Prunille
Alors va pour le Pessac !
Ouvrir délicatement le coffre, en sortir la bouteille.
Déboucher, avec précautions, ne pas démolir le liège, ça serait gâcher une si bonne bouteille.
Et verser, délicatement, aussi attentive qu'une geisha lors de la cérémonie du thé.
Lui tendre son verre...
Et nourriture...
Éclat de rire quand il refuse le champignon.
Malheureusement ce n'était guère la saison des fraises.
Hélas, je n'ai rien de tout cela...
Moi j'ai envie d'un bon gros chapon farci, avec de la compote de pommes, et des marrons glacés.
C'est rustiquement paysan, mais j'adore !
Réfléchir...
J'ai toujours une boîte de calissons sur moi, au cas où je croiserais l'ambassadeur de Bourgogne et qu'il faille le calmer d'urgence...
Si tu veux, on peut !
Et filer à l'atelier, fouiller dans sa besace aux milles merveilles, et ramener triomphalement la boîte.
Puis poser sa délicate personne dans un fauteuil, et considérer le verre de Pessac...
J'ai une théorie toute personnelle sur le Pessac. Je crois que j'y ai été sevrée, à la place du lait. Ce qui expliquerait qu'en cas de coup dur, au lieu de vouloir de l'alcool, j'ai envie de lait.
Sourire amusé et lèvres trempées dans le nectar.
Et sinon, de quel genre de simplicité as-tu envie ?
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Ouvrir délicatement le coffre, en sortir la bouteille.
Déboucher, avec précautions, ne pas démolir le liège, ça serait gâcher une si bonne bouteille.
Et verser, délicatement, aussi attentive qu'une geisha lors de la cérémonie du thé.
Lui tendre son verre...
Et nourriture...
Éclat de rire quand il refuse le champignon.
Malheureusement ce n'était guère la saison des fraises.
Hélas, je n'ai rien de tout cela...
Moi j'ai envie d'un bon gros chapon farci, avec de la compote de pommes, et des marrons glacés.
C'est rustiquement paysan, mais j'adore !
Réfléchir...
J'ai toujours une boîte de calissons sur moi, au cas où je croiserais l'ambassadeur de Bourgogne et qu'il faille le calmer d'urgence...
Si tu veux, on peut !
Et filer à l'atelier, fouiller dans sa besace aux milles merveilles, et ramener triomphalement la boîte.
Puis poser sa délicate personne dans un fauteuil, et considérer le verre de Pessac...
J'ai une théorie toute personnelle sur le Pessac. Je crois que j'y ai été sevrée, à la place du lait. Ce qui expliquerait qu'en cas de coup dur, au lieu de vouloir de l'alcool, j'ai envie de lait.
Sourire amusé et lèvres trempées dans le nectar.
Et sinon, de quel genre de simplicité as-tu envie ?
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