--Adalbert_coupgorge
A Bayeux l'Enchanteresse, ville de l'Amour et de l'Ivresse, ville magnifique où les citoyens vivent heureux et fier d'eux même et d'être de grands représentants de la grande nation de la Normandie. Tout y est beau et doux.
Tout ?? Non ...
Il y a un lieu où tout n'est pas aussi beau et aussi doux que ce que Bayeux et ses habitants veulent montrer à leur visiteurs. Au contraire même, les bayeusiens ont honte de ce quartier infâme qui pourrait salir l'image qu'ils veulent donner de la grandeur de leur chère ville. Ce lieux de débauches de déshonneur pour eux est la longue avenue des Teinturiers, dans les bas-fonds de Bayeux l'Enchanteresse.
C'est dans cette avenue que vit Adalbert Coupgorge, représentant typique du quartier.
Il était vêtu de longs haillons sombres et crasseux, vêtements terriblement éliminé par les mites et duquel émanait une odeur nauséabonde.
Il avait de longs cheveux filandreux où pullulaient la vermine et la crasse. La vérole envahissait son visage qui n'avait jamais été beau et ses dents n'étaient plus que chicots infâmes.
L'Avenue des Teinturiers était son lieux de naissance, là où il avait passé toute sa vie. Il le connaissait par coeur, tout les petits recoins lui étaient familiers.
Cette avenue était très longue et étroite, étant donné qu'elle était située beaucoup plus bas que les beaux quartiers qui faisaient la renommée de la ville, tout y était sombre et sale. Il n'y avait pas de lanterniers qui acceptaient de descendre dans les bas-fonds, ils étaient donc éclairé par les seuls rayons de la lune. Il n'y avait pas non plus de système d'égouts et donc pas d'évacuations, les ruelles étaient donc envahit d'immondice et d'eau croupie où pullulaient toute sorte de maladie.
Le crime régnait en maître dans ce quartier : tué pour vivre ou vivre en tuant, voila comment l'homme survit là bas. Il ne fallait pas se balader inconsciemment dans les bas-fonds sous peine de se voir égorger dans un coin sombre. Toujours se méfier des ombres. Les détrousseurs de bourses sont aussi très fréquents, c'est un moyen comme un autre de gagner sa croûte après tout.
Les femmes, qui ne rejoignent pas le groupe des détrousseurs ou des coupeurs de gorge, se font pour beaucoup prostituées dans les nombreux bars glauques installé dans l'avenue des Teinturiers, le plus connu étant le fameux bouge "Le Renard qui grince" tenu par la pulpeuse Anaïs qui était une bonne amie d'Adalbert, fameux guide, détrousseur et goupe-gorge du quartier. On pouvait s'y dégotter des femmes pour pas grand chose bien que la qualité et l'hygiène n'étaient pas les maîtres mots de la maison.
Adalbert était a ce moment précis a la limite entre les quartiers chics et les bas-fonds, fort occupé a se curer ses chicots noirs et tout spongieux avec la lame de son couteau rouillé et empoissé de sang, pas le sien bien évidement.
Les gens accéléraient le pas en l'apercevant et cachaient leur nez face a l'épouvantable puanteur du malandrin.
- Allez mes dames et messires, un peu de courage et venez vous aventurez dans nos quartiers. Vous verrez combien Bayeux est enchanteresse ^^
Malandrins et bandits, hommes et femmes courageux, je vous attend pour un voyage au fin fond de la vraie Bayeux, là où crime et débauche vivent en maître.
Un peu de courage, vous ne serez pas déçu !!
Tout ?? Non ...
Il y a un lieu où tout n'est pas aussi beau et aussi doux que ce que Bayeux et ses habitants veulent montrer à leur visiteurs. Au contraire même, les bayeusiens ont honte de ce quartier infâme qui pourrait salir l'image qu'ils veulent donner de la grandeur de leur chère ville. Ce lieux de débauches de déshonneur pour eux est la longue avenue des Teinturiers, dans les bas-fonds de Bayeux l'Enchanteresse.
C'est dans cette avenue que vit Adalbert Coupgorge, représentant typique du quartier.
Il était vêtu de longs haillons sombres et crasseux, vêtements terriblement éliminé par les mites et duquel émanait une odeur nauséabonde.
Il avait de longs cheveux filandreux où pullulaient la vermine et la crasse. La vérole envahissait son visage qui n'avait jamais été beau et ses dents n'étaient plus que chicots infâmes.
L'Avenue des Teinturiers était son lieux de naissance, là où il avait passé toute sa vie. Il le connaissait par coeur, tout les petits recoins lui étaient familiers.
Cette avenue était très longue et étroite, étant donné qu'elle était située beaucoup plus bas que les beaux quartiers qui faisaient la renommée de la ville, tout y était sombre et sale. Il n'y avait pas de lanterniers qui acceptaient de descendre dans les bas-fonds, ils étaient donc éclairé par les seuls rayons de la lune. Il n'y avait pas non plus de système d'égouts et donc pas d'évacuations, les ruelles étaient donc envahit d'immondice et d'eau croupie où pullulaient toute sorte de maladie.
Le crime régnait en maître dans ce quartier : tué pour vivre ou vivre en tuant, voila comment l'homme survit là bas. Il ne fallait pas se balader inconsciemment dans les bas-fonds sous peine de se voir égorger dans un coin sombre. Toujours se méfier des ombres. Les détrousseurs de bourses sont aussi très fréquents, c'est un moyen comme un autre de gagner sa croûte après tout.
Les femmes, qui ne rejoignent pas le groupe des détrousseurs ou des coupeurs de gorge, se font pour beaucoup prostituées dans les nombreux bars glauques installé dans l'avenue des Teinturiers, le plus connu étant le fameux bouge "Le Renard qui grince" tenu par la pulpeuse Anaïs qui était une bonne amie d'Adalbert, fameux guide, détrousseur et goupe-gorge du quartier. On pouvait s'y dégotter des femmes pour pas grand chose bien que la qualité et l'hygiène n'étaient pas les maîtres mots de la maison.
Adalbert était a ce moment précis a la limite entre les quartiers chics et les bas-fonds, fort occupé a se curer ses chicots noirs et tout spongieux avec la lame de son couteau rouillé et empoissé de sang, pas le sien bien évidement.
Les gens accéléraient le pas en l'apercevant et cachaient leur nez face a l'épouvantable puanteur du malandrin.
- Allez mes dames et messires, un peu de courage et venez vous aventurez dans nos quartiers. Vous verrez combien Bayeux est enchanteresse ^^
Malandrins et bandits, hommes et femmes courageux, je vous attend pour un voyage au fin fond de la vraie Bayeux, là où crime et débauche vivent en maître.
Un peu de courage, vous ne serez pas déçu !!