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[RP] Eglise Saint-Jean de Forcalquier

Olric.de.peyrac
Olric, en se promenant dans la cité arriva devant le parvis de l'Église. Il se hasarda à visiter l'édifice. Église poussièreuse comme dans la majeur partie de l'Empire. Il se signa dans l'allée centrale et genoux à terre, récita la prière des Aristotéliens.

Olric.de.peyrac
En ce dimanche du 13 Septembre 1457, Olric, vint pour assister à la messe. peine perdue. Il dut donc seul, louer le Seigneur

Olric.de.peyrac
Le semaines se passent et se ressemblent, toujours personnes pour te servir Seigneur.

Bloudas


Blou qui avait promis a son ami Olric de passer et arriva tardivement a l'église pour prier, elle savait qu'elle aurait dû passer plus tot mais la mine l'avais réclamé plus tôt. Ce qui fit qu'elle alla tout de suite apres se nettoyer et se rendit ensuite a l'église. Elle se s'installa pour prier et se signa avant de réciter le Crédo pour la 3 ieme fois cette semaine.

Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle

Amen

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Bloudas de Cianfarano du Mystraal

tisserande
Belissende_de_biel
C'est fatiguée et lasse qu'elle arriva a l'eglise .
Après être entrée et avoir fait le signe de croix , elle avança dans le sombre edifice religieux , seulement eclairé par les rayons du soleil qui filtraient a travers les vitraux...

S'agenouillant près de l'autel , elle se recueillie longuement , priant avec ferveur pour tous ceux qui avaient traversé son chemin, ceux qu'elle aimait et ceux qui desormais n'etaient plus .

Son esprit vaguabonda , se souvenant ....Salwa , Ylenia , Briochus , Zlina ...et tant d'autres ....
Elle resta là longtemps , perdue dans ses pensées , profitant du calme et de la fraicheur de l'eglise ...

_________________
Jenifael_du_mystraal
Zarco voulant prendre quelques minutes pour se recueillir se rendit à l'église.

Il entra doucement et en silence avança et reconnu la personne agenouillée... Il la rejoint en silence et arrivant près d'elle posa sa main sur son épaule... Puis prit place à ses côtés en silence et ferma les yeux.

Ayant une pensée sur son passé, ses épreuves de la vie,
le présent, Calli et les enfants, Bloudas qu'il venait de retrouver, Rethy l'ayant adopté et son annoblissement prochain...
et finalement le futur, sa tendre épouse lui ayant annoncé la bonne nouvelle d'un futur membre dans la famille...

Il resta un bon moment en silence et profitant de la présence d'une personne lui étant précieux, sa filleuile adorée...

_________________
Jenifael du Mystraal
fille de Zarco et Callishane
Belissende_de_biel
Sentant une main sur son epaule , Beli leva les yeux et sourit en voyant son Parrain prendre place près d'elle .
Ils n'avaient pas besoin de parler , ils etaient là tous deux , perdus dans leurs pensées , se souvenant des jours passés .....

Au bout d'un long moment passé côte à côte , elle posa la main sur celle de son Parrain et lui dit doucement :


Ils nous manquent Parrain , mais ils sont heureux là où ils sont ...
Ils veillent sur nous et nous ne les oublierons jamais ...


Le regardant , les yeux luisants de larmes , elle deposa un bisou sur sa joue

Allez , on va aller retrouver ceux qui font notre joie et notre bonheur , ils doivent se demander où nous sommes .
Al va encore croire que je fais la tournée des tavernes
dit elle en esquissant un sourire malicieux

Prenant le bras de Zarco , ils sortirent de l'eglise et retrouverent la chaleur des rayons du soleil ....

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Olric.de.peyrac
Olric venait pour la dernière fois dans l'Église de Forcalquier Devant partir avant l'aube vers son propre destin tracé par le Seigneur.
Il fut satisfait de voir que la maison du Trés Haut n'était pas complétement désertée.
Sa dernière Prière, il la dédia à Saint Grégoire et à l'amitié de Dame Bloudas.


Prière à Saint Grégoire


Ô Saint Grégoire
Eloigne de nous tous ces déboires !
Protège nous du péché,
Conserve de nous de la malhonnêteté !
Fais fuir enfin tous ces mensonges,
Et qu'enfin la vérité triomphe !
Leelou.
Sarada se faisait des plus discrète depuis déjà pas mal de temps ,ne sortant que pour faire son marché . Aujourd'hui ,elle passa devant l'église ,il y avait fort longtemps qu'elle n'y était pas venue et ne souvenait même plus de quand fut sa dernière messe . Elle poussa doucement la porte de l'église,le bois grinçât et le bruit résonna dans la demeure du très haut .Relevant d'une main le bas de sa robe,elle s'avançat en fesant attention à ne point salir le sol de la boue sur les pans de sa robe .Elle avait dans l'autre main quelques bouquets de fleurs abimées par l'automne naissant . Sur l'autel ,deux vases ,les fleurs étaient plus que fanés et elle se désola de ne pas etre venue les remplacer plus tôt . Elle fît un brin de ménage ,remplaçat les fleurs et après quelques mots adressés au Très haut ,elle prit le chemin de sa maison ,avant que son bien aimé Tommy ne se rende compte de son absence .
Madnight
Mad essayait de se rappeler de la dernière fois où elle avait prié.
C'était pour le mariage de Béli et Al, se souvint elle en souriant.
L'église de Forcalquier abandonnée par son curé, n'attirait plus grand monde à présent.
Mais ce matin là, Mad avait besoin de se recueillir, de se remémoriser les étapes de sa vie depuis son arrivée au village.
Elle poussa la grosse porte en bois de l'église qui grinça, alla s'assoir sur un banc et après s'être signée, elle joignit les mains devant son visage.
L'arrivée du cirque et des bohémiens avait fait ressurgir des bribes de souvenirs, mais avant eux, qu'en était il de sa vie ? Elle l'ignorait, son passé était enfoui dans sa mémoire, sa famille, ses parents ? En avait elle d'ailleurs ?
Elle aimait son village, ses amis, elle avait trouvé la paix. Jusqu'à quand ?
Plongée dans ses pensées, et le calme de l'église aidant, elle s'assoupit.
Jenifael_du_mystraal


Zarco revenant d'Avignon, de son bureau de la CSMAO, il s'arrêta quelques minutes à l'église pour se recueillir...

Poussa la porte et entra, pour ensuite se diriger vers l'avant et prendre place dans un banc... Restant longuement en silence, repensant à tout ce qui était arrivé dans les dernières semaines et surtout à l'année nouvelle approchant... Puis murmura doucement...


En cette journée de ta naissance Christos... Nous fêtons ta venue sachant les grandes choses que tu as faites pour nous...

J'aimerais te demander de prendre soins de ma famille... Tous les membres qui sont à Marseille et ailleur... et même ceux au loin à la guerre...

Mais avant tout, ceux près de moi ici en ce village.... Ma tendre épouse et ange gardien Callishane... et nos papillons... nos trésors... Chloé, Rhys, Jénifeal, Fleure et Guillaume... Je te demande de prendre soins d'eux et les protéger... Je ne suis pas toujours présent au moment où ils en auraient besoin, mais fait mon possible pour être le plus souvent auprès d'eux... Merci !!!


Puis il se leva et se dirigea vers les sierges qui brulaient doucement, déposa quelques écus puis en alluma un pour toutes les personnes disparues dans cette dernière année....

Puis se retourna pour prendre la direction de la sortie... et enfin rejoindre ceux qui l'attendaient à la maison pour fêter en famille....

_________________
Jenifael du Mystraal
fille de Zarco et Callishane
Belissende_de_biel
Elle avait traversé les rues du village rapidement pour se rendre à l'eglise .
Il faisait frais ce matin et elle s'etait enveloppée dans un grand châle couleur automne ... Le printemps allait bientôt montrer le bout de son nez , mais Beli avait la tête pleine d'horreurs entrevu sur les champs de bataille et elle n'avait pas la tête a mettre des couleurs joyeuses , contrairement à son habitude ....

Elle penetra dans l'eglise et alla s'agenouiller devant l'autel, son regard fixé sur Aristote .
Là elle pria ... Pour son epoux , pour ses ami(e)s , pour Max , pour tout ceux qu'elle aimait et appreciait et aussi pour la Provence et la fin de cette guerre .
Elle resta là un moment , perdue dans ses prieres et ses pensées , se souvenant du bon vieux temps , celui où tout etait calme et animé en même temps ...
Filomene2


Filomene, tout à ses regrets, se dirige à l'église afin de prier et surtout se repentir du mal qu'elle a fait à la personne qui lui est le plus chers à son coeur.

Elle y rentre et se dirige vers l'autel, s'agenouille et commence son repenti en priant le très haut qu'il lui pardonne sa faute, essayant de trouver réponse a son comportement et a sa déraison. Priant pour que tout reprenne place, cherchant de l'aide et la force de pouvoir tout dire, de changer son comportement et ne plus prendre sur soi, reprendre confiance en elle par la foi.

Se redressant, va mettre deux cierge pour ses parents qui sont près d'elle par la pensée.

"mes chers parents, que j'aimerai que vous soyez là pour me conseiller, je ne sais plus comment faire je ne sais plus quoi faire, je commet des impairs, je fais du mal a ceux qui m'entoure, aidez moi, je vous le demande, donnez moi cette force que vous aviez de pouvoir tout dire et ne plus garder en moi."

Rhys_sage


Vaillante..

Ou pas..

La jeune mère avait tourné dans toute la ville pour retrouver ses enfants..
A s'en épuiser..
Et elle ne les avait pas trouvé..
L'angoisse montait d'un cran à chaque seconde qui passait..

Aussi quand elle passa devant l'église, sa première idée fut d'y entrer..
De s'y ruer.. De supplier..

Si elle suivit le début de son idée, elle resta mesurée dans ses pas..
Il n'était pas dans son caractère de supplier..

Les yeux levés, elle ne s'était pas lassée de regarder le ciel.. de lui demander de lui rendre ses enfants.. en bonne santé..
Elle ne voulait pas plus..

Ou en fait.. si..

S'approchant de l'entrée puis pénétrant dans l'allée principale, elle chercha de quoi allumer toutes les bougies qu'il lui semblait utile d'allumer.

Embrasant mèche après mèche, elle laissa le tout faire prendre un peu de vie au monument.
Il jouait d'ombres et de lumières mouvantes.

A voix basse, elle souffla quelques mots..


Prenez bien soin d'une âme chère.. très chère..
Qu'au moins avec Vous, elle se sente heureuse.. et en paix..
Ma première bougie est pour elle..


Regardant les autres, elle pensa à son époux qui cherchait sans faille leur petite grande demoiselle qui avait du prendre soin de ses frères et soeurs comme de son cousin et sa cousine..
Elle alluma une autre flamme pour la convalescence de leur tante et de tant d'autres.. d'un côté comme de l'autre..

Elle laissa échapper un soupir et espéra qu'elle ne serait pas seule à faire ce qu'elle était venue chercher ici..

Soupirant de plus belle, elle alla s'asseoir un moment..
Elle n'était pas aussi remise qu'elle aurait bien voulu le faire croire à son époux.. et pas seulement de sa blessure..
Elle le savait.. et faisait comme toujours celle qui n'en avait cure..
Son but du jour était fixe.. le même que la veille..
Mais.. que ferait-elle donc après? ..
Alexandra1
Croulant sous le poids de la hache empruntée à M’sieur l’Maire à qui elle voulait bien la lui rendre après n’avoir pu faire mieux que de couper cinq stères de bois, convalescence obligeait, à défaut de se jeter du haut d‘un de ces nombreux arbres de la forêt. Genoux fléchissant sous la lourdeur, sueur perlant sur le front, tiens voilà l’Église Saint- Jean de Forcalquier. Enfin, la seconde, celle qui avait brûler un beau soir de dualité bien qu’elle n’en eu point connue d’autre avant celle là, peut-être n’en était pas en fait à sa seconde mais elle n’en savait rien au delà de ça. Toujours est-il qu’en l’apercevant elle se souvint avoir même écrit à Indy ce vagabond pour toujours, n’étant pas lui même aristotélicien par religion mais croyant depuis leur rencontre en Ais La Chapelle après avoir disserter sur la question, qu’elle n’avait pas encore été se recueillir, depuis sont arrivée en cette ville qui n’était vraisemblablement plus sa sienne, en ses lieux Saints. Elle avait pourtant promis d’adresser ses prières au Très- Haut afin que celui-ci protège son ami et guide ses pas. Maintenant c’était lui qui adressait ses prières au Très- Haut lorsqu’il en avait l’occasion, allumant en quelque lieux Saint un cierge en la mémoire d’une fidèle amie pour qui l’involonté de certains avait fait d’elle un dommage collatéral.

Ces pas s’étaient alors arrêtés devant l’édifice, au beau milieu de la rue qui avait permis à ces réflexions de se faire. La jeune femme gravit les quelques marches du parvis de l’Église, poussa la porte dressée devant elle où elle appuya son fardeau tout contre cette dernière pour l’en tenir ouverte. Un courant d’air jaillit parcourant la longue pièce faisant vibrer les flammes des chandelles allumées par quelques fidèles qui s’étaient sûrement présenter faute de clerc rendre hommage à Dieu. Sans doute en la mémoire des leurs blessés ou morts à la guerre. Scrutant l’endroit des yeux l’on pouvait lire la désolation sur son visage. Le spectacle qui rendait grâce en notre Seigneur ne l’honorait aucunement laissant poussière, saletés, débris de toute sorte, toiles d’araignées haut et bas tant dans les coins que sur les objets servant à célébrer les différents offices. Quelques baluchons contenant probablement les uniques effets de certains combattant tentant désespérément de panser leurs blessures de guerre n’ayant ni le sous ni le luxe de pouvoir payer un médicastre ou quelques soins que ce soit occupaient l’endroit abandonner à lui même. Des couvertures salles et trouées choiraient les bancs du Saint lieu alors que des toussotements mêlés à des râles puis des bruits de mouvements à même le sol sa firent entendre. Calmement après quelques enjambées elle se trouva devant ces êtres que Dieu avait doté d’une âme qui semblaient être là par l’errance que l’on pouvait lire sur leurs visage n’ayant pas d’endroit où se réfugier. Ils étaient sept. Sept valeureux soldats attroupés à même le sol planqués devant la première rangée de bancs afin de se cacher de toute présente inattendue par laquelle ils furent surpris n’ayant point le temps de cacher leurs effets alors qu’elle était entrée . Les sept hommes la regardèrent avec appréhension.


- Et bien bonjorn les Messires ! Je me nomme Alexandra, séminariste au Siège des Archevêchés d’Arles et d’Aix. Je suis enchantée mais comment vous nommes-t-on tous les sept ?


Puis à tour de rôle ils se nommèrent:

- Conviction

- Don de soi

- Tempérance

- Justice

- Conservation

- Amitié

- Plaisir

La séminariste fut drôlement étonnée de ces prénoms car dans la journée, elle avait procédé à une leçon portant sur l'Éclipse au coeur du voyage de Sypous ou ce dernier avait rencontrer l'opposé de tous les Archanges c'est- à - dire: les Princes- Démons incarnant tous un vice.


- Pardonnez mon étonnement mesieurs mais ... vous portez tous les sept le nom d'un Archange !


- Nous savons Alexandra ...

Elle était bouhe bée !

Et dire que j'étais venue seulement pour ...

Te recueillir en ces lieux saints ...

Stupéfaite ! Elle était stupéfaite !

Et puis après être entrée, voyant l'état des lieux ...

Alexandra faisait de plus en plus une drôle de tête !

... Je me suis dis ... ?

Qu'il fallait rendre justice à ces lieux ...

Ses oreilles en frissaient tellement elle ne l'en croyait pas !

Par un bon coup de nettoyage !

Comment avaient-ils deviner ?

Ensuite tu nous as entendu et c'est aussi à nous que tu t'es dis qu'il nous fallait un bon coup de nettoyage !

Sa mâchoire inférieure en décrochait de sa mâchoire suppérieure !

Mais ne t'inquiète pas Alexandra, à ton réveil tout sera nettoyer car nous le ferons ensembles dans la joie et la bonne humeure !

Pendant une courte seconde elle se dit qu'elle devait être en plein rêve alors qu'effectivement elle se réveilla sur sa couche.

La journée débuta dans une bonne humeur sereine où elle alla enseigner aux enfants à l’école de la ville. Elle se rendit en forêt où elle emprunta une hache au Maire pour couper cinq stères de bois comme à son habitude, ne pouvant faire plus vu son état de santé. Elle marcha pour rentrer à sa maisonnette où elle s’arrêta devant l’Église Saint- Jean de Forcalquier puis elle fit exactement les mêmes gestes que dans son songe pour enfin trouver les lieux passablement propres pour un lieu abandonner à lui- même pendant tout ce temps. Dans la joie et la bonne humeur, sereinement elle retroussa ses manches et nettoya du mieux qu’elle pu abandonnant ses dernières forces à cette tâche.

Satisfaite de son travail, la jeune séminariste pris place sur le premier banc où dans son rêve les sept Archanges s’étaient cachés assis à même le sol. Bien qu’elle n’était pas encore diaconesse, elle pensa aux fidèles du village pour qui un office devaient bien leur manquer depuis le temps qu’il n’y en avait plus eut. L’idée lui vint alors de proposer à qui le voudra bien de venir se réunir en ce dimanche prochain, entre croyant et fidèles, afin d’officier non officiellement en l’édifice saint. Un Crédo pourrait être réciter par tous les frères et soeurs présents à défaut de pouvoir célébrer une messe comme il se doit. Elle pourrait aussi offrir une oreille attentive à qui voudrait bien se confesser, bien qu’elle ne puisse donner le châtiment tel un curé. Une écoute entre aristotélicien afin d’aider à guider ceux qui en auraient besoin.

Ainsi avant de partir, elle placarda à l’endroit approprié une affiche devant l’Église que tous pourraient lire.






Citation:
Mes très chers frères, mes très chers soeurs,

Si l’office religieux vous manque, je vous invite à vous joindre à moi en ce dimanche onze avril de l’an de grâce mille quatre cent cinquante huit.

Bien que je ne sois pas encore habileté à célébrer quelque office religieux que ce soit pour un certain temps indéterminé, la jeune séminariste que je suis vous convie à vous joindre à elle afin de rendre hommage à notre Très- Haut en récitant ensembles notre Crédo, prière de notre foi aristotélicienne.

Je me mets à votre disposition en l’Église Saint- Jean de Forcalquier pour partager avec vous notre amitié aristotélicienne en toute modestie. À titre non officiel, il n’y aura pas de messe dite de par ma parole. Simplement le désir de se retrouver entre fidèles comme il se fait habituellement en présence de clerc en les dimanches consacrés aux prières adressées au Très- haut.

Cordialement vôtre,

Alexandra1 de Lauzane,
Séminariste au Siège des Archevêchés d’Arles et d’Aix.

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