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[RP] Maison Cianfarano

Zorane
à l'appel de Gacha, Zorane le rejoignit dans l'atelier...ce qui se présentait devant ses yeux ne pouvait être la robe qu'elle avait demandé...cette chose dessina sur son visage une horrible grimace...

Prunille...Gabcha...jamais je ne porterais une horreur pareille...par sa forme comme par sa couleur...beurk...même si on me payait pour que je la passe...que je dirais non!
--Robertlagourmande
Oh merci Mafemelle Prune, j'allons mettre cette tenue de suite.

Robert se déshabilla lentement, comme on lui avait appris à le faire à Avignon lorsque Lordfear était au pouvoir.D'abord le haut, en ondulant le corps avec délicatesse et volupté, ensuite le bas, plus lascivement encore. Entièrement nu, il se dirigea vers Prunille, s'agenouilla, lui baisa les chausses avec volupté, se redressa et murmura.

Je vous remerciâmes de me donner congé en ce jour printanier. N'oubliassez pas de me donner des sous pour ma peine!

Il enfila avec précaution la somptueuse tenue, nommée "Bourgeon cosmique", et rayonnant, s'adressa à ses bons patrons...


Sachassez que je vallons faire vostre publicité dans toute la ville ainsi habillée.Quel bonheur que te voir vostre nom rayonner en la Provence Hersendienne!
ZellePrune...Je pouvassions fumassier avec vostre Sérénité?
Prunille
A nouveau, elle poussa un cri qui tenait plus du canari que l'on émascule que de quelque chose de vraisemblablement humain.
Y'a pas à dire... C'était très laid, un homme nu.
Et elle, la petite fleur de couvent, venait, en la personne de Robert, de voir son premier. Ce qui avait de quoi la traumatiser ad vitam eternam.
A vrai dire, elle n'imaginait pas que cela... Pendouillait à ce point là.
Elle déglutit difficilement, tout en reprenant une bouffée de sa réthyghirette et en plaquant une main sur ses yeux préalablement fermés (deux précautions valent mieux qu'une), histoire de s'épargner ce spectacle.
Le pompon du pompon fut sans doute le moment où il vint, en tenue d'Adam, lui baiser les pieds... Elle était tellement perturbée qu'elle ne broncha même pas.
Et Blondine garda les yeux fermés jusqu'à ce qu'un froufroutement de tissu la réconforta dans l'idée que Roro avait terminé par enfiler cette maudite robe.


Sachassez que je vallons faire vostre publicité dans toute la ville ainsi habillée.Quel bonheur que te voir vostre nom rayonner en la Provence Hersendienne!
ZellePrune...Je pouvassions fumassier avec vostre Sérénité?


Oui, euuuh... Tiens.

Et elle lui claqua sa réthyghirette à moitié entamée dans les mains, ce qui lui permit de reprendre un peu son sang-froid, mis à rude épreuve avec cette vision de Robert ainsi attifé.

Mais je te défends de faire notre publicité !
Si... Si les gens veulent être dignes de porter nos créations, il faut qu'ils devinent tout seuls d'où provient ta tenue, et qu'ils s'y dirigent d'eux mêmes, sans avoir été influencés !
La publicité... C'est bon pour ceux qui ont besoin de trouver des clients.
La Maison Cianfarano ne va pas vers ses clients, ce sont ses clients qui viennent à elle !


Et satisfaite de sa tirade, elle secoua un tantinet sa blonde chevelure.

Va, Roro, nous te libérons de tes obligations envers nous.

Et rajoutant à cela des gros yeux, histoire qu'il comprenne qu'elle n'indiquerait pas deux fois la direction de la porte.
_________________
Gabcha
Gabcha se tourna vers sa nièce Zorane, et lui dit, rougissant...

Je suis vraiment désolé du spectacle qui vous a été présenté. Notre Maison est digne et vertueuse, et ne peut tolérer une telle décadence.
Afin de vous laver de cet affront esthétique, nous allons vous créer, Prunille et moi, deux tenues.


Ensuite, il prit Prupru à part et lui chuchota...

Tu as réagi comme il le fallait. Avec classe, équilibre et fermeté. Je suis très fier de toi. Tu fais la robe comme elle le désire...Moi, je m'occupe de la nouvelle.

Il prit des tissus, les soupesa, choisit une soie légère et printanière, se dirigea vers un mannequin en bois et , les aiguilles à la main, commença son travail de petite main.

N'hésitez pas à vous servir à boire, Damoiselles. J'en ai disons pour...

Il calcula mentalement, et affirma...

70 sabliers.
Zorane
une fois sa quasi cécité, provoquée par la double meringue verte, envolée...une fois les nausées, dues à la pestilentielle émanation de Roro, dissipées...une fois ses esprits retrouvés...Zorane était toute ouïe...les oreilles si ouvertes qu'elle entendit des "vous" à son intention de la bouche de Gabcha...comme ils sonnaient mal!

Mon cher presque-oncle, sauf si cela Vous tient à cœur, j'aimerais que Vous oubliez le "vous" à mon égard...étant de la presque même famille, il me semble qu'il serait de bon ton, mon cher Gabchou, de montrer notre relation plus qu'amicale par l'utilisation du "Tu"...et cela est tout aussi valable avec Vous presque cousine Prunille!

Zoranne se leva, pris en main les 3 gobelets, et se dirigea verre la carafe...

pendant que vous, Prunille et Gabchou, jouez les petites mains pour m'habiller en Cianfarano, laissez moi m'occuper du service...
Prunille
Et finalement, en regardant Zorane se lever pour aller faire le service...

Foutremerde ! La Grâce Divine vient de trouver réceptacle en mes entrailles !
Zorane, ne bouge pas...
Changement de programme !


Et disant cela, elle se précipita sur une soie de couleur lilas, et fila la draper autour d'un mannequin. Coups de ciseaux, coup d'épingles, coutures, piqures à coup d'aiguille parce que pas le temps d'enfiler un dé à coudre, et gouttes de sang suçotées du bout des lèvres. Point d'instinct vampiresque chez Blondine, il parait que ce genre de créature à une forte tendance à attirer les minettes, pas le genre de clientèle qu'elle recherche.
Puis, finalement, elle va farfouiller dans un tiroir, pour en sortir deux bandes lavande, toutes deux rebrodées d'une admirable façon...
A nouveau elle coud, recoud, découpe...

Et finalement, ne bouge plus. Se recule, et admire son œuvre.




Qu'en dis-tu ?
_________________
Zorane
Foutremerde ! La Grâce Divine vient de trouver réceptacle en mes entrailles !
Zorane, ne bouge pas...
Changement de programme !


Zorane se stoppa dans son élan...intriguée par la soudaine folle activité de Prunille...un drapé par ci, un ruban par là...elle semblait danser avec les étoffes, les fils et aiguilles...
Zorane admirait l'agilité de ses doigts...aïe ça doit faire mal...ni vu ni connu la goutte avait disparut...peu à peu la robe commençait à se dessiner...Prunille s'arrêta net, recula...

Qu'en dis-tu ?

Muette...Zorane était devenue muette...la bouche grande ouverte comme anesthésiée...se qui venait de se dévoiler devant elle était...angélique, divin...Zorane n'en croyait pas ses yeux...de sa main droite,elle cherchait cette chaise qui ne devait pas être si loin...mais où était-elle?...ah, la voilà!...elle posa son fessier dessus, pour soulager ses jambes qui ne tenaient plus...
ses émotions passait d'un extrême à l'autre...de l'horreur verte à la pure merveille...


vraiment...Prunille...tu as des doigts de fée...cette robe dépasse de loin mes espérances... ainsi vêtue, je porterais plus que dignement la descendance Cianfarano...et je crois que plus personne n'osera remettre en question la légitimité des liens de par la splendeur que dégage ta création...
Prunille, tu es la digne héritière du talent Réthylien, je peux dire de façon certaine, qu'il aurait apprécié à sa juste valeur ton travail...


L'émotion était trop forte...elle imaginait son tendre daddy s'extasier devant cette superbe robe...lui attribuant les plus beaux compliments et adjectifs de son imagination burlesque...
Zorane ne pu contenir les gouttes salées qui perlèrent sur ses joues...encadrant un sourire plein de tendresse...


merci...
Adrianna
adrianna passait par là, elle vit une grande demeure.. quelques bruit semblaient y venir.

sur sa jument elle longeait le chemin.
un sourire amusée au bord des levres, elle trouvait cet endroit bien sympathique.. et propice aux reveurs...

allez cendre.. ne te fatigue pas a avancer trop vite.. c'est point la peine...

la jeune femme encapuchonnée descendit de son cheval et marcha a coté de lui glissant un regard deci de la.
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Gabcha
Ma Prunille, soyons francs...Tu as un talent monstrueux.

Gabcha tournait autour de la Nouvelle Création, prononçant des mots lui venant du coeur...

Simplicité...Courbes...Sensualité...Maternité...Antiquité...Grâce...Dignité...Transparence délicate...
PRUNILLIENNE...Elle est Prunillienne...


Il donna une bise affectueuse à sa douée, et dit à Zorane...

Ma tenue est moins réussie, je dois l'avouer. J'espère que tu accepteras ce modeste modèle...

Il demanda ensuite à Clermence, mannequin vedette de la Maison, de présenter " Lavande Douce"...



C'est un hymne à la Provence, à sa Sagesse. La Soie sauvage est soit mate, soit transparente ...Le chapeau ,en feutre, est de la même couleur que les gants, en cuir d'agneau.Le Thème...Empire donc...Est respecté. Je me suis permis ...Je me suis permis...

Il redressa les épaules, afin de vaincre l'émotion qui le submergeait, et d'une voix neutre continua son propos...

Je me suis permis d' ajouter un médaillon. Dans celui-ci, tu trouveras la médaille de Baptême de Rethy.

Il se tourna , pour cacher de légères larmes, vers la fenêtre qui donnait sur la rue...Une dame élégante se promenait ...

Cette Maison va devenir le centre du Beau. Nos clientes viendront de France, de l'Empire , d'Italie...Des Ottomanes quitteront les harems, des Espagnoles les couvents, des Nordiques les tempêtes...

Prunille, Zorane, notre nom, CIANFARANO, va dominer le Monde!
Zorane
Gabcha montra à son tour la robe qu'il avait confectionné pour elle...plus sobre..plus facile à portée aussi...très élégante...elle arborerait avec classe le nom de "Cianfarano"...
Zorane se leva..tourna autour de la robe... tout en écoutant attentivement les explications de son Gabchou...


La Soie sauvage est soit mate, soit transparente...elle prit la précieuse étoffe dans ses mains et la fit glisser entre se doigts...Le chapeau ,en feutre...elle le mit sur sa tête...s'avança devant le miroir pour voir l'effet du couvre-chef..., est de la même couleur que les gants, en cuir d'agneau...elle habilla ses mains de cette seconde peau, appréciant se contact nouveau...Le Thème...Empire donc...Est respecté. Je me suis permis ...Je me suis permis......Zorane souri à se dernière remarque...

elle remarque , au même moment où il lui fit remarquer, la présence du médaillon...aux creux de ses mains...elle le plaça contre son cœur...ferma les yeux..laissant les flots d'émotion la submerger...puis dans un murmure tout juste audible, Zorane s'adressa à Gabcha...

Oh...Gabcha...ta création n'est pas moins réussie que celle de Prunille...un autre style qui me plait tout autant...et ...ses lèvres tremblaient...je suis sincèrement touchée par ce présent...j'en prendrait bien soin...comme un trésors, je conserverais la médaille de Réthy...ici...elle désigna le creux de sa poitrine...et quand le moment viendra, je transmettrais se cadeau à mon enfant...qu'il sache d'où il vient, qu'il est un peu de son grand-père si important à mes yeux...


Zorane ne pu empêcher l'élan de son cœur qui la porta jusque dans les bras de Gabcha...
Prunille
Et ça se bisouillait, ça pleurait même...
Ah non, ah non !
Les larmes de la chaste Blondine étaient réservées à son onisama.
N'empêche que là, comme ça, à les voir tous les deux émus...
Et puis tonton Gaby qui lui disait qu'elle avait un talent monstrueux...
Elle se sentait toute chose.

Mais NON !
Au lieu de laisser aller sa petite larme comme tout le monde, elle fila s'allumer une seconde réthyghirette, la première ayant été emportée par Roro la Terreur.
Ça détend...


Argh, désolée, je supporte très mal les émotions fortes.

La vérité était qu'elle ne savait pas du tout où se mettre, la Prupru.
Les tendresse, les sentiments, tous ces machins à la guimauve, personne ne lui avait appris à gérer, au couvent.
De ce fait, elle se retira dans son for intérieur, vaste forêt où chantonnent les oiseaux et où les écureuils dansent de concert avec les lapins pour souhaiter la bonne journée au plus petit des elfes.
De ce fait, elle alla s'asseoir au comptoir, et commença une liste des défauts qu'elle se trouvait.

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Zorane
les hormones...sans doutes les hormones qui la poussait à vouloir partager ses états d'âmes...elle arracha Prunille à son fort intérieur (très "fleurs qui chantent, j'adore )...et la glissa presque de force entre elle et Gabcha...

merci..à tout les deux..merci...

elle les couvrit tous deux de ses éternelles bisouilles...
Ladoce
Ladoce avait eu vent de l'ouverture de ce que l'on appelait "la maison Cianfarano". Elle connaissait le talent de cette famille pour la confection de belles tenues

Avec cette guerre, sa garde robe n'était faite que d'armure ... et avec les prochains évènements, il lui fallait une belle robe!

Elle rentra tout discrètement


Bonjour, bonjour
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Gabcha
Gabcha était occupé à bisouiller ses deux nièces quand entra dans la Maison de Couture la Belle, Douce et Guerrière Ladoce. Il avait rencontré la jeune femme il y a quelques semaines, à Apt, lors de la mort de Rethy. Elle l'avait impressionné par son calme, sa classe, sa tendresse et sa fougue. Il n'en était pas amoureux. Pas encore du moins.

Il s'approcha d'elle, souriant, lui baisa majestueusement la main, et lui désignant une chaise en velours, lui dit...


Veuillez vous asseoir, Dame. Nous sommes heureux de vous recevoir en ce jour de printemps...Les bourgeons, les lapins, les abeilles, les morpions: toute la nature est en fleurs. Et la plus belle se trouve devant mes yeux. Que pouvons- nous coudre pour vous satisfaire?
Ladoce
Ladoce rougie, elle avait toujours du mal quand on la complimentait.

Bonjour Gabcha. Ravie de vous revoir!

Elle fit un clin d'oeil à sa zozo, encore plus belle pendant cette grossesse, et salua l'autre dame, qu'elle avait déjà aperçu sans pour autant la connaitre.

Et bien, je vais être de mariage, et ... je n'ai rien a me mettre...me faut une robe....

L'espace d'un instant elle se senti bête...forcement elle était pas venue chercher des patates ici
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