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[RP] Chaumière Boismaury ...

Wyky
Wyky sursaute à la parole de son parrain quand elle entend que sa nouvelle filleule veut se tuer devint toute pâle


- Mais pourquoi veut t'elle faire une chose aussi horrible ??????, alors que la vie est si précieuse c'est un don du très haut , on n'a pas le droit de detruire ce qu'Aristote fais........ surtout la vie ...... non parrain c'est pas bien ...


Wyky regarde les bébés sourit à son parrain

tu vois parrain ......regarde comme la vie est belle , grace à toi et à marraine deux jolis bambins viennent éguayer vos vies ..
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Agio
Oui je sais filleule, je pense que je lui ai disuadé de se tuer. Oui je sais c'est merveilleux que j'ai des enfants, un femme, et beaucoup de filleule que j'aime fort. Alors tu en penses quoi de ton champs?

Giovanni se disait qu'il lui restait plus que 3 jours pour voir sa tendre et douce fiancé. Il souriait aussi à sa filleule.
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Wyky
Wyky écoute son parrain se dirige vers la fenêtre regarde son champ se retourne affiche un large sourire à son parrain

- Tu as fais un travail remarquable , mais je t'en supplie ne te fatigue pas trop .... heinnnn tu veux bien ???

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Agio
Je ne me fatigue pas tu sais filleule, j'aime bien travailler pour faire plaisir à ceux que j'aime.
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Wyky
Merci parrain , mais ne sent tu pas cette odeur ???

Depuis quelques jours déjà on sentait un malaise ....maintenant une odeur de brulé envahie le village de Troyes,...... l’herbe est elle plus verte ailleurs.???. une larme coulait le long de son visage voir un tel spectacle ne pouvait pas être l’œuvre du tout puissant Aristote..Vers d’autres lieux d’autres horizons attirent beaucoup de monde, la champagne se déserterai t’elle ? Beaucoup peut être partiront ....d’autres resteront ainsi va la vie ….il fait bon vivre à Troyes .. On entend les ailes des moulins ...le bruit du forgeron dans la forge,.... l’odeur du pain des boulangers sortant leurs fournée,..... le son des cloches qui sonnent à la volée quand vient l’heure de la messe …les troyens viennent passent de rues en rues, les échoppes où l’on peut se rendre commander vêtements, instruments, outils ….et la foret où on entend le chant des oiseaux, la flûte d’Ange l’eau du lavoir où il fait bon se raconter des histoires ….. et les tavernes où il fait bon se retrouver ... que dame Darka nous raconte des contes ... où l'on boit une bonne biere fraiche et manger .....
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Agio
Oui je sais ce sont des maisons qui ont brulées. C'est la maison de Pompo et de Khalipso. Elles sont parties hier soir.
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Wyky
Wyky cherche à savoir pourquoi l’herbe est plus verte, aussi se souvient d’une histoire que lui avait raconte la brave paysanne du temps jadis quand elle fut petite, regardait souvent la montagne ..
Ecoute Wyky vient vers moi je vais te raconter une histoire … tu comprendras mieux ..
ce conte sera écrit dans 400 ans par un grand monsieur Alphonse Daudet dit picolo



La chèvre de Monsieur Seguin
Les contes d'Alphonse Daudet

M. Seguin n'avait jamais eu de bonheur avec ses chèvres. Il les perdait toutes de la même façon : Un beau matin, elles cassaient leur corde, s'en allaient dans la montagne, et là-haut le loup les mangeait. Ni les caresses de leur maître, ni la peur du loup, rien ne les retenait. C'était, paraît-il, des chèvres indépendantes, voulant à tout prix le grand air et la liberté.
Le brave M. Seguin, qui ne comprenait rien au caractère de ses bêtes, était consterné. Il disait : - C'est fini ; Les chèvres s'ennuient chez moi, je n'en garderai pas une.

Cependant, il ne se découragea pas, et, après avoir perdu six chèvres de la même manière, il en acheta une septième ; seulement cette fois il eut soin de la prendre toute jeune, pour qu'elle s'habitue mieux à demeurer chez lui.

Ah ! Qu’elle était jolie la petite chèvre de M. Seguin. Qu'elle était jolie avec ses yeux doux, sa barbiche de sous-officier, ses sabots noirs et luisants, ses cornes zébrées et ses longs poils blancs qui lui faisaient une houppelande ! et puis docile, caressante, se laissant traire sans bouger, sans mettre son pied dans l'écuelle ; Un amour de petite chèvre.
M. Seguin avait derrière sa maison un clos entouré d'aubépines. C'est-là qu'il mit sa nouvelle pensionnaire. Il l'attacha à un pieu au plus bel endroit du pré, en ayant soin de lui laisser beaucoup de corde, et de temps en temps il venait voir si elle était bien. La chèvre se trouvait très heureuse et broutait l'herbe de si bon cœur que M. Seguin était ravi.

- Enfin, pensait le pauvre homme, en voilà une qui ne s'ennuiera pas chez moi !

M. Seguin se trompait, sa chèvre s'ennuya.

Un jour, elle se dit en regardant la montagne :

- Comme on doit être bien là-haut ! Quel plaisir de gambader dans la bruyère, sans cette maudite longe qui vous écorche le cou... C'est bon pour l'âne ou pour le bœuf de brouter dans un clos !... Les chèvres, il leur faut du large.

A partir de ce moment, l'herbe du clos lui parut fade. L'ennui lui vint. Elle maigrit ; son lait se fit rare. C'était pitié de la voir tirer tout le jour sur sa longe, la tête tournée du côté de la montagne, la narine ouverte et faisant : Mê !... tristement.

M. Seguin s'apercevait bien que sa chèvre avait quelque chose, mais il ne savait pas ce que c'était... Un matin, comme il achevait de la traire, la chèvre se retourna et lui dit dans son patois :

- Ecoutez, monsieur Seguin, je me languis chez vous. Laissez-moi aller dans la montagne.
- Ah ! mon Dieu !...

Elle aussi ! cria M., Seguin stupéfait.
Et du coup, il laissa tomber son écuelle... Puis, s'asseyant dans l'herbe à côté de sa chèvre :

- Comment, Blanquette, tu veux me quitter ? Blanquette répondit :
- Oui, monsieur Seguin.
- Est-ce que l'herbe te manque ici ?
- Oh non ! monsieur Seguin.
- Tu es peut-être attachée de trop court ; veux-tu que j'allonge la corde ?
- Ce n'est pas la peine, monsieur Seguin.
- Alors, qu'est-ce qu'il te faut ? Qu'est-ce que tu veux ?
- Je veux aller dans la montagne, monsieur Seguin.
- Mais, malheureuse, tu ne sais pas qu'il y a le loup dans la montagne... Que feras-tu quand il viendra ?...
- Je lui donnerai des coups de corne, monsieur Seguin.
- Le loup se moque bien de tes cornes. Il m'a mangé des biques autrement encornées que toi... Tu sais bien la vieille Renaude qui était ici l'an dernier ? une maîtresse chèvre, forte et méchante comme un bouc. Elle s'est battue avec le loup toute la nuit... puis le matin le loup l'a mangée.
- Pécaïre ! Pauvre Renaude !... - Cela ne fait rien, monsieur Seguin, laissez-moi aller dans la montagne.
- Bonté divine ! dit M. Seguin... mais qu'est-ce qu'on leur a donc fait à mes chèvres ? Encore une que le loup va me manger... Eh bien, non... je te sauverai malgré toi, coquine, et, de peur que tu ne rompes ta corde, je vais L'enfermer dans l'étable, et tu y resteras toujours.

Là-dessus, M. Seguin emporta la chèvre dans une étable toute noire, dont il ferma la porte à double tour. Malheureusement, il avait oublié la fenêtre, et à peine eut-il le dos tourné que la petite s'en alla...
Quand elle arriva dans la montagne, ce fut un ravissement général. Jamais les vieux sapins n'avaient rien vu d'aussi joli. On la reçut comme une petite reine. Les châtaigniers se baissaient jusqu'à terre pour la caresser du bout de leurs branches. Les genêts d'or s'ouvraient sur son passage, et sentaient bon tant qu'ils pouvaient. Toute la montagne lui fit fête.

Plus de corde. Plus de pieu... rien qui l'empêcha de gambader, de brouter à sa guise... C'est là qu'il y en avait de l'herbe ! jusque par-dessus les cornes... Et quelle herbe ! Savoureuse, fine, dentelée, faite de mille plantes... C'était bien autre chose que le gazon du clos. Et les fleurs donc !... De grandes campanules bleues, des digitales de pourpre à longs calices, toute
une forêt de fleurs sauvages débordant de sucs capiteux !
La chèvre blanche, à moitié ivre, se vautrait là-dedans les jambes en l'air et roulait le long des talus, pêle-mêle avec les feuilles tombées et les châtaignes... Puis, tout à coup, elle se redressait d'un bond sur ses pattes. Hop ! la voilà partie, la tête en avant, à travers les maquis et les buissières, tantôt sur un pic, tantôt au fond d'un ravin, là-haut, en bas, partout... On aurait dit qu'il y avait dix chèvres de M. Seguin dans la montagne.
C'est qu'elle n'avait peur de rien la Blanquette !
Elle franchissait d'un saut de grands torrents qui l'éclaboussaient, au passage, de poussière humide et d'écume. Alors, toute ruisselante, elle allait s'étendre sur quelque roche plate et se faisait sécher par le soleil... Une fois, s'avancent au bord d'un plateau, une feuille de cytise aux dents, elle aperçut en bas, tout en bas dans la plaine, la maison de M. Seguin avec le clos derrière. Cela la fit rire aux larmes.
- Que c'est petit ! dit-elle ; comment ai-je pu tenir là-dedans ?
Pauvrette ! de se voir si haut perchée, elle se croyait au moins aussi grande que je monde...

En somme, ce fut une bonne journée pour la chèvre de M. Seguin ! Vers le milieu du jour, en courant de droite et de gauche, elle tomba dans une troupe de chamois en train de croquer une lambrusque à belles dents. Notre petite coureuse en robe blanche fit sensation. On lui donna la meilleure place à la lambrusque.
Tout à coup, le vent fraîchit. La montagne devint violette ; c'était le soir... "Déjà !" dit la petite chèvre ; et elle s'arrêta fort étonnée.
En bas, les champs étaient noyés de brume. Le clos de M. Seguin disparaissait dans le brouillard, et de la maisonnette on ne voyait plus que le toit avec un peu de fumée ; elle écouta les clochettes d'un troupeau qu'on ramenait, et se sentit l'âme toute triste... Un gerfaut qui rentrait la frôla de ses ailes en passant. Elle tressaillit... Puis ce fut un long hurlement dans la montagne : "Hou ! hou !"
Elle pensa au loup ; de tout le jour la folle n'y avait pas pensé... Au même moment, une trompe sonna bien loin dans la vallée. C'était ce bon M. Seguin qui tentait un dernier effort.
"Hou ! hou", faisait le loup.
"Reviens ! reviens !..." criait la trompe.
Blanquette eut envie de rentrer ; mais, se rappelant le pieu, la corde, la haie du clos, elle pensa que maintenant elle ne pourrait plus se faire à cette vie, et qu'il valait mieux rester...
La trompe ne sonnait plus...
La chèvre entendit derrière elle un bruit de feuilles. Elle se retourna et vit dans l'ombre deux oreilles courtes toutes droites, avec des yeux qui reluisaient... C'était le loup.
Enorme, immobile, assis sur son train de derrière, il était là, regardant la petite chèvre blanche et la dégustant par avance. Comme il savait bien qu'il la mangerait, le loup ne se pressait pas ; seulement, quand elle se retourna, il se mit à rire méchamment :
- Ha ! Ha ! Petite chèvre de M. Seguin ! Et il passa sa grosse langue rouge sur ses babines d'amadou.
Blanquette se sentit perdue... Un moment, en se rappelant l'histoire de la vieille Renaude, qui s'était battue toute la nuit pour être mangée le matin, elle se dit qu'il vaudrait peut-être mieux se laisser manger tout de suite ; puis, s'étant ravisée, elle tomba en garde, la tête basse et la corne en avant, comme une brave chèvre de M. Seguin qu'elle était... non pas qu'elle eût l'espoir de tuer le loup - les chèvres ne tuent pas le loup -, mais seulement pour voir si elle pourrait tenir aussi longtemps que la Renaude...
Alors le monstre s'avança, et les petites cornes entrèrent en danse.
Ah ! la brave chevrette ! Comme elle y allait de bon cœur ! Plus de dix fois, elle força le loup à reculer pour reprendre haleine. Pendant ces trêves d'une minute, la gourmande cueillait en hâte encore un brin de sa chère herbe, puis elle retournait au combat la bouche pleine... Cela dura toute la nuit. De temps en temps, la chèvre de M. Seguin regardait les étoiles danser dans le ciel clair, et elle se disait : "Oh ! Pourvu que je tienne jusqu'à l'aube !..."
L'une après l'autre, les étoiles s'éteignirent. Blanquette redoubla de coups de cornes, le loup de coups de dents... Une lueur pâle parut dans l'horizon... Le chant d'un coq enroué monta d'une métairie. "Enfin !" dit la pauvre bête, qui n'attendait plus que le jour pour mourir ; et elle s'allongea par terre dans sa belle fourrure blanche toute tachée de sang...
Alors le loup se jeta sur la petite chèvre et la mangea…..


Wyky toute songeuse regarde la montagne l'herbe est elle plus verte ???
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Agio
Giovanni qui avait fait le champs de légumes de sa filleule revanna voir on ca en était et fut très surpris qu'il avait déjà poussé




Il appela as filleule pour qu'elle vienne voire.

Filleule vient voir vite sa. C'est magnifique.
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Wyky
Au petit matin Wyky entra se reposer un peu , vers le milieu de la matinée , alors que le village est déjà réveillé , les oiseaux chantent dans les arbres, le soleil est haut dans le ciel azur , ouvre la fenêtre voit son parrain l'appelant

- Ho parrain !!! ..c'est magnifique,!!!!!!!.... regarde moi ce jardin???? , mais tu as la main verte !!!!! ... tiens !!écoute moi, tu vas prendre des salades, des tomates pour toi ... et puis quand marraine sera de retour vous viendrez manger à la maison, je suis qu'Hippo sera d'accord .. Tu sais parrain il a beaucoup de travail aussi ...

Wyky admire son jardin va faire une grosse bise sur la joue de son parrain .....
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Agio
Non filleule garde les pour toi. On viendra manger chez toi quand Shaud serra là. Je vais te laisser maintenant, je vais un peu me reposer chez moi et boire un bon ptit verre de rhum.
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Wyky
Wyky écoute son parrain luii fait un large sourire


- ha oui !!!! tu as bien raison !!!!!, vas te reposer un peu , mais attention !!!!! parrain le rhum avec le soleil n'est pas très bon .... pense à boire de l'eau aussi pour te desalterer .....

Wyky regarde son jardin voit partir son parrain en direction de sa maison ...
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Agio
Oui oui j'y pense ne t'inquiète pas.

Giovanni faisa un gros bisous à sa filleule et retourna chez lui.
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Wyky
[Cuisine]


Apres le départ de son parrain Wyky ramasse quelques légumes du jardin, revient à la cuisine trouve ses deux petits chiens couchés, de temps en temps regarde par la fenêtre, ne voit toujours pas Hippo , il passe son temps à la caserne c’est vrai qu’il a beaucoup de travail, entre la caserne et le moulin,
Wyky commence à s’ennuyer seule, malgré les gardes et son travail ….sa maison lui parait immense pourtant il y fait bon vivre ….

Cette après midi Wyky prendra Mistral et plume ira en foret là il fait bon, respirer l’air pur….regarde ses deux chiens


Allée!!!! c’est décide nous irons en foret qu’en pensez vous ? Ha !!!!...vous ne pouvez pas répondre mais vos yeux parlent pour vous …

Wyky prend ses deux chiens se dirige vers la foret tout lui semble beau , les arbre se sont paraient de leurs feuilles ; les fleurs poussent sous le bois , les oiseaux chantent à tue tête quoi de plus beau ….
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pnj
Ohhhhhhhhhhhhhhh, Ohhhhhhhhhhhhhhhhhh ou es tu ????????????????????
C’est moi Hippooooooooooooooooooooooo

Mon amourrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

Ou es tu dans cette grande foret ????????

Je suis inquiet, tu es partie toute seule. Avec Mistral et Plume il sont encore trop petits pour de défendre des brigands.


Ahhhhhhhhhhhhhhhh, te voilà.

Que je suis heureux de te retrouver mon doux amour, j’ai eu peur qu’il te soit arrivé quelques chose. Je n'’en survivrai pas.

Vient que je te fasse de gros bisous, qu’est ce que tu m’as manqué.

Je bénie ton parrain qui est très présent et le deux petits qui sont si mignons.

Tu vois cette clairière, avec de la mousse et ce gros rayon de soleil
Allons nous reposer quelques temps mon amour j’a tellement de chose à de dire.
Wyky
De retour Wyky retrouve son amour .. semble inquiet ....

ha mon amour tu es là , c'est bon d'être dans tes bras , je sais que tu as beaucoup de travail ....et tu me manque tant ....ho oui elle est belle la clairière sur une mousse , un rayon de soleil .....

Wyky regarde son amour , elle est si heureuse quand il est là ....

- Mais non , ne t'en fais pas , il fait si bon dans la foret que veux tu ? qu'il m'arrive ?? j'ai mon baton ....
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