[RP]débarquement a valence

Titoine voit la porte s'ouvrir, et se demande pourquoi il n'a pas réussi. Il écouta le Messire et lui répondit tristement:

J'ai fais toutes les auberges et il y en a au qu'une d'ouverte, et je me suis fais très mal à l'épaule en me cognant contre la porte, si je reste dehors je risquerais d'attrapé froid, sil vous plais.

Titoine se demande de quel monstre à parlé l'aubergiste, et dit à voix basse:

Je n'ai jamais vue de monstre donc que peux bien être un monstre horrible et cruel, comme à dit l'aubergiste.
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Gabrie lui manda pour qui il la prenait pour oser lui donner des ordres. Question un peu stupide à poser, il donne des ordre parce qu'elle n'est qu'une françoyse, peu importe le grade où sa place, un françoys reste un françoys. Gwerad ne répondit même pas, il l'ignorait.

Il voyait bien que la françoyse examinait la situation, mais Gwerad, contrairement aux apparence, est loin d'être ce qu'il semble. Il est tout de même maître d'arme, il à fait l'armée, qu'il à vite quitté par manque de sang durent les entrainements. Gwerad se jouait de cette image de "faible", il avait déjà des victimes à son actif, le dernier se trouvait à Saintes. Nous vous épargnerons les détailles, ce n'est pas le sujet actuel.

La françoyse voulait qu'on lui explique, non mais, elle se croit où celle là ?! Pas Gwerad qui va lui en dire plus, les affaires de Bretagne ne la concerne pas. Elle pourrait s'en servir contre la Bretagne. Mais le Troll ne se fit pas attendre, il lui répondit, toujours aussi gentiment que d'habitude. Gwerad se tapa la tête en se demandant si son ami n'aimait pas les françoys. Mais Gwerad était loin d'être aussi mimi tout plein avec les françoys, il lui avait dit assit, donc elle s'assiérait de gré ou de force. Par la force c'est toujours plus plaisant pour lui, il aime ça que les françoys lui tiennent tête. Mais là Gwerad n'en pouvait plus, il lui fallait aussi rédiger ses multiples demandes. Le chantage, rien de tel pour se faire remarquer, maintenant ils devrons les écouter.

Il posa la dague sur le lit et prit la couverture, la vérifia et eu l'idée de s'en servir de cordage. C'est qu'il fallait l'attacher la françoyse, il sera plus aisé de la découpé si besoin est.

- Hey l'Troll ! Fait la assoir et plus vite que ça, sinon je serais dans l'obligeance d'user de la force. Dit-il à son ami. Nous avons encore du travail !

Pendant qu'ils étaient tout trois dans la chambre, avec leur affaire, Gwerad n'avait nullement entendu le boucan qui se passait à l'entrée, trop prit dans la réalisation de son "chef-d'œuvre".
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Bon !Bon rentrez vite et allez vous cacher dans la chambre de bonne ,je vous apporterais de quoi vous soigner!Mais faites vite si ils vous entendent ils vont vous mettre en char-pille et le troll va vous dévorer et ensuite il s'en prendra a ma famille !

L'aubergiste tremblait de peur rien qu'a l'idée de ce qu'il venait de dire !Il se dépêcha de faire rentrer l'inconnu et de lui montrer la cachette .Puis il se dépêcha de faire montrer les victuailles a la chambre du troll .Il osa a peine cogner a la porte de la chambre en entendant les paroles de l'un d'eux .

il attendit que l'on lui réponde ...

Le troll demanda donc a Gabrie de bien vouloir s'assoir sur la chaise , a ce moment là l'aubergiste tapa a la porte . Il dit de sa voix la plus féroce .

Oui ,c'est quoi ? qu'est ce que vous voulez ?

Il reconnu la voix de l'aubergiste !

Ah ! Enfin ! I l était temps je commençais a me demander si tu tenait a la vie et a ta famille !

Il ouvrit un peu la porte et se saisi des plats et dit a l'aubergiste de partir ,voyant qu'il n'allait pas assez vite il le poussa d'un bon coup de pied !

Et la prochaine fois gars a toi si tu me fait attendre aussi longtemps !

puis il se tourna vers Gwerad et Gabrie leur demandant si il voulait mangeait quelques choses ...
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La Bretagne! Mais qu'est ce qu'elle avait avoir avec la Bretagne! Elle ne les comprenait plus. Comment pourrait-elle faire pression sur la Bretagne alors qu'elle ne connaît personne la bas.

Il était temps pour elle de partir tant qu’elle le pouvait, car les choses allais dégénérer elle le sentait. Elle avisa discrètement de sa position par rapport à la porte, à son poignard et aux deux hommes. Elle n’aura pas le temps de temps de récupéré son poignard, mais pouvait espérer atteindre la porte avant que Waldi et Gwerad se jette sur elle. Il lui faudrait juste attendre le moment idéal.

C’est alors que Gwerad parla de la faire assoir de force et là elle se dit qu’elle allait devoir s’accéléré. Malheureusement Waldi était trop près d’elle, elle ne pourrait jamais sortir à temps. C’est alors qu’elle entendit l’aubergiste arriver dans le couloir. Ignorant la demande de Waldi, elle attendit que celui-ci ouvre la porte a l’aubergiste.

Son plan se dessinait déjà dans sa tête, il lui suffisait juste d’attendre que Waldi tourne la tête vers la nourriture pour qu’elle sorte rapidement. L’aubergiste étant devant lui Waldi ne pourrait pas être assez rapide pour la suivre. Elle aurait alors que quelques secondes pour fuir le plus rapidement possible et se cacher.

Son cœur s’accéléra quand Waldi alla ouvrir la porte. Essayant de se calmer, elle attendit que l’aubergiste passe devant elle, puis devant Waldi et que celui-ci tourne la tête vers la nourriture qui dégageait une très bonne odeur. Elle compta jusqu’à trois, et relevant sa robe, elle courut vers la porte ouverte de la chambre.

Avisant qu’elle avait réussi à passer la porte, elle courut plus vite. Elle descendit les escaliers quatre par quatre quand elle entendit des bruits de course derrière elle. Tournant rapidement la tête en arrivant au milieu de sa course dans les escaliers pour voir si on la suivait de près, elle entra en collision avec quelque chose. Elle eut juste le temps de se retourner et d’apercevoir un homme dont le visage lui était familier, avant de tomber avec lui dans les escaliers et de perdre connaissance en se cognant brutalement la tête.
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Titoine suivit l'aubergiste, et il allait la où il lui disait d'aller se cacher, mais Titoine très curieux monta les escaliers sur la pointe des pieds pour éviter de faire trop de brut.

Titoine entendit des bruits donc il retournait doucement dans la cachette, mais avent d'arriver tout en bas des escaliers, il donnât vite regard vers le haut, il vit une personne courir et qui est entrer en collision avec lui, il est un peut assommer de sa chute, il commence à se relever quand il vit son amie Gabrie coucher à ses côtés.

Gabrie tu va bien? Houhou Gabrie réveille toi? C'est moi ton ami Titoine.

Titoine très inquiet que Gabrie de bouge plus, il regarde si elle respire, il l'entendait respirer, il se releva content qu'elle ne soit pas morte, et vit 6 jambes donc 2 qui tremblais comme des feuilles, il regardât un peut plus ver le haut et vie l'aubergiste qui avait peut et 2 autre personne qui ne connaissait pas.

Bonjour Messieurs, voulez vous m'aider sil vous plais?

Il attendait une réponse positive, et il avait une petite criante de ces deux personnes qui n'avait pas vue.
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L'aubergiste était enfin rentré avec le repas, mais quelle erreur ne fut-il pas là ! Voilà que la proie de Gwerad s'enfuie, Ni une ni deux, le voilà partit à sa poursuite hache en main. Courant dans le couloir tout en faisant frotter sa hache le long du mur, histoire d'ajouter un peu plus de peur chez la françoyse. Tous savent que plus on à peur plus ont fait des erreurs, fatale pour la plus part.

Un françoys la heurta en bas des escaliers. "Pour une fois, les françoys sont utile !" Pensa t-il. Il s'arrêta donc de courir et rengaina sa hache, la remettant dans son fourreau à sa hanche. Le françoys osait lui mander de l'aide. Mais c'est qu'en plus il lui à ôté le plaisir de l'assommer lui même !

- Maudit bougre de françoys ! Ton compte viendra plus tard ! Lui rétorqua t-il d'un ton furieux.

Il s'approcha du françoys à quatre pattes au dessus de Gabrie, pour tenter de la réanimer, et lui posa le pied droit sur son flan. Le poussant un grand coup avec le pied pour l'éjecter plus loin.

- Un loup ne partage jamais ses proies ! Mise à part avec sa meute. Et toi françoys tu n'en ai pas ! Lui lança t-il sur le même ton furieux.

Il se pencha et souleva la françoyse, pour la ramener dans la chambre et la ficeler solidement. La transportant comme un vulgaire sac à patate, Gwerad monta les escalier, avec un peu de mal, pas l'habitude de porter de lourde charge dans des escaliers. L'est pas déménageur lui, quoi que tout dépend par ce qu'on entend là. En passant près de l'aubergiste il lui demanda des cordes, le plus vite possible.
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Le troll n'avait pas réagit tout de suite a la fuite de Gabrie ,quel dommage ça aurais était de gâcher un si bon repas , il se saisi donc d'une cuisse de sanglier et se mit a suivre son ami Gwerad pour rattraper cette vilaine gabrie qui voulait fuir sa compagnie . Quel ne fût pas sa joie ,mais aussi ça colère lorsqu'il vit un inconnu a côté de Gabrie . La première des choses qui fit c'est de mettre un bon coup de massue a cet individu qui avait violé leur intimité en pénétrant dans leur demeure .

PLLAAAFFFFFFF.... voilà pour toi sale individu et je pense que je vais me faire un très bon repas tu m'a l'air bien gouteux !!!!!

Puis il se tourna vers l'aubergiste !

Et toi qui t'a autorisé a laisser entrer quelqu'un dans mon auberge ?je crois que je vais me garder tes enfants pour le désert ...


Puis il lui balança une bonne baffe qui le fit atterrir dans l'âtre de la cheminée et l'aubergiste se mit a courir dans tout les sens sa braie en feu !!!!
Le troll alla ensuite donner un coup de main a son ami pour ficeler c'est traitre d'ami qui avait voulu leur fausser compagnie il alla donc chercher dans la remise quelques bon gros clou et planche afin de bloquer les fenêtres et il plaça un de ses menhirs de devant la porte que seul lui pouvait déplacer afin que plus rien ne sorte ou n'entre de la pièce ,elle avait réussi a vigilance et trahi son amitié en voulant fuir ....

Bon maintenant allons nous occuper de mon repas ,un François au petits oignons ça se refuse pas .


Certes ce n'est pas son plat favori ,mais il faut bien changer de menu de temps en temps
le troll plaça donc le Françoys inconscient dans la marmite , commença par la remplir avec de l'eau , quelques aromates(ben oui ,il faut bien leur donner un peu de gout , ils sont fades les Françoys )puis il s'aperçut qu'il n'avait pas assez de Chouchen pour rajouter a son plat ,il se dirigea donc vers le garde manger......
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Titoine eu un coup de pied dans le flan, il glissât en s’éloignent de son amie Gabrie. Titoine commença à se relever, mais il n’avait pas vue que le grand homme levait sa massue, c’est qu’il avait pas peut prendre la fuite pour évité le coup qui arrivait sur lui, il tombât inconscient…

Titoine se réveillât dans une marmite remplir d'eau, il ne vit personne dans les alentours bloquer dans le marmite il bougeât dans tout les sens pour qu’il tombe par terre…
… et pour qu’il puisse y sortir, il regard si il vit une des deux personnes qui l’avait tapé.

C’est bon ils sont pas là.

Avant de sortir de la cuisine il regardât une autre foi pour être sur qu’il ne se fasse pas attrapé, il allât dans la première armoire qu’il trouvât, en attendant de s’avoir ou se trouve les mangeur de Français.
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Le troll n'avait pas trouver son bonheur dans le garde manger ,mais quelle ne fut pas sa colère lorsqu'il s'aperçut que le Françoys s'était échappé .

Maudit Françoys !!!!! ça ils sont bien les plus rapide pour détaler !!!!
Je suis vraiment en rage aujourd'hui ,il va falloir que des têtes tombent !!!!!!!!!! .

Le troll se tourna vers Gwerad ,

Alors t'es pas foutu de veiller sur mon diner et a deux dans une chambre on trouve le moyen de laisser filer cette Françoyse .
Ah !! D'habitude rien n'arrive a me mettre en colère !!!!! Mais trop c'est trop !!!!

Le troll sorti de l'auberge et commença par planter des rondins de plus de trois mètres de haut tout autour de la taverne .
Il se dit que au moins personnes n'arriverai ni a entrer ni a sortir et il boucha l'entrée a l'aide d'un immense bloc de pierre !
Il se frotta les mains et retourna dans l'auberge

Bon ! j'ai fortifié l'auberge !!!!
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Gwerad avait ficelé Gabrie avec l'aide de son ami. Ensuite celui-ci s'installa à un bureau et ce mit à rédiger des lettres, enfin des demandes de rançons. A son suzerain ainsi qu'aux chef des Beauregards, celui-ci fera passer le message au reste de la famille. Bien entendu, Gwerad étant extrêmement polit, se présenta sur ces lettres.

A force d'essais vaine et non plaisante à ses yeux, Gwerad ce contenta de faire la même pour les deux, ils s'arrangeront ensuite. Toujours la plume en main, il regarda son otage puis le Troll s'activer à "sa cuisine". Son ami hurla et Gwerad se tapa la tête en se demandant quant est-ce qu'il allait la fermer, c'est que ce n'était pas évident de rédiger ce genre de lettre, il lui fallait un peu plus de calme. Lorsque le Troll revint il lui avoua qu'il avait barricadé l'auberge, là Gwerad se tapa la tête une foie de plus et lui répondit.

- Hey ! Ne crois-tu pas que nous allons nous faire remarqué avec toutes ses barricades ? Il faut que nous soyons plus... Comment te te dire... Gwerad réfléchissait au mot que Waldi pourrait comprendre aisément. Il faut que nous soyons moins visible, plus petit, presque pas là du tout... Maintenant ils vont savoir où on se cache.

Gwerad envoya ses lettres avec deux pigeons, pour que les deux destinataires puissent avoir chacun leur courrier. Le message que portaient chaque pigeons était celui-ci :

- Trouve moi un grand coffre ! nous allons changer de lieux, et laisse tes barricades, ça pourrais nous être utile.

Puis il se tourna vers le son ami et lui lui ordonna.

Gwerad s'en servirait surtout comme leur, il pourrait vérifier ainsi, si des soldats ou mercenaires ne serait pas envoyé pour s'occuper d'eux. Juste une précaution.
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Titoine ouvra doucement la porte de l'armoire pour voir ou se trouvait ces mangeurs d'homme, il ne vit personne alors Titoine sortait de sa cachette, entendit un bruit qui venait dehors, il regardait vite fait pour voir ce qu'il se passait, il vit l'homme qui voulait le manger planter des rondins de plus de trois mètres de haut tout autour de la taverne .

Ils sont fous c'est Breton ! ! !

Il en profitait pour monter les escaliers sur la pointe des pieds pour faire le moins de bruit possible, mais il y avait quelque marche qui grinçait.

"Dit-il à voie bas" En espèrent que l'autre n'a rien entendu.

Titoine arrivait là où Gabrie s'est fait ficeler, mais le deuxième homme n'est pas très loin d'elle, il était à son bureau à écrire une lettre, Titoine passa devant la porte ouverte et se cachait dans la chambre d'à côté, il attendait qu'il sorte de la chambre pour sauver la pauvre Gabrie, mais il ne sortait pas et Titoine s'endormait à la force d'attendre.
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Le troll senti d'un seul coup une odeur qu'il connaissait ,le Françoys venait de faire mouvement et son odeur empestait toute l'auberge ,il se fia donc a son nez pour retrouver la trace de ce vilain .
Il senti qu'il était non loin de la chambre de Gabrie .
Il se dirigea donc vers la seul pièce que le troll avait garder intacte .
Il ouvrit la porte sans faire de bruit et se saisi du Françoys qui s'était endormi .
Il le saisit par le col et le traina jusqu'à la chambre de son ami Gwerad...
Arrivé dans la chambre ,il eu une idée lumineuse et oui ,un miracle du tout puissant .

maudit Françoys !tu as le choix ou je te bouffe ou tu nous rejoint dans la troupe tu a dix seconde pour donner ta réponse ...

une,deux ,trois ,quatre.....
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Titoine se réveillait et se demandait pourquoi il bougeait?

Qu'est se que je fais dans le couloir

Il levait la tête et vit le troll, ils arrivaient dans la chambre ou il avait Gwerad et Gabrie, Titoine regardait Gabrie avec un regard désespéré. Il avait entendu se que le Troll lui avait dit mais il n'avait pas fait attention que le temps passait.

le troll comptait :
une, deux, trois quatre, cinq, six, sept, ...

Titoine venait de réagir quand le temps arrivait à huit, tout en regardent la pauvre femme attacher il répondait sans trop réfléchir, comme le temps arrivait à la fin :

..., neuf, ...
Je viens avec vous.
..., dix.

C'est que au bout de quelque minutes qu'il s'apercevait que sa réponse allait changé toute sa vie et c'est projet.

Qu'est se que j'ai dit et fais pour me foutre dans cette mer..., j'aurais mieux du écouté cet aubergiste au moins je n'aurais pas eu autant de problème, dit-il en murmurent.
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