Ewaele
Ewa etait là depuis le début des débats, silencieuce, écoutant les propos de tout un chacun... On avait dit d'éviter de répondre personnellement, et que l'équipe avant de réagir se concerterait... Elle avait voulu respecter ça jusqu'a maintenant, mais hélas certaines choses ne pouvaient être laissées dites...
Elle s'approcha toujours bouche fermée et présenta des documents officiels que personne ne pouvait réfuter...
Elle s'approcha toujours bouche fermée et présenta des documents officiels que personne ne pouvait réfuter...
Enguerrand_de_lazare a écrit:
Citation:
Nous, Membres de la Curia Regis, à tous ceux qui le présent écrit liront ou se feront lire, salut ;
Validons ce jour la révolte en le Comté du Limousin et de la Marche, au vu des inquiétudes légitimes exprimées par une partie non négligeable de sa population ;
Autorisons l'arrestation de l'ancien Comte Dragonet en vue d'enquêtes, et sa garde à vue.
Fait à Paris, le 18iesme jour du mois d'août mil quatre cent cinquante-six.
Armoria de Mortain, Grand Maître de France
MarieAlice Alterac, Premier Secrétaire d'Etat
Kidineige de Chénérailles, Surintendante aux Finances,
Kirah du Breuil, Grand Ecuyer de France
Enguerrand de Lazare, Connétable de France
LeGueux d'Alanha, Roy d'Armes de France
Sebbe de Valrose, Grand Prévost de France
Validons ce jour la révolte en le Comté du Limousin et de la Marche, au vu des inquiétudes légitimes exprimées par une partie non négligeable de sa population ;
Autorisons l'arrestation de l'ancien Comte Dragonet en vue d'enquêtes, et sa garde à vue.
Fait à Paris, le 18iesme jour du mois d'août mil quatre cent cinquante-six.
Armoria de Mortain, Grand Maître de France
MarieAlice Alterac, Premier Secrétaire d'Etat
Kidineige de Chénérailles, Surintendante aux Finances,
Kirah du Breuil, Grand Ecuyer de France
Enguerrand de Lazare, Connétable de France
LeGueux d'Alanha, Roy d'Armes de France
Sebbe de Valrose, Grand Prévost de France
Levan a écrit:
Nous, Lévan le Troisième, Roy de France de par la grâce divine, à tous ceux qui le présent écrit liront et se feront lire, salut :
Dans l'affaire de la destitution du Comte du Limousin et de la Marche, et dans un but d'apaisement, déclarons recevoir l'allégeance de la Régente Bessbuff et sommes confiants tant dans la volonté générale des Limousins d'aider leur Comté à panser ses plaies, que dans le retour à la normale que les élections à venir sauront apporter.
Fait au Louvres, le 25 d'août 1456,
SMLIII
-= Power by Armoria =-
Dans l'affaire de la destitution du Comte du Limousin et de la Marche, et dans un but d'apaisement, déclarons recevoir l'allégeance de la Régente Bessbuff et sommes confiants tant dans la volonté générale des Limousins d'aider leur Comté à panser ses plaies, que dans le retour à la normale que les élections à venir sauront apporter.
Fait au Louvres, le 25 d'août 1456,
SMLIII
-= Power by Armoria =-
Citation:
Nous, Lévan le Troisième, Roy de France de par la grâce divine, à tous ceux qui le présent écrit liront et se feront lire, salut :
Nous sommes assistés dans la lourde charge qu'est la direction du Royaume de France par deux Chambres, dont les rôles sont réputés manquer de clarté l'un par rapport à l'autre. Aussi croyons-nous bon devoir apporter des précisions quant auxdits rôles.
La Pairie, naguère composée de douze membres, pouvait se montrer réactive ; cependant, son élargissement, s'il est positif dans le sens où il offre des talents plus variés dans les conseils à nous donnés, et dans le sens où il représente mieux le Royaume, lui fait perdre peu à peu la réactivité initiale.
La Curia, quant à elle, ne verra pas grandir le nombre de ses membres, lesquels, pour conserver leur charge, doivent se montrer efficaces. De ce fait, assurance est donnée d'une rapidité d'action plus difficile à atteindre pour la Pairie.
Les deux Chambres, quand elles sont saisies d'une demande, se doivent de la traiter. Nous nous réservons ensuite de tenir compte de ces conseils. Si les deux Chambres sont saisies et rendent avis diférent, il nous appartient de trancher.
La Curia Regis a tout pouvoir en le Domaine Royal, et un pouvoir moindre hors du Domaine Royal. Les Officiers Royaux rendent compte à leur Grand Officier respectif, qui rend compte au Grand Maître de France.
La Pairie se voit par logique confier les sujets demandant un travail de longue haleine et de plus large consultation. Seuls des membres de la Pairie ont le droit de siéger en Haute Cour de Justice. Seule la Pairie a le droit de légiférer, et les lois qu'elle voudra promulguer devront être approuvées puis promulguées par nous.
Fait au Louvres, le 25 d'Août 1456,
SMLIII
Nous sommes assistés dans la lourde charge qu'est la direction du Royaume de France par deux Chambres, dont les rôles sont réputés manquer de clarté l'un par rapport à l'autre. Aussi croyons-nous bon devoir apporter des précisions quant auxdits rôles.
La Pairie, naguère composée de douze membres, pouvait se montrer réactive ; cependant, son élargissement, s'il est positif dans le sens où il offre des talents plus variés dans les conseils à nous donnés, et dans le sens où il représente mieux le Royaume, lui fait perdre peu à peu la réactivité initiale.
La Curia, quant à elle, ne verra pas grandir le nombre de ses membres, lesquels, pour conserver leur charge, doivent se montrer efficaces. De ce fait, assurance est donnée d'une rapidité d'action plus difficile à atteindre pour la Pairie.
Les deux Chambres, quand elles sont saisies d'une demande, se doivent de la traiter. Nous nous réservons ensuite de tenir compte de ces conseils. Si les deux Chambres sont saisies et rendent avis diférent, il nous appartient de trancher.
La Curia Regis a tout pouvoir en le Domaine Royal, et un pouvoir moindre hors du Domaine Royal. Les Officiers Royaux rendent compte à leur Grand Officier respectif, qui rend compte au Grand Maître de France.
La Pairie se voit par logique confier les sujets demandant un travail de longue haleine et de plus large consultation. Seuls des membres de la Pairie ont le droit de siéger en Haute Cour de Justice. Seule la Pairie a le droit de légiférer, et les lois qu'elle voudra promulguer devront être approuvées puis promulguées par nous.
Fait au Louvres, le 25 d'Août 1456,
SMLIII
Elle soupira, et se demanda si elle devait intervenir ou pas... Il était pourtant clair que cette révolte avait été autorisé, si non elle et bien d'autre ne serait pas là en Limousin...
Mais surtout comment expliquer a certains habitants qu'ils s'époumonaient pour rien... Que cette révolte avait été légalisé... A part user et démotivé, les crieurs de place publique ne faisait rien de bon... Venant de La Barrique pourtant elle aurait dû s'y attendre... Désobligeance, mauvaise foi, esprit fermé, et surtout une langue si bien pendu qu'il devait marcher dessus... Nouveau soupire, elle etait fatiguée de l'entendre ainsi proférer des menaces... Insulter et renier les décision de sa majesté et des membres de la Curia Régis...
Mais qui etait-il donc pour juger, pour salir... Elle déposa les documents et fit demi tour sans regarder personne, de tout façon quoi qu'elle puisse dire ou faire, ce personnage ne comprendrait jamais rien a rien... Elle avait du travail, oui du travail, car malgré ce qu'il pouvait raconter elle ne se tournait pas les pouces, et elle sourit ironiquement en se disant qu'il serait bon un jour qu'il se présente pour devenir Comte on verrait bien ce qu'il ferait LUI...
Elle se retira toujours sans bruit, de tout façon son coin noir pour écouter ses inepties était toujours mieux...