre de vin.

A Hans :

Je vous laisse méditer pendant que je vais vous chercher un autre verre.

Elle but une gorgée de jus et tourna les talons pour ne revenir qu'avec un verre de vin pour le Baron de Ligueil et un autre pour Boudicca, qu'elle tendit avec un sourire indéfinissable.
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Boudicca sourit à l'expression d'Ellesya.

Ma foi, je vais bien et ne suis pas trop envahi de dossier de procure pour le moment. Je vous laisse donc rapporter un breuvage pour l'assoiffé baron!

Elle laissa partir la jeune duchesse puis s'adressa à Hans:

Je suis également ravie de cette rencontre, messire. Il ne tient à peu de chose de se rencontrer dans d'autres circonstances plus légères et moins ampoulées. Il suffit parfois de forcer un peu les choses.

Elle remercia Ellesya pour le verre qu'elle gouta avec délice. La jeune femme salua ensuite Hakon, dernier membre du clan.
Jetant un regard, de temps à autre vers le duc, Boudicca remarqua enfin une accalmie dans le défilé des serments. Il était temps qu'elle s'y inscrute.


Il est temps que j'aille preter serment à mon tour. Je vais donc abandonner pour quelques instants cette charmante compagnie.

Elle posa son verre vide sur la table la plus proche puis se dirigea vers le duc Hijikata. Elle s'agenouilla devant lui.

Messire, me voici pour vous preter serment.
Moi, Boudicca d'Arkan, Dame des Roches Saint Quentin, par la presente, main posée sur le livre des vertus,
et devant le peuple de Touraine et devant Dieu, jure et fait
serment d'estre un conseiller ducal exemplaire, de faire preuve d'assiduité
et de d'estre le plus compétent possible en mon domaine.
Je devrais servir les intérêts des tourangeaux et non les miens.
Je serais présent à chaque réunion, à chaque crise. J'irais au contact du peuple,
que je défendrais en prenant les armes si la Touraine était en danger.

Je jure devant Dieu et les Hommes d'accomplir mes taches dans la meilleure
entente possible et de faire en sorte de faire progresser la Touraine.
Le Conseil est un et indivisible. Ainsi, je jure de ne point l'attaquer en public,
instillant ainsi faiblesse auprès de nos ennemis.

S'il advenait que je renie ce serment, qu'on me considere parjure et
traitre à la parole donnée. Je devrais démissionner et laisser ma place à un
tourangeau plus compétent et animé d'une force plus grande que la mienne.

Elle attendit ensuite la réaction du duc.
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Comment s'étonner que la jeune Louveterie soit au courant de la petite coutume liant l'ancienne et illustre jouteuse et au Champion d'Amboise, celui qui l'accompagnait la majeure partie du temps aux tournois ? Les gens, cela jase, surtout les petites gens du service. Si cela fut une exception, Sya n'en aurait sûrement jamais entendu parlé mais cela faisait partie des secrets de Polichinelle de sa Maison. Il y avait d'ailleurs bien d'autres rumeurs sur tous les membres et dont la véracité ne pouvait être assurée.
Toujours était-il que la petite peste avait trouvé judicieux de faire le rapprochement et de lui signifier.

Mais point l'occasion de confirmer à Hans qu'elle ne faisait nullement la tronche, même si cela faisait partie de ses tendances naturelles. A Boudicca, venait de s'ajouter l'arrivée d'Hakon. Elle sourit à ce dernier alors que le vieux baron de Ligueil ajoutait :

Finalement les lieux semblent moins mornes et déserts qu'à l'accoutumée. Il nous reste une chance de ne pas trop nous ennuyer.

A quoi elle répondit par une moue dubitative et un froncement de nez exprimant sa contrariété.

Tu fais preuve d'un optimisme qui m'étonne. Moi je crains que quelque soit la bonne compagnie, si le duc continue à faire passer les conseillers devant le nez des nobles présents alors qu'il s'agit d'une cérémonie d'allégeance, je serais finalement tentée de rejoindre ceux que je critiquais il y a quelques instants. A savoir qu'il aura une missive.
Je ne tiens pas à prendre racine inutilement mais pas plus à jouer des coudes avec les conseillers.

Sur ce, elle termina son verre regrettant qu'il ne s'agisse d'alcool.
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Un sourire amusé accueillit la question de sa prude préféré. Elle fit un signe à l’un des page en présence, pour une fois qu’elle connaissait l’un des gens du duc, et celui-ci vint discrètement apporter la bouteille voyageuse.

Oui oui je connais kref.
La voici bitter. Hum tu ne la vide pas.

C’est à ce moment qu’elle vit sa nièce faire son entrée. Et telle l’alouette qui venait s’abreuver elle vint rejoindre le groupe les yeux rivé sur le breuvage. Hum plus rien a mon retour pensa t-elle. Elle laissa les deux folles ensembles puis vint à son tour se présenter devant le duc et s’agenouilla.

Votre Grâce.
Nous, Jades de Montbazon-Navailles, Capitaine de Touraine par votre volonté. Recevez ce jour notre serment devant le peuple de Touraine d'être une conseillère ducale exemplaire, de faire preuve d'assiduité et d'être des plus compétentes dans le domaine que vous nous avez confié.
Nous servirons les intérêts des Tourangeaux avant les notre. Nous serons présente et défendrons chaque instant la Touraine et pour son Peuple. Nous assumerons chaque acte fait, chaque parole prononcée.

Nous jurons devant Aristote d'accomplir nos tâches dans la meilleure entente possible et de faire progresser la Touraine.
Le Conseil est un et indivisible. Ainsi, nous jurons de ne point l'attaquer en public, instillant ainsi faiblesse auprès de nos ennemis.

S'il advenait que nous renions ce serment, soyons parjure. S'il advenait que nous renions ce serment notre démission vous sera remise.
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Lunatique, sans nul doute. Aussi sourire que moue mais jamais fausse, Ellesya accueillit le duc nouvellement élu d'une légère révérence lorsque celui-ci s'approcha de leur petit groupe.
Sa raison de bouder s'était donc envolée le temps à peine de la formuler.
Et puis honneur aux dames, pensa t'elle, en jetant un regard à Hans dont les manières de rustre n'étaient pas aussi profondément incrustées en lui qu'il aimait à l'affirmer.

Je vous remercie, votre Grâce. Je formulerais volontiers mon serment puisque vous nous y invitez.

Les mots furent à peine prononcés qu'une dame s'en vint les couper dans leur élan.
Impassible, Ellesya attendit sans pour autant reculer que réponse soit faite et place libérée. Elle glissa toutefois un léger sourire à LLyr avant de reporter son attention sur le régnant et accessoirement séminariste.
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Zebra avait pris le temps de repasser par son Château de Bourgueil avant de revenir à Tous pour l'allégeance au nouveau Duc. Il s'était changé et avait repris ses habits de couleur, délaissant pour un temps sa tenue de militaire.

Entrant dans la salle, il remarqua un nombre inhabituel de personne, et ma fois, fort peu de nobles encore présent. Lui qui pensais être en retard.

Néanmoins, cette faible présence de la Noblesse Tourangelle le chagrinais... Les usages se perdait.
Etant loin des premiers arrivés quand même, il se dirigea vers le buffet... un peu réduit pour attendre et observer quel ordre de préséance était de mise, car il semblais qu'un certains cafouillage avait lieu au tour du Trône ou son vieux médicastre avait pris place.
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Zebracolor, Duc des Roches l'Evêques, Baron de Bourgueil

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Par Soucis de cohérence la signature ne reviendra qu'après la cérémonie de prise de fonction qui ne devrait tarder

il y a quelques semaines, en moins d une seconde ,le temps de déplier un parchemin signé de notre grasce llyr et paf ,mortecouille voila que notre bon bougre ce voyait bombardé noble hum euuuuuh pffff faut que je surveille mon language maintenant. je voulais dire que ruthenix avait eu l immense honneur de ce voir octroyer la seigneurie de sainct avit.mais devenait t on noble comme ca ,en un claquement de doigt? il sentit sur ces epaules la lourdeur de ses nouvelles responsabilités et effacer une vie a parler comme un charretier ne serait pas facile. il lui faudra du temps

qui qu il en sois,désormais ce serait donc ruthenix de montignac ,seigneur de sainct avit ,il avait pris possession de ces terres et de son chateau hum euh ou peu etre faudrait plutot dire de ses jachères et de sa ruine car il y a bien longtemps que l ancien propriétaire avait quitté les lieux.ca sentait presque l arnaque . une rumeur voulait que le dernier seigneur de sainct avit fut le tres controversé cuculus ,grand maitre des lucioles .il faudrait que ruthenix éclaircisse ce point avec llyr .
,ruthenix c etait donc retiré sur ces terres et passait la majeure partie de son temps a remettre en état les champs et le chateau avec l aide des paysans qu il enguirlandait sans repos.
il avait également donc prit connaissance de ses nouvelles responsabilités et obligation .
-obligation de vivre noblement,fini de péter dans ces braise quand bon lui semble ,il lui faudra désormais serrer les fesses . fini son ane,il avait du acheter un fier destrier reménoussa II. fini le vieux costume de son grand pere,bonjour la tenue pimpante tenue de cérémonie toute neuve sortie des meilleurs tisserands de chinon
-obligation de faire allégeance au nouveau duc .c est donc dans cette perspective que ce matin la il monta sur son ane . refléchit quelques secondes arf les habitudes quand je vous dit... ,puis il en redescendit pour monter que dis je? pour chevaucher sa nouvelle monture vers tours .

arrivé sur place ,avant d entrer dans la salle,il tira sur son costume tiré a quatre épingles , puis s entraina dans le vide a faire mult rond de jambes et courbettes ,il était stréssé et ne voulais pas passer pour un je ne sais quoi pour sa première cérémonie d allégence .

enfin il entra juste a temps pour écouter les directives de llyr .la il nota quelques mots latin au creux de sa main ,puis juste le temps de laisser passer une enfant ,il se dirigea vers le buffet .baissant la tète pour saluer les très nombreuses personnes deja la .les cervicales en vrac ,il apperçut la vicomtesse bitterly et s en approcha.

mes hommageuuux vicomtesse ,je dois pas vous cacher que je suis tres impressionné d etre ici et j espère que je puis compter sur votre aide pour ne point commettre d impair .d ailleur si vous le permettez ,je passerez apres vous afin que je puisse vous observer.
a ce propos j ai une question . j ai entendue notre grasce llyr dire que l allégeance est scellée par le baiser de paix ou accolade vassalique .si je comprend bien c est comme fromage ou dessert? je suis pas obligé d y rouler un patin au duc? parce qu a choisir je préfère l accolade hein?

Alberius était arrivé avec Leanice dans la salle des allégeances, il écouta les diverses personnes se présenter au Duc, et sourit à sa douce fiancée lorsqu’elle se présenta.
Le Duc l’ayant regardé, il s’avança :

- Nous, Alberius Von Strass, Seigneur de Resnay et Seigneur de la Ville aux Clercs, reconnaissons le Duc de Touraine Hijikata comme notre légitime suzerain.
Nous prestons allégeance et jurons fidélité, conseil et service.

Il attendit un instant que le Duc lui réponde.
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Après le résultat des élections et la fin de son mandat de maire de Tours, Gati avait prit quelques jours de vacances auprès de ...quelqu'un.
En agréablé compagnie, elle avait revisité Saumur, fait un tour a Loches, Chateauroux, et revient enfin dans sa ville. Satureia, l'actuelle mairesse, n'était pas très présente et les habitants semblaient inquiets. Courtes les vacances....

L'allégeance...
Elle aurait aimé la faire en première, en tant que sa suzeraine, ca aurait été sympa, mais bon les serments d'abord... bien qu'on sait tous, on le dit pour le protocole mais combien le pensent réellement...?
Elle entra dans la salle, elle avait prit un abonnement "rangs de derriere pour les retardataires", après tout elle en avait le droit, au début on est jeune, on se déplace vite, on est motivé, excité pour ces cérémonies, au bout d'une centaine, c'est lassant , et c'est bien meilleure après le commencement!
Le hic c'est qu'elle ne comprenait pas l'ordre de passage.
Elle vit Solange, toujours avec son abonnement "buffet pour ceux qui savent qu'ils vont s'emmerder", elle lui fit un signe de tête, hésitant entre la rejoindre ou s'installer, attendons réponse de sa part, peut-être qu'elle ne veut pas lui parler![/i]
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Zebra était encore fatigué.

Il soupira en regardant Alberius passer sans regarder devant Dame Ellesya...
Pourtant, on ne pouvais pas ne pas être éblouis...
Enfin..

Il regarda le sol et avisa un de ces insectes qui l'avait temps embêté durant les 15 derniers jours de son mandat de Duc. Alité, il les avait vu courir dans tout le château sans pouvoir réagir.

Du plat du pieds, il l'écrasa - crouic - et décida de sortir prendre un peu le soleil...
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Zebracolor, Duc des Roches l'Evêques, Baron de Bourgueil

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Solange l'invita a la rejoindre. Ca tombait bien, un ptit verre de Vouvray la tentait bien.
Elle s'avance discrètement, Hijy était en train de parler, et attendait l'allégeance de Sya. Elle comprit alors qu'Alberius venait de lui souffler la place. Ces petits nouveaux, fougueux vous disais-je...!

S'adressant a son amie d'une voix tranquille, pour ne pas se faire remarquer, c'etait pas le moment de se faire enguirlandaner par son vassal, euh son suzerain!!

Bonjour Solange!
Tu vas bien? moi je n'arrete pas de galoper a gauche a droite!
Alors toujours les meme têtes, mais je vois des petits nouveaux impatients
Elle regarda Alberius en souriant.
Tout en parlant, elle se servit a boire, comme si elle était a un banquet, convivial en somme!
J'ai rien manqué de spectaculaire je suppose...?
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C'est avec un réel plaisir qu'elle vit son amie s'approcher, alors que la duchesse d'Amboise lui souriait puis pouvait enfin s'avancer vers le duc.

Bonjour Gati, je suis heureuse de te voir, même si c'est toujours dans les mêmes circonstances.

J'ai entendu dire que Satureia avait repris du service à la mairie, ça faisait longtemps. Tu en profites donc pour courir partout si j'ai bien compris.

Elle la regarda se servir de vin.

Manquer quelque chose ? Hormis la bousculade des conseillers qui ignorent la préséance due à la noblesse, non rien de particulier j'avoue. Tu sais comment cela se déroule d'habitude.

Elle sourit
Cela va te faire bizarre de prêter allégeance à ton vassal toi, non ?
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A l'évocation de Barbe et de l'allégeance, elle se souvenait avoir suivi Gati de près et ne put s'empêcher un petit rire complice et approbateur.

Ah oui là je te comprends. Combien j'ai regretté de n'avoir usé d'un simple courrier ce jour là. Enfin, heureusement c'est du passé !

Espérons en effet que ça ne dure pas trop longtemps, c'est que les stocks de vin sont loin d'avoir l'air inépuisable cette fois !

Evoquant l'université, elle se mordit la lèvre.

Ce n'est pas toujours facile. Parfois devant la salle des cours, on dirait une bande de loups affamés pour qui l'on vient de déposer une carcasse de boeuf entière, et c'est à qui mangera le plus gros morceaux.

C'est surtout les cours de langues qui posent ce problème où les quelques étudiants théologiens n'arrivent que rarement à trouver de la place, alors que tous ceux pour qui ça ne sert à rien plongent dans la salle. Parfois, je me demande s'ils se mettent pas en planque pour surveiller quand j'ouvre la salle de cours !

La Duchesse d'Amboise en fait souvent les frais ... Elle joue décidément de malchance où même ici elle se fait bousculer.

Gati lui parlait de la Cour d'appel... à son grand étonnement.

Tu travailles à la cour d'appel ? J'ignorais cela. Ca doit être en effet assez prenant comme travail.

Bah tu sais, la Touraine on sait toutes deux qu'elle est passée par une longue période que je qualifierai de désastreuse ... et j'ose espérer que notre nouveau duc va lui redonner ses couleurs d'antan. Espérons qu'il ne se contente pas d'un mandat ! ajouta-t-elle en regardant vers le trône.
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La Duchesse d'Amboise semblait decidée cette fois ci à ne pas laisser sa place... elle se plaça devant lui... et entama son allégeance... il faut dire que ça lui faisait etrange au medicastre de Duc d'avoir une femme de son importance et aussi connue venir lui faire allegeance... mais la coutume reste la coutume... et c'est apres l'avoir laissé finir qu'il lui répondit cordialement...

Moi, Hijikata, Duc Régnant de Touraine, accepte votre épée, vos conseils et votre fidélité et vous accorde ma protection ainsi que justice et subsistance aussi longtemps qu'Aristote me le permettra, Duchesse d'Amboise et de Luynes, Vicomtesse de Montbazon, Baronne de Vouvray.

En suivant la protocole il devait maintenant faire son accolade vassalique... drole de maniere que ceci... il devait la considerer comme vassale de Touraine avant la professeur qu'elle était... les roles étaient inversés bien qu'on ne lui ai jamais demandé de faire ce genre de chose au séminaire Saint Louis... il en profita pour lui souffler tout doucement avant de se decoller d'elle...

Votre presence est un honneur pour moi, vous pouvez prendre le temps que vous voudrez, je ne me permettrais pas de vous presser.

Hochement de caboche... laissant la Duchesse vaquer à ses occupations... il n'allait tout de meme pas la retenir deja qu'elle avait eu la gentillesse d'attendre son tour fort longtemps... une oreille qui traine à droite... Solange qui taille un bout de gras avec sa suzeraine... coup d'oeil vers Llyr histoire de verifier s'il a bien respecter le protocole... bon l'est en train de voir quelque chose avec Alberuis... l'en profiterait bien prendre quelque chose à boire mais pas le moment de faire ça... hop... la machine est lancée... au suivant...
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le seigneur de sainct avit ne voulant commettre aucun impair ouvrait grand les mirettes . il tendait également les oreilles dans tous les sens ecoutant a droite a gauche des morceaux de conversations .une oreille pour notre grasce llyr ,une autre pour la vicomtesse bitterly .a ne pas douter si il avait pu se faire pousser une troisieme oreille sur le front ,il l aurait fait .mais d un seul coup la voie de bitterly attira toute son attention .elle avait dis le mot magique "tu veux gouter le truc a zade"

morteco..; euuuh je voulais dire fichtre ,diantre un peu que je veux le gouter.

il tendit son bras pour recuperer son verre

bon bien tu me rassures, sinon cac ,tu as l air de bien t en sortir hein ,moi ce qui me manque le plus c est tout ces ecus qui veillaient sur moi durant mon sommeil,depuis pffff je suis insomniaque . il se demanda alors quand viendrait son tour
c est toujours aussi long? j irai bien faire allégeance mais la vicomtesse du rivaux n est pas encore passé . je voudrai pas me faire enguirlander parnotre grasce llyr .j ai l impression qu il me surveille du coin de l oeil sans en avoir l air .puis entre nous je suis pas persuadé qu il m apprécit particulièrement

ruthenix attendit donc que la vicomtesse gatimasse veuille bien bouger ces vieilles jambes vers le duc pour qu il puisse lui emboiter le pas.
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Regardant son amie, étonnée qu'elle ne sache pas cela...!

Oui je suis en période d'essai encore, c'est assez difficile, mais présider en tant que juge a une cour royale, c'est très ...puissant!

Regardant Hijy et sa pile de courriers, le pauvre... franchement les nobles...

Toujours autant de courriers! franchement ca commence a etre agaçant, je trouve que c'est limite un manque de respect envers le peuple de ne pas se présenter au moins une fois de temps en temps! Et je ne parle meme pas du respect envers le régnant!
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Elle écoutait son amie lui parler de la C.A.

En effet, j'avoue que je n'étais pas au courant de cela. Ce doit être en effet très prenant.

Suivant le regard de Gati vers la pile de courriers, elle ne put qu'approuver d'un hochement de tête.

En effet, c'en devient presque grotesque. Que l'on envoie courrier lorsqu'on est éloginé, je peux comprendre, mais si l'on est pas loin, c'est un minimum de faire l'effort de se déplacer au-devant du duc.

Puis regardant Bitterly et les autres personnes arrivées avant elle.

Mais qu'est-ce qu'ils attendent là ? Je vais finir par y aller sans plus attendre si ça continue, on va bientôt voir le soleil se coucher et tout le monde semble attendre on ne sait quoi. Au premier arrivé, c'est au premier arrivé, il n'y a pas à chercher midi à minuit !
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Bitterly de son prénom, nullement le coeur à bloquer mais à aider son ami Ruthenix, attendait la réponse de ce dernier, évitant d'un haussement d'épaules les regards noirs tout juste dissimulés de la rectrice et de son grand ami le Val de Loire. Encore un qui lui reprocherait sûrement la pluie, la faim dans le royaume et Dieu seul savait quoi encore. Enfin, des Elissan en puissance, elle n'en avait cure.

Puisque Ruthenix semblait comme figé, puisqu'il avait dit être angoissé un chouilla, la brune s'approcha donc du trône histoire de "montrer l'exemple". Rester sérieuse, rester sérieuse, rester sérieuse, rester sér... Ca répétait rudement dans le crâne de la Vicomtesse.

Une fois le genou ployé, la tête légèrement inclinée, elle releva tout juste les yeux, regardant plutôt la couronne que les yeux du Duc, afin de ne point commettre d'impairs.

- Vostre Grasce, comment allez-vous ? J'espère que la cérémonie ne vous paraît point trop longue ?... Humhum. Moi, Bitterly, Baronne de Saint Paterne et Vicomtesse de Montoire, en ce jour, je reconnais Hijikata, Duc Régnant légitime de Touraine, comme mon suzerain et jure de lui apporter, autant que je le puis et autant qu'il le souhaitera conseils et protection. Bien evidemment, je lui jure à lui, mais surtout à la Touraine, une fidélité, une loyauté sans failles.

De même, en tant que Conseillère Ducale élue, moi, Bitterly, main posée sur le livre des vertus, et ici... devant le peuple de Touraine et devant Dieu, je jure... et fait serment d'etre une conseillere ducale exemplaire, de faire preuve d'assiduité et de d'etre le plus compétent possible en mes domaines. Je servirai les intérêts des Tourangeaux et non les miens. Je serais présente à chaque réunion et à chaque crise... J'irais vers le peuple, que je défendrais en prenant les armes si la Touraine était en danger.

Je jure devant le Très-Haut et le peuple d'executer mes fonctions dans la meilleure entente possible et de faire en sorte de faire progresser la Touraine... Le Conseil... est uni et indivisible. Ainsi, je promet de ne point l'attaquer en public, instillant ainsi la faiblesse...

S'il advenait que je contrevienne à ce serment, alors... qu'on me considere parjure et
traitre à la parole donnée. Je devrais démissionner et laisser ma place à un Tourangeau plus compétent et animé d'une force plus grande que la mienne.

La brune respira un coup. Non elle ne connaissait pas le serment des conseillers par coeur et avait du y faire quelques petites modifications involontaires, et alors ? Elle attendit que Jiji réagisse. Cela dit son pied commençait à dormir (comprendre avait des fourmis dans le pied).
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Voici que Bitterly s'avançait vers lui... le genoux à terre elle recitait son allégeance... il remarqua son regard et leva la tete pour voir ce qu'il y avait au dessus de lui... plissage des yeux... il l'écoutait attentivement... voici une ancienne duchesse juste devant lui... membre du conseil ducal...

Un sourire se fit sur son visage lorsqu'elle enchaina directement sur le serment du conseiller... que dire de plus... pas grand chose... la laisse terminer... l'invitant à se relever... ayant pitié de ses articulations...

Moi, Hijikata, Duc Régnant de Touraine, accepte votre épée, vos conseils et votre fidélité et vous accorde ma protection ainsi que justice et subsistance aussi longtemps qu'Aristote me le permettra, Baronne de Saint Paterne, Vicomtesse de Montoire.

Il s'approcha d'elle afin de faire la fameuse accolade vassalique... il avait plus souvent l'occasion de la voir dans des lieux peu recommandables et jamais il n'avait encore du s'approcher aussi pres d'elle... drole mine de rien qu'une chaste se permette de se coller ainsi contre lui... point de peur...

Il se retira et déposa une tape discrete sur l'épaule avant de s'exprimer envers elle...

Je te remercie pour ta presence et ton devouement pour la Touraine.

Petit regard circulaire... il avait interet à accelerer le rythme... sinon Llyr allait lui taper sur les doigts... hop hop...
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Et voilà que le Baron Hans avait prêté allégeance. Il restait encore au moins deux personnes à passer avant que Vallères et Saché soient de nouveau officiellement au service de la Touraine.

Burin se rapprocha de Gatimasse et de Solange pour se préparer à passer ... du moins si le duc le lui permettait.
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Ce fut au tour d'un des plus vieux du duché... Hans... une parole sage alliée à un fort caractere... ces gens qui sont toujours la en cas de besoin et qui savent se faire oublier le moment venu... une personne de confiance... le duché lui devait beaucoup... pionnier avec quelques anciens dans la navigation... il avait surement du quitter ses étoiles et son petit bateau pour venir ici... il n'allait pas le faire patienter quand meme... il savait ce que c'était d'etre appelé par des obligations...

Moi, Hijikata, Duc Régnant de Touraine, accepte votre épée, vos conseils et votre fidélité et vous accorde ma protection ainsi que justice et subsistance aussi longtemps qu'Aristote me le permettra, Baron de Ligueil et seigneur de Beaumont-Village.

Attendant qu'il se releve afin de faire la fameuse accolade vassalique... et comme à chaque fois... il trouvait tout cela fort étrange... mais bon chose était faite... il allait pouvoir retourner à ses petits bateaux... le chanceux...

Coup d'oeil... visiblement Solange semblait pressée... il faut la comprendre... elle était loin de son bureau de recteur... et oui mine de rien... un bureau des plus confortables ou on aime passer du temps... petit sourire envers la Vicomtesse... ça commencait a s'aglutiner autour de lui... va peut etre pas faire une allegeance de groupe quand meme... petit coup d'oeil vers Llyr... non va pas lui proposer... se remettant à sa place attendant le prochain sur la liste...
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Zebra regarda Kref, puis finalement, se fut Hans et Burin qui s'avancèrent, suivit par Solange, qui fit un signe à Gatimasse de la main.
Si Kref lui laissait le temps, il décida de passer après ces Dames
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Zebracolor, Duc des Roches l'Evêques, Baron de Bourgueil

Elle attendait sa réponse… Le temps lui parut soudain long, interminable… et elle leva les yeux vers lui, le vit faire une grimace. Que se passait-il donc dans la tête du vénérable ? Aurait-elle commis une erreur ? L’avait-elle blessé en évitant de le tutoyer en cet instant ? C’était pourtant un choix soigneusement étudié, afin de lui montrer tout le respect qu’il lui inspirait.

Enfin, il la releva et lui fit l’accolade vassalique, qui lui parut nettement plus… pour ne pas dire trop appuyée que le voulait la bienséance. C’est alors qu’il lui murmura quelques mots à l’oreille… Ces mots … cherchait-il à la déstabiliser ayant remarqué l’émotion qui l’avait envahie, voulait-il la faire enrager ou était-ce moqueur ? Elle se mordit violemment la lèvre, réfléchissant à l’attitude qu’elle allait adopter. C’est finalement très calmement qu’elle lui répondit en un murmure, avant qu’il ne s’écarte…

Je veux bien te laisser croire que tu es le seul à connaître cette ivresse. En vérité, personne ne sait vraiment si parmi tous ceux qui ont tenté un jour me séduire, l’un ou l’autre n’a pas réussi à percer mes défenses…

Elle le gratifia d’un léger sourire un rien moqueur, les yeux pétillants de malice. Nul dans la salle ne pouvait s’en apercevoir, et elle veilla à ne rien laisser transparaître de ses pensées lorsqu’elle se retira pour laisser la place à d’autres.

C’est qu’on ne la déstabilise pas aussi facilement la rectrice. Elle sait où elle mène sa vie et personne jamais ne pourra l'amener là où elle ne voudra se rendre... même un ami de si longue date. Du moins elle s'en persuade volontiers.
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Sourire en entendant la réponse murmurée par Solange... comme quoi elle ne se démonte pas... il esperait une plus grande réaction de sa part... dommage... il attendra de la voir en taverne pour continuer le papotage... mais treve de plaisanteries... un hochement de caboche pour lui signifier qu'il lui rendait sa liberté... à peine le temps de se remettre de son accolade avec Solange que voila sa suzeraine qui s'avançait...

Et comme souvent avec sa bavarde de suzeraine pas le temps d'en placer une... leger sourire sur le visage... ouais clairement ça fait drole... il y a quelques mois les roles étaient inversés... le petit discours terminés... entre mots officiels et mots officieux... premiere réponse tres officielle pour sa part...

Moi, Hijikata, Duc Régnant de Touraine, accepte votre épée, vos conseils et votre fidélité et vous accorde ma protection ainsi que justice et subsistance aussi longtemps qu'Aristote me le permettra, Vicomtesse du Rivau.

Puis des paroles sur un ton un peu plus confidentielles bien que le murmure n'était pas de mise...

Je te remercie de ton soutien et oui ça fait étrange. Chacun son tour.

Et de nouveau le moment de l'accolade vassalique... bon sa suzeraine il connait son parfum... ça date de vieux... quelques souvenirs lointains... et depuis ils ne s'étaient pas perdu de vu... tape amicale sur l'omoplate... bien des choses à dire mais pas vraiment le moment la quand meme... se retire lentement... un leger sourire sur le visage... bon va falloir accélérer la... sinon la nuit va tomber ils en seront encore la...
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Murmure pour répondre a sa suzeraine...

Sans soucis Suzeraine... nous ne reparlerons sans faute.

Releve la caboche... Llyr semblait s'impatienter... il faut dire qu'il n'était pas tres rapide il faut bien l'avouer...

Zebra l'ancien Duc s'approcha de lui... c'était a son tour... il avait été son Duc il n'y a pas longtemps et maintenant c'était le contraire... bon pas la peine... il n'arriverait jamais à s'y faire... il ecouta Zebra et lui repondit...

Moi, Hijikata, Duc Régnant de Touraine, accepte votre épée, vos conseils et votre fidélité et vous accorde ma protection ainsi que justice et subsistance aussi longtemps qu'Aristote me le permettra, Duc des Roches l'Evêques et de Bourgueil.

Pour le moment il ne s'était trompé dans aucuns titre et deja pas mal... il avait toujours eu du mal avec ceci... accolade vassalique... profite pour un petit murmure entre ami...

Et puis merci pour tes conseils, ils me seront fort utiles.

Un feudataire de moins... il ne voulait pas faire trop patienter mais cela semblait rater... il ne devait pas en rester beaucoup à cette heure ci... Ruth... Llyr... Burin... s'il n'oublit personne... mais aussi a répondre à la tonne de missives qu'il avait receptionné...
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Pas vraiment le temps de reflechir... qu'un etre qu'il connaissait depuis fort longtemps s'avança vers lui en tirant sur sa tenue pour la defroisser... il est vrai qu'ils se connaissaient depuis le jour ou le jeune Ruthenix arriva en cette bonne vieille ville de Chinon... ou il decida de devenir son sergent... puis son lieutenant lorsque le vieux était devenu prevot... que de temps passé... eux qui avaient été beau frere jusqu'a la mort de sa femme Nahomi mais ils étaient restés fortement liés...

Ruthenix... grand homme ayant travaillé pour la Touraine un nombre incalculable de fois en tant que bourgmestre de Chinon ou comme CAC pour le duché... brave gaillard n'ayant pas peur de pousser un coup de gueule... lui qui trouvait le moyen de raler sur l'état du domaine que le duché lui avait attribué... du Ruth tout craché...

Le voila maintenant un grand du duché... les choses changent... si cela n'avait pas été la procedure il n'aurait pas fait faire a Ruth l'allegeance... tous le monde sait qu'il est devoué à son duché... mais la convenance voulait que... alors le Vénérable Vieux Con ecoute le Ruth... sans le couper... en se mordant la levre en le voyant lire ses notes... il a pas pu s'empecher... pourtant que trois petits mots... il ne le coupe meme pas en ralant... ou en lui balançant un “l'Vieux Ruth fait gaffe a tes genoux mon petit”... rien... juste répondre officiellement...


Moi, Hijikata, Duc Régnant de Touraine, accepte votre épée, vos conseils et votre fidélité et vous accorde ma protection ainsi que justice et subsistance aussi longtemps qu'Aristote me le permettra, Ruthenix de Montignac.

Bon tenter de rester sérieux... moment de l'accolade... il aura préféré une tape dans le dos... un serrage de mains... mais bon... deux raleurs ensembles... s'ils se mettent a raler... donc pas un mot... une approche qu'il aurait pu faire la bave aux levres histoire de lui faire peur... mais non... pas le moment pour ça... juste une precieuse accolade à un vassal du duché de Touraine et à un ami... il ne restait maintenant que des derniers afin de conclure la cérémonie...
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Les missives avaient été donnée afin qu'elles soient envoyées... ça sentait la fin...

Je vais vous faire cela de suite Llyr et oui je veux bien pour la liste des noms bien que j'ai une petite idée la dessus...

Velin qui glisse une derniere fois sur un parchemin...

Missive rapide... esperant qu'elle convienne... la tendre vers Llyr... avant de scruter la salle qui se vidait... une chose de faites...
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