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[RP] Vague à l'âme ... tsunami de bière pour le chasser ...

Enored
Coup d'oeil vers Mini qui sort de façon pas tout à fait conventionnelle et un léger sourire se dessinant sur ses lèvres avant que son regard ne plonge dans le vague. Un courant d'air, et puis un autre. Une sortie, une entrée, et une silhouette blonde face à elle. Tournée commandée. Pas de réaction et puis ...

Demat !

Emeraudes qui quittèrent leur point imaginaire pour aller à la rencontre des Azurs qui la fixaient. Elle était de retour et avait l'air entière. Regards qui restèrent longtemps scellés l'un à l'autre avant que les premiers mots ne franchirent les lèvres de l'Irlandaise. Aucun sourire, aucune émotion, quoique ... les traits tirés de son visage pouvaient tout vouloir dire ... Caline savait-elle ? pas sûre ... elle ne lui avait pas écrit depuis qu'elle était partie, seul un courrier de Kahhlan lui apprenant qu'elle l'avait croisée lui avait fait envoyer Patrice à Nimes pour l'escorter.


Dia Dhuit Caline ! Ca fait plaisir de te voir ici entière. Ca va mieux la cheville ?

Sourire taquin légèrement moqueur ... mais le ton n'y était pas.
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Caline
Dire ou ne pas dire ce qu’elle ramène dans ses bagages ou plutôt qui elle ramène, question cherchant réponse l’espace d’un court instant avant que son regard ne rencontre les émeraudes, qu’elle ne remarque les traits tirés d’Eno…réponse vite trouvée, elle ne lui dira rien, pas la peine…de toute manière, elle la connaît, elle sait ce qu’elle dira si elle lui annonce la nouvelle, elle l’imagine même à deux trois choses près …oui nul besoin de lui dire, pas la peine surtout en ce moment, surtout après ce qu’elle a appris au cours de son voyage et en laissant trainer ses oreilles depuis son arrivée…la Princesse, sa fille…elle devine la Bretonne, elle devine que les traits tirés face à elle sont la cause de toutes les bières avalées et non la conséquence – car elle est sure que ce n’est pas la première que son amie à devant elle !

Dia Dhuit Caline ! Ca fait plaisir de te voir ici entière. Ca va mieux la cheville ?

Léger sourire qui s’esquisse et pensées assassines pour ces fichus trèfles qui l’éloignent un court instant du moment avant de revenir au présent, main qui balaye le vide comme pour chasser la question…

Oui…et mon amour propre aussi…- repensées pour ces satanés trèfles avant de prendre un ton plus sérieux, de laisser son regard aller se plonger à nouveau dans les émeraudespas de quoi s’en faire ce n’est qu’une cheville…je pense plutôt aux autres…

Phrase laisser volontairement en suspend, la Bretonne préfère se taire, éviter de dire les choses que l’irlandaise sait déjà…à quoi bon lui dire que « la guerre fait des victimes, des blessés et qu’elles en connaissaient les conséquences », à quoi bon lui dire « ce n’est pas ta faute », à quoi bon lui dire « pourvues qu’elles s’en remettent », à quoi bon dire ces choses convenues …non elle préfère juste être là, une présence dans la tempête…

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Enored
Oui…et mon amour propre aussi…- léger sourire narquois– pas de quoi s’en faire ce n’est qu’une cheville…je pense plutôt aux autres… hum voyage éludé ... silence respecté mais fait chier la Bretonne ... Emeraudes plongées dans les azurs. Tu sais en plus que tu fais chier là ... Pensée qui ne franchira pas le bord des lèvres, regard suffisant amplement. Et à quoi bon s'en prendre aux autres après tout.

Soupire, haussement d'épaules, chope vidée. Même pas une amorce de soulagement, même pas réussit à se vider l'esprit. Hantée par cette image du corps d'Armoria qui chute non loin d'elle, culpabilité de n'avoir su anticiper suffisamment, elle était là tout près et pourtant ... L'Irlandaise secoua la tête, ferma les yeux un instant pour les rouvrir et se rendre compte que les azurs n'ont pas bougés. Grognement, paroles concédées à ce regard interrogateur sans curiosité.


Tu as du savoir ... les nouvelles vont vite. Les rumeurs vont vite surtout celle là ... elle n'est pas morte mais entre la vie et la mort ... hésitant surement sur le retour à prendre, le départ à choisir. Silence un instant, juste le temps que la voix fracassée par l'émotion revienne doucement, rouquine qui à chaque coup d'émotion, réalise un peu plus combien elle tient à la Princesse ... J'étais à côté j'ai rien pu faire. Pas la peine de faire de leçon, de dire que j'y suis pour rien que j'ai fait d'mon mieux d'jà entendu tout ça ... Silence ... juste parce que si elle continuait à parler son amie là en face s'en prendrait plein la figure ... pas la peine, elle rentrait de voyage, devait être fatiguée, n'avait pas tout dit ... silence donc
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Raoulleglabre
[Ras l'bol des c'risiers, ceux qui suivent comprendront. Et quand y'en a marre, y'a... Raoul]

Yé mène ! comme disent les godons.

Raoul déambulait en bullant. Il se chantait sa petite chanson dans sa tête qu'il balançait artistiquement en avant et en arrière, dextre et senestre aussi. Houle et odeur d'iode, la mer n'était pas loin et le mistral puissant perçait les espalières aux jointures. Saoulé qu'il était mon Raoul.


Mymille ? t'as compris cet'histoire de flamand t'à l'heure au marché ? Le Lambert d'Armoria quand il est v'nu chercher nos miches ? Il parlait d'quoi ? Y'a des belges ici ?


Et Raoul qui marche. Faut dire qu'il marche seul... Dans les rues qui se meurent... Il marche seul... depuis déjà ... Oula, le temps de compter au moins une dizaine de fois tous les doigts des deux pognes, tiens. Vu qu'il chante, il parle tout seul. C'est une chose curieuse qui arrive de temps en temps, ouvrez voir vos yeux dans la rue, vous verrez. C'est pas spécifique à mon spadassin. Au flamand rose. La taverne portait fièrement son enseigne : une poularde au bec rond dont la couleur sucrée aurait fait pâlir de jalousie la marquise des anges. Un oiseau rose ! Pas de quoi vous rassurer sur l'honnêteté des mœurs locales ! La fenêtre du rez-de-chaussée est grande ouverte. Glaber a la gorge sèche. Et p'is surtout, y'a des bougresses. Raoul a l'œil. Enfin, les deux en fait, mais bon, c'est une longue histoire... Raoul est un faux borgne, pour passer inaperçu. C'est comme les fillasses, elles sont toutes rousses... Si vous voulez faire fillasses qu'on r'marque pas, faut s'teindre en rouquine.

Partagé entre le désir de taper la causette avec une arlésienne qui s'cache pas enfin, et sa légitime appréhension à pénétrer dans ce qui a tout l'air d'être une taverne de sodomites, Raoul reste interdit.

Salut la compagnie ! Y'a aut'chose que du lait à l'anis ici ?
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Caline
Léger sourire ironique un peu triste…comme pour dire « Je suis ainsi, à force tu devrais le savoir… » oui même cette fichue guerre et tout ce qui c’était déroulé avant n’avait pas changé cela chez elle, n’avait pas changé cette façon qu’elle avait de s’asseoir et d’attendre patiemment que ceux en qui elle tient se confit à elle, si le besoin s’en fait ressentir…et oui, elle était embêtante…sourire vraiment triste cette fois ci, mais si elle n’était pas embêtante avec la rouquine, avec qui pouvait-elle vraiment l’être ? Restait bien peu de monde vivant avec qui elle pouvait être ainsi… bière qui se vide d’un trait, chassant ses tristes pensées…elle était vraiment fatiguée pour se laisser aller ainsi, se laisser à penser ça…fatiguée par le voyage, par les doutes, la peur, l’inquiétude, par la guerre, hantée par les personnes qu’elle avait du tuer sur le champ de bataille…fatiguée de s’accrocher à cette minuscule parcelle d’espoir et de la savoir si loin…

Tu as du savoir ...

Hochement de tête, azurs dans émeraudes…oui, elle sait, oui elle a appris ce qui s’est passé, bière qui se vide tout en écoutant les mots lâchés par la rouquine…mots qui lui révèlent à quel point elle a pu changer depuis leur arrivé ici, à quel point l’irlandaise a de nouveau ouvert son cœur…un vaste contraste par rapport à elle qui l’a fermé.

…J'étais à côté j'ai rien pu faire. Pas la peine de faire de leçon, de dire que j'y suis pour rien que j'ai fait d'mon mieux d'jà entendu tout ça…

Mains qui se lèvent légèrement un instant devant elle en signe de paix, regard qui se fait l’espace d’un instant plus doux et mots qui franchissent ses lèvres…

Ce n’était en rien mon attention Eno …je sais…j’apprécie pas non plus…d’entendre ce genre de chose…

Oui elle sait ce que cela fait de s’entendre dire qu’on ne pouvait rien faire ou encore qu’on avait fait de son mieux…pensées qui font un retour en arrière dans le passé jusqu’à Lyon...jusqu’à plus loin encore…les Flandres…la Bretagne…culpabilité d’être vivante…culpabilité qu’ils soient morts…essayer de s’en défaire, de continuer…pas toujours évident…elle avait eu le début d’un possible infini, la perspective d’un avenir, tout cela perdu…elle espérait tout de même que quelque part qu'elle ait, qu’on lui donne un espoir, une envie pour continuer…oui elle avait envie d'y croire malgré tout, malgré elle.

Porte qui s’ouvre, courant d’air, rapide coup d’œil sur l’homme qui entre…


Salut la compagnie ! Y'a aut'chose que du lait à l'anis ici ?


Question adressée à la ronde…du lait à l’anis…heureusement qu’il y a autre chose…regard vers son verre puis vers le tavernier, léger mouvement de la tête pour lui demander de les resservir et regard qui se reporte sur son amie…pour un changement de sujet salutaire et quitter cette mélancolie, ce sentimentalisme qui revenait avec la fatigue…

J’ai croisé Kalhan à Usez…elle m’a transmis ton « message »…- léger sourire, le message était une bise, si elle s’était attendue, Eno qui n’avait jamais été bise - …et merci de m’avoir envoyé Pat, ce n’était pas nécessaire mais merci….
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Raoulleglabre
Il descendrait des molosses qui franchirent les alpes avec les légions romaines. On retrouve ses origines en suisse dès le troisième siècle, à l'hospice du Grand Saint-Bernard. C'est là qu'il s'était forgé une réputation de secouriste des montagnes et même des valons. Le plus célèbre Saint-Bernard, Raoul Le Glabre, dit Glaber, sauva une princesse de France des griffes d'un infâme angevin en Saumur, sans qu'elle s'en rendit compte, en fait. J'admets que l'épisode soit confus. Ce Saint-Bernard a le poil court, d'où son nom : Le Glabre. Glaber, en latin pour ceux qui veulent faire bien... Ermengarde de Faucogney, une farouche vosgienne, également son aïeule, fut jadis croisée avec Pierre de Baillard de Terre-Neuve, un gaillard aventurier savoyard, voire un peu helvétique. L'histoire ne dit pas si c'était de plein gré ou vaguement forcée. c'est à vérifier. Ainsi naquit la variété glabre, à poil très court donc, la plus répandue aujourd'hui.


J'm'appelle Raoul
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Enored
Un salut étrange et un visage qui lui semblait, si non familier, au moins connu. Caline sans même le saluer fit signe au tavernier de le servir. Il lui arrivait quoi à la Bretonne ? Léger sourire de l'Irlandaise qui se dit qu'elle devenait au final pire qu'elle ...

Hum, je sais oui que tu as croisé Kahhlan, pour ça que je t'ai envoyé Patrice, je ne savais où se trouvait Gmat et ses mercenaires ... d'où mon inquiétude, accentuée par ton silence ... bref. Mieux vaut être trop prudent par les temps qui courent, pas envie d'aller te rendre visite aux tentes blanches !

Elle se tourna vers le nouvel arrivant, l'observa un instant ... auprès de la princesse l'avait-elle croisé ? au campement de la CSM ? non ... si ... peut être ... un Savoyard ? bon sang mais qui était-il ... intriguée elle s'adressa à lui

Le bonjour ... Raoul ... je suis Enored O'Caellaigh, joignez vous donc à nous, il me semble vous connaitre ... tout du moins vous avoir déjà croisé non ?

Et la rouquine de fixer l'homme en question pour tenter de retrouver où elle l'avait déjà aperçu.
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Caline
Hum…oui elle aurait du écrire – moue désolée de la bretonne - tenir son amie au courant…mais sur le chemin la menant à Montélimar puis sur le retour, nombres de pensées, de doutes s’étaient insinués en elle la poussant à se demander ce qu’au final elle faisait là…le tout distillé par la fatigue, les morts qu’elle avait sur la conscience, l’inquiétude, la peur non pour elle mais pour…pour eux tous …pendant l’espace d’une nuit sans sommeil, elle tourné tout cela dans sa tête, avait posé d’un coté ce qui la faisait rester et revenir en Provence, et de l’autre ce qui aurait pu la faire partir sans se retourner, laisser tout et errer sans but…et la raison, l’amitié, et bien d’autres choses avaient fait pencher la balance…d’où sa présence ici et maintenant…il faudrait qu’elle explique cela à Eno…mais ce n’était pas le moment.

Azurs sur la rouquine, puis sur Raoul…fatiguée, elle doit l’être bien plus qu’elle ne le pense, ce n’est qu’en entendant la rouquine face à elle se présenter qu’elle se rend compte qu’elle en a oublié de le faire elle-même…léger sourire…bah quoi de mieux comme salut qu’une chope offerte ? Et il serait mal venue au prénommé Raoul de se plaindre…et l’oublie est vite réparable surtout…


Demat Raoul….- esquisse d’un sourire légèrement taquin malgré la fatigue- comme le dit mon amie joignez vous à nous et goutez donc…c’est autre chose de bien meilleur que le lait à l’anis !
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Raoulleglabre
Mon Raoul pose sa choppe et salue poliment. La saison estivale n'était pas commencée et pourtant, les touristes du nord avaient investi la cité.

'Z'êtes des Quarante-Cinq, non ? la milice de la princesse ? Savez, y'a bien trop d'oriflammes ici pour que je m'y retrouve moi. La dernière fois que j'en ai vus autant, c'était à Bourges l'automne dernier.

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Enored
Ecoute Raoul et sourit

Non du tout, je n'ai pas cet honneur, j'ai celui de servir sous la bannière sable et or du Sagittaire. L'armée des loyalistes provençaux, celle de Samuel Alexandre de Trévière, mais j'ai eu l'honneur de combattre aux côtés de la Princesse à plusieurs reprises dans ce conflit.


Léger soupire, elle n'espérait qu'une chose, pouvoir le faire à nouveau ...
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Raoulleglabre
Des provençaux avec l'accent irlandais... Comment voulez-vous que Glaber s'y retrouve, j'vous jure.

Ch'uis du régiment royal d'Angoulême, m'dame. Maître es poudre, guerre asymétrique moderne et nocturne.

Je ne vous retape pas la logorrhée sur les techniques de guerre moderne, ça ferait redondant. Ami lecteur, allons à l'essentiel.


La guerre, m'Dame, c'est bon pour la santé, le commerce et les rencontres... Vous habitez chez vos parents ? Qu'il se lance mon Raoul.
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Enored
Sur le champ de bataille sans doute, ce devait être là qu'elle l'avait croisé. Etrange réflexion sur la guerre ... bon pour la santé ... oui sauf quand on mourrait ou qu'on était blessé ... il est vrai qu'en dehors de ça un peu d'exercice ... le commerce ça ... ces maudits marchands savaient toujours profiter des honnêtes gens ahum ... les rencontres ... sur que l'Irlandaise n'avait jamais imaginé faire de telles rencontres un jour et ... Vous habitez chez vos parents ? regard étonné de l'Irlandaise écarquillant les yeux avant de se ressaisir.

Hein ? quoi ? habiter chez mes ... houla non plus depuis ... que j'ai quitté les Landes qui m'ont vue naitre ça fait ... hum des années


Souvenirs qui reviennent laissant la rouquine songeuse ... nouvelle chope vidée ... sourire ironique sur les lèvres, question retournée à l'expéditeur ...

Et vous ? toujours au domaine familial ?
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Raoulleglabre
Au domaine familial ? On voit qu'vous connaissez pas Faucogney, vous ! 'Voyez, vous imaginez un endroit. Des fois qu'il viendrait à Dieu de faire réchauffer l'Aristotélité et de sécher les nuages... vous m'suivez ? Ben le dernier endroit où qu'y f'ra sec, c'est chez moi. Faucogney.

Un large sourire fend la trogne de mon Raoul. Il pense à la mémé. Ses coueillo rouecho, la tarte aux pommes et les fichues bestioles qui vous mordent les coins d'peau dès qu'vous mettez les chausses courtes. Ces p'tites teignes qui vous sucent le sang sans qu'on s'en rendent compte. Pas plus grosse qu'une tête d'épingle, elles vous d'viennent grosses comme une groseille si vous n'y prenez pas garde. raclure ! J'en connais des, qu'ont sucé une Montbéliarde, à mort.


Pas compliqué ma cocotte, l'Irlande on dit qu'y mouille. Ben chez mes aïeuls tout la-bas dans l'nord d'la Franche Comté, ben c'est l'Irlande, mais en froid, avec la tête dans l'eau. Et le brouillard aussi, des fois.

Comme quoi, la guerre, des portes de la Camargue aux contreforts de la montagne des maures, ben... C'est sympa. Mon Raoul observe la rouquine. Encore une. Lui, l'est faux borgne pour passer inaperçu dans ce brave monde d'ici bas, où qu'il y a que des borgnes ; mais elle ? Pareille que lui ? une fausse rousse, pour passer inaperçue dans ce bas monde où qu'y a que des rouquines ?

Dites... Qu'il dit en tendant doucement la main vers les boucles de la dame. Dites, c'est du vrai ? On m'dit qu''l'irlandaise, elle c'est une vraie rousse. J'y crois pas, j'dois vous avouer. Les rousses, c'est juste pour faire...
m'enfin comme les borgnes quoi...


Et mon Raoul qui relève son bandeau et le change de coté. Histoire que le globe de senestre perde pas trop.
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Istanga
Une irrépressible envie de m'incruster, tel un sous-titre sur une série galvaudée, amène mes pas lents du centre de soins jusqu'à la porte d'un établissement de cure. Gros temps à rattraper pour faire passer l'ennui qui m'investit jour après jour.

Porte poussée, un assemblage d'humanoïdes divers se présente à mes yeux. Rouquine Enored et blonde -j'ai toujours l'impression d'être injurieuse quand j'utilise ce mot- Caline, face à un énucléé, façon cool. Je chasse de ma tapette à mouches virtuelle la pensée insalubre qui m'assaille, à savoir si sa queue montre de l'humanité lorsqu'il remue son oeil, et m'abstiens de l'énoncer à voix haute.

Pour l'heure je me contente d"un sobre salut.

Salâm!

Et je vais m'affaler entre mes deux copines de jeu. Pas besoin d'un dessin, elles sauront que j'ai soif.
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C'est toute l'histoire de ma vie.
Enored
Etrange personnage qui se tenait là ... cocotte ... il venait de l'appeler cocotte et la rouquine de froncer les sourcils légèrement, très légèrement, début de signe d'agacement ...

En temps normal, il ne fallait pas l'agacé, mais une rouquine déjà bien avinée qui a besoin de se changer les idées ça ressemblait à quelque chose de suicidaire de de l'agacer ...

Elle l'écoute, tentant de rester calme, lui parler de la Franche Comté. Région inconnue de ses bottes pour le moment. Etonnement encore plus grand lorsque la main du borgne qui n'en est pas un rapprocher sa main. Mouvement de recul un peu brusque sans aucun doute. Léger sourire narquois au changement de côté du bandeau.


L'Irlandaise est une vraie rousse je ne m'adonne pas à ce genre de ... futilités ! Je tiens ma couleur de cheveux d'mes parents ...


Hum, énervée qu'elle était l'Irlandaise ... alors que le Raoul n'avait ... avait tout d'énervant pour elle ... Ombre féline passante venant s'affaler entre elle et Caline ... et un Salâm! plus loin ... légèrement calmée, coup d'oeil au tavernier pour une nouvelle tournée ...

Dia dhuit Istanga, tu as à nouveau réussit à échapper aux médicastres ?
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