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[RP] PAF Taverne | Atelier d'enluminure | Chez Ica et Moon'

--Eleveur_anonyme
Notre Éleveur anonyme, énervé comme jamais, par cette blonde
étrangère qui se croit tout permis sous prétexte que son proxénète soit
procureur.
La colère qui lui monte jusqu'au cerveau, il n'hésite pas à lancer sa
fourche jusqu'à la fenêtre où trône le diable personnifié.
Heureusement que le lancer était mauvais, la fourche finit par se
retourner dans l'air, et c'est par le manche que celle ci pénètre la fenêtre,
ce qui la rend beaucoup moins dangereuse.


Tais toi donc l'étrangère, on veut juste tuer la bête ! Donne la nous, vite !


Alors que ses yeux semblé éclater de veines de sang, la folie semblait
s'emparer de lui, ses congénères continuaient à hurler au scandale,
pendant que lui tenter de défoncer la porte a coups de pieds répéter.



Ouvrez cette portes morbleu !


Coups de fourche, coups de pied, défonçages à l'épaule, rien n'y faisait, les
éleveurs ne réussirent pas a ouvrir la porte par les moyens
conventionnels.

Bon c'est inutile, la grosse vache de boniche doit être derriere la porte
et la coince certainement de tout son poids.
Avec elle on arrivera jamais à ouvrir la porte, cherchons une autre entré
!
Moonflowerdemosel
Par Aristote ! L'autre excité lui envoie sa fourche qui rentre dans sa chambre, frôlant son épaule.

Ils parlent d'une autre entrée... Ils veulent entrer... Seigneur !
Moonflower prend peur. Elle referme la fenêtre illico presto, récupère la fourche et rejoint Basine aussi vite qu'elle le peut dans la pièce secrète.
Elle tremble comme une feuille.
"Mon Dieu... Ica..."

Planqués tous les trois, la fourche en main, ils attendent. Il n'y a plus que çà à faire...
Attendre et prier.

_________________
Icarionnoste
Prend l’air dehors, des cris et des bruits viennent de l’autre côté, près de l’entrée.
A pas de loup (niark niark), le Flamoc’ s’avance. La main sur eulaly, son épée fine dont il se sert avec difficulté mais qui lui donne une allure plutôt sexy, il avance. Pas à pas. Une fourche dans la fenêtre.


-« Mais qu’est-ce que c’est encore que ce bordel ?

Moon est derrière la fenêtre. Que ?!
Il a voulu la tuer ? Lui toucher un cheveu ? Lui faire du mal ? L’effleurer ?
Serre les doigts autour du manche, ses yeux d’un cyan habituellement affublant virent au sombre. Ses tempes dans un tumulte interne et infernal tapent, et retapent. Sa mâchoire se serre.


Mòrt …

Il le tuera.
Il aurait pu parlementer.
Lui expliquer qu’il n’était qu’un louveteau, qu’il l’éduquerait.
Qu’il en voulait pour preuve que lui-même, Flamoc’ était berger.
Qu’ainsi il ne prendrait pas le risque de voir ses moutons mourir.
Il pourrait …

Mais il le tuera.

Un geste rapide sans être fulgurant, le Flamoc’ casse une nouvelle fenêtre, histoire d’attirer l’attention. Fixe l’individu qui a balancé sa fourche.


Toi. Prends une autre fourche. Et approche toi. »
_________________

"On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal." - Machiavel
--Basine.la.coriace
La maîtresse arrive une fourche dans la main. Elle referme tout derrière elle avec des gestes saccadés qui trahissent sa panique.
Basine, Izi dans ses bras la rejoint et lui tend le loup. Elle va prendre les choses en main.


Donnez-moi çà Maîtresse, dit-elle en prenant la fourche, c'est pas vous qui allez utiliser çà s'ils rentrent ici.

Elle lui frictionne vigoureusement le dos.

Allons, faut vous calmer. C'est pas bon pour votre enfant çà. Peuvent pas nous trouver ici. Z'êtes en sécurité.
Et pis, si y'en a un qui entre, je l'embroche. Foi de Basine.


La servante la regarde, lui sourit, tente de masquer sa propre peur, la serre fort contre elle.
La pièce est sombre et pleine de toiles d'araignées. Basine découvre dans un coin une vieille couche poussièreuse. Elle invite Moon à s'y allonger.


Couchez-vous là avec Izidor. Faut pas qu'vous restiez énervée. Ca s'rait pas le moment que l'bébé vienne.
--Levieilauguste
Le vieil homme s'en allant au marché, passe devant la taverne PAF et observe un bruyant ameutement.
Il s'approche juste assez pour voir la petite Moonflower claquer sa fenêtre et le grand poète brun se pointer avec une épée, cherchant à affronter le féroce groupe d'éleveurs.


Ah chà ! Chà va virer au chang !

De toute la rapidité dont il est capable, Auguste s'en va prévenir la maréchale.
--Robert_le_berger
Robert voit l'autre berger lancer la fouche.

A c'est malin tiens ! Calme toi idiot, on vient tuer un loup pas une donzelle !

La femme leur dis de porté plainte. Depuis quand on porte plainte pour tué un loup ? Le proc arriva et s'avanca vers le berger fou furieux. Robert et toute la foule se met entre les deux hommes.

Quand y a un loup on l'tue, c'est tout ! Mettez toute la ville en danger avec vot bestiole du diable ! Z'ête pas un peu malade d'amener un loup dans la ville ? On s'fiche qu'il est petit, sa mère va l'cherché, voulez une meute entiere dans la ville procureur ? !

Tous ensembles, ils lèvent leurs fourches et leurs flambeaux. Plus ils crient au loup, plus des villageaoix arrive, ça commence à faire une foule bien grosse devant la maison.

Au loup ! A mort !

Robert attrape un gamin par le bras.
Va trouver l'armée, ou la police, fin c'que tu trouves. On va avoir besoin d'aide pour les raisonné ces deux fous !
--Eleveur_anonyme
L'éleveur anonyme enragé entendu un bruit de vitre un peu plus loin
du long de la bâtisse, détournant le regard, il vit le Icarionnoste, qui
s'amusait à casser ses propres vitres, cela calma le paysans, le fit presque
rire, comment pouvait-on être assez bête pour casser sa propre maison,
sur le coup il ne comprit pas.

Ce n'est que lorsque le procureur à son gout bien incompétent l'interpela,
qu'il comprit ou il voulait en venir.
L'éleveur était fort musclé, surement du à l'habitude de porter les petits
veaux perdus ! ou à coupé du bois, qui sait ce qui leur permet d'avoir des
muscles dans cette zone d'activité qu'est l'agriculture.
Attrapant la première fourche qu'il trouva sans attendre il la pointa sur
l'étranger, près à en découdre avec lui si il faut pour ensuite passer au
loup.

Mais, c'était sans compter l'intervention de ses chers collègues, qui sur le
coup lui paraissaient encore plus stupide que des bœufs l'empêchant de
venir planter sa fourche dans le bide du procureur.
Il avait beau tenter de forcer le passage, les autres fermiers étaient aussi
fort que lui, il n'arrive qu'à se débattre et finit par lâcher sa fourche, d'un
ton haineux il dit, d'une voix très forte mais qui semblait pourtant calme
et consciente de ce qu'elle disait :


Tu ne perds rien pour attendre le proxénète, didiou, je te crèverais toi et
ta catin !
--Robert_le_berger
Tu ne perds rien pour attendre le proxénète, didiou, je te crèverais toi et ta catin !

Robert entend sa et se retourne.

Ta gueule bordel ! C'que fait l'bourgeois dans son lit on s'en tape. Si t'es pas la pour crever le loup on te r'tient pas !

Il fixe le procureur : M'sieu l'proc. Sortez c'loup d'la ville ou on l'fera nous meme.

Il leva sa torche bien haut de manière menacante et donna un coup de menton à la maison. Tous les autres lèvent leur torches aussi et crie en coeur.

Ouéééé, on le crame le loup !
Moonflowerdemosel
Citation:
Au loup ! A mort !

Citation:
Ouéééé, on le crame le loup !


Les cris leur parviennent largement estompés par les murs. Moonflower regarde Izidor. Comment peut-on en avoir après un être aussi adorable ? Elle n'arrive même pas à l'imaginer féroce.
Izidor regarde sa maîtresse, lit la tristesse dans son regard et s'échappe de ses bras pour aller grogner à l'échelle.


Izidor ! Viens ici !

Le loup s'exécute sans broncher. Ica a déjà bien travaillé avec lui.
Elle le prend à nouveau dans ses bras et cherche une corde pour la lui attacher au cou.


Basine... Il faut l'emmener. Ils vont le tuer.

Moonflower se lève se dirige vers un gros meuble.

Aidez-moi.

Elles poussent ensemble l'imposante armoire, juste assez pour que Basine découvre derrière, un passage dans lequel elle pourra se faufiler. Moonflower lui chuchote ses instructions. Basine acquiesce.

Allez-y et soyez prudente, cachez le bien.

Mais vous ?! Je ne peux pas vous laisser seule. S'ils parvenaient à entrer...

C'est Izidor qu'ils veulent. Et puis... Il y a peu de chances pour qu'ils me trouvent. Allez-y je vous dis. Il n'y a pas de temps à perdre. N'oubliez pas de prévenir Ica et la maréchaussée.

Sur ce, elle embrasse une dernière fois Izidor sur le bout du museau, pousse Basine vers le tunnel et, s'adossant au meuble, prenant appui sur ses jambes, le remet tant bien que mal en place.
_________________
--Basine.la.coriace
Le tunnel est long et étroit. Où peut-il bien mener ?
Basine, Izi dans ses bras le suit en courant. On y voit rien. Des couinements lui parviennent. Il y a des bêtes qui vivent ici. C'est un cauchemar...
Tout semblait si bien aller pour elle depuis quelques jours. Trop bien sans doute...
Au bout d'une vingtaine de minutes, une lueur guide enfin ses pas. Elle met le louveteau sous sa houppelande et sort pour faire exactement ce que sa maîtresse lui a dit.
Ca y est, il est en sécurité. Une bonne chose de faite.

Elle court à présent à perdre haleine vers la maréchaussée. Il faut prévenir la maréchale. Les fous seraient bien capable de faire du mal à sa maîtresse.
Icarionnoste
Ses doigts sont froids presque glacés.
Ses poumons bouillonnent et rompent tout cycle normal.
Le plus débile d'entre tous vient d'en remettre une couche et de s'enfoncer dans les limbes de la connerie humaine.

Le Flamoc' ne répond rien, à personne. Il les emmerde. Pour faire concis.
Ça piaillait déjà, forcément sur sa fonction "m'sieur le procureur, m'sieur le procureur, ..."

Le pas plus assuré qu'il n'aurait jamais pensé pouvoir l'être un jour, s'avance vers la troupaille, son épée qu'il traine lentement de sa main droite creuse un léger sillon dans le sol meuble. Le soleil au zénith fracasse ses yeux. La rétine amoindrie, son cyan viré au sombre, ses cheveux hirsutes et mal peigné, sa barbichette légère plutôt subtile. Il s'avance.

Pendant qu'ils beuglent, se place devant la porte. Une fois le silence fait, leur balance en pleine gueule comme un mollard dégoulinant.

-"Bande de cons.

Vous n'avez strictement aucun droit sur cette bête.
Vous n'avez strictement aucun droit sur ma demeure.
Ce loup est élevé comme un chien.

Chiens, c'est à peu près le qualificatif qui me vient à la bouche en vous voyant gueuler devant ma porte.
Une femme enceinte est à l'intérieur.
Et vous ne trouvez rien de mieux à foutre que de lui jeter des fourches au visage.


Pose ses yeux sur le plus débile de la bande, le plus nerveux aussi, sans doute pas encore dépucelé du combat. Ça ne saurait tarder. Quoiqu'il advienne il se le ferait.

Alors ... c'est simple.
Je suis moi même berger.


Laisse un blanc, qu'ils aient le temps de comprendre la profondeur de leur connerie. Un berger qui élève un loup tueur de mouton et autres bêtes, ça serait fort !

Je m'engage à vous garantir la sureté de vos troupeaux, enfin ... contre ma bête. Pas contre toutes les bestioles du Comté ...

Et ça s'arrête là.


Repose sa main sur son épée.

Qu'un seul franchisse le pas de cette maison et il terminera aux geôles pour agression.
Qu'un seul touche à un poil de mon loup et je lui fourre sa laine de mouton par le fion.


Relève le nez.

... Et ... que celui qui a jeté sa fourche sur ma future femme et qui se permet de l'insulter de catin s'avance vers moi."
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"On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal." - Machiavel
--Robert_le_berger
Le voisin de Robert se prend le cracha en pleine tronche. Il reste un moment sans bougé, stupéfais. Robert s'avanca, furax.

Z'ête berger ou procureur, faudrait savoir ! Un berger qui s'respecte sait très bien que les loups ça vis en meute, imbécile. On a tous des chiens pour protégé nos bêtes, t'a qu'à en avoir aussi ! Tu crois qu'il va faire quoi ton loup, leur servir de baby sitter ? Elevé un chien comme un loup, on aura tout vu !

Alors vous nous protegé cont' cuilà mais pas cont' sa mère et toute sa meute, qui vont arrivais en ville le chercher.

Tu vas nous fout' tous en geole procureur ? Avec l'aide de qui ? La maréchaussée elle doit NOUS proteger des loups et des idiots de ton espèce
.

A ce moment là l'homme qui a un crachat sur la figure se reveile et balance sa torche par la fenêtre cassé en hurlant :

Tu veux elever un loup ? Ben va vivre avec eux HOR des mures de la ville !

D'autres crie ouais ! et balancèrent leur torche par les deux fenetre cassés. Ca fait une bonne dizaine de torches, et Robert se dit que le proc à interet à courrir vite pour sortir sa maîtresse de là.
Icarionnoste
Arque un sourcil. Sourit narquois. Ce berger est atteint des sommets en terme de connerie. Il connaît aussi bien les loups qu’un gamin des 8 ans connaît les femmes et leurs soubresauts charnels.

-« Sa mère et toute sa meute ? Ils sont mort pauvre con.
Ce louveteau a été enlevé à sa mère, il est aussi dangereux qu’un chiot.

Une aide de la maréchaussée ? Non. »


Son sourire se teinte, quelques flambeaux passent par la fenêtre, il se crispe, un regard derrière lui, un sombre nuage de poussière s’avance.
Ils sont là. A l’horizon des lames perdues, ce sont les bergers qui sont perdus, ils réclament des geôles, tout ce qu’ils récupéreront ça sera la mort.
Il y avait une ligne à ne pas franchir dans l’esprit du Flamoc’, ils l’avaient outrepassé.

Le nuage s’avance, au carrefour d’une rue et se dirige vers la demeure du Procureur. Sa garde, leur garde. Il n’en avait jamais encore fait usage, une bonne façon de l’étrenner. Il avait comprit les menaces politiques qui pesaient sur ces épaules, et aussitôt avait fait venir d’Occitanie et de contact Flamands une garde de mercenaires. Pas des soldats d’élite non, mais de simple roublards. Chevronnés au combat.
Ici la menace n’avait en apparence aucun lien avec la politique, bien qu’il se doute fortement que des influences FSF aient poussé ces bergers à passer à l’action.
Ainsi, contre un bon millier d’écus par mois, le Flamoc’ s’assure une protection efficace.

La Garde Verte

En référence à l’écusson vert portés par ses membres, histoire de se reconnaître. Ils avaient tous ordre de ne jamais révéler l’identité de leur commanditaire. Disons que le Flamoc’ n’aimait pas les armes, ou tout du moins tentait de le faire croire. Alors si tout le monde savait qu’il était à la tête d’une bande de mercenaire en manque de sang …

Ils sont là désormais. D’un signe quasi imperceptible, le Flamoc’ les salue, de suite, ils comprennent …

_________________

"On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal." - Machiavel
--Wilfried_garde_vert


... immédiatement il comprend.
La situation est plutôt houleuse, et les débordements ont déjà eu lieu. Les berges ne sont pas tant que ça, enfin ... autant qu'eux, mais en plus mal armés, et sans expérience du combat.
Un bain de sang en perspective s'ils continuent leurs exactions.

Le Wilfried, chef de la garde verte grassement payé par celui que l'on nomme Flamoc' et dont il ne connait en fait pas plus que la couleur des écus qu'il lui offre, ordonne à 4 de ces hommes de passer par une fenêtre cassée pour éteindre les torches.

Le bois lourd et épais ne prend que difficilement, en somme, il venait de balancer des allumettes sur un parquet vitrifié. Pas forcément des plus efficaces pour un incendie ...

Le soucis du feu réglé, le vieux Wil' comme on l'appelle, de sa voix roque. Balance à la tête des bergers.


-"Bon les troudu'c.
Soit vous vous barrez maintenant et vous arrêtez de faire chier le fonctionnaire. Bordel.


Un coup d'oeil vers le Flamoc'.

Soit vous restez et on vous buttes tous. Bordel.
J'suis sympa, j'vous laisse le choix les troudu'c."


Il a son sourire pervers sur le coin des lèvres, il voudrait tant qu'ils choisissent la deuxième solution.
--La_garde_verte


En poste.
En ligne.
30 hommes.
Tous en formation.
Le soleil caresse leur visage.
Il est agréable de se battre pour le plaisir.
Certains sont dans la garde depuis longtemps. La guerre ils l'ont vu. La Bretagne. L'Artois. La Hollande.
Des chevronnés.
Ils attendent en se frottant le nez, se grattant les cheveux, passant une main sur leur bouche, lâchant un mollard au sol.
Prêt au combat. Ils ne se sont plus battus depuis longtemps. Des fourmis dans le bout de l'épée ... Envie de tuer du "troudu'c" comme dit le chef.
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