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[RP] Louanne devient seigneur de Montaut / Bal à Biron

Luaine
Les deux femmes avant elle, avaient été comme une tornade dévastant tout. Même deux tornades. Une fois qu'elles furent entrées, la paix fit place.

Calme et volupté apparente sur le visage faussement détendue de la brune. Prunelles émeraudes immobilisées comme une panthère sur sa proie, Luaine feignit l'impassibilité alors que son coeur battait à tout rompre.
Dans son for intérieur une grande voix hurlait "NONNnn j'veux pas me faire jeter comme une malpropre....J'veux m'amuseeeeer".

Un sourire enjôleur vers l'homme sans liste. Si il était pas un inverti il la trouverait charmante et ne chercherait pas à comprendre.


De quelle province française êtes-vous madame ? je ne suis pas sûr de vous avoir sur ma liste...

Bon et bien elle avait sa réponse.
Mensonge, demi-mensonge, semblant de vérité...Comment démêler le vrai du faux avec une femme mais de surcroit galvanisé de sang celte.
La jeune femme était née en Dauphiné mais son sang était 100% pur jus Breizh.

Et bien....

On oublie les sourires soient disant désarmants qui ne désarmeraient même pas un nourrisson muni d'un hochet et on passe au plan B. C'était quoi le plan B déjà...
Ah blondatitude quand tu nous tiens!!! Elle tortilla du nez comme si la réponse allait venir de son pif.

Je suis une damoiselle qui vient d'un peu partout.

Elle agita ses bras en faisant claquer ses doigts pour imager ses propos un peu comme une danseuse andalouse. La nervosité la rendait carrément ridicule.

Un peu de là, un peu de là, un peu de par ci par là...Mais grosso modo, là, je suis d'Angoulême.

Oui voilà qui n'était pas un mensonge. Fraîchement enrôlée dans l'armée et tribun de son village, elle ne pouvait mentir.
Elle pencha la tête sur le côté.

Et vous, vous venez d'où?

Si il se présentait comme un hellène et ne réagissant pas à ses sourires, Luaine allait un chouya penser que les dictons n'étaient pas toujours faux.
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Martin, incarné par Benduguesclin
Visiblement cette drolesse avait quelque-chose de pas net pas net... Elle était jolie et très bien aprétée mais quelque-chose sonnait faux chez elle.
Elle semblait peu à l'aise dans sa réponse. Elle interpella de rechef le jeune homme qui ne se démonta pas.


Moi Madame, je suis Martin, fils de Maurice Desforges et ma famille vit à Biron depuis 6 générations !
Benduguesclin
De son bureau en haut de la tour sud, BenDuguesclin épiait l'entrée des invités. Il avait beaucoup rit lors de l'entrée de Mahaut mais maintenant, il trouvait vraiment que Martin en faisait trop.

Ce jeune homme prenait sa mission très au sérieux.C'était bien, mais il aurait fallu qu'il se prenne lui un peu moins au sérieux. Bah... Il était jeune et Biron se demandait parfois s'il n'était pas trop sévère avec son secrétaire.

Il déscendit les marches, entra dans la cours d'honneur.


"Bienvenue Madame qui que vous soyez et d'où que vous veniez ! Je suppose que vous n'êtes pas venu avec votre belle tenue pour assassiner le maître des lieux."

Regard vers Martin.
Sourire amusée à la jeune fille.


En ce cas, entrez si vous le voulez-bien... Les autres invités ne vont plus tarder. Certains personnage haut en couleurs sont déjà là. Je vous invite à engager la conversation avec eux ; ce sera passionnant. Etonnant certes quand on est pas habitué mais passionnant, vous verrez...
Ah, au fait, je suis BenDuguesclin, Vicomte de Biron.


Le Vicomte fit un baise-main règlementaire à la demoiselle.
Puis il dit sèchement à l'attention du jeune secrétaire qui tournait de nouveau à l'écarlate.


Martin, tu es ici pour accueillir les invités non les faire fuire, ni les soumettre à la "question"... et encore moins te faire tripoter par eux !

BenDuguesclin éclata de rire.

Je suis de fort bonne humeur, tu as de la chance ! Accueille donc nos amis avec le sourire et ne sois donc pas si coincé. C'est jour de fête !
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Luaine
Moi Madame, je suis Martin, fils de Maurice Desforges et ma famille vit à Biron depuis 6 générations !

Très impressionnée, la brune regarda le visage du Martin.

Wahouuu.

Elle n'osa plus parler consanguinité et du fléau que cela engendrait.
C'était tout juste si le Martin n'avait pas une chandelle frontale à lui mettre en plein visage avec un accent germanique et habillé de cuir noir pour la questionner. Elle était dans la mouise si son arbre généalogique fut dévoilé, un genre de couperet qui l'enverrait à la case départ, vu la rigueur du scribouillard.

Un homme de fort bonne composition et plutôt agréable à regarder arriva tel un chevalier blanc mais sans destrier. La brune plissa les yeux en espérant que l'interrogatoire allait s'achever avec un "happy end".

"Bienvenue Madame qui que vous soyez et d'où que vous veniez ! Je suppose que vous n'êtes pas venu avec votre belle tenue pour assassiner le maître des lieux." ....
En ce cas, entrez si vous le voulez-bien... Les autres invités ne vont plus tarder. Certains personnage haut en couleurs sont déjà là. Je vous invite à engager la conversation avec eux ; ce sera passionnant. Etonnant certes quand on est pas habitué mais passionnant, vous verrez...
Ah, au fait, je suis BenDuguesclin, Vicomte de Biron.


Oufff le maistre des lieux.


Son sourire se fit plus large. Cornedebouc et si lui aussi en était?

Il était plaisant homme avec de très bonne manière et surtout inconscient du fait que Luaine aurait très bien pu commettre un assassinat, puisqu'elle ne se dépareillait jamais , attaché à sa cuisse par un lien de cuir, d'une petite dague joliment ouvragée. c'était juste une pensée de la brune puisqu'elle était bien trop convenable pour agir de façon répréhensible....sauf si on lui cherchait querelle.

Elle tendit sa blanche main pour qu'il la baisse. Bien agréable sensation qui fut oublié depuis l'Armorique.
Ses yeux de jade scrutèrent le Vicomte.


Enchantée Vicomte. C'est un réel plaisir que de vous voir enfin en personne.

Elle fit une révérence des plus gracieuse.

Je suis Luaine de Walsh-Montfort.
Et bien je vais me fondre dans la masse dans vos invités.

Elle se tourna vers Martin à voix basse.

Oui Martin voyons, ne soyez pas si coincé.

Merci pour votre chaleureux accueil Messire le Vicomte.

La brune fit glisser sa main de celle du vicomte et entra dans le château. Elle allait voir autre chose que les murs de sa bicoque....
Enfin des beaux candélabres et des belles tapisseries. Elle s'en mettrait pleins les mirettes.

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Martin, incarné par Benduguesclin
Encore une fois, le Vicomte surgissait et tétanisait le jeune homme.
Certes, il était allé un peu loin mais bon sang, cela sautait aux yeux que l jeune fille n'était pas net...net !


Elle se permit même un petit :
Oui Martin voyons, ne soyez pas si coincé.
Ce qui le fit enrager intérieurement. Une chipie ! se dit-il.

Biron était d'une humeur excellente. Cela faisait longtemps que Martin ne l'avait pas vu d'une humeur aussi détendue. Depuis plus d'un an en fait et son passage à la tête du Comté qui l'avait rendu préoccupé et taciturne. Il disait ne pas avoir fait tout ce qu'il fallait, que le temps lui avait manqué, qu'il avait fini par s'enfermer dans une tour d'ivoire. A l'heure du bilan, il vit tout ce qu'il avait reproché aux anciens régnants. S'il n'avait pas été le pire, il n'avait pas été non plus le meilleur et cela l'avait torturé longtemps.
Aujourd'hui, le Vicomte semblait tourner une page. Martin tacherait de se mettre au diapason et d'obéir à son maître, comme toujours. Même si celui-là était difficile à suivre...

D'autres invités arrivaient. Martin alla au devant d'eux avec son sourire le plus cordial. Il espérait que les prochains invités seraient des amis de Biron, au minimum des gens qu'ils qualifiaient de "normaux".
Mattdu69
Après avoir fait une petite séance de coiffure, bien habillé dans son uniforme de Garde, avec sa cape et ses insignes de Grand-Maître de son ordre, il rentre dans le chateau.

Bonjour
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Martin, incarné par Benduguesclin
Martin se fit accueillant mais ne put réfréner une question.

Bonjour Messire !
La Bienvenue en Biron !
Quelles sont ces insignes que vous arborez, je ne les connais pas ?
Valnor


[Forteresse d'Aubeterre]

Un anoblissement, un bal, le tout chez un ami....allons nous distraire se dit "Aubeterre", cela nous changera des sempiternelles affaires d'Etat.

- Etienne ! Fait préparer "Feu d'Aubeterre" et une lance, le Comte est de sortie ce soir.


Le Sergent d'armes, inclina la tête et disparut l'instant l'aller mettre en place le dispositif.


[Domaine et Terres de Biron]

Chevauchant en tête de son équipage, Valnor arriva devant le Château du Vicomte BenDuguesclin illuminé de mille feux pour l'occasion. Délaissant le trot rapide, il freina Feu d'Aubeterre, qui émit un léger hennissement de réprobation. Arrivé à la hauteur de la porte principal, le Comte mis pied à terre. Fonction oblige, il portait son lourd manteau bleu royal de Pair de France. Il se dirigea vers celui qui devait faire office d'huissier de cérémonie.


- Salutations. Pouvez-vous annoncer au Vicomte l'arrivée du Pair de France et Comte D'Aubeterre, sa Grandeur Valnor de Lande Morte ?

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Mattdu69
Accueullit chaleuresement, il répondit :

Cher messire, ce sont les insignes du Grand-Maistre de l'Ordre de l'Etoile du Berger, à savoir le collier et l'écharpe. Et cet insigne là, celui de Garde.
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Martin, incarné par Benduguesclin
Waouhhhh !

Martin écarquilla les yeux. C'était bien le manteau d'un Pair de France qu'il voyait venir au loin, porté par un homme de belle stature chevauchant sur un destrier racé.


Le Comte d'Aubeterre à coup sûr ! C'est une chance, mon maître va être content et moi j'aurai enfin la chance de rencontrer ce grand homme.
Moi qui espérait qu'enfin du gratin allait arriver, je suis pas déçu !


A l'attention des soldats et du personnel qui s'agitait dans la cours :

Mesdames et messieurs, attention un Pair de France nous fait l'honneur de sa visite, soyez à la hauteur !!!
Vous, Fanchon, allez prévenir le Vicomte, allez du nerf !!!


Juste le temps de brailler quelques ordres et déjà le noble cavalier et son escorte pénétrait dans la cours d'honneur.

Martin s'inclina aussi bas que possible.


Messire Valnor, Bienvenue en Biron ! Mon maître m'a beaucoup parlé de vous !
Un palefrenier va s'occuper de votre monture. Vous pouvez bien sûr garder vos armes mais votre escorte devra les déposer à l'armurerie si vous n'y voyez pas d'inconvénient.


Il gonfla la poitrine comme un coq.

J'ai déjà fait prévenir mon maître, il va être vraiment heureux de vous voir.
Benduguesclin
BenDuguesclin arriva sur ces entrefaits.

Messire Valnor ! Quelle joie de vous voir ici !

Le Vicomte s'inclina.

J'en profite pour vous adresser de vive voix mes plus chaleureuses félicitations. C'est une fierté pour le Périgord-Angoumois et ses habitants de vous savoir dans le premier cercle du Roy.
C'est aussi pour nous chance de le savoir si bien conseillé.

Vous venez prendre un peu de bon temps en Province ! Je suis vraiment heureux que ce soit chez moi, à Biron. Nous pourrons nous recueillir dans le courant de la soirée sur la stèle de feu votre vassal, le Baron Dazibao. Je pense que vous devez avoir toujours un pincement au coeur en passant l'enceinte de ce château.

Mais, votre épouse n'est pas à vos côtés ?

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Orkaange7876
Tsssss... La brune lui avait dit "va voir au fond de la crypte de l'église, j'ai caché une réserve spéciale de mirabelle 1450.. Un nectar tu m'en diras des nouvelles.. Et nan pas la peine de m'en ramener, c'est cadeau.; Pour toi toute seule pour fêter ton retour de chez les moines" Et la blonde, en bonne gourdasse qu'elle était l'avait crue... Elle se serait donné des baffes.; Croire un seul instant que la cruche brune laisserait une seule goutte de cuvée spéciale à sa soeur???, c'était pas possible ça, autant croire que Belle maman s'était mis à picoler et lui filait les clés de la cave du chateau de Périgueux sur un plateau d'argent, ou que Papapair lui filerait son beau manteau bleu à essayer pour qu'elle fasse sa crâneuse devant les copines à la taverne, voire même que la maréchaussée attrape un brigand.. Vous avez compris l'idée, c'était du domaine du rêve. Non.. En fait cette %ù£`^^$$ de traitresse de cornecul de fausse soeur l'avait éloigné pour se barrer toute seule au bal et faire sa maline genre "Bonsouaaaaar je suis ambassadrice, et mon promis est comte.. Ou sont les petits fours et le montbazillac??" En fait Ork en était sûre, elle l'avait évincé sciemment, de peur que la baleine lui pique la vedette.. Oui voilà c'était évident.. Sauf que à cruche brune truffe blonde et demi.. C'est donc juchée sur son poney, que la blonde fit au triple galop le chemin entre Bergerac et Biron,(la digue la digueeeuh) les pieds trainant par terre , pour arriver juste sur les traces de Papapair. Voui c'était lui elle l'avait reconnu.. Se retenant de jouer les sémaphores, la blonde décida cette fois de se la jouer classe retenue étouétou.. NOBLE quoi... Ella avait déjà mis un soin particulier à sa toilette, ayant choisi une robe rose à paillettes dorées qui illuminait le chemin au soleil couchant de milles feux.. Et comme disait son mari, si c'était pas sa robe qui brillait, c'était son intelligence surhumaine picétout.. Elle descendit de Sid d'une manière presque élégante, c'est à dire sans se vautrer lamentablement pour une fois, et pris son air le plus hautain pour héler le gamin qui officiait à l'entrée. Gamin qu'elle connaissait bien au demeurant, puisqu'elle l'avait réanimél'été dernier suite à son collapsus face aux avantages naturels de Mahaut..

Hola, petit. Peux tu m'annoncer à ton maitre?? Et plus vite que ça peste fichtre foutre... Orkaange, députée de Bergerac et Sainte gépéesse de son état est arrivée, la fête peut commencer.. Et sisi je suis sur la liste, je connais même le nom de code pour entrer.; C'est Guyenne hein?? Allez et ne t'incline pas trop bas devant moi, tu risques le lumbago.. Je suis magnanime aujourd'hui je t'en dispense... Ou est le tapis rouge qui m'est réservé?? Oh mais fianchtre qui aperçois-je là bas... Mais oui c'est papa.. PEEERE, attendez moi, je vous accompagne, figurez vous que votre peste de fille.. Nan pas moi voyons, la brune qui s'est accroché à vos basques.. Oui Mahaut elle même... Ben elle m'a enfermé dans la cave pour pas que je vienne.. Ayé vous la déshéritez?? elle mérite plus que ça m'est avis. M'enfin c'est vous qui voyez hein?

Passant devant Martin sans lui accorder un regard, elle se pendit au bras de Valnor, un sourire éclatant aux lèvres quand elle reconnut Benduguesclin

Mais Baaaron fi donc.. Comme votre castel est sympathique. Je suis râââvie de vous revoir céans.. Vous nous faites faire le tour du propriétaire?? J'ai entendu dire que votre cave était l'une des plus réputée du comté.. J'ai hââââte d'y jeter un oeil

et le blonde lui tendit sa main à baiser, lequel geste pour un non habitué de la baleine pouvait sembler menaçant, genre "t'vas voir ta tronche, j'vais t'en coller une", mais qui pour la baleine semblait le summum du haillpe, chic et bon goût

Edit orthographe

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Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.
Valnor


L'homme a qui s'était présenté Valnor lui rendit la politesse. S'inclinant légèrement devant son accueil.

- Le plaisir sera partagé, dit le Comte en rapport à la joie de revoir Biron. Quant à mes hommes ils resteront tranquillement à l'extérieur, nous sommes entre amis. lâcha-t-il dans un sourire.

Puis le Vicomte arriva rapidement.

Messire Valnor ! Quelle joie de vous voir ici !

- Le plaisir est pour moi, je profite de l'occasion que vous donner pour venir vous rendre visite et passer un peu de bon temps en votre compagnie et des amis du Périgord & Angoumois.

J'en profite pour vous adresser de vive voix mes plus chaleureuses félicitations. C'est une fierté pour le Périgord-Angoumois et ses habitants de vous savoir dans le premier cercle du Roy.
C'est aussi pour nous chance de le savoir si bien conseillé. Vous venez prendre un peu de bon temps en Province ! Je suis vraiment heureux que ce soit chez moi, à Biron. Nous pourrons nous recueillir dans le courant de la soirée sur la stèle de feu votre vassal, le Baron Dazibao. Je pense que vous devez avoir toujours un pincement au coeur en passant l'enceinte de ce château.


Valnor remercia son interlocuteur, qu'il avait toujours respecté. Levant simplement la main d'un geste comme pour signifier un peu sa gêne devant le compliment.

- Je vous remercie pour vos encouragements. Je suis heureux que notre comté soit présent au travers de ma personne en la Pairie, même...si elle n'est pas censé faire office de représentation provinciale. Petit clin d'oeil amusé, puis sur un air plus sérieux. Il y a beaucoup de travail en la Capitale ce qui m'oblige à y rester plus que d'envie. Mais c'est ainsi et le Roy contrairement à ce que beaucoup pense nous donne bien du travail.
Je partagerai avec vous et de bon coeur un moment auprès de notre ami disparu. Le Baron était un ami cher, il est avec Hautefort de ceux que je pleure en silence. Ils me manquent.


Mais, votre épouse n'est pas à vos côtés ?


- Elle devrait arriver dans quelques temps, je...enfin nous ne l'avons pas annoncé officiellement encore, mais la Comtesse a donné la vie il y a peu en la Rabatelière, et nous a fait l'immense joie de nous donner descendance en la personne d'un héritier mâle du nom de Pârys de Lande Morte.

N'avait-il pas fini sa phrase qu'un timbre, bien connu, tinta à ses oreilles.

....Mais oui c'est papa.. PEEERE, attendez moi, je vous accompagne, figurez vous que votre peste de fille.. Nan pas moi voyons, la brune qui s'est accroché à vos basques.. Oui Mahaut elle même... Ben elle m'a enfermé dans la cave pour pas que je vienne.. Ayé vous la déshéritez?? elle mérite plus que ça m'est avis. M'enfin c'est vous qui voyez hein?

Oui s'était sa blonde de presque fille, dite "peste" manquait plus que "choléra", donc la brune pour que les deux fléaux du Royaume soient réunis. Ses presque filles, presque parce qu'il y avait encore des papiers à remplir pour leur reconnaissance étaient issus d'un vieux coup de foudre et de tonnerre dans la jeunesse de Valnor alors bien jeune à l'époque.
Le Comte toussota lorsque Orkounette vint se planter sur son bras.


- Inutile de vous présenter ma...enfin l'une de mes filles officieusement bien sûr, le tout de régler quelques paperasses. Faites la révérence ma fille au Vicomte, comme il se doit...allons allons.

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Louanne1000
[ Castillon la belle]

Grande effervescence régnait dans le village,Louanne arrivait en trombe montée sur Hombre son frison. Elle chevauchait depuis une bonne partie de la journée, ayant réglé les derniers préparatifs.
Elle eu juste le temps de tirer de toutes ses forces sur les rênes, la masse monstrueuse de l’animal faillit passer sur le corps d’un jeune enfançon qui allait tranquillement à quatre pattes sur le chemin qui menait à sa demeure, sa jeune mère levant les bras au ciel !

Mon dieuuuu mon enfant !

Elle mit promptement pied à terre, embrassa l’enfant sur le front, le rendit avec un sourire à sa mère et remit son palefroi au chef des écuries qui l’attendait.

Lisette, l’aida dans ses ablutions et à enfiler la robe commandée spécialement pour l’occasion. Elle s’avait Ludo sur le chemin du retour ils s’étaient donné rendez vous au château.

[Château et lumières]

Elle avait fait atteler une voiture légère, la soirée était douce une couverture sur les genoux elle admirait le temps du court voyage les rues et ruelles pleines d’animations et de gaieté quand elle vit la conciergerie illuminée par de grand flambeaux que tenaient les gens de Biron
Elle descendit de l’attelage, monta les quelques marches saluant Martin qui se tenait droit comme un I à croire qu’il avait vu un fantôme ou étais ce un cauchemar ? Elle n’aurait sut le dire.

Bien le bonsoir à vous Martin, pouvez vous m’indiquer dans qu’elle salon se passe le bal que le vicomte donne ce soir ?
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Benduguesclin
BenDuguesclin savait Elayne grosse mais il n'avait pas appris le dénouement.

Quelle bonne nouvelle Valnor !
Un petit Lande Morte, mâle de surcroit. C'est une belle lignée qui se prolonge. Si vous la voyez avant moi, vous féliciterez votre chère Elayne.
La Rabatelière doit être en joie ! J'imagine vos gens, ça doit être une belle fête.


Ah parbleu ! J'étais d'humeur joyeuse mais maintenant, elle est plus excellente encore. Nous avons un motif supplémentaire pour trinquer.

- Inutile de vous présenter ma...enfin l'une de mes filles officieusement bien sûr, le tout de régler quelques paperasses. Faites la révérence ma fille au Vicomte, comme il se doit...allons allons.

Effectivement, nous nous connaissons. L'autre tornade est déjà là d'ailleurs.

A l'attention de la blonde :

Dame Orkange mes respects ! Votre... euh... soeur est déjà là.
Mais je crois qu'elle ne vous attendait pas sitôt.
Quant à votre ami Bryn, elle a un petit souci à l'oeil. Comme elle est coquette ; elle ne voulait pas imposer ses vilaines marques au regard des autres mais m'a promis qu'elle viendrait un peu plus tard dans la soirée quand l'attention serait retombée.


A part à Valnor.

Quelle équipe ! Je crois que niveau femmes de caractère, nous sommes bien dotés en PA !

Puis pour tous :


Je vous en pris, avancez-vous vers le buffet en attendant le début du bal.


Vue extérieure de Biron
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