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[RP] Maison Cianfarano

Perperine
Perperine qui était à Aix pour travailler sur la charpente de l'hotel de Messire Ganimedes, parcourait en ce jour de repos les ruelles d'Aix, en ayant ses mains sur ses reins, elle avait un peu mal car son petit ventre tout rond devenait pesant. Voilà l'échoppe de mon oncle Gabcha pensa t-elle je vais allez le voir pour lui commander une robe plus ample et pratique pour mon travail. La jeune femme entra dans la boutique, il y avait beaucoup de client, elle les salua d'un petit signe de tete.

Bonjour Oncle Gabcha, je suis très contente de te revoir Je vois que tu vas bien, et que tu es heureux dans cette jolie ville. Ta boutique est décorée avec gout, les vetements sont très beaux ainsi que les sous-vetements qui sont afriolants

Perperine déposa doucement trois gros bisous sur les joues de son oncle.

Je suis venue te voir pour que tu me crée, une robe ample et pratique ma grossesse est bientot à terme et je me sens serrée dans mes vetements. Je désirerais une robe légère et de teinte claire, et quelques petits sous -vetements , Humm.. en dentelle de Parme , pour rester toujours désirable à mon tendre Coeur qui est ton filleul

la jeune femme lui fit un grand sourire et attendis que son oncle Gabcha lui montre sa collection '' Femmes Enceintes et Heureuses''
Gabcha
Je suis débordé, au secours...J'ai mes trois neurones en surchauffe, surtout le central.

Gabcha embrassa tendrement sa nièce Perperine, versa du vin dans le cristal de Callishane et tendit à Axle le tissu en grosse laine noire.

Donc, récapitulons. La création pour prendre une mairie sans se faire repérer,soit l'A2, nommée aussi la Kikka, c'est bon. Il nous reste trois tenues...Une pour jeune fille, et deux pour femmes extrêmement enceintes.

Il se tourna vers les trois dames, et continua son propos…

Calli, la petite a quel âge ? Ils grandissent tellement, les jeunes Cianfarano. En beauté, avec force et vigueur ! Promis, la prochaine fois que je passe par Forcalquier...Hop, je m'installe chez vous!

Zorane, nous nous relançons dans le style Empire, comme la dernière fois ? De l'Ample avec des transparences pour séduire Roland?

Et toi Perperine, tu me laisses « carte blanche » comme d’habitude ?Croquis tendance cosmiques: style la mode en l'an 3000?


Il s’empressa d’apporter une tisane revigorante à Atchepttas, réadmira la silhouette magique de Cailli, s’approcha de Prunille et lui murmura…

Nous attendons aussi la venue de la Marquise et celle de Riri, pour son string bure de saison.
Vero5
Attendre arriver.. briller... s'éteindre, à force d'hésitation on fini par clignoter..donc la voila face à la boutique Cianfarnesque, le pas décide, ouvre la porte et diantre, inspiration soudaine, voyant ses occupants fort...occupé prends pose comme une statue.

Modèle à ne pas prendre exemple et le rire faisant de petites vagues, essaye d'être le plus invisible possible...
Admire les étoffes du coin de l'œil glissant sur les mousses verts et parme, soupire en pensant a ceux et celle qui arrivent à les conserver plus de deux minutes vivant.

Douce désastre qui est sa garde robe, mousseline et soierie, velours et broderies, maculée de taches de couleurs indéfinissable, vaillante création éphémère durant qui le temps de celle entre la mise et si possible l'entrée dans le carrosse.
Un jour peut-être on réussira à lui trouver moyen de lui attacher les mains... un jour.. ou jamais.
Sujet souvent aborder de façon trop légère pour être mis en pratique. Le jour de sa mort , voila une date..réaliste..oui ce jour la elle soignera sa mis et respectera les couleurs d'origine.

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Prunille
Temps qui suspend son vol.
Elle qui était si occupée il y a quelques minutes se retrouve soudain les mains vides.
Et rien pour les occuper à nouveau.
Soudain éloignement, elle a l'impression d'observer la scène, comme si...
Comme si elle n'avait été qu'un fantôme.
Elle les voyait, mais il ne la voyaient pas.
Gaby l'extralucide vint lui murmurer quelques paroles à l'oreille avant de retourner à ses occupations.
La sonnette de la porte d'entrée tinta, elle entrevit Véro.
Se dit qu'elle aussi venait pour Gabcha.

Il était temps de se retirer.
Même si...
Le spectacle doit continuer.
Elle lâche, sans être sûre d'avoir été entendue :


En parlant d'Hersende... Je vais à l'atelier.

Ils avaient une commande qui n'avait toujours pas été honorée...
Emporte avec elle une bouteille.
Faisant de la place sur une table de travail, encombrée de chutes de tissu qu'elle laisse choir au sol, elle s'assied à même la table, dos au mur, son carnet sur ses genoux.
Doucement, griffonne, une chaisne de soie et de gaze...
Transparence et douceur, broderies d'argent sur blanc, à taille Empire, évidemment.
De temps en temps, elle porte le goulot de la bouteille à ses lèvres.
Ferme les yeux, se noie.
Ne veut y repenser, mais c'est plus fort qu'elle.
Elle sent poindre des larmes, et se mord la lèvre au sang.

La crise passe, elle respire doucement, puis se rend compte qu'Électre l'observe.
D'un geste impatient, elle déchire le croquis, et le lui tend, en ordonnant que tout soit prêt le plus vite possible.

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Zorane
que de monde!...bientôt il faudrait une salle d'attente...un dérouleur de ticket pour prendre un numéro et patienter jusqu'à ce que son tour arrive...Zorane était ravie que la petite boutique de Prunille et Gabcha attire autant de personne...leur travail le méritait amplement...

Elle répondit à son oncle tout en souriant...accompagné d'un petit clin d'oeil...

...empire oui...je crois que c'est ce qui me convient le mieux!

Zorane fit un signe à Véro qui entrait discrètement...et suivit du regard Prunille qui se retirait dans l'atelier...pouvait-elle?...

elle passa la tête dans l'entrebâillement...admira l'artiste au travail...et doucement lui murmura...

puis-je m'assoir à tes côtés?...regarder un créateur dessiner son œuvre m'a toujours apaisée...et j'avoue qu'il y a un peu trop de monde dans la boutique...j'en perd le fil...
si je te dérange, pas de soucis chère presque cousine...j'irai m'aérer un peu en ville...
Iskander
Que se passe-t-il quand on est mort ... on n'est mort pour longtemps.

On est mort à Aix ... en Provence.

On est mort.

On revit. On revit quand un être qui vous aime vous ravit, vous revit, vous rappelle, vous reprend.

Mais une part de soi reste morte.

Elle erre.

Elle reprend conscience.

Elle attend.

Venir souffler un air lugubre ... non, sans doute pas. Pourquoi lugubre ?

Que cherche le mort ? Des souvenirs ? Le monde qui change lui est-il étranger ? Ou pas ?

Lui-même est-il un souvenir ? Lui, non, puisqu'il vit, aime, se bat, respire, hume, jouit de mille choses ... quelque part.

Il ne viendra pas tout de suite, pas encore, pas déjà, non non non ...

Pas lui. Il a la vie chevillée au corps. Il a une passion chevillée au corps.

Le mort pourra attendre longtemps.

Errer au gré des rues ... farceur, fariboleur, ... la mort, c'est la liberté de ne pas être.

Une boutique ... un parfum ... un être connu ... passer ... repasser ...

Les fantômes peuvent-ils aimer ? ... il n'y a pas de coeur qui bat ... puis le sien bat pour deux, pour dix, pour cent, pour milles ... le sien, celui de son autre, qui vit, qui aime ...

Errance de l'au-delà ... non, même pas. Errance de ceux qui ne veulent pas partir, pas tout de suite, pas encore, pas déjà.

Filer au travers des miroirs. Jouir de souvenirs. Les retrouver ...

Ce parfum ... un être connu ... aimé oui ... oui ...

Etrange ces étoffes. Qu'a donc un fantôme à faire d'étoffes ... il passe entre les mousses, les dentelles ou les mailles les plus serrées, pareillement ...

Qui en a cure ... qui en a cure ... belles pourtant ... belles ? A quoi bon ? A quoi bon le reste s'il n'est beau ...

...

Ce parfum ... un être connu, aimé, certainement ... oui

Se mirer dans un miroir, et voir la tête d'un mannequin, là vêtu d'une robe, là vêtu d'un ... diantre, quel nom donne-t-on à ce vêtement ?

Ebouriffer les cheveux d'une jeune couturière ...


Répondez ... répondez-donc ? Quel est le nom de ce vêtement ?

... qui suis-je pour elle ? Un courant d'air ? Elle ne me voit pas, ne me sent pas, ne m'entend pas ... et pourtant ...

Aaaaah ce parfum ... cet être connu, aimé, intensément ... j'ai son nom sur le bout de la langue ... ohhh comme je l'ai aimé ... l'aime peut-être encore ... de mon vivant ... oui, oui ... certainement ... elle, semble m'avoir vu, entendu ... pense que je ne suis pas là ... je suis impossible ...

Et pourtant ... oui, je suis là ...

Un autre homme, aux mains habiles, à la langue douce ... douce, ses lèvres, parlent ...

Tout apparait comme à travers un rêve diaphane ...

Où est donc mon vivant ... aime-t-il encore ? Oui, oui, je le sens, terriblement ... intensément ...

...

Ce parfum ... j'oublie ... je m'oublie

Ah, oui, ce parfum cet être connu, aimé, une âme sans pareille, une âme grande ...

...

Où ...

Un chagrin ... être fantôme ... tenter de cueillir au passage une larme qui coule sur une joue ... la voir passer entre ses doigts, sans pouvoir la retenir ... désolé ... désolé ... désolé ...

La jeune femme est jeune ... oooh tant de choses ...

Quand on est invisible, on voit tout ... on passe à travers les murs ... on ne nous voit pas.

Etrange paradoxe.

...

Une autre dame ... un parfum de Fleur, souvenir de tintement de lame ...

D'autres êtres ...

Encore ... cette boutique voit passer des gens, des âmes aussi ...

Ohhh ...

Ce parfum ... cet être connu, aime ... oui ... oui ... je me souviens, de son nom ... de son regard ...

De son nom ...

...

Son nom ...

Il est prononcé par mon autre ... mon moi-même, mon vivant ...

...

Ce parfum ... cet être connu, aimé, chéri ...

...

Aah ... ce bruit du papier qu'on déchire ... jouer ... vole ... vole donc ...

Se retourner ... croiser un regard de larmes.

Croiser ?

Voir les yeux s'écarquiller ...


Quoi donc ? Vous n'avez jamais vu un fantôme ?

On ne fait donc que des costumes pour les vivants ici ?

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Gabcha
Ah non, j'adore créer des tenues pour le Dernier Voyage. Lorsque j'avais douze ans, j'ai reçu une énorme baffe du Père Supérieur des Frères de L'Instruction Aristotélicienne...En effet, j'avais réalisé de multiples croquis de dames mortes , les mains jointes, les yeux clos, entourées de bougies suintantes et de fleurs suaves. De toute beauté, mon Iskander! Mon inspiration? Le décès de je ne sais plus quelle princesse, dans un accident de carriole. Je les rezieute en mon âme, mes sauvages zombies, prêtes à se dresser hors de leur lit funèbre dans un flot de dentelles folles.

Gabcha donna une grande accolade à son berger, puis s'adressa à la somptueuse Véro, après l’avoir embrassée tendrement sur la joue...

C'est un honneur pour moi d'accueillir en ces lieux la créatrice de la mini bure: une merveille, ce satin rouge porté sur des cuissardes vermillon! Marseille , je le sais, te dédiera un jour une statue : brandissant son Voms, la Femme des Profondeurs hurlera sa Puissance et sa Glorieuse Tempérance en face du port, de ses sardines et de ses gibbules.

Cianfarano soupira un peu en voyant la Prunille se cacher dans l’Atelier…Elle n’était pas en forme depuis quelques jours, la Pucelle. Zorane, en zélée camarade, alla la rejoindre. Il passa une tête dans la pièce des Fils, des Tissus et des Broderies et proclama, en fin intuitif…

Quand on voit la lune , on accepte le loup, la meute et on enfile sa cape de chaperon rouge.

Phrase qui ne voulait rien dire, bien évidemment. Gabcha, il y a deux semaines, avait avoué à son Riri que la plupart du temps, il ne comprenait rien du tout à ses propres propos. L’intéressant était de constater que les gens , eux, pigeaient ses paroles avec une régularité d’une politesse émouvante. Ils en avaient bien ri tous les deux.

Il se dirigea vers son bureau ,en sortit un dessin pour Perperine et le lui présenta…




De la pureté, de la sobriété, ma nièce ! Tes seins sont mis en évidence par un décolleté avantageux. Le bedon est gommé, annihilé, foudroyé. Ce modèle se nomme « Fleurettes et laitages »

Puis, il se tourna vers Cailli et Axle : manifestement, les deux semblaient heureux de vivre l’Amour, les roses, les coquelicots, les cerises et la prune…Simplicité de la respiration quand elle se pratique à deux…Puis , tout sourire,il s’apprêta à noter les mensurations de la jeune fille de Callishane…A qui il reversa un Pessac.
Callishane
Ballet de monde, de paroles..
La tavernière y est habituée..
La mère aussi, au milieu des enfants..
La femme est un peu perdue, elle.. au côté des adultes qui vivent sans attendre..

L'entendra-t-on ou pas.. mais elle assure que Chloé approche de ses dix ans et qu'elle comptait lui faire une surprise, lui montrer qu'encore une fois, ils revenaient.
Zarco et elle.

Elle hésite à se refermer..
Finalement, la guerre n'a pas laissé que des traces sur son ventre.
Elle sirote doucement son verre et admire ce qui se présente déjà, un doux travail.

Ha, ça, elle tient de son père! C'est le moins que l'on puisse dire.

Le sourire revient.

Mignone, volontaire, bornée et incapable de tenir en place.
Pour dire si c'est de famille, je ne sais pas.. mais c'est bien possible..
On verra bien si tu viens vraiment t'installer par chez nous!


Un rien de malice dans le regard sur ce coup là, elle salua les nouvelles présences dans la pièces.
Le temps passait si vite et les gens si peu..

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Prunille
puis-je m'assoir à tes côtés?...regarder un créateur dessiner son œuvre m'a toujours apaisée...et j'avoue qu'il y a un peu trop de monde dans la boutique...j'en perd le fil...
si je te dérange, pas de soucis chère presque cousine...j'irai m'aérer un peu en ville...


Elle sourit doucement, et fait place à côté d'elle.
Un drôle de courant d'air souffle sur son visage, c'est froid et chaud à la fois...
Elle croit voir une forme, surprise, puis se met à rire.


Tu vas me prendre pour une folle...
Un peu de...


Tiens, elle n'a même pas fait attention à la bouteille qu'elle emportait.
D'un coup d'œil qui se veut discret, zieute l'étiquette.


Pauillac ?

Elle n'y connait rien en vin, mais...
Nouveau sourire.


Quant à dessiner...
Je ne sais pas quoi faire.
Pas que je manque d'idées, mais il me faudrait un fond auquel apposer ma forme...


Intense réflexion.

Une robe plus brillante...
Moins commune...
Une robe couleur de lune !


Sa réplique sortie d'elle ne savait où lui tira un léger éclat de rire.

Et si je me lançais dans la layette, plutôt ?

Quand on voit la lune , on accepte le loup, la meute et on enfile sa cape de chaperon rouge.

Qu'était-ce ?
Un message codé ?
Elle le nota dans un coin de sa tête, se promettant de le décrypter.

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Gabcha
Gabcha écouta attentivement Callishane, puis lui dit...

Je n'ai jamais habillé un enfant. Je n'en ai jamais eu, et sans doute que je ne fonderai jamais une famille.
Mais je vais tenter l'aventure. Surtout, il faudra me dire si c'est bon ou mauvais.


Il se dirigea vers ses vélins, en choisit un et, en pendant la langue, esquissa quelques traits. Après plusieurs dizaines de sablier, il revint vers sa nièce en lui présentant ceci...

Iskander
Evanescent ... là pourtant ...

Etonnant.

Etonnant.

Ce parfum ...

Le sourire de l'homme ... Gabcha.

Le sourire de la jeune damoiselle.

Regarder sa main fantôme ... la voir mouillée d'une larme.

Etonnante condition.

Le souvenir du fantôme s'étiola doucement ...

...

Ce parfum ...

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Callishane
Ha ça.. C'est souvent quand on ne veut pas ou qu'on est pas sûr d'en vouloir en fonder une qu'elle nous tombe dessus..

Et.. tu sais.. ce n'est pas parce que je l'ai habillée ces dernières années, la petite tornade, que c'est forcément une bonne chose..

Et si ce n'est pour te faire réfléchir, je n'aurais pas vraiment eu d'intérêt à venir.


Un sourire amusé plus tard, elle regarda quand même le travail de fait..


Si au moins, elle peut bouger.. hmm.. disons courir..
Pas dit, connaissant son père, qu'elle soit en passe de se mettre à tenir en place une minute..
Je pense que ça devrait aller.
Après, vu de qui elle vient, j'espère qu'elle y fera un minimum attention.

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Bloudas
Bloudas regardait autour d'elle. Le village semblait si désert. Ou était tout le monde?
Quelques rares personnes se pointaient en tav comme sa belle-sœur Calli ou Guirre....Mais ou étaient le reste des habitants?
Forc avait-elle perdu sa joie de vivre? Qu'en était-il de son âme? Les Habitants étaient éparpillé aux 4 cois de la Provence ou simplement tuer par les ennemis durant la guerre.

Bloudas s'était renfermer chez elle depuis sa grave blessure. Il était temps pour elle d'en sortir, de voir des gens. elle se décida donc pour aller a la maison de son oncle.
La jeune femme avait décida que ca serait un bon endroit ou aller. Elle avait bien besoin de se changer les idées et moins déprimer. Blou se rendit donc a la maison Cianfarano.

En voyant la maison, elle se détendit. C'était aussi l'effet que lui faisait Gabcha a chaque fois qu'elle le voyait ou s'en approchait. Elle ignorait comment il parvenait a le faire.

Elle s'approcha de la porte et toqua puis attendit.

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Bloudas de Cianfarano du Mystraal

tisserande
Zorane
Zorane s'installa confortablement aux cotés de Prunille...souri attendrit par ses propos...

Merci ma belle...puis caressant son ventre rebondit...pas de Pauillac pour moi, une tisane ou juste un peu d'eau suffira...
De la layette...quelle bonne idée...surtout que si j'en crois mes yeux...les mini clients ne tarderont pas à pointer le bout de leur nez...
Guirre
Arpentant les ruelles du centre ville, Hélaine marchant à ses côtés, ronchonnant parce qu'elle avait du remettre braies et chemise fripés tandis que ses effets séchaient à l'auberge, et Bergeau dans ses bras, faisant le pitre, Guilhem vit la sœur de son parrain qui attendait, impassible, devant une boutique qui semblait fort bien tenue.

Coucou Blou ? les grands esprits se rencontrent .. *rit*
Tu viens frémir devant les boutiques huppées de la rue du centre ville ?
Je recherche quelques effets pour ma tite damoiselle à ma droite, là.

*lui désignant l'ainée de la famille*
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