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[RP]débarquement a valence

Gabrie


Gabrie sourit, elle fut heureuse de pouvoir compter Waldi dans ses amis

Eh bien je suis heureuse de figurer parmi tes amis, je compte bien vivre encore un long moment.


Gabrie soupira d’aise, cela faisais longtemps qu’elle n’avait pas passé du temps en si bonne compagnie. Trop longtemps peut-être même.
Elle avait vieillis plus qu’elle ne le voudrait, surement à cause de ses long voyages sans voir personne a part ses enfants et une nourrice un peu morose.

Gabrie sursauta violemment quand quelqu’un ouvrit la porte brusquement. Reconnaissant Gwerad, elle soupira pour calmer son cœur affolé, et lui sourit.

Elle fronça malgré tous les sourcils quand Gwerad félicita son ami de ne pas l’avoir encore dévoré afin qu’il puisse s’amuser. Qu’est ce qu’un breton entendait par s’amuser avec quelqu’un ?
C’est sur cette penser qu’elle fut sorti de ses rêverie par le regard insistant de Gwerad. Lui lançant un regard interrogateur, elle attendit de voir ce qu’il allait dire.


Aucune idée de comment ils vont. Dès qu’on a été sur pied nous sommes partit bien vite. Et toi alors, je vois que tu a survécu aux armées mis en place. Gabrie lui sourit.

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Waldi41


le troll entendit un grand fracas de porte et vit son ami gwerad entrer dans la piéce .

Ah te voila enfin vieux brigand ! Il t'en a fallut du temps pour arriver jusque là !Heureusement que gabrie était là pour me tenir compagnie car tu sais bien que sinon je serais aller me terrer dans une grotte jusqu'a ce que tu arrive !enfin tu es là c'est l'essentiel .


Puis le troll fit un grand sourire a son ami et frére breton !il lui fit une grosse accolade pour lui souhaiter la bienvenue .Le troll était toujours en apparence ,mais c'est ce qui faisait sa force car au moins les casse pieds de services ne venaient pas lui prendre la tête ,de toutes façons il aurait eu le dernier mot car ils les auraient dévoré...

Sois le bienvenue mon ami ^^
Comme tu as pu le constater je nous ai trouvé une baraque où dormir un peu . La bouffe n'est pas mauvaise et surtout elle est pas cher !tu me connait quand je peux en faire raquer je suis toujours partant !


puis il hurla a l'aubergiste qui s'empressa d'apporter une barrique de Chouchen dans la chambre ...

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Gwerad
Gabrie lui avait confié qu'elles n'avaient pas trainé après être remises sur pieds, ce qui l'étonna venant d'une françoyse, paraitrait que le Domaine Royale est une "Terre Sainte". Sachant que c'est un françoys qui lui à dit ça, c'est donc encore un mensonge. Tous des hérétiques ces françoys, viré de taverne juste pour avoir parlé du Tout Puissant, aucune fête de fin d'année. La soit disant "Terre Saintes" l'est seulement pour les hérétiques. Mauvais souvenir qu'il en garde, c'est même de leur faute qu'il est autant la "rage".

- Moi, je passe où je veux, nul ne peu m'en empêcher. Les Royas ont pourtant fermé toutes leur frontières, j'ai traversé et me voilà. Il fit un grand sourire ravi.

Puis il s'empressa d'aller ouvrir la porte, c'est qu'on ne va pas laisser le chouchen à la porte, ça se fait sûrement en France mais jamais, au grand jamais en Bretagne, certes, ils sont en France, mais sont bretons.
Brigand ? Lui ? Non jamais, breton certes, mais pas brigand, ce serais un pêché.

Gwerad se tourna vers la françoyse, Gabrie donc, et la questionna.


- Vous êtes une noble, mais est-il possible d'en savoir plus ?

Gwerad ? S'intéresser à une françoyse ? Ben oui, elle est noble et vu qu'il vise les hauteurs. Nous verrons s'il est tout de même capable de courtoisie malgré qu'elle soit françoyse.
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Gabrie
Il avait réussi à passer les frontières. Étonnant, mais venant d’un breton cela pouvait être vrai, surtout venant de Gwerad.
Elle-même n’avais pas eu trop de difficulté à partir ensuite mais si sa avait été beaucoup plus longtemps après. Mais il lui avait tout de même fallu réclamer plusieurs laissé passer pour être tranquille.
De nos jours, circuler en France était devenu un vrai parcours du combattant. Heureusement personne ne lui avait opposé de résistance, et tant mieux car déjà elle n’avait pas été de bonne humeur de devoir attendre 45 jours avant de repartir de Reims.
Le reste du voyage avait été plus rapide, elle ne s’était presque jamais arrêter ce qui l’avait arrangé. Elle avait eu du retard à combler.

Voyant le tonneau de chouchen arriver, elle sourit. Rien que pour ça, elle était heureuse de compter parmi ses amis des bretons.
Grace à eux, elle pouvait boire souvent de ce délicieux breuvage. Il faudrait d’ailleurs qu’elle retourne en Bretagne car sa réserve commence à se réduire.

Gabrie s’interrogea pendant quelques seconde sur ce que Gwerad voulais savoir. Être noble n’avais pas changé Gabrie dans ses habitude ou dans ses fréquentation. Donc elle ne voyait vraiment pas ce que Gwerad voulais savoir de plus sur sa position.


En savoir plus sur quoi ? Sur ce que ça m’apporte ?
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Gwerad
La dame lui avait mandé sur quoi il voulait en savoir plus. Sur ce que ça lui apportait ? A ça non, il connait déjà la réponse, comme tout noble elle à droit à une grande maison, si ce n'est un château. Droit à une garde, et surtout à plein d'invitation de fête, qui dit fête dit forcément chouchen.

Gwerad lui répondit sur un ton d'évidence.


- Ba non ! Ce que je veux savoir qui est le françoys qui vous a anoblit. Je ne suis guère sûr que tout françoys soient anoblit par la même personne. Dit-il en souriant.

Puis il tournait autour de la table, comme un rapace, enfin, plus comme un loup affamé. N'allez pas vous faire des idées saugrenues, Gwerad est très croyant et n'iras JAMAIS se souiller à des actes interdit par le Tout Puissant.

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Gabrie
Ahh d'accord.

Gabrie se dit que soit elle n’avait pas compris au début ce qu'il lui demandait, soit s'était lui qui formulait mal car jamais elle n'aurait pensé que s'était cela qu'il lui demandait.
Elle se demanda également pourquoi il lui demandait cela et ce que cela allais lui apporté. Ne cherchant pas trop longtemps, elle se dit que cela n'avait pas d'importance et lui répondit.


C’est Urbs de Valorl qui m'a anoblit. Et non tout le monde n'a pas la chance d'être son vassal. C’est un grand privilège.


Gabrie sourit. En effet pour elle, c'était un privilège d'avoir été anoblit par Urbs de Valorl. Pour le moment elle n'avait pas réussi à lui montré sa gratitude mais elle espérait bientôt enfin réussir.

Un sentiment d'oppression, commença a monté en Gabrie quand elle se rendit compte que Gwerad lui tournais autour avec un drôle de regard. Elle connaissait ce regard pour l'avoir vu plusieurs fois dans le regard d'autres personnes lorsqu’elle était soldat. Un regard qui traduisait... de la convoitise?
Gabrie s'étonna, ça ne pouvait pas être cela. Que pouvais t'il bien convoiter? Elle n'avait presque pas d'argent et ça ne pouvait pas être elle-même, car elle savait qu'il ne désirait pas s'engager avec une femme.
Ne réussissant pas à comprendre, elle attendit.

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Waldi41


Le troll suivait la conversation de ses deux amis ,en trouvant que son ami Gwerad était de mettre fort malaise son amie Gabrie .il ne pu s'empêcher d'intervenir pour calmer l'ambiance .

Voyons mon ami Gwerad calme toi un peu on dirait un chien fou , ne va pas effrayer notre amie .

Le troll reservit un verre a ses amis et leur dit de profiter du bon repas que l'on était entrain de leur servir .le troll commençait a avoir une gros faim et devait commençait a casse une croute avant de ne plus répondre de lui .Cela faisait trop longtemps qu'il ne s'était rien mis sous la dent ,la faim le tiraillait de trop.Et oui le troll penser plus avec soin ventre qu'avec sa tête ce qui lui avait valut de faire des choses contraire a sa nature...

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Gwerad
Le Troll lui avait mandé de ce calmer en le comparent à un chien fou. Chien fou ? Lui, Ah ça non. Sa devise personnel n'est pas pas "Kentoc'h bleiz disuj marv, eget ki stag" pour rien. Bon, pour vous lecteur françoys, je vous la traduit, je suis plus aimable que mon perso, enfin, ça reste à prouver. Donc la traduction de cette devise est "Plutôt loup insoumis mort, que chien attaché". Il lui répondit donc pronto presto.

- Non je ne suis pas un chien fou ! Mais un loup qui cherche quelque chose à se mettre sous la dent. Nuance, le loup n'est pas esclave lui !


Il insista bien sur le lui. Puis se remit a tourner autour de Gabrie, tout en réfléchissant. Le nom de Urbs de Valorl, il le connaissait ! Pas parce qu'il à vécu sa jeunesse dans les rues qu'il est forcément inculte, Gwerad à toujours rêver de devenir noble, il avait donc étudié ce qu'il pouvait. Urbs, ancien Paire de France, l'un des rares, si ce n'est le seul, Paire à s'être rangé du côté des bretons. Il est même connut au delà des frontières du royaume de France.

D'un coup, l'expression de son visage changea, il rayonna comme le paradis solaire rayonnait sur cette terre. Comme aussi une idée avait illuminé se qui lui servait de caboche. Il fit un grand sourire en regardant Gabrie et alla se mettre derrière le Troll. Il prit sa tête entre ses deux mains et l'obligea à regarder Gabrie tout en disant.


- Sais-tu qui elle est ?! Avant même que celui-ci n'eut le temps de répondre Gwerad continua. Elle est vassal d'Urbs. Tu sais?! Ce françoys, Paire de France qui fût de notre côté.

Puis Gwerad passa derrière Gabrie et lui tira une joue comme le ferait une grand-mère, tout en mettant sa tête de l'autre coté de la sienne.

- N'est-elle pas mignonne pour une françoyse ?! Ont en croqueraient n'est-ce pas mon chère Troll ? Tu sais qu'elle peu nous aider à ce qu'ont nous écoute en Bretagne ?

Il lui lâcha pour se saisir du poignard de celle-ci tout en lui disant très très gentiment.

- Mais c'est qu'elle va être gentille cette françoyse qui va nous servir de monnaie d'échange !

Puis une autre idée lui venait, encore plus folle que la précédente. Pourquoi pas demander une rançon, à son suzerain et une autre à sa famille en plus de demander la restitution du manda de l'Orléannais ?
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Gabrie
Gabrie commençais a s’inquiéter de la tournure que prenais leur rencontre. D’abord il posait des questions bizarres puis insinuais des choses étranges. Gabrie commença a se demander si Gwerad n’était pas devenu fou pendant son voyage. Qu’attendais-t-il d’elle au juste ?

Plus les minutes passais, plus elle comprenait que la lueur qu’elle avait vu dans ses yeux étais bien de la convoitise. Mais pourquoi ?

Plonger dans ses réflexions elle ne le vis pas arriver et tirer sa joue. Elle s’écarta vivement. Et fut surprise d’entendre ce que Gwerad avais derrière la tête.


Qu…Quoi !!!?


Elle le sentit ensuite prendre son poignard tout en lui disant qu’elle allait leur servir de monnaie d’échange. Elle se retenu de justesse de lui rattraper la main sachant qu’elle pourrait, dans un réflexe, la lui briser. Elle se leva donc de sa chaise et se tourna vers Gwerad.


Il va falloir que tu m’explique en quoi je peux vous servir de monnaie d’échange et ce que ça t’apporterai. Et j’aimerais que tu me rendes mon poignard s’il te plait, il vient d’être forger alors évite de jouer avec.

Gabrie ne comprenait plus du tout ce qui se passais. Comment elle pourrait avoir une influence sur la bretagne ? elle n’y était jamais aller plus d’une journée et seulement de passage.

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Waldi41
Le troll ne comprenais pas tout a ce qui se passait , son neurone n'étais pas réveillé !

Mais! mais! calme toi Gwer ne va pas blesser mon amie Gabrie ,elle est si fragile et arrête de jouer avec son cure dent je te prêtes ma massue si tu veux jouer au grand ! Je suis sur que Gabrie peut comprendre ce que tu veux sans être brutale .

Puis le troll remit en place la porte que gwer avait démoli . On risque de prendre un mauvais courant d'air .

aubergiste elle est où la bouffe ? je commence a perdre patience , j'ai faim
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Gwerad
La demoiselle françoyse commençait à rendre peur, quel douce sensation qu'est la peur, Gwerad aimait ça. Des françoys qui ont peur, c'est le paradis solaire avant la mort. Elle voulait qu'il lui explique en quoi elle pourrait leur servir, depuis quant les françoys sont en droit de lui poser des questions du genre ? Lui avait-elle donné l'autorisation de poser des questions ? Il devait lui rendre son poignard, sous prétexte qu'il venait d'être forgé. Justement, fallait la baptiser cette dague, et Gwerad était l'homme de la situation. Il lui répondit simplement.

- Hey la françoyse ! Assit et pas bouger, c'est moi qui gère la situation. Puis il continua plus faiblement. Depuis quant les françoys sont capables de gérer un enlèvement ? Pfff, j'vous jure !

Le Troll qui semblait ne pas encore avoir comprit lui manda de ne pas blesser Gabrie, qu'elle était si fragile. Là il décrocha. "Fragile ? Un françoys ? C'est encore mieux alors !" Pensa t-il. Le troll lui avait proposé sa massue, pour jouer au grand, il n'en a pas besoin, sa hache est bien meilleur à ses yeux.

- Depuis quant les françoys comprennent en douceur ? Y a qu'avec des coups qu'ils comprennent ces bestios là !

Lorsque le Troll hurla à la bouffe, Gwerad lui répondit sans attendre.

- Ont à ce qu'il faut ici, y a même le couteau de fourni avec pour découper la viande.

Il disait ça en regardant Gabrie, je pense que vous avez tous comprit ce qu'il veux dire par là, bien entendu il ne le fera pas, l'est pas cannibale le breton, ce serait de l'hérésie. C'était juste pour faire peur à la françoyse.
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Gabrie
Il lui donnait des ordres ? Elle crut rêver. Comme si il croyait qu’elle allait lui obéir. C’était bien mal la connaitre.

Parce que tu crois peut être que je vais t’obéir ? Pour qui me prends-tu ?


Gabrie secoua la tête et essaya d’étudier la situation. Apparemment Gwerad voulais se servir d’elle pour quelque chose et même la forcer. Etudiant rapidement les deux hommes, elle essaya de savoir si elle avait des chances de réussir a sortir de la chambre avant.

Gwerad avait une hache mais n’était combattant, il sera donc facile a Gabrie de ce débarrasser de lui. Le problème viendra de Waldi. Lui étais un combattant cela se voyais a sa façon de se positionner et vu sa carrure, Gabrie savais que c’est chance de le battre était faible.

Cela l’attristais de penser a combattre un ami et une personne qu’elle pensait avoir comme ami. Mais s’il le fallait, elle le ferait.


Avant de parler de coup, j’aimerais bien que tu me parle de ce que tu veux de moi. Sa serai plus simple tu ne crois pas ?


C’est alors que Waldi appela l’aubergiste pour avoir a manger. Gabrie leva les yeux au ciel. Décidément rien ne perturbais l’estomac de Waldi. Et Gwerad qui en rajoutait en disant qu’il pouvait la manger, elle. Si on lui avait raconté cette scène, elle en aurait certainement rit.
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Waldi41
Le troll voyait bien que son amie Gabrie était fort perturbé par Gwer et décida de la réconforté un peu .

Ne t'en fait pas ma petit Gabrie , mon ami Gwer ne te fera pas de mal ,je ne tiens pas a ce que tu sois blessée dans cette histoire j'ai un honte de ce qui t'arrive mais il est important de secouer les puces ,a notre chère Bretagne qui est entrain d'être pourris par une bande d'escrocs qui ne pense qu'a se planquer quand ça sent mauvais et qu'il veulent faire croire qu'ils s'oeuvrent pour la Bretagne et qui se planque a la première occasion !

Puis Waldi attendit que l'aubergiste apporte son repas
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Titoine
Titoine venait d'arriver à Valence, et il avait fait toutes les autre auberges qui était toute remplis.

Titoine tapait 3 fois sur la porte et veut ouvrir la porte, mais elle ne s'ouvre pas.


- Je ne comprend pas normalement elle doit s'ouvrir !!!

Titoine prenait quelque recule, pour ouvrir la porte à sa façon, il fonce sur la porte et la cogne avec son épaule droit, il fait un bon de 2 pied en arrière tomba sur ces fesses car la porte était bien fermé, le jeune homme avait très mal à l'épaule.
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--Guinolot


L'aubergiste entendit un gros boum devant sa porte ,il entre-ouvra la trappe de visite pour regarder ce qui se passait . Il vit le pauvre homme affalé au sol

Mon bon monsieur que vous arrive t-il ? l'auberge est fermé pour cause de réparation .si vous entrait dans l'auberge vous aller vous faire bouffer par le monstre qui se trouve dans ses murs .

Puis l'aubergiste se retourna pour vérifier que le troll ne l'avait pas entendu.

Je vous en supplie messire ne rester pas ici ,il est horrible et cruel ,il va s'en prendre a mes enfants si il vous voit fuyait vite !...
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