Esquerrier
Bon, demain soir tout le monde ira à la fin de ces festivités, ce qui signifie que toute la journée les domestiques circuleront dans tous les sens pour que tout soit parfait. Cette nuit était donc LE moment pour Esquerrièr de faire ce qu'il devait.
En pleine nuit donc, alors que tout le monde se reposait dans ses chambres, Esquerrièr se faufila jusqu'à la salle des festivités. Heureusement, celles-ci étaient simples d'accès, il n'avait pas à se perdre dans l'habituel dédales des châteaux.
Pour plus de discrétions, il ne portait aucune chausse ce qui était fort gênant au vu du sol fort glissant quand on était déchaussé. Il n'avait avec lui que le gui et de quoi l'accrocher. Guidé par les rayons de lune, il était désormais devant la grande entrée de la salle des fêtes, restait à trouver comment aller tout là-haut pour y mmettre le gui.
Il alla chercher une chaise le plus discrètement possible... On eut pas dit comme ça, mais c'est lourd ce mobilier ! Il ne glisse pas et réussit son coup. La chaise devant la porte, il monte dessus et... non c'est pas assez. Il va falloir improviser : monter sur les reliefs de la porte ? On va le faire. Remettons la chaise sur le côté pour le moment.
Quelques minutes plus tard, notre chevalier s'est perché en haut de cette porte entr'ouverte pour la circonstance, il se contorsionne et à force d'efforts accroche enfin le gui : qui entrera dans cette salle accompagné se devra d'offrir un baiser.
Mais la porte s'ouvre encore et encore, équilibre instable pour notre décorateur, il choit.
Ouch !
Il vaut mieux ne pas s'éterniser ici, pour la discré....
*CLING !* *BLING !* *CHLONG !*
PAR LES COUI**** DU SAINT PERE !!!
Oups, sorti tout seul le juron. Oui, en se relevant il a glissé et n'a trouvé rien de mieux que se raccrocher à ces armures décoratives. Il n'a pas le temps d'avoir mal il faut se barrer, et fissa !
On vient ! Vite cette porte, ce couloir... à droite ! Le voilà désormais perdu dans ce château....
En pleine nuit donc, alors que tout le monde se reposait dans ses chambres, Esquerrièr se faufila jusqu'à la salle des festivités. Heureusement, celles-ci étaient simples d'accès, il n'avait pas à se perdre dans l'habituel dédales des châteaux.
Pour plus de discrétions, il ne portait aucune chausse ce qui était fort gênant au vu du sol fort glissant quand on était déchaussé. Il n'avait avec lui que le gui et de quoi l'accrocher. Guidé par les rayons de lune, il était désormais devant la grande entrée de la salle des fêtes, restait à trouver comment aller tout là-haut pour y mmettre le gui.
Il alla chercher une chaise le plus discrètement possible... On eut pas dit comme ça, mais c'est lourd ce mobilier ! Il ne glisse pas et réussit son coup. La chaise devant la porte, il monte dessus et... non c'est pas assez. Il va falloir improviser : monter sur les reliefs de la porte ? On va le faire. Remettons la chaise sur le côté pour le moment.
Quelques minutes plus tard, notre chevalier s'est perché en haut de cette porte entr'ouverte pour la circonstance, il se contorsionne et à force d'efforts accroche enfin le gui : qui entrera dans cette salle accompagné se devra d'offrir un baiser.
Mais la porte s'ouvre encore et encore, équilibre instable pour notre décorateur, il choit.
Ouch !
Il vaut mieux ne pas s'éterniser ici, pour la discré....
*CLING !* *BLING !* *CHLONG !*
PAR LES COUI**** DU SAINT PERE !!!
Oups, sorti tout seul le juron. Oui, en se relevant il a glissé et n'a trouvé rien de mieux que se raccrocher à ces armures décoratives. Il n'a pas le temps d'avoir mal il faut se barrer, et fissa !
On vient ! Vite cette porte, ce couloir... à droite ! Le voilà désormais perdu dans ce château....