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[RP] Préparatifs matrimoniaux : Margaux/Duncan

Thibaud
De grandes nouvelles, des projets qui se mettent en place, que ce soit pour lui comme pour ses fidèles. Le concernant, Thibaud baignait désormais dans le milieu des érudits, prêt à se consacrer bien plus à la Foy et à approfondir ses connaissances grasce à l'Université. Il y a bien longtemps, il était passé de simple Diacre à Vicaire, et désormais, il confirmait ses voeux de prêtrise par son nouveau statut. Mais n'allons pas parler que de lui, ce n'est pas son jour. Aujourd'hui, le clerc devait rencontrer deux êtres qui souhaitaient confirmer leur amour par le plus beau sacrement qui soit, le mariage. Un présent donné par le Très-Haut, et une reconnaissance de la part de l'EA, quand deux êtres se passent l'alliance au doigt. Un Sieur et une Dame, Duncan et Margaux, voici le nom de ceux qui s'uniront prochainement. Mais pour le moment, les préparatifs devaient se faire, au sein mesme du bureau où il se trouvait.

Il se leva pour quitter cette pièce carrée et s'abandonner à la traversée de longs couloirs. Ses destinataires ne seraient tarder, croix Aristotélicienne proche du coeur, Thibaud quitta l'enceinte mesme de l'administration cléricale, saluant quelques confrères ici et là. La grande cour pavée, nombreuses étaient les processions qui s'étaient déroulées en ces lieux. Il ne manquait plus que les bûchers, dont le feu n'avait pas crépité depuis longtemps. Mais balayons donc d'un revers de la main cette triste fin, propice à la tristesse mesme pour des âmes égarées. Il vénérait ce genre de spectacle. Le temps n'était pas très clément, le vent paraissait furieux.

Sous son regard, se dessinait le portail, il s'en approcha, à pas feutrés, et non abrupts. Une main portée sur son front, ses yeux se posèrent sur les Brugeois qui vaquaient à leurs occupations entre ces petites maisons de terre et de bois, dont les toits s'élançaient vers les Cieux. Un sourire, et il attendit là, devant les grilles. Le Seigneur de Bourbourg et sa promise ne tarderaient plus.

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~Refonte~
Duncan.
Les Bans étaient publiés, les préparatifs avançaient, invitations envoyés mais encore tant de choses à faire.
Ça n'avais pas l'air, comme ça, mais un mariage, c'était beaucoup de préparatifs.

Il fallait notamment préparer la cérémonie avec Monseigneur Thibaud.
Duncan, accompagné de sa promise, se rendit en la paroisse de Bruges où le Vicaire devait les attendre.

De loin, ils purent apercevoir l'homme d'église, devant le portail, scrutant l'horizon Brugeoise.
une fois arrivé à sa hauteur, Duncan le salua respectueusement.


Le bonjour Monseigneur.
J'espère que nous ne vous avons pas trop fait attendre sous ce temps peu clément.
Margaux.
Un moment important, un moment avant LE moment. Voilà bien des mois qu'ils l'attendaient, se murmurant qu'ils se marieraient le plus tôt possible... dès qu'ils le pourraient. Pour leurs familles, leurs amis, cependant ils avaient fait les choses dans l'ordre et des festivités dignes de ce nom allaient bientôt se dérouler en Flandres.

Le vicaire souhaitait à présent les rencontrer pour préparer la cérémonie et c'est pour cette raison qu'ils se dirigeaient à présent vers Bruges et sa paroisse.

Le sourire aux lèvres malgré les inquiétudes quant aux préparatifs, le jeune couple arriva enfin.

Margaux salua Monseigneur Thibaud d'une révérence, souriant en songeant à la jeune fille qui l'avait saluer ainsi récemment.


Monseigneur, j'espère que vous vous portez bien depuis la dernière fois que nous nous sommes vu et que nous n'avons pas trop tardé.
Thibaud
L'attente ne fut pas longue, les principales personnes concernées par la prochaine cérémonie du 15 Mars étaient réunies ici, dans les locaux de l'administration de l'Archidiocèse de Malines. Encore quelques jours, à peu près une quinzaine, et deux êtres allaient s'unir devant le Très-Haut. Un sourire se dessina sur les lèvres du jeune homme alors que Duncan et Margaux arrivèrent à sa hauteur. Un salut respectueux, une révérence, le Vicaire s'inclina à son tour.

Point de retard, ne vous inquiétez pas, et nous sommes ravi de vous revoir. Suivez nous donc, avec ce temps, il est plus préférable d'aller s'asseoir devant une cheminée.

Un geste de la main pour les inviter à les suivre, et une main, portée sur son col. Les trois êtres pénétrèrent enfin dans le bâtiment, traversèrent quelques couloirs et arrivèrent devant une porte que le clerc poussa lentement. Et tout cela en silence. Le feu crépitait dans l'âtre, la chaleur englobait l'atmosphère de la pièce, et Thibaud était debout, à côté d'un fauteuil.

Siégez donc *dit-il en désignant les deux sièges rapprochés en face du sien* Souhaitez-vous quelque chose à boire avant que nous débutons ? Peut être un peu de vin bourguignon ? Ou du chouchen ?

_________________
~Refonte~
Margaux.
Point de retard, ne vous inquiétez pas, et nous sommes ravi de vous revoir. Suivez nous donc, avec ce temps, il est plus préférable d'aller s'asseoir devant une cheminée.

Les deux jeunes promis suivirent silencieusement le Vicaire à l'intérieur de la bâtisse échangeant quelques regards, quelques sourires.

Le grand moment approchait et ils s'en réjouissaient. Ils avaient attendu tant de temps avant de finalement se trouver là pour régler les derniers détails de la cérémonie.


Siégez donc. Souhaitez-vous quelque chose à boire avant que nous débutons ? Peut être un peu de vin bourguignon ? Ou du chouchen ?

Margaux s'installa face à Monseigneur Thibaud et accepta un peu de vin bourguignon généreusement proposé.

Une fois qu'il furent servi la Blanche trempa ses lèvres dans le breuvage puis releva les yeux vers leur hôte.


Quels sujets souhaitiez-vous aborder Monseigneur ? Vous faut-il des informations supplémentaires ?
Thibaud
Les deux individus se posèrent sur leur siège, alors que Thibaud s'empressa de se diriger jusqu'à une table où trônait un plateau d'argent, composé de verres et d'un pichet de vin. Il en servit trois, et revint, les bras chargés, posant le support sur la petite table basse qui séparait les deux laïcs du clerc. Récipients tendus à Duncan et Margaux, puis son séant se posa sur son fauteuil, son gosier se régalant d'une bonne gorgée du délicieux nectar.

Quels sujets souhaitiez-vous aborder Monseigneur ? Vous faut-il des informations supplémentaires ?

Nous allons passer toutes questions en rapport avec la date et le lieu de la cérémonie, ainsi que le nom de l'officiant et des témoins. Ayant bien reçu vos bans, nous avons pris connaissance de ces renseignements. *Sourire* Débutons par les présentations. Durant la célébration du mariage, nous parlerons un peu de vous, juste quelques mots sur vos parcours et surtout, vostre rencontre. Pourriez-nous nous éclairer ?

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~Refonte~
Duncan.
Frigorifié, Duncan ne se fit pas prier pour suivre le Vicaire, accompagné de Sa Blanche.
L'idée d'un feu de cheminée n'était pas non plus déplaisant. Il en était à se demander s'il n'allait pas faire durer cet entretient juste pour en profiter...

une fois à l'intérieur, suite à l'invitation de Thibaud et après que Margaux ai prit siège, il s'installa lui aussi.



Du Bourgogne ? Ce n'est pas de refus Monseigneur, il parait que leur vin est un délice pour le palais.


Une fois servit, il goûta le breuvage "pas une légende" ajouta t-il.

Durant la célébration du mariage, nous parlerons un peu de vous, juste quelques mots sur vos parcours et surtout, vostre rencontre. Pourriez-nous nous éclairer ?

Duncan eut un léger sourire en repensant à leur histoire.

Notre toute première rencontre fut assez...inattendue et ne laissait certainement pas présager notre rapprochement.

Pour vous situer le contexte, ma famille et la famille (ou clan) dont fait partie Dame Margaux n'étaient pas vraiment en bon terme à cette époque.

Notre première rencontre fut politique. Dame Margaux et moi nous étions tout deux présentés à la mairie de Tournai. Deux êtres que tout séparaient qui se présentent pour la même raison, à savoir qu'il n'y avait pas de candidat valable (un tamago) pour reprendre la mairie.

Après cela, nous avons collaborés puis nous sommes croisés de temps à autre. relation cordiale mais sans réel rapprochement.


Ce n'est que bien plus tard, après quelques temps sans s'être croisés, que nous nous sommes retrouvés...regarde Margaux...en taverne je crois ?
Mère et Dame Margaux étaient amies, tout naturellement et sans forcer les choses, nous avons commencé à nous rapprocher.

Le rapprochement fut de courte durée, j'étais jeune et ne savait pas trop ce que je voulais à l'époque et me suis tourné vers une autre...


S'arrête un instant, songeant à son erreur passée.

Bref, plus tard, après quelques déboires...de mon côté en tout cas, nous nous sommes revus et, les sentiments qui étaient présents avant sont revenus comme si jamais ils nous avaient quittés. Regarde Margaux n'hésitez pas si je fais erreur.

Nous avons décidé de ne rien précipiter afin d'être certain de ne pas refaire la même erreur que la fois précédente.
Mais, je dois vous avouer, que ce jour, l'impatience à prit le dessus.
Thibaud
*Prise de note grâce à un parchemin et une plume. Le nécessaire se trouvait à côté de lui.* Et vostre parcours "professionnel" Sieur Duncan ? *Regard posé aussi sur Margaux, pour entendre confirmations des dires de son futur mari et l'énonciation de sa vie*

_________________
~Refonte~
Duncan.
Parcours professionnel, voilà qu'il lui faudrait fouiller les méandres de sa mémoire, tant de choses ont été faites qu'il en oublie chaque fois.

Mon parcours professionnel, fut très mouvementé.

J'ai commencé très jeune, père et mère souhaitant que je connaisse la tâche qui incombait aux gueux, j'ai travailler dans les champs avant de me voir offrir ma propriété.
Un champs de blé pour commencer puis, un champs de maïs que j'ai cédé à un nécessiteux et ai transformé mon champs de blé en champs de maïs.

Je suis aussi forgeron, la plus grande partie de mon activité fut pour fournir à la mairie de Tournai couteaux et seaux à bons prix.

Côté militaire, j'ai commencé comme soldat de l'OST et suis monté en grade jusque celui de Sergent puis, par la suite, j'ai rejoint l'armée d'élite FSF qui sécession pour devenir une armée indépendante. Je suis actuellement Colonel des FSF.

En politique, j'ai commencé par deux mandats de maire en la mairie de Tournai, ensuite j'ai intégré le conseil Comtal, je fut Connétable, CAC, Capitaine (peu de temps), simple conseiller, prévôt et Régent (pas dans l'ordre).

Il m'est aussi arrivé de pratiquer quelques activités ponctuelles, des remplacements à la maréchaussée à la demande, Marchand Ambulant, escorte, négociateur notamment pour les affaires de Hollande et calais, Tribun.

S'il vous faut aussi mon cursus universitaire, je suis étudiant voie de l'armée, je me suis légèrement détourné de mes études principales pour me concentrer sur les études maritimes et apporter ces connaissances à notre Comté.


Après ce discours, il bu une gorgée du doux breuvage, c'est que parler autant, cela donnait soif...
Margaux.
Débutons par les présentations. Durant la célébration du mariage, nous parlerons un peu de vous, juste quelques mots sur vos parcours et surtout, vostre rencontre. Pourriez-nous nous éclairer ?

Margaux écouta le récit de Duncan le sourire aux lèvres. Elle n'aurait pas mieux raconté leur histoire pour le moins... atypique.

Ils auraient pu se trouver bien loin des quelques jours qui les séparaient des noces si le destin et Aristote n'avait pas préféré les rassembler.

Margaux se souvint, plus sereine qu'alors, de leur séparation. Elle n'avait alors pas osé montrer l'ampleur de la tristesse qu'elle avait ressenti... pas fierté ? Plutôt pour que Duncan ne se sente pas obligé de rester auprès d'elle par pitié ou par obligation. S'il devait être heureux dans les bras d'une autre, elle devrait le supporter.
Heureusement pour eux deux, Aristote avait choisis de les rassembler et ni l'un ni l'autre ne s'en serait plaint.

Regard échangé avec le Vicaire et léger hochement de tête pour lui indiquer qu'elle n'a rien à ajouter.

Vint ensuite le récit de l'histoire de Duncan qu'elle écouta avec attention même si elle en connaissait les grandes lignes depuis le temps qu'ils se connaissaient.
Thibaud
Le Vicaire couchait des mots sur son parchemin. Bien entendu, il en ferait une synthèse plus tard. En attendant, le récit de la rencontre avait été donné, de mesme que la description de la vie du Seigneur. Il leva la teste et demanda à Margaux :

Et vous Dame Margaux ? Pourriez-vous nous dire quelques mots sur vostre parcours ?

_________________
~Refonte~
Margaux.
Et vous Dame Margaux ? Pourriez-vous nous dire quelques mots sur vostre parcours ?

Mon parcours... et bien, il a été fort mouvementé.
La blanche inspira profondément avant d'entamer le récit d'une période plutôt difficile de sa vie.

Je suis née et j'ai grandis auprès de mes parents et de mes deux jeunes sœurs... une famille noble de Bretagne, les De Kermellen.

Un jour, alors que je voyageais avec mes parents, nous nous arrêtâmes dans un petit village pour y passer la nuit... ses joues rosirent.. je péchais avec un inconnu cette nuit là. J'avais alors dans les quinze ans et Mère le découvrit rapidement.

Je fus placée dans un couvent pour que les rumeurs de grossesse ne se répandent pas... Les choses se passèrent tel qu'ils l'avaient prévu. Le moment de l'enfantement arriva et de ce péché naquit une petite fille.
L'on me fit croire alors qu'elle n'avait pas survécu. Je n'ai appris que bien des années après qu'il n'en était rien.


Margaux regarda Duncan pour tenter de lire sur son visage ce qu'il ressentait à l'entendre raconter tout cela. Ils se connaissaient de longue date et il connaissait une grande part de son histoire mais ils n'avaient jamais abordé le sujet aussi ouvertement. Elle voulait que cela soit fait avant qu'il se disent oui et également tirer un trait sur des années douloureuses pour pouvoir profiter pleinement des années de bonheur qui les attendaient.

Une gorgée de vin de Bourgogne avant une nouvelle inspiration...


À la suite de tout ceci, je revint donc chez mes parents où mon oncle, un homme avide de pouvoir, semblait bien décidé à me faire épouser un Seigneur sanguinaire réputé pour sa fâcheuse habitude à laisser ses épouses pour morte après un accès de colère.
Mes parents s'opposèrent au choix de mon oncle. Ils voulaient certes, obtenir de mon mariage une alliance avec une famille noble de renom mais ils se rendaient bien compte qu'ils obtiendraient de celle-ci bien peu sinon la perte de leur première née.

Un jour alors que je rentrais d'une balade à cheval, je découvris leurs corps étendus sur le sol, mes sœurs, elles, avaient disparu. Je choisis donc de me cacher pour me permettre d'en apprendre le plus possible sur les circonstances de leur mort.
Mes doutes restèrent doutes... Je ne parvins jamais à trouver des preuves de ce qu'il s'était passé. C'est alors que je choisis de quitter la Bretagne pour vivre ma vie et peut être trouver la trace de mes sœurs.

C'est ainsi que je suis arrivée en Flandres, débutant avec un simple champ de blé, qui fut suivi d'un élevage de mouton puis d'un atelier de tisserand.
Je fut également tribun de Tournai, infirmière de l'OST, Connétable et Prévôt des Maréchaux de Flandres.

J'ai finalement trouvé mon unique raison de vivre, à l'époque,
sourit à Duncan, dans l'Ordre Royal de la Dame Blanche à l'Écu Vert passant d'apprentie chevalier à écuyère puis esquire. Aujourd'hui, je suis Responsable des muses de cet ordre et je continue de protéger les faibles, l'Église et le Roy.

J'ai très vite trouvé une deuxième famille auprès de Rosa, Toffie et Slamjack, qui s'est trouvé être le père de ma fille, Lunes. J'ai finis par découvrir qu'elle n'était pas allée rejoindre Aristote dès sa naissance mais que Père et Mère avaient choisi de la confier aux bons soins d'une des sœurs du couvent.
Je la perdis peu de temps après...


Tristesse d'alors qui resurgi sans crier gare comme souvent. La muse préféra passer sur les retrouvailles avec sa sœur Miss puis sa perte comme pour Lunes. La Blanche inspira, ses mains vinrent au coin de ses yeux pour y écraser les larmes avant qu'elles ne coulent, puis sourire, sourire alors qu'elle n'imaginait pas pouvoir le faire à nouveau il y avait un an de cela.
Thibaud
Cette vie racontée dans les moindres détails semblait être pesante pour la douce Margaux. Une enfance difficile, des évènements plus qu'éprouvants, et devant tant d'horribles choses, elle était toujours présente, et sa Foy restait intacte. Magnifique.. Car oui, dans ce genre de cas, certains se demandaient pourquoi croire en Dieu si Celui-ci ne sèmait que le chaos chez Ses Enfants ? Mais penser ceci n'était que pure infamie, car la plupart des erreurs étaient humaines. Thibaud opina du chef et sortit d'un tiroir de la petite table à ses côtés un léger tissu qu'il tendit à la jeune femme.

Séchez donc ces larmes *dit-il, léger sourire sur les lèvres. Après quelques minutes, et dés que son parchemin était bien rempli, le Vicaire poursuivit dans son questionnement et ses remarques.*

Comme vous vous en doutez, le noyau d'un mariage, c'est dés lors où les deux époux se promettent fidélité et amour, s'échangeant ainsi les alliances. Celles-ci seront bénies par nos soins, mais elles devront bien sûr être forgées par vostre forgeron. L'un de vos témoins devra nous les remettre sur un coussin rouge, couleur marquant la passion qui anime vos coeurs et vos âmes.

Et justement, nous aimerions savoir si vous préférez que nous vous posions les questions rudimentaires pour ouvrir ainsi vostre engagement ? Ou souhaitez-vous plutost prononcer vous mesme vos voeux ?

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~Refonte~
Duncan.
Duncan écouta le récit de sa promise, lui qui avait eu une enfance paisible, pleine d'amour et de soutien, il avait du mal à imaginer ce qu'elle avait pu ressentir.

Certains évènements firent remonter quelques souvenirs, sa fille, il l'avait bien connue...

Il posa sa main sur celle de Margaux, en signe de réconfort. Lorsque Thibaud lui tendit le tissus, il le remercia d'un signe de tête.


Et justement, nous aimerions savoir si vous préférez que nous vous posions les questions rudimentaires pour ouvrir ainsi vostre engagement ? Ou souhaitez-vous plutost prononcer vous mesme vos voeux ?

Regard vers Margaux... Personnellement, ma préférence irait pour les questions rudimentaires...signe d'approbation de sa future.

Pour les alliances, celui qui les forgera sera mon frère et témoins, Aidan., un grand forgeron, je penses qu'il sera celui qui les apportera aussi, qu'en pensez vous ma promise ?
Margaux.
Le réconfort diffusé au travers de la main de Duncan posée sur la sienne vint emplir tout son être et son cœur.

D'un signe de tête, elle remercia le vicaire pour le morceau de tissu que lui tendait son futur et sourit au travers des dernières larmes.


Comme vous vous en doutez, le noyau d'un mariage, c'est dés lors où les deux époux se promettent fidélité et amour, s'échangeant ainsi les alliances. Celles-ci seront bénies par nos soins, mais elles devront bien sûr être forgées par vostre forgeron. L'un de vos témoins devra nous les remettre sur un coussin rouge, couleur marquant la passion qui anime vos cœurs et vos âmes.

Et justement, nous aimerions savoir si vous préférez que nous vous posions les questions rudimentaires pour ouvrir ainsi vostre engagement ? Ou souhaitez-vous plutost prononcer vous mesme vos vœux ?


Personnellement, ma préférence irait pour les questions rudimentaires... Pour les alliances, celui qui les forgera sera mon frère et témoin, Aidan., un grand forgeron, je penses qu'il sera celui qui les apportera aussi, qu'en pensez vous ma promise ?

Margaux approuvait les avis de son promis. Qui de mieux placé pour forger leurs alliances qu'Aidan ? Qui de plus proche du couple ?


Je suis d'accord avec vos réponses et je n'imaginais pas les choses autrement.
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