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[RP] L'Auberge des Cinq Sens

--Le_boucher


Attiré par le bruit, le Boucher poussa la porte. Il fit un pas et attendit qu'on le remarqua. Il claque son bâton quelques coups au sol, sifflota un petit air lugubre. Et tout en décochant un large sourire à toute l'assistance il s'approcha de la tenancière.

Est-ce qu'on peut manger quelque chose par ici ? Le Boucher a faim !

Puis se retournant il arrêta son regard quelques secondes sur un individu qui semblait ne pas être un habitué. Il pensa : "il doit certainement y avoir quelques écus à se faire" puis sourit avant de se retourner vers la patronne.

Patronne ! J'ai beau avoir tout mon temps je n'en ai pas moins faim ! Et j'ai largement de quoi payer alors sert moi ce que tu as de meilleur. Et je veux à boire aussi, de ton meilleur tonneau. Et puis quand je serai plein, il me faudra un lit aussi. Et puis...

Il s'arrêta, balaya la salle d'un regard, se frotta le menton en observant les demoiselles présentes, puis se ressaisit.

Et puis... ça devrait suffire. Pour le moment.
--Achim_al_quasim



Le maure était resté de marbre, laissant le soin à la petite rouquine de se dépatouiller avec les détails sordides, se demandant encore une fois comme il l'avait fait tout le trajet pourquoi diable il l'avait achetée... Tout juste esquissa-t-il un semblant de sourire à la taulière, sans prendre véritablement le temps de la regarder.

Il lâcha la main de la jeune fille, les yeux légèrement vagues. De tous les bouges que la capitale devait receler, pourquoi avait-il fallu qu'elle le mène précisément dans celui là ? Achim inspira longuement, frémissant sous ses vêtements amples au souvenir de sa nuit passée à l'étage, avant de reposer ses prunelles ébènes sur la jeunette, la sentant défaillir contre lui après ces quelques mots chuchotés à son oreille. Une poigne ferme vient la soutenir alors qu'il tend l'autre main, espérant qu'on lui tende la clef et pouvoir enfin monter, se forçant finalement à prononcer quelques mots à son tour, d'abord à la taulière qui déjà semble s'éloigner vers les arrivants :


En plus du baquet, faites monter une collation pour la rouquine... Je vous prie..

Avant de se pencher lentement sur le minois défait de Swan. Je suis Achim Al Qasim Ibn Farad, chirurgien des universités de Bagdad et de Grenade... mais pour toi... Un sourire en coin se dessine alors sur ses lèvres et il poursuit un ton plus bas d'une voix rauque, resserrant l'emprise de sa main pour la presser doucement contre lui... Pour toi, c'est maître.
--Swan



Pas très loquasse le maure, mais après tout elle s'en moquait. Tout ce qu'elle voulait pour l'instant c'était son bain et enlever cette horreur qu'elle avait sur le dos. Le mot pour désigner les guenilles qu'elle portait était faible et même si elle n'était qu'une simple paysanne, elle s'était toujours habillé de façon plus que correcte et pas comme ça ...

Il venait de lui lâcher la main et elle allait aller chercher cette fichu clef quand elle chancela, son ventre grondant avec une élégance rare qui lui fit faire une moue dubitative ... Elle sentit alors une main puissante la soutenir et elle leva son regard clair sur lui en lui faisant un sourire gêné ...


En plus du baquet, faites monter une collation pour la rouquine ... Je vous prie ...

Pas très loquasse l'homme, mais attentionné et son sourire gêné se transforma en un sourire ravis ... Qui disparut presque aussitôt après les paroles qui suivirent ...

Je suis Achim Al Qasim Ibn Farad, chirurgien des universités de Bagdad et de Grenade... mais pour toi ... ... Pour toi, c'est maître.

Maître ?! Maître ?! Alors là ! Hors de question qu'un jour ce mot franchisse le bord de ses lèvres. Les Irlandais, était un peuple fier et elle ne dérogeait pas à la règle. Oublié le vertige qui venait de la faire chanceler, oublié les jambes en cotons qui la faisait défaillir. Se raccrochant à sa fierté, elle se redressa et en posant une main sur son torse se dégagea de lui en poussant sur sa poitrine ...

Elle se teint devant lui, fière au possible et le regard farouche, elle lâcha entre ses lèvres pincées ...


Alors là faut pas rêver hein !!!

Elle tourna les talons et partit derrière le comptoir pour prendre la première clef qui lui tombait sous la main. Elle regarda le numéro et les yeux plissés, les planta dans ceux d'Achim ...

Chambre 110 !! Vous venez, faut qu'on parle ...

Maître ?! Non mais là, il rêvait éveillé ... Elle agrippa le bas de sa jupe et monta les marches d'un pas rageur ... Maître !!! Jamais de la vie. Elle restait avec quelqu'un parce qu'elle le décidait et pas parce qu'elle venait d'être acheté ... Elle soupira ... Comment allait-elle se sortir de ce pétrin ? Il fallait absolument qu'elle trouve une solution, mais d'abord, il fallait qu'elle se calme ...

Sans regarder s'il la suivait, elle avait longé le long couloir qui la menait à la chambre et une fois devant porte, introduisit la clef, l'ouvrit et sans la refermer, entra dans la pièce ... Ce plaçant au milieu de la chambre et sans faire la moindre attention au décor, elle attendait de pied ferme son nouveau « maître » ...


________________
Swan
--Le_boucher


Le Boucher tapotait du pied. Avec le brouhaha qui envahissait le lieu et l'effervescence charnelle il ne savait plus où donner de la tête. Il avait tous ses sens en éveil et de la sueur perlait sur son front. Il ne savait pas si la patronne avait entendu et l'ignorait ou bien s'il lui fallait répéter. Le Boucher avait les nerfs sensibles et son bâton ne lui servait pas seulement qu'à se déplacer. Il le tâtait, mais finit par se retenir. Il patienta. Heureusement pour lui il avait en tête des idées assez noires pour le distraire.
Eddard.de.lancaster
Les propos d’Eddard semblèrent éveiller la vraie nature de la tenancière. Les yeux de cette dernière pétillaient à présent de malice et son sourire devint carnassier. Quant à lui, il demeura impassible.

« Mais que voulez-vous faire exactement ? Retirer les tueurs de la Cour des Miracles ? Enfin… Pour être franche, après tout croyez-moi ou pas, mais je ne sais rien de la Guilde du Chaos. Ils n’ont pas l’air très présent à la Cour où je suis revenue depuis peu… Quant aux Basilisk… Gardez bien ce nom en tête, oui. Ils risquent de prendre la tête de la Cour comme il se doit, quoiqu’il arrive. Peu nombreux pour l’instant, mais ils ont déjà de bonnes lames dans leur rang. »

Confirmation était faite. Cette jeune femme était un assassin sans foi ni loi. C’était le genre de personne dont il fallait purifier la Cour.
Rodrielle se leva pour aller s’occuper des nouveaux clients.
Une jeune femme à l’apparence frêle et innocente venait de faire son apparition. Elle semblait très inquiète et n’avait guère sa place en ces lieux. Tout comme lui d’ailleurs.
Un homme aux longs cheveux noirs et gras entra également. Il portait un bâton, sifflotait un air lugubre et faisait preuve d’une assurance ostentatoire.
Ses intentions ne semblaient guère bienveillantes et il lorgnait par trop la jeune femme aux cheveux blonds.
Toussotant, Eddard dégaina son épée et en déposa le plat sur la table. Se resservant un verre d’hypocras, il plongea son regard froid dans celui du Boucher et cela valait tous les avertissements.
Le message transmis, Eddard vida son verre et se leva, ne rengainant pas pour autant son épée et se contentant de la brandir légèrement.
Il se tourna succinctement vers Rodrielle et se dirigea ensuite vers la sortie.


« Je vous remercie de votre hospitalité. Nous nous reverrons, cela est certain. Mais peut-être l'endroit ne sera-t-il pas aussi plaisant la prochaine fois … »
Rodrielle
Face à la jeune blonde, la Tatouée se tourna une nouvelle fois vers Swan. La gêne de la rouquine l'amusa ; elle était encore jeune et surement ne savait-elle pas encore comment agir avec un homme tel que le beau brun à son bras. Un sourire s'afficha enfin sur son visage

Ne t'inquiètes pas, rouquine, il y a ce qu'il faut en haut.

Puis, suite à la demande d'Achim, elle hocha la tête.

Je vous amènerai ça d'ici quelques minutes. Comptez-sur moi

Nouveau sourire aux deux compagnons et, une fois qu'ils furent montés, Rodrielle se retourna vers la blonde qui commanda boisson et nourriture et faillit rire lorsqu'elle affirma qu'elle avait de quoi payer

Heureusement mam'zelle !
J'vous apporte ça de suite !


Et c'est là que la porte s'ouvrit pour laisser entrer un homme qui s'approcha de la Tatouée. Décidément, suffisait de peu pour la relancer cette auberge ! Rodrielle laissa donc le brun costaud et Eddard se jauger du regard en retournant derrière son comptoir pour servir tout le monde. Préparant donc sa petite popotte, elle ne releva la tête que lorsque le Costaud tapota du bâton et qu'Eddard se leva pour partir.

Cet endroit est toujours plaisant, qu'il y ait la bonne odeur du plat qui mijote ou l'odeur agréable du sang qui coule...

Sourire carnassier aux lèvres, ce n'est qu'à ce moment là que la Tatouée se déhancha vers la jeune femme et ensuite vers le Costaud pour leur apporter une assiette et une choppe de bière

Voilà voilà !
J'monte la même chose aux autres là-haut et je reviens.


Rodrielle attrape donc les autres plats, grimpe jusqu'à la chambre 110 et toque à la porte -ne sait-on jamais, voyez-vous ?- avant d'entrer. Elle déposa le plat et les choppes sur la petite table qu'il y avait dans la chambre puis se hâta de ramener un sceau d'eau chaude.

Questo è per voi.
Profitez-bien, on parlera écus ensuite. Ciao !


Rodrielle descendit enfin. Elle n'aimait pas réellement tous ces aller-retours, mais c'était pour le bien de l'auberge. Au moins, la Cour des Miracles revivait ! Il suffirait juste qu'elle trouve une serveuse pour l'aider et la remplacer lors de ses petites affaires... A voir. A cet instant, en tout cas, la Tatouée attrapa un verre de vin et s'appuya sur le comptoir. Elle tourna ses émeraudes tour à tour vers le Costaud et la Blondinette, puis leur posa LA question.

Alors, qu'êtes-vous venus faire dans notre belle Cour ?

_________________
--Le_boucher


Le Boucher avait suffisamment attendu pour différer un peu les explications de sa présence ici. Il descendit de moitié sa choppe, s'enfila sans prendre le temps de respirer son assiette, s'enfila le reste de bière avant de claquer la choppe sur le comptoir. Un sourire béat apparut alors sur son visage.

Il sorti de son mantel un foulard de soie brodé avec lequel il s'essuya les lèvres avant de le renfiler à sa place et de s'adresser à la patronne.


Je suis venu ici car j'ai quelques affaires à régler là haut, dans le monde des belles culottes bien propres. Pour cette affaire, il me faut du monde. Il ne s'agit pas de brigande ou de larcins ridicules. Pour ça j'ai assez de mon épée. Il s'agit de quelque chose de bien plus...


Il se racla la gorge, chercha le mot, cracha un filet de salive par terre et reprit.


... de plus distingué. Il me faudrait des baleizes qui manient le poing et la hache mais il me faudrait aussi quelques têtes pensantes. Je sais bien que dans ce purin les vieux clans prestigieux ont fini par tous crever... triste époque. Mais il doit bien en rester encore un peu... Une petite flamme qui puisse mettre le feu aux poudres.

Et justement, ce feu devrait être prêt pour la Saint Jean, histoire de donner une bonne leçon à la belle caste des enfarinés couronnés. Le temps est venu de leur montrer qu'ils ne sont plus les rois et qu'ils n'ont pas tous les pouvoirs.


En s'approchant de la patronne il lui fit un signe pour qu'elle s'incline et il lui chuchota.


De là où je viens, quand on parle de la Cour des Miracles on rigole, on se tape sur la panse. Plus personne n'en a peur. Les juges n'y croient même plus, les soldats en garnisons pour s’entraîner les lendemains de cuite vont taper sur des brigands. Avant je gagnais mon pain dans les tribunaux à défendre les maîtres du couteau et de la rapine. Aujourd'hui il n'y a plus que des couards, des frileux, des petites frappes...


Puis reprenant sa voix rauque.


Il est temps que les choses changent. Le monde est plein de gens qui sont prêts à se lever. Mais personne ne fait rien ! Voila pourquoi je suis venu ici, pour voir qui reste debout ici. J'espère ne pas être déçu. Et pour commencer je vais reprendre une bière.
--L_etoile


Une fois que la tatoué lui eu apporter de quoi manger après lui avoir dit qu'elle espérée bien qu'elle est de quoi payer elle demanda :

"-Alors, qu'êtes-vous venus faire dans notre belle Cour ?"

Elle alla ouvrir mais l'homme ouvrit la sienne avant.Elle attendit donc puis répondit enfin a la tatoué :

"-Ma famille est morte il y a peut je n'est plus besoin de travailler pour les faire vivre donc je suis venue trouver du travail ... "

Elle manga se que la tavernière lui avait servit et bu elle lui demanda enfin :

"-Combien j'vous doit?"

L'étoile se refuser a avoir des dettes elle avait déjà donner niveau dettes merci bien ! Elle avait eu beau assurer a Valence qu'elle venait au miracle pour revenir...
Et bien non ! La dague Made in miracle elle leurs ferait porter d'ici quelques années lorsqu'elle sera quelqu'un d'autre.
Il était temps pour la blondinette de devenir quelqu'un et non pas rester dans l'ombre.


"-Vous seriez où j'peut trouver un travail?"

Elle sortie sa bourse de sa robe et se prépara a payer la tavernière...


--Le_boucher



Le Boucher avait écouté le récit de sa voisine et dès qu'elle sortit sa bourse et la stoppa net et prit une voix douce et rassurante.


Jolie blondinette, il faudrait vraiment que je sois la pire des créatures pour rester sourd à ce que tu viens de dire. laisse moi payer ta part cette fois-ci. c'est de bon coeur. Et prend donc un autre verre.

Du travail, si tu veux, il y en a à quelques rues. Une sorte de taverne qui vient d'ouvrir... La Reyne à l'Envers. Vas-y donc voir. Sur l'entrée il est cloué une pancarte qui propose un travail.

Mais pour l'heure, tu vas rester encore un peu n'est-ce pas ? Au moins le temps de descendre une nouvelle choppe.
--L_etoile


Alors qu'elle se prépara a payer l'homme lui dit :

"Jolie blondinette, il faudrait vraiment que je sois la pire des créatures pour rester sourd à ce que tu viens de dire.
laisse moi payer ta part cette fois-ci. c'est de bon coeur. Et prend donc un autre verre.

Du travail, si tu veux, il y en a à quelques rues. Une sorte de taverne qui vient d'ouvrir...
La Reyne à l'Envers. Vas-y donc voir.
Sur l'entrée il est cloué une pancarte qui propose un travail.


Mais pour l'heure, tu vas rester encore un peu n'est-ce pas ? Au moins le temps de descendre une nouvelle choppe."


L'étoile fronça les sourcils ... des dettes? A peine arrivée ont lui proposer un boulot peut-être mais devoirs une chope également?Pas de sourire charmeur comme elle en avait temps fait mais un regard méfiant elle répondit :

"-Je .. si vous voulez bien je préfère payer ... des principes vous comprenez et puis ne dit-ont pas que les bons comptes font les bons amis? "

Elle inspira et continua :

"-Quand a cette taverne ... qu'entendez vous par "une sorte de taverne" ?"

L'étoile était méfiante ... "Une sorte de taverne" Se qui voulait dire?Ses yeux gris étaient légèrement plus foncé qu'a son entrée.

--Le_boucher


Le Boucher marqua une pause et prit un air revêche.


Des principes ? Parbleu, c'est bien la première fois que j'entends ça ici ! Mais soit ! Paye puisque tu refuses la main que te tend le Boucher. Mais si tu en veux des principes, apprend qu'on ne refuse pas quand le Boucher offre. Retiens bien cela parce que la prochaine fois ça pourrait te coûter plus cher.

Quant à la Reyne à l'Envers, c'est un repère, comme tous les culs pourris ici. Le patron y a quelques réserves de vin d'Anjou et de Gascogne que je lui ai ramenées en venant ici. Un marchand que j'ai croisé sur la route et qui...

Un sourire illumina son visage.

... foutu marchand va... il se pissait dessus ! Même avec le bide ouvert en deux il est parti en détallant, avec les trippes au vent...

Et si jamais le patron ne veut pas de toi, alors peut être qu'on pourra y discuter tranquillement toi et moi. Parce que le Boucher a toujours du travail a proposer.
Rodrielle
Appuyée contre son comptoir, le verre de choppe à la main, le regard félin, la Tatouée écoutait le premier interlocuteur, visiblement pressé de revoir la Cour des Miracles revivre. Décidément ! Rodrielle se redressa alors, posa son verre vide et planta ses émeraudes dans le regard sombre du molosse.

C'est marrant que vous m'disiez ça tiens !
La Cour des Miracles compte revivre rapidement. Sur qu'il n'y a plus un chien ici, ou que des nuisibles inutiles, mais cela va changer.


Rodrielle retourna à l'arrière de son comptoir, tout en parlant, et donna une nouvelle choppe au molosse et en fit une pour la blondinette qui ouvrit enfin la bouche. Attentive à chacune de ses paroles, et de celles du molosse d'ailleurs, Rodrielle attendit patiemment pour reprendre son laïus.

Tout dépend ce que tu cherches comme travail, aussi, mam'zelle.
Je suppose que le brun veut parler de la tenancière que cherche la concurrence...


La Tatouée grogna alors jusqu'à ce qu'elle ait une petite idée. "Mais oui, bon sang, mais c'est bien-sur !"

Enfin, si tu préfères travailler avec une femme... Et que ça te plairait de servir les clients, de les faire parler, i tutti quanti... Je veux bien t'embaucher. Selon ton prix.

D'ailleurs, en parlant de prix : l'assiette c'est 9 écus et la bière à 90 deniers.


Puis, se retournant enfin vers le molosse, elle reprit ce qu'elle lui disait auparavant. Lui faisant un sourire malicieux, elle parla un peu moins fort.

Les Basilisk. Le seul clan pour l'instant. Il se monte et se défend très bien. Tu cherches des bras ? Cherches à voir Valentine. Je ne sais pas s'il va venir, mais il nous représente correctement.

Et enfin -oui enfin !- elle se resservit un verre de vin et le but lentement, attendant les réactions de ses deux interlocuteurs.

_________________
--Le_boucher


Citation:
Les Basilisk. Le seul clan pour l'instant. Il se monte et se défend très bien. Tu cherches des bras ? Cherches à voir Valentine. Je ne sais pas s'il va venir, mais il nous représente correctement.


Valentine... hum... Moui, ce nom ne m'est pas inconnu. Et combien sont ils chez les Basilisk ?
--L_etoile


L'homme face à elle dit :

"-Des principes ? Parbleu, c'est bien la première fois que j'entends ça ici ! Mais soit ! Paye puisque tu refuses la main que te tend le Boucher. Mais si tu en veux des principes, apprend qu'on ne refuse pas quand le Boucher offre. Retiens bien cela parce que la prochaine fois ça pourrait te coûter plus cher."

Elle grimaça ... et il continua attentive elle écouta :


"-Quant à la Reyne à l'Envers, c'est un repère, comme tous les culs pourris ici. Le patron y a quelques réserves de vin d'Anjou et de Gascogne que je lui ai ramenées en venant ici. Un marchand que j'ai croisé sur la route et qui... "

Il marqua une pause et un sourire illumina le visage du brun drôle d'expression ...

"- ... foutu marchand va... il se pissait dessus ! Même avec le bide ouvert en deux il est parti en détallant, avec les trippes au vent...

Et si jamais le patron ne veut pas de toi, alors peut être qu'on pourra y discuter tranquillement toi et moi. Parce que le Boucher a toujours du travail a proposer. "


Elle sourit et répondit:

"-J'retient "

Rodrielle parla a son tour :


"- Tout dépend ce que tu cherches comme travail, aussi, mam'zelle.
Je suppose que le brun veut parler de la tenancière que cherche la concurrence...
Enfin, si tu préfères travailler avec une femme... Et que ça te plairait de servir les clients, de les faire parler, i tutti quanti... Je veux bien t'embaucher. Selon ton prix.

D'ailleurs, en parlant de prix : l'assiette c'est 9 écus et la bière à 90 deniers."


Immédiatement l'Etoile sortie 9 écus et 90 deniers et les tendit a la tatoué.Elle lui dit a la tatoué :

"- Se que vous m'décrivait doit être dans mes cordes... Quand a mon prix ça dépendra si j'trouve un endroit ou dormir "

Elle demander pas grand chose mais il faudrait bien qu'elle se trouve un p'tit chez elle aux miracle si elle voulait changer.Et aussi se trouver un nom.

--Nine_
[Dans la ruelle...Non loin...]



Suivre et ne pas la perdre de vue un instant…
Ça elle savait faire la Nine. Une môme ici ça passe inaperçue c’est comme les rats…
Le truc, c’est de ne pas prendre de coups de pied.Elle savait éviter la gamine.

Ils marchaient vite tous les deux…
La brunette esquissa un sourire, quand elle les vit s’engager dans la ruelle..Y avait qu’un endroit ou ils pouvaient aller.
La môme se planqua sous un porche en ruine et regarda le couple dévaler la rue.
Un léger sourire se dessina lorsqu’elle les vit s’engouffrer au « cinq sens ». Elle se demandait si la tatouée était toujours derrière son comptoir.
La dernière fois qu’elle l’avait vu, Rod lui avait proposé de travailler pour elle et lui avait donné du lait.
Du lait !!La grimace s’accentua…
Elle attendit un long moment et réfléchit sur ce qu’elle allait faire…

La silhouette d’un môme qu’elle connaissait bien se dessina et Nine bondit devant lui.
Un sourire aux lèvres, elle l’accrocha par l’épaule et murmura au creux de son oreille.
Le môme, regard brillant, opina du chef sans dire un mot et tranquillement se dirigea vers l’auberge.
Pour s’affaler devant une porte voisine …La planque continuerait sans elle un moment.
Elle avait besoin de vérifier deux ou trois choses avant de retrouver sa maitresse.

La balade qui les avait menés jusqu’ici avait provoqué quelques froncements de sourcils à la gamine.
La cour était relativement calme, mais depuis quelques jours les nuits étaient rouges et les ruelles bruyantes.
Et elle avait aperçu la pancarte d’une nouvelle taverne, plus haut dans le quartier…
Il est toujours bon de savoir qui est qui et Balgis serait contente de savoir…

Nine regarda une dernière fois l’entrée des cinq sens et esquissa un léger mouvement avec ses doigts vers le gamin qui matait la porte.
La consigne était claire.
Tu ne lâches pas la rouquine jusqu'à mon retour….
Le temps de mater la nouvelle taverne et de prévenir la patronne…
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