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[RP] Louanne devient seigneur de Montaut / Bal à Biron

Mattdu69
Vit tous les invités du Vicomte arrivé, les salua tous, puis alla se mettre dans un coin pour écouter messire Ben, en entandant son nom, il s'avanca vers lui et commenca à chanter d'un air joyeux, une chanson à la gloire du PA.
Louanne1000
Louanne qui était finalement bien arrivée dans la bonne salle ayant salué certains et biser d'autres devisait tranquillement avec son tendre en attendant l'allocution de son seigneur quand les bruits de conversations baissèrent d'un ton.
Elle se tut et écouta avec la plus grande attention quand son nom fut cité peut habituée à être le centre d'interet elle souvent discrète mais toujours là où l'on l'attendait le moins,elle apréciait néanmoins à sa juste valeur cette feste donnée en son honneur quand...

Venez ici Louanne, ne soyez pas timide !

Elle timide!! un fin sourire étira ses traits elle ramassa sa houppelande s'avanca vers son seigneur lui fit une grâcieuse révérence le remercia chaleureusement de cette délicate attention.

Une fois le discourt finit et les derniers hommages rendu à divers personnes qui pour certains elle connaissait bien d'autres moins elle se retira près de ses amis.

Elle vit Silou de loin lui fit un signe pour qu'elle vienne les rejoindre elle semblait perdue et ne voulait pas la savoir mal à l'aise pour cette feste qu'elle voulait le plus simple possible pour ses amis

Quand du coin de l'oeil elle vit une dame ondulant au rythme de la musique qu'un Salardais leur fit l'honneur,elle ne l'avait jamais vue mais ses yeux qui brillaient de milles feux en disais long du plaisir qu'elle partagait comme nombre de convives quand son regard d'une étonnante couleur stoppa sur son seigneur elle vit autour d'elle quelques mines déconfites de jeunes damoiselles en mal de cavaliers tout en souriant elle fit un clin d'oeil à son tendre qui avait apperçut le manège
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.mahaut.
- Mamaaaaaaaan, naaaaaaaaaaan, allez quoiiiiiii ! Me fous la honte ce soir !
- Tais toi et mets ça dans ta poche. Ça nous f'ra des couverts à pas cher.
- Raaah mais c'est pas discret ! Je fais des "chclong" et des "pling" à chaque pas !
- T'as qu'à marcher plus douc'ment.
- HAN ! La blonde a réussi à sortir de mon piège machiavélique ! Et en plus elle est venue avec Papapair ! La fayoooootteuuuuuh !
- J'prends plusieurs petites cuillers, ça sert toujours.
- J'y crois paaaaas... Et comme elle fait genre elle a de l'éducation...
- C'est important les p'tites cuillers. J'ai plus d'place dans l'décolleté, fais voir l'tien ? Voilààààà...


Occupée à surveiller sa soeur parmi les invités qui arrivaient, Mahaut ne prit même pas garde à Makrel qui enfonçait une petite cuiller dorée au beau milieu de son décolleté.
Jugeant soudain que la proximité avec sa mère adoptive risquait d'être un frein à son ascension sociale, elle s'éloigna discrètement.

*Cling* *Clang* *Tchunk*

- Et m... J'ai fait tomber la pelle à tarte, j'le savais qu'elle tiendrait pas dans la jarretière.


Elle s'approcha pour le discours et applaudit. Petit.pierre, Don... disparus... Ça lui faisait toujours un petit coup au moral. D'habitude, elle noyait ça dans un toast, qui finissait globalement en beuverie solitaire au cimetière. Mais l'heure était en réalité à la danse.
Raaah c'était donc ça qu'elle avait oublié ! La location d'un cavalier ! Et Roudoudou n'était pas là. Comme quoi, hein, c'est jamais là quand il faut un presque fiancé. Bon, elle allait devoir réquisitionner quelqu'un de gré ou de force...

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Silou
Silou ne se lassait pas de regarder la salle, depuis la décoration jusqu'aux musiciens en passent par les toilettes des convives. Si elle trouvait certaine parures forts belles, d'autre étaient plus hautes en couleurs qu'heureuse à son gout, de la même façon certaine manières d'être.

C'est donc ainsi dans le beau monde ! Comme à la maison somme toute, le luxe en moins.

Elle en était à cette réflexion quand le maitre des lieux pris la parole et que tout le monde se tu pour l'écouter.
La jeune femme porta son attention vers lui et un léger sourire se dessina sur son visage quand il présenta Lou......... enfin Dame Louanne de Montaut puisque tel était son titre à présent. L'allocution finie l'orchestre se mit à jouer, le bal commençait. La jeune femme cherchait Louanne des yeux quand celle-ci lui fit signe. Silou s'approchât d'elle.

B ...bonsoir Lou.....Da......Commençât-elle à bredouiller, puis respirant un bon coup, repris. Bonsoir Lou, toutes mes félicitations.

Tous en parlant Silou lui sera la main, posant son autre main dessus.
Benduguesclin
Après un moment qui parut une éternité à tous, le vicomte sembla reprendre ses esprits, tout en cherchant quelqu'un du regard, il racompagna Louanne auprès de Ludo.

Dans un coin de la salle, Mahaut commençait son petit festival. BenDuguesclin sourit en voyant le visage cramoisi de colère de son secrétaire qui maugréait à bonne distance :

"Et en plus, elle pique l'argenterie !!!! Cette femmee est une vraie..."

Le Vicomte tourna la tête dans l'autre sens, le jeune Matt entonnait un air joyeux.
Mais où est-elle ? se demanda le Vicomte

Alors que l'assemblée commençait de nouveau à trouver le temps long, le visage de BenDuguesclin s'illumina. Il fendit la foule jusqu'à la jeune Luaine.

M'accorderez-vous cette danse ?
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Luaine
Une voix sortit de la foule et envahit la pièce. Le Vicomte pour l'évènement avait surement du faire appel aux castras qui étaient très en vogue en Italie. Les paroles étaient fort belles et chantaient les louanges du Comté comme celui d'un homme amoureux. Luaine, tout en jetant une oreille, essayait de voir ce que cherchait le Vicomte. Soudain devant elle, il était là.
Elle fit un petit pas en arrière surprise de le voir face à elle.


M'accorderez-vous cette danse ?

La brune cherchait du mauvais côté, visiblement c'était elle qui cherchait à moins qu'il n'eut trouvé sa cavalière et que faute de grives....

MOI?

Ses doigts vinrent se poser délicatement sur son décolletée pour appuyer ses dires. Les sourcils levés en accent circonflexe, elle tourna discrètement la tête à droite puis à gauche. Oui il s'adressait bien à elle.

Un fin sourire s'étira sur ses lèvres. Ben enfin, elle allait danser.
Dans ces critères, elle avait bien la robe et tout le toutim mais il lui manquait un cavalier, la voilà exaucée. Aristote et la grande prêtresse avaient du unir leur force pour qu'un homme l'invite.

Elle fit une agile révérence au Vicomte, tenant les pans de sa robe et tel un roseau, elle plia devant lui avec élégance.
Quand elle se donnait la peine, la fille aux cheveux ébouriffés et aux chevauchés sauvages, savait se tenir et passait quasiment pour une dame.

Avec plaisir Monseigneur.

Elle leva sa main vers son hôte et glissa sa main dans la sienne en se relevant. la petite novice allait faire des gorges chaudes car le Vicomte semblait avoir une cour de jouvencelles prêtent à tomber en pâmoison à chacun de ses pas.
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Benduguesclin
Un bonne soirée, la table du banquet remplie de victuailles, une belles assemblée, des amis... Tout semblait réuni pour faire une belle fête !

Ma foi, la jeune femme était un élément supplémentaire de réjouissance pour le Vicomte.

Après l'acceptation de Luaine, le couple de danseur se plaça cérémonieusement au centre de la piste puis commencèrent à danser.
Le bal était ouvert.

Rapidement, d'autres couples les immitèrent.


"Comment trouvez-vous cette petite réception ?

Puis-je vous redemander votre nom damoiselle ?"

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Luaine
Le bruit des convives en bruit de fond et la musique douce et entrainante rythmaient les pas des danseurs. Légère sur ses pieds et surtout évitant ceux du Vicomte, la brune dansait avec élégance. La main posé au creux de la sienne, elle regardait son hôte de marque. Première fête à laquelle elle assistait et elle comptait en profiter. Son regard azur scrutait celui du Vicomte.

Cette réception est tout bonnement merveilleuse. Je suis dans le Comté depuis peu et je dois dire que c'est la première fois que je m'amuse à un bal, rectification...que je vais à un bal.
Vous savez recevoir messire.
Je me suis permise de flâner dans les couloirs et d'admirer le décor. Si on juge un homme par son goût, je dois dire que je vous ai en haute estime.


A moins qu'elle ne se trompe, le Vicomte semblait célibataire ou veuf car la bienséance n'aurait toléré qu'il ouvre le bal avec une jeune femme, inconnue de surcroit.
Luaine sourit à Benduguesclin.
Elle se sentait plume dans les bras du Vicomte.


Comment je me nomme....oui c'est vrai que je ne me suis présentée qu'à votre....votre....

Cerbère!! Nonn, c'était peut être péjoratif.

....serviteur. Je suis Luaine de Walsh-Montfort.

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Benduguesclin
Merci à vous de ses compliments. Mais je ne vis que peu dans ce château. un grand mérite revient en vérité à mes gens.

Walsh.... Walsh...
Mais je connais ce nom. Seriez-vous de la famille de la demoiselle Blanche que j'ai rencontré il y a quelques mois au bal donné en l'honneur de sa majesté au Louvre. Une très jeune fille blonde quelque peu... disons... avec beaucoup de caractère....


Le Vicomte sourit à cette évocation.

Seriez-vous donc Bretonne ?

Vous êtes en tout cas noble ?


On entrait dans le fond du sujet. Il allait en savoir plus sur la jeune fille.

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Luaine
Les sourcils froncés, la brune scrutait le Vicomte cherchant ses mots dans la réflexion.
Soudain le nom de Blanche fut lâché.

BLANCHE!!!!!
Oups. Pardon je me suis emportée.


Le monde était petit et le Vicomte connaissait sa cousine. Le coeur de la brune palpita plus fort soudain. Il connaissait blanche!!!
C'était incroyable. Cela lui donna une drôle d'impression, comme si le Vicomte et elle partageait quelque secret.
Son visage devint plus radieux encore que, ce que la danse avec lui, lui avait procuré.


Vous connaissez Blanche???

C'était une question sans en être une puisqu'il venait de lui en parler mais la surprise la faisait répéter sans cesse les phrases. Ses prunelles se mirent à briller comme deux émeraudes éclatantes et ses cils papillonnèrent.

Oui Blanche est la cousine de mon père.
Je n'en reviens pas....
Oui c'est bien elle. Une blonde magnifique avec un caractère de cabot enragé.

Elle se mit à rire avec discrétion.

Blanche de Walsh-Serrant.

Toutes sortes d'images lui revinrent à l'esprit mais surtout la gentillesse de Blanche à son égard....Ce fut la seule personne qui lui témoigna de l'amitié.

Je suis bretonne effectivement mais je suis née en Dauphiné. C'est une longue histoire....

Luaine évita de se lancer dans un long monologue sur sa défunte mère, son départ de lyon, son arrivée en bretagne et la déception qui l'amena à Angoulême.

Noble....Humm de lignage seulement. Mon père a beaucoup oeuvré pour la Bretagne je n'ai rien fait qui mérite d'être souligné. Je ne suis que sa fille, celle d'un seigneur breton. Balmir de Walsh-Montfort.
Peut être un jour quand il sera temps pour moi, je me ferais peut être remarquer par mes prouesses et mon dévouement pour mon nouveau comté mais je ne suis personne d'autre que la fille d'un seigneur breton.


Elle tentait de regarder si le Vicomte était déçu de pas avoir entre les bras, une jeune femme de haut lignage et noble de mérite.
Après tout qu'importe, elle n'avait pas à rougir de son parcours, fut il modeste.


Blanche est une personne remarquable. Certains pourraient la qualifier de frivole, de tête de mule, d'enfant gâté mais pour moi, elle a été d'une gentillesse extrême.

Soudain un ange passe et un poignard s'enfonce dans les entrailles de la bretonne. Le parcours de la brune avait été semé d'embauches depuis sa naissance et elle avait tant espéré de sa venue en Breizh pour nouer des contacts avec son père et les membres de sa famille, elle qui avait toujours été une bâtarde, elle avait enfin un nom. Même si elle était venue chercher un père....Finalement elle était repartie avec un nom et seulement ça. Elle aurait préféré connaitre le bonheur d'avoir une famille, elle qui avait toujours vécu en vase clos avec sa mère cependant le destin en avait encore décidé autrement.
La petite bâtarde qu'elle était, le resterait surement à jamais.

Luaine préféra sourire au Vicomte en faisant semblant de rien.

Je n'en reviens pas le monde est petit.
Si je peux me permettre....A quelle occasion avait vous connu Blanche?

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Benduguesclin
BenDuguesclin écoutait la jeune femme. L'importance du pédigré n'était pas un problème tant qu'il y avait pédigré.

A la fin de l'année dernière, un bal était organisé au Louvres en l'honneur de notre souverain. Toute la noblesse française et Bretonnes y était invitée.
J'ai répondu à l'appel mais je n'était pas très à l'aise je vous l'avoue. Même si j'ai eu le plaisir d'y voir des amis que je n'avais plus vu depuis longtemps, la Vicomtesse Mélior et le Comte Valnor.
A ce bal, j'ai eu l'occasion de danser avec votre cousine. Ses charmes sont évidents mais son caractère m'a paru des plus explosif.
En fait, je vous l'avoue, c'était en quête d'une épouse que je m'étais rendu sur place.
Non que ce soit une obsession pour moi, loin de là même.
Mais depuis quelque-temps et notamment la dernière guerre d'Anjou où je fus grièvement blessé, mes gens de Biron s'inquiètent fort que je n'ai point d'héritier.
Je vais essayer de ne pas vous barber mais ça mérite explication.
Les terres de Biron furent très longtemps confiées au Baron Dazibao, un grand homme du Périgord qui les administra avec justesse, assurant paix, justice et prospérité à ses habitants.
Malheureusement, celui-ci fut tué en Bretagne lors de la grande guerre.
Biron retomba dans le giron de la courronne. Le souci, c'est que ses terres se trouvent au confins de la Guyenne. Dès qu'elles furent privées de protecteur, les terres de Biron furent pillées par les brigands qui hantent cette zone trouble du royaume.
Des récoltes furent brulées, des chamières pillées, d'honnêtes paysannes forcées... Malgré la présence régulière de l'armée, l'absence d'un seigneur était préjudiciable.

Après mon règne, les terres de Biron me furent attribuées. Après une période délicate ou chacun devait s'apprivoiser et les paysans, apprendre à tourner la page "Dazibao", je crois qu'aujourd'hui, une certaine confiance est nouée entre moi et mon peuple. La paix est revenue. La justice règne également.
Maintenant, la plus grande crainte de mes gens est de me voir périr comme leur seigneur précédent, sans déscendance.

Bien sûr, je ne suis pas moine. Et j'ai eu des aventures en parcourant les campagnes. Mais une épouse, jamais et j'avoue qu'aujourd'hui encore, l'idée m'effraie presque.
Comme vous le savez, pour faire déscendance, il faut un mariage noble. Ainsi, c'est presque contraint et forcé, que je me retrouvait au bal qui regrouper une grande part des jeunes filles de hautes noblesses.
Le roy lui-même cherchant un épouse et espérant la dénicher à l'occasion de cet évênement.

J'espère que je ne vous choque pas. Malheureusement, l'amour et le mariage noble n'a pas grand chose à voir.
J'ai cru comprendre lors de notre danse que son père cherchait à la marier. J'ai donc pris des renseignements. Est-ce à cause des difficiles relations entre la Bretagne et la France, je ne sais, toujours est-il que ne j'ai pas reçu de réponse à mes missives.
Je pense au risque d'avoir l'air prétentieux que je ne déplaisais pas à votre cousine, mais je suis sûr également qu'à l'idée d'un mariage, elle n'aurait pas particulièrement sauté de joie.
Moi-même au vu de l'apperçu que j'ai eu de la jeune fille à Paris, je ne sais pas si la cohabitation aurait été très aisée.

Baste, aujourd'hui, je veux juste profiter de cette belle fête sans plus penser à tous ses soucis. Mais je dois être le seul parmi les gens de Biron...
Regardez le sourire béat des cuisiniers lorsqu'en passant, ils nous apperçoivent. Et là le garde du château, regardez son expression...
J'aime tous ces gens mais j'avoue que cette pression continuelle commence à me peser.
Il n'y a que Martin qui vous regarde de travers. Il a repéré que vous aviez un lien avec la Bretagne et ça suffit pour lui pour croire que vous allez m'assassiner.

Mais vous avez raison, la coïncidence est estraordinaire. Votre cousine à Paris au bal du Roy et vous aujourd'hui à ce bal, ici !!! Il faut dire qu'il y a de jolies femmes dans votre famille.


Comme beaucoup d'homme, le Vicomte avait du mal à faire deux choses à la fois. Se concentrant à son récit, il s'emmélait pas mal au niveau de la danse. Lorsqu'il eut terminé, il essaya de reprendre cadence tout en louant Aristote de ne pas avoir précedemment piétiné les pieds de la jeune femme.
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Luaine
Les pas s'effectuaient machinalement car Luaine était suspendue aux lèvres de son cavalier. La musique semblait venir de très loin comme si elle était immergée dans l'eau. Le récit de sa rencontre du Vicomte et de la blonde la tenait en haleine et comme rien n'était insignifiant concernant Blanche, elle se doutait qu'elle avait du lui en faire voir de toutes les couleurs.
Elle imaginait déjà toutes sortes de chose.

Oui j'ai su qu'on lui cherchait époux mais si il n'est pas à son goût, je souhaite bien du plaisir à cet homme. Blanche n'est pas de celle qu'on dresse bien au contraire. Il aura fort à faire.

Blanche était un peu plus jeune que Luaine pourtant sur bien des égards la blonde semblait plus mature et déterminée que la brune.

Nul doute qu'elle ici, elle éclipserait toutes les autres.

Le Vicomte se confia sur son domaine, l'importance d'avoir un héritier pour ne pas que ses terres tombent en main félonne ou brigande. Luaine hocha la tête, très intéressée par ses confidences.
Soudain quand il énonça les gens qui les regardaient tout sourire, la fit prendre conscience qu'ils n'étaient pas seuls. Automatiquement, sa tête tourna et la brune regarda à l'extérieur de leur duo.
Effectivement, elle put apercevoir des domestiques qui étaient tout sourire en passant, regardant le Vicomte avec un air presque niais.
Luaine se sentit épiée et ses joues s'empourprèrent et elle préféra planter ses prunelles vertes dans celles de son cavalier. Il avait l'avantage d'en avoir que deux contrairement à la salle.

Elle prie alors toute l'ampleur de la vie des nobles faites aussi d'inconvénient. La brune n'avait jamais vécu dans le luxe à proximité de la famille Walsh. Elle avait passé sa vie jusqu'à la mort de sa mère, deux ans auparavant, dans une petite fermette dauphinoise sans rien connaitre de son ascendance.
Luaine de Walsh-Montfort était jusqu'à il y a deux ans, Luaine Ó Dálaigh, petite fille d'un maitre d'armes et fille d'une femme exemplaire, Isabeau.


Considérez moi comme une roturière. Je n'ai que le nom de mon père mais je n'ai pas vécu dans le luxe sauf en Breizh dans le château de Blanche à Rohan et les rares fois où j'ai accompagné mon père lors d'évènement comme un couronnement. Mais je ne suis qu'une simple fille. J'ai été élevée dans une ferme, j'ai travaillé la terre, je me suis occupée de chevaux, de faucons, d'animal de la ferme....Je suis un lad, un fauconnier, un palefrenier, une fermière, une paysanne. Et quelques fois une fille de seigneur.

Son sourire était radieux car elle avait dit qui elle était au Vicomte, loin des tumultes de la vie des grands seigneurs, de leur histoires compliqués et parfois malsaines.

Ne vous sentez pas obligé de me courtiser mais je vous remercie tout de même pour le compliment concernant la beauté des filles Walsh.

Elle sourit au Vicomte. Il avait tant de chose intéressante à raconter. Luaine aurait aimé le questionner aussi sur la guerre en Anjou, les armes qu'il aimait manier....Vraiment ce que toutes bonnes damoiselles filles de seigneur aiment à savoir. Non! Luaine était une fille au sang celte qui était amoureuse de liberté, du plaisir à galoper les cheveux dans le vent.

Je me mets à votre place et j'en suis désolée. Je vous comprend pour le mariage mais vous n'aurez pas de soucis à trouver une damoiselle au sang bleu qui vous séduira par sa grâce et ses prestation au chant et à la tapisserie.
Quand à l'amour....Je n'y ai jamais vraiment pensé moi même mais en vous écoutant c'est vrai qu'il a l'air d'être juste une cerise sur un gâteau et seulement ça. C'est plutôt triste.

Personnellement je ne conçois pas ma vie sans amour. Je veux aimer passionnément et être aimer autant en retour. Je suis exigeante, c'est surement pour ça que je suis seule. Je n'ai pas le caractère vif de ma blonde cousine mais je suis surement presque aussi difficile par certains aspects.

Il évoqua le nom de son aide.

Oooh!!! Martin n'a pas l'air de me porter dans son coeur. Il doit vous couver.

La rencontre avec Martin n'avait été que heurts et méfiance.

Je vous promets que je ne compte pas vous tuer. Je me suis mise au service de ce Comté en lui donnant mon bras armé et mon temps. Je suis plutôt désireuse et curieuse de l'avenir et des gens qui jalonneront ma route.
Comme ce soir.....exquise soirée aussi inattendue qu' agréable.
Je danse avec un cavalier qui sait danser et qui a de la conversation, que vous soyez Vicomte m'importe peu. Je vous parlerais malgré tout.

Elle réprima un rire en voulant inverser les rôles.

Je vais être d'une impolitesse folle mais à l'occasion j'aimerais que vous me racontiez la guerre en Anjou. J'ai toujours aimé les récits de guerres ou de campagnes.
Si vous me dites en plus, que vous avez blessé un certain Finam, je vous jure de vous épouser et de vous donner descendance et de vous laisser faire votre vie sans poser de question. Je ne serais que le gâteau et vous irez chercher autant de cerises que vous pourrez en porter.


Elle vint poser son visage contre l'épaule du Vicomte pour ne pas qu'on la voit rire. Seuls ses yeux brillant au dessus de l'épaule de l'homme pouvait trahir son hilarité.

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Benduguesclin
La tache est plus difficile que vous ne pensez. Je veux demeurer libre de faire ce qui me chante. Chevaucher mon destrier tout le jour ou aller guerroyer du jour au lendemain si ça me chante...
Ma vision du mariage est plus que morose. Le sjeunes femmes le sentent bien !


Luaine se pencha sur l'épaule du Vicomte.
Il baissa donc le ton pour lui parler doucement de la guerre à hauteur d'oreille.


Ahh, la guerre...
Un des jeux préférés des régnants. Et je ne m'exclue pas dans cette triste réalité.

Elle débute souvent par une partie d'échec entre régnant. Un coup un peu osé, une réponse un peu trop importante. On joue à se faire peur. Le jeu des alliances fonctionne. On accumule les forces. Un petit incident sur le terrain et la guerre éclate.

Voici ma vision de la dernière guerre. A noter, je ne l'ai vaicu qu'en tant que soldat ; je ne connais donc pas grand chose de la prtie d'échec initiale.

Les hostilités commencèrent visiblement, lorsque le Duc Georgeslepoilu fit envoyer deux armées à la conquête semble-t-il d'une mine d'or.
La Duchesse de Tourraine lança un ultimatum qui ne donna rien.
Apparemment, l'Anjou fit entrer une armée en Tourraine, demandant une autorisation qu'ils n'obtinrent jamais.
Il faut remettre tout ceci dans un contexte ou l'Alliance Anjou/Berry/Bretagne effrayait pas mal de monde.
Le Berry de son côté, accusait la Tourrainne est l'Auvergne de préparer des armées et de recruter des mercenaires afin de l'attaquer.

L'entrée en guerre

A la fin de l'ultimatum, la Tourraine se déclara en état de guerre et appela à la rescousse ses partenaires de l'ADC. Conformément à ses engagements, le PA vint à l'aide de la Tourraine en envoyant une armée. Une force de l'ADC se constitua. Des combats eurent lieu sur la frontière entre les deux provinces.
Ne se laissant pas impressionné, Le Poilu a refusé les conditions de l'ultimatum de l'ADC. Le délais de l'ultimatum étant écoulé, nous sommes donc passés à l'attaque.

Bataille à la frontière

Le premier combat fut l'occasion d'une belle bataille livrée à proximité de Chateauroux contre deux armées berrychonnes.Elle s'est soldé par un bilan à notre avantage mais lourd en degats humains. L'armée du capitaine berrichon a relativement bien tenu, mais la Desembarranta des Mercenaires Renards a été mise en déroute.
Plusieurs des notres furent blessés, certains assez gravement.Ils ont été confiés au bon soin de nos infirmiers.
D'autres ne reverront jamais les prés des bords de la Dordogne refleurir. Las, la guerre est cruelle pour les pauvres gens.

L'armée de l'ADC se forme

Nous avons rejoins ensuite les armées de Touraine, de Limousin et du Bourbonnais-Auvergne et avons constitué de ce fait une impressionnante armée de l'Alliance du centre.
Le deuxième affrontement nous a opposé à 3 armées berrichonnes. Celle de Tadek (capitaine berrichon), la desembarranta, et les mauvais pélerins de Bourges. Cette bataille là fut sans concession. Les deux dernières armées ont été quasiment détruites et Tadek a été obligé de fuir, perdant près de la moitié de ses effectifs. Ce fut une immense victoire pour les troupes de l'alliance du centre et un camouflet sévère infligé au Berry. Dès lors, la route de Chateauroux nous était grande ouverte.

Prise de Chateauroux

La troisième bataille nous a opposé aux défenseurs de la ville.
Les pauvres jeunes gens affectés à la défense de la cité furent balayés par nos armées en quelques heures durant la nuit.
Les soldats ayant désertés les lieux, la prise de la ville fut rapide.
Si l'assaut ne fut pas vraiment glorieux faute de combattants. C'est la Primiera du Périgord-Angoumois qui a eu tout de même l'honneur de pénétrer en premier dans la cité et le Sénéchal Matpel, aujourd'hui notre régnant, qui s'est vu remettre les clefs de la ville.

Bataille de Bourges

Nous avons ensuite campé devant les remparts de Bourges et malgré plusieurs assauts consécutifs aucune brèche n'est ouverte.
Grand gloire de nouveau pour notre armée ! Le Duc du Berry a été mis hors d'état de nuire par une des nôtres, le soldat Ladycharmed.

Dans le même temps, le Roy prenait position en condamnant le Duc Le poilu et en demandant à la Bretagne de respecter les traités en cours et de ne pas se méler d'une guerre franco-françoise.

Après plusieurs jours d'assauts, nous avons réussi à abattre les défenses de la capitale du Berry.
De chaque côté, il y a eu des pertes et la bataille fut terrible.
L'ADC est entrée en vainqueur en la capitale.

L'ADC a pris le controle du Duché et poussé les FIERistes, partisans du Duc Georges vers la porte de sortie.

Fin de la guerre.

Après plusieurs jours de maintien de l'ordre, l'armée du Périgord quitta le territoire Berrychon.
Si la victoire de l'ADC était éclatante ; elle ne fut pas sans dissension pendant et après la guerre. Tant et si bien que l'Alliance, une des plus importante du Royaume vola en éclat.

Voilà ma vision, celle de quelqu'un qui était à l'intérieur en tant que soldat. D'autres combats se sont déroulés en marge de cette campagne, mais je ne les ai pas vécu.



BenDugueclin fit un presque imperceptible mouvement d'épaule.

Ah oui, ma blessure. C'était juste avant la bataille de Bourges. Un coup de hache ennemi... juste le temps de me protéger avec mon écu. La hache le transperce et vient se loger dans mon épaule.
Sans écu, je ne serai plus là pour vous parler. Je pense qu'on est moins bon danseur avec un bras et une partie du buste en moins.
J'ai étais ensuite sauvé grace au seigneur Tubafat qui a transpércé mon assaillant qui s'apprétait à m'achever.
Je lui dois la vie.


puis souriant.

Le nom que vous avez évoqué ne me dit rien. Tant pis pour moi. Mais il ne doit pas vous être très sympathique ? Que vous a-t-il fait ?
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Luaine
L'histoire de la guerre d'Anjou fut décrite avec précision par le Vicomte. Luaine écoutait tout en dansant. Elle ne le quittait du regard en buvant ses paroles. Elle se souvenait de cette guerre car elle voyageait alors et sa peur de voir venir à elle une armée fut elle angevine ou autre, la faisait craindre pour sa vie.
Il avait du vivre une aventure terrible si elle en croyait la lueur dans ses yeux. terrible et passionnante. C'est quand on sait qu'on peut mourir qu'on tient tant à la vie.

Les troubadours entonnèrent une nouvelle musique et Luaine écoutait toujours son cavalier. Soudain la musique commença et c'était une basse danse, lente et rythmée. Ils devaient de temps à autre s'éloigner l'un de l'autre.
Qu'est ce que ça allait être pratique pour parler sans se faire remarquer.

Voilà les danseurs obligés de se mettre à la queue leu leu. Sa main dans celle du Vicomte, elle avançait par petits pas, regardant un coup en pliant sur ses jambes vers les spectateurs, un coup pliant sur ses jambes vers son cavalier.


Vous avez du vous sentir si vivant car les guerres nous poussent souvent à vivre intensément....

Et "PAF" fallait qu'elle regarde ailleurs.

.....Je sens une certaine mélancolie en vous. Une sorte de lassitude comme si vous étiez pleins de désillusions....

Et un petit tour sur elle même avant de reprendre la main de Ben.

.....j'espère que ce sentiment s'éclipsera. En tout cas merci au seigneur Tubafat sans qui je ne danserais pas à votre bras.

Et voila qu'elle devait s'éloigner pour faire une révérence face au Vicomte pour mieux revenir lui prendre la main.

....Pour CE Georges qui n'en a pas entendu parlé. Il est comme le chien dent apparemment. Impossible à faire partir....

Jamais les musiciens changeaient de ton ou s'arrêtaient étranglés par leurs cordes musicales.

....Surement du même acabit que ce Finam. Quoique ce georges à surement moins de couardise que ce Finam.....

Et on tourne de nouveau dans un geste élégant.

....Oh je l'ai rencontré en taverne à saumur. Il m'a insultée avec véhémence....je l'ai frappé.

On s'éloigne pour se rapprocher.

....Il a rétorqué par son poing dans ma poitrine et j'ai failli mourir de suffocation.

On tourne un petit coup.

...Evidemment personne pour m'aider sauf un gascon....Un bandit je crois.

Elle se penche en gracile courbette vers le Vicomte, laissant voir un joli décolleté.

....Et j'ai fini en procès avec lui. Il a menti et son témoin un tavernier avec. Je pense que ce procès était une mascarade.

Mais rrhooo jamais elle finie cette musique.

....la procureur semblait très très proche du témoin et j'ai su que ce Finam était un très proche de celle qui était alors Duchesse d'Anjou. Il a pris le Mans d'ailleurs peu après ce procès.

Et hop on revient main dans la main en souriant.

....Vous comprendrez que je ne le porte pas dans mon coeur. Ah j'oubliais. je fais mes études de barbière alors si vous avez des séquelles pour votre épaule....


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Benduguesclin
Vous avez du vous sentir si vivant car les guerres nous poussent souvent à vivre intensément....

Je sais pourtant que les guerres ne menent à rien mais je suis un soldat ; j'aime le combat, la solidarité entre les soldats et le fait de remettre sa vie en jeu à chaque bataille...

Et "PAF" fallait qu'elle regarde ailleurs.

.....Je sens une certaine mélancolie en vous. Une sorte de lassitude comme si vous étiez pleins de désillusions....

Oui, mon règne a été une épreuve. Je ne m'en suis jamais totalement remis. Je crois avoir perdu mes rêves avec la couronne....

Et un petit tour sur elle même avant de reprendre la main de Ben.

.....j'espère que ce sentiment s'éclipsera. En tout cas merci au seigneur Tubafat sans qui je ne danserais pas à votre bras.

C'est un très brave homme. J'espère vous voir à son baptème qui aura lieu dans quelques jours à la cathédrale.

Et voila qu'elle devait s'éloigner pour faire une révérence face au Vicomte pour mieux revenir lui prendre la main.

....Pour CE Georges qui n'en a pas entendu parlé. Il est comme le chien dent apparemment. Impossible à faire partir....

C'est un sacré personnage en tout cas ; il ne laisse jamais indifférent

Jamais les musiciens changeaient de ton ou s'arrêtaient étranglés par leurs cordes musicales.

....Surement du même acabit que ce Finam. Quoique ce georges à surement moins de couardise que ce Finam.....

A comment l'avez-vous rencontré celui-là ?

Et on tourne de nouveau dans un geste élégant.

....Oh je l'ai rencontré en taverne à saumur. Il m'a insultée avec véhémence....je l'ai frappé.

Vous l'avez frappé ? S'est-il laissé faire ? A sa place, c'est ce que j'aurai fait. On ne peut pas lutter devant une aussi jolie demoiselle...

On s'éloigne pour se rapprocher.

....Il a rétorqué par son poing dans ma poitrine et j'ai failli mourir de suffocation.

Un grand lâche à coup sûr. Si votre honneur est baffoué ; j'ai quelques contacts. Je me peut-être m'occuper de son cas.

On tourne un petit coup.

...Evidemment personne pour m'aider sauf un gascon....Un bandit je crois.

Elle se penche en gracile courbette vers le Vicomte, laissant voir un joli décolleté.

....Et j'ai fini en procès avec lui. Il a menti et son témoin un tavernier avec. Je pense que ce procès était une mascarade.

Le Vicomte qui a jeté un coup d'oeil au décolleté, ne sait plus que répondre.

Mais rrhooo jamais elle finie cette musique.

....la procureur semblait très très proche du témoin et j'ai su que ce Finam était un très proche de celle qui était alors Duchesse d'Anjou. Il a pris le Mans d'ailleurs peu après ce procès.

Et hop on revient main dans la main en souriant.

....Vous comprendrez que je ne le porte pas dans mon coeur. Ah j'oubliais. je fais mes études de barbière alors si vous avez des séquelles pour votre épaule....

J'ai été très bien soigné par la barbière Mariceleste. Mais j'avoue avoir de temps à autre de petit lancement. Si vous avez besoin d'un cobaye pour vos études, je peux peut-être vous aider.

Quant à ce marraud, savez-vous où il réside céans ? Ce genre de lache mérite une bonne correction !!!

Il commence à faire très chaud par ici. Voulez-vous prendre un peit raffraichissement au buffet ? Peut-être aurais-je l'occasion de vous présenter à quelques-un de mes amis ?

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