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[RP] Rue St-Martin, l'Antre de l'Ordre des Encapuchonnés

---fromFRAlessya
L'encapuchonné ne fit pas grand cas de la façon dont elle l'avait abordé. Elle en fut soudainement soulagée. Mais cela ne dura pas longtemps...

- Et zut, mormonna-t-elle, c'est quoi cette invasion?!

Que de monde! Que d'action, ce n'était pas possible. Elle s'en était douté, mais elle ne pouvait prévoir que ça allait vraiment arriver... Aucune mission sans intervention inappropriée. Elle soupira. Elle s'embrouillait en plus.

Mellusine venait de s'en aller avec Morna et un autre homme. Après nous avoir servi une exellente entracte...

Elle fut soulagée. Au moins, Morna serait épargnée. Et l'autre là, l'encapuchonné dont les paroles étaient plus qu'étranges mais allumaient un feu en elle.

Alessya grogna de frustration et, faisant une légère courbette d'adieu en direction de l'encapuchonné, après tout c'était pour ça qu'elle était là, elle disparut dans l'ombre et se rapprocha de l'homme supposé être le "paquet" qu'ils étaient venu chercher. Dazibaan. Il fallait qu'elle soit sûre que c'était lui.

En passant elle fit un léger signe de la tête à Zalina, de façon à ce qu'elle reste là ou essaye de fuir si elle le pouvait. Ils en avaient bientôt fini de ce côté.


- Je cherche un sieur Dazibaan. Est-ce vous ou un autre se faisant passer pour lui? demanda-t-elle enfin arrivée à destination
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Petite sœur de Mellusine, amatrice en potions et onguents en tout genre, à ses heures perdues...
---fromFRAsmodée l'Encapuchonné
Un coup d’œil circulaire évaluant leur nombre dans un hypothétique rapport de force en sa défaveur. Que tous ces gens se retrouvent à heure et lieu identique prouvait s’il en était besoin qu’ils étaient de mèche, du moins se connaissaient, couraient le même lièvre.

Ils arrivaient de partout, meute de chats attirés par... par quoi ? Une chasse nocturne ? Trois Princes devenaient ils gibier de greffiers ? Il éclata d’un rire tonitruant. Si d’aucuns avaient velléités d’affirmer quelque autorité, il allait falloir étouffer cela dans l’œuf, dut-il briser une à une leur faible échine.

A commencer par lui. Travail commencé se doit d’être achevé, il lui donnerait le coup de grâce et comme ses frères ne semblaient vouloir lui disputer pareille proie ; l’Envie en silence devait se consumer quant à l’avarice, tout entier retenu... et qu’un public toujours plus nombreux qu’il en perdait le compte se pressait à sa porte, autant lui donner beau spectacle. Pour l’exemple...

Un œil sur les toits.
Vous êtes aux premières loges, n’en bougez surtout pas vous risqueriez mauvaise chute et bris de membres, sans compter ceux que je pourrais moi-même concasser. Par inadvertance il va sans dire.

Après l’avertissement lancé aux nuées, il s’attacha à dévisager les plus proches, le regard brillant derrière son masque. La plupart semblait reculer. Même la femme dont il aurait fait un goûter émoustillant. Ils étaient sans ordre ni concertation et cette joyeuse débandade lui plaisait, l’arrangeait aussi.
Il n’eut pas de mal, dans ce capharnaüm, à harponner celui qui tentait de se soustraire à sa vindicte.

Tu me voudrais faire passer pour un amateur qui ne finit pas proprement ce qu’il a commencé ?

Fi de ce qui aurait pu se trouver sur son chemin, ses grandes jambes parcoururent la distance nécessaire alors qu’il n’avait fait qu’un pas, deux, s’apprêtait à entamer le troisième.

Pas si vite.
Ses deux blessures suintaient et dessinaient de magnifiques entrelacs cuivrés, sur sa peau, sa chemise.

Permettez.
Asmodée récupéra sa dague enfouie jusqu’à la garde dans sa chair et la replongea aussitôt. En plein coeur.
Par trois fois.
Puis il repoussa le corps, dédaignant de savoir s’il était vivant ou mort.
Essuya précautionneusement la lame sur le cuir de ses braies et lança à la cantonade, pour faire et valoir ce que de droit, un retentissant :


Quelqu’un a t’il quelque chose à ajouter ?
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La Faim Justifie Les Moyens.
---fromFRCassandrel
Mellusine .... le gibier .... Deux proies.
Mais l'encapuchonné tardait à l'achever...

Hauru ne revenait pas. Se serait-il briser un os par megarde ? Seulement, son interêt se portait plus vers la scène en fasse d'elle. Petite scène très interessante, elle se regalait de chaque mouvement. Elle jeta un regard fat autour d'elle. Pourvu que personne ait l'aberration de se promener sur les toits. Le sourcil remonté, son habituel rictus aux lèvres, elle reposa ses yeux sur le maître des lieux.... Même s'il n'était pas seul, il occupait plus son esprit, bien plus avare en paroles que ses cogenères.

Tandis que les inconscients bêlaient comme des brebis galeuses, la voix bien sonore du cerbère s'éleva dans les airs ...
Elle s'immobilisa net, sur le qui-vive, le regard fixe sur la bure à deux battes ....
"Par inadvertance, bien-sûr ...." Parce que il était maladroit peut-être ?
Elle en doutait fortement ... Que cette capuche et ce masque ironise ! Sa remarque la mit en colère.
Mais il n'en finissait pas ! Le voila qui transperce son jouet, à plusieurs reprises.
Ses lèvres esquissèrent un sourire radieux, savourant les cris d'agonies de sa victime. Si elle avait pu, par chance, trouver un adversaire tel que l'encapuchonné, dans la rue du hasard, sa vie toucherait du bout du doigt son objectif. La mort ! Inexplicablement, elle était tombé dessus dans une autre rue, et c'est bien ce detail qui l'empêcha d'être heureuse. Enfin un être interessant. Etre ou demon, c'était son epouvantail. Ou un autre ... Elle le planterait dans sa rue, lui donnant la pose adequate, et attendrait que les corbeaux viennent lui tenir compagnie.

Lorsqu'il demanda l'avis des autres sur son geste ... malsain, elle eut l'envie reprehensible de lui répondre :


- Allez au diable ...

Le son sortit, sa gorge se noua. Même si son repère lui était parvenu jsuqu'aux oreilles, en tant que spectateur, le statut lui allait à merveille. Mais faire partie de la scène la contrariait ...
Oh !
Et puis, qu'il aille au diable ! Mais non ! Ils étaient dejà en enfer ! Son inquiètude dissipée, l'irritation la posseda. Elle se leva bruyamment, faisant tomber quelques tuiles ici et là, et tint son equilibre, difficilement. Mais elle negligea ce detail, plaça ses poings sur ses hanches et le provoqua d'un regard d'une arrogance suprême ....

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Evitez-moi ...
pnj
Le pauvre bougre ne bouge pas. La folle s'énérve, elle se relève et le pousse violement vers la sortie de cette rue sordide.

Elle vois sa soeur. Cette imbécile de créature frêle et délicate qui fait les yeux doux à un encapuchoné... Si seulement elle savait de quoi étaient capable ces monstres...
Et pourtant, ce n'étaient que des hommes et des femmes.

C'est alors qu'Asmodée aprocha du veritable amant de Morna, et, aussi naturellement que l'on parle, le tua. Ce fut rapide, propre, précis.

Quelqu’un a t’il quelque chose à ajouter ? Oui...

Moi, moi j'ai quelque chose à ajouter.
Les yeux verts de la rousse étaient rivés sur le prince démon. La femme était froide, distante. Pourtant, ce n'était guère sa tenu d'homme qui produisait cette effet, ni encore sa posture droite, poitrine en avant.
Non, mais son ton à la fois tranchant et effacé.

Pourquoi as tu tué cet homme? Parce qu'il s'était défendu, parce que ça te fait jouir peut être?

Mellusine s'approchait dangereusement du monstre, d'un pas assuré, et d'une voix qui se faisait maintenant mielleuse...

Les vraix miraculés de cette Cour savent bien que toi et tes frères n'êtes ni plus fort, ni plus foux que nous.
Alors arrête dont ce cirque!
La folle était à présent tout contre Asmodée. Ce n'était certes pas la première fois qu'elle avait eu affaire à un encapuchoné, mais cette fois elle était concsiente du danger. Quoi que...?!
---fromFRcorram
Voila qu’il se faisait hurler dessus, mais voila, il n’en tiendrais pas compte. La rousse n’avait point d’emprise sur le fou qu’il était à présent. Et pire encore, comment pouvait il laisser la une cousine de Cassandrel. Il resterait prêt d’elle. Afin de l’aider a fuir. Il allait la prendre sur son épaule quand elle repartie en sens inverse. Celle-ci semblait bien plus folle que lui ne pourrait l’être. Mieux valait qu’il s’éclipse, son état n’était point le meilleur possible.
Et puis vu ce qu’il venait de faire à ce pauvre homme. Mieux valait ne pas trop l’échauder. Surtout qu’il n’était pas seul.
Il porta un regard sur l’homme à terre qui avait été rejeté quelques pas au loin de lui. Mais mieux valait ne pas y toucher. Il était vraisemblablement mort à présent ou bien sur le point de l’être.
Il se réfugia donc prêt du toit quand il entendit un bruit au dessus de lui. Il leva alors les yeux vers le ciel. Puis vis quelques tuiles dégringoler. Il recula d’un pas. Puis vis Cassandrel qui se trouvait quelques mètres au dessus de lui. Il lui parlas alors d’un ton assez puissant, mais sans trop s’étendre :


Sur qu’à bousculer un peu tout cela et la pomme tombera bientôt. Voudrait elle qu’on lui amortisse une chute qui ne saurait trop tarder ?

Attendant alors réponse qui ne saurait tarder, il regarda la belle pomme sur le toit. Se demandant de quel manière celle-ci parviendrais elle à rejoindre le plancher des vaches…
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---fromFRAsmodée l'Encapuchonné
Au diable ? !
Il leva son visage masqué vers les toits, cherchant la voix, dirigé par le bruit des tuiles s’émiettant.
Son visage souriait et ce magnifique sourire monta jusqu’à ses yeux, il espéra qu’elle le sente, ou le voit.


Au diable ? ! répétait-il plus fort d’un ton réjoui. Mais avec plaisir Damoiselle si vous m’accompagnez. En chemin nous aurons tout loisir de nous découvrir mutuellement. Je gage que nous avons quelques affinités.
Vous me direz tout de ce Diable dont vous parlez. Moi je ne connais que des hommes faibles qui se disputent sur la réalité de son existence.


Il était ainsi à tenir discours à celle, haut perchée, qui le narguait avec cette pointe de colère de la chatte acculée qui feule... qu’une seconde, plantureuse, dotée d’une chevelure rousse luxuriante, s’approcha dangereusement, pour elle.
Folle ou téméraire, il n’aurait su le dire. Un papillon de plus à se vouloir griller les ailes. Soit.


Sachez Madame que je suis chez moi ici et que par là même vous y êtes aussi et je fais ce que bon me semble au seuil de ma demeure et n’ai pas à en rendre compte.
Il ne vous appartient pas de me questionner et la bienséance vous oblige à plus de ... mesure.
Et puis ... ne parlez pas ainsi de jouissance ; Ou alors sachez le faire avec ce qu’il faut de fondant dans la bouche.

Si cet homme à terre vous importe, emportez le et cessez de m’importuner.


Ponctuant ce propos qu’il débita d’un ton impatient, il fit tournoyer entre ses doigts la dague essuyée de sa Chère Dame d’Ascalon déjà baptisée d’une vie dévorée et reprit d’un ton mielleux, souhaiteriez vous également une petite démonstration de mon art de désosseur ?

Il se redressa de toute sa taille. Son corps à lui seul était une arme, et dans bien des sens, comme aurait pu en témoigner nombre de femmes, et d’hommes, pour des raisons différentes.

J’ai un héron gâché pour avoir bien voulu entendre toutes ces fadaises, mais il me faut vous quitter dès à présent car un certain rendez-vous ne puis faire attendre plus longtemps.
Il claqua des talons et cela résonna ... résonna ...

Mais ce n’est que partie remise soyez en certaines.
Pour vous
précisa t’il en lorgnant la rousse en ce qui concerne un petit exercice de ... dépiautage, prenez le comme vous voudrez sussura t’il tout bas

et pour vous, que je nomme don des nues, annonça t'il en levant son masque vers la voix qui parlait de Diable, je ne doute pas que nous poursuivions un jour prochain cette intéressante discussion, quand vous oserez planter vos yeux à hauteur des miens.

Ceci fait, il s’en fut, laissant ses frères régler d’éventuels détails. Il devait prendre un bain, se vêtir à son avantage, prendre quelques provisions de bouche et partir sans tarder rejoindre une Dame.

Pour souper.

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La Faim Justifie Les Moyens.
---fromFRDazibaan
Dazibaan ne tentait rien car franchement le regard de l'homme, amant de Morna ne lui plaisait pas. Le voleur pouvait se mettre en danger pour un femme sans qu'il en veuille à qui que ce soit mais il ne se mettrait pas en danger pour un homme qui avait l'air de le mépriser. Pour rien qui plus est! Il se contenta de s'adosser à un mur, les encapuchonnés ayant l'air d'avoir oublié jusqu'à sa présence. Il ne s'en plaignait pas.

Il vit alors une femme arriver, suivit de Morna. Que faisait-elle là? Heureusement les gamins n'avaient rien dit de bien préis sur elle. Sans ça l'homme masqué aurait pu savoir que c'était elle. Enfin. Il sourit en la voyant embrasser une autre femme. Chassant cette image de sa tête il se tourna vers une demoiselle venue lui dmander si c'était lui Dazibaan. Il ne la connaissait pas mais rit doucement quand il l'entendit demander s'il se faisait passer pour lui.


Soyez sure que je suis le seul et unique Dazibaan. Mais peut-être devrions-nous éacuer cet endroit qu'en dites vous? Ils ne nous regardent même plus, trop occupés qu'ils sont à jouer.

Il lui attrapa la main et prit la direction de la rue par laquelle Morna et les autres était partis.
Zalina
Zalina, suivant les instructions d’Alessya, resta sans bouger au coin de la rue. Mais elle n’avait nullement l’intention de partir en laissant ses compagnons d’aventure sur place.

De son poste, l’Errante ne pouvait pas voir la scène mais pourrait aider au repli de ses nouveaux amis. Si replis pouvait être possible.
Des tuiles vinrent tomber dans la rue. Visiblement, Cassandrel se foutait de ne pas se faire repérer. Il s’était passé un imprévu dans l’improvisation.

Zaza tendit l’oreille. Une dame parlait d’un mort. Le paquet ?
En tout cas, l’Encapuchonné lui était toujours vivant. Et il criait toujours aussi fort, peu heureux de recevoir des visiteuses pourtant si charmantes. Et de caractère.
Voilà que la dame défiait l’un des Princes maintenant. Si ce que l’on disait était vrai, elle était folle ou suicidaire… peut être les deux.

Poussée par la curiosité, Zalina s’approcha pour mieux surveiller ce qui se passait chez les Princes. Elle eut juste le temps de l’entendre saluer les dames avant que les pas s’éloignèrent pour disparaitre complètement.
La jeune fille allait s’approcher encore quand elle vit tout le monde ressortir.


Ca y est ? Vous avez le paquet ? On rentre ?
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Pleure son Papounet Novo
---fromFRAlessya
Alessya laissa l'homme prendre sa main, même si elle n'avait de preuve que la confiance que semblait avoir l'homme en affirmant être Dazibaan.
Son regard se fit soupçoneux. Elle n'avait aucunement confiance, en presque personne, presque. Ses yeux suivirent les dernières personnes qui s'en allaient.

Elle regarda au ciel, et vit Cassandrel, elle semblait défier l'encapuchoné. Un regard vers elle, et Alessya pria intérieurement pour que sa cousine les voit tous s'en aller. Parfait, ils étaient donc les seuls au sol, avec Zalina. Elle fut soulagée. Toute cette mascarade serait bientôt.Zalina arriva sur ces entrefaits.


- Je le crois bien. Nous pouvons nous en aller.

Elle pointa du menton un coin sombre

- Nous prendrons le même chemin que Morna.

Elle laissa l'homme l'entraîner quand soudain, elle entendit une voix qu'elle ne connaissait que trop bien. Elle tourna la tête effrayée et vit ce qu'elle craiganit de voir : Mellusine était revenue... Elle eut envie de crier, de se débattre pour retourner l'aider, mais un regard vers Zalina l'en empêcha...

Heureusement, l'encapuchonné s'en alla tandis qu'ils disparaissaient au détour d'une batisse. Alessya força l'homme à s'arrêter et, se raprochant de lui, murmura à son oreille:


- Je ne sais si je dois avoir confiance en vous, après tout, tout n'est qu'apparence à la cour. Avez-vous le chapelet?

Elle devait être sûre de se quelle faisait...
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Petite sœur de Mellusine, amatrice en potions et onguents en tout genre, à ses heures perdues...
---fromFRDazibaan
Dazibaan l’entraînait dans la ruelle. Les encapuchonnés avait l’air de s’en aller. Tant mieux. Ainsi il n’y aurait aucune raison de se sentir poursuivi. Il fut surpris quand Alessya tira sur son bras le faisant stopper sa marche. Dazibaan se retourna et la regarda avec un air interrogateur.

Il fronça les sourcils en l’entendant demander un chapelet. Il avait celui que Morna lui avait laissé mais a quoi pourrait-il lui servir ici ?


Vous avez tout à fait le droit de ne pas me faire confiance même si vous devriez. Que comptez vous faire avec ce chapelet ?

Il passa une main sous son pourpoint et la ressortie tenant le chapelet en question.

Et moi dois-je vous faire confiance ?

Il ne savait pas a quoi servait ce chapelet mais se doutait bien de quelque chose. Toujours est-il que Morna le lui avait confié et qu’elle était présente. Il pouvait donc penser que cette jeune personne était de son coté. Il lui tendit le chapelet.

Faites ce que bon vous semble avec. Je n’ai pas a me mêler de vos affaires.
---fromFRCassandrel
Quelques affinités ?
Enchainement de phrases toutes aussi surprenantes les unes des autres. Et, alors qu'elle s'était plu à le jauger en hauteur, d'apparence dédaigneuse, celui-ci l'avait laissé en plan. Son sang ne fit qu'un tour, sa mâchoire tomba. A cet instant, son pied partie en avant, prenant la même direction qu'une de ces tuiles glissantes. Premièrement, séant qui heurta en premier les tuiles, puis il bondit dans le vide...Ensuite, son amortissage de chute : Corram. Le bougre ne l'avait pas râté. Préférant de loin se casser quelques os que d'en prendre un coup sur son amour-propre.

"Oh non pas lui !" Elle le regarda, sentit ce petit air content et fier d'avoir pu sauver une femme. Elle en fut ecoeurée.
Puis, pour achever les actes, une tuile tomba de plein fouet sur la tête de Corram. Elle tomba à la renverse dans les bras de ce sot. Après quelques instants d'égarement, elle se leva, chancela, et tint difficilement sur ses jambes. Elle tourna la tête vers Corram.
Mort ?
S'il était mort, sa joie serait compensée par la deception qu'avait produit l'epouvantail... Hum, pardon. L'Encapuchonné.
Elle s'avança, tout en lissant les pans de ses braies d'une main fébrile, et observa Corram. Assomé. Fort bien, elle se frotta les mains, et d'un air satisfait, fit demi-tour, et regarda vers la rue où une haute silhouette avait fondu avec le lieu brumeux, laissant le scélérat giser à terre.

La denommé don des nues, comme il aimait à lui donner un surnom, planterait sans preambule ses yeux dans les siens et, à sa hauteur ! "Je n'aurais juste qu'à incliner légèrement la tête..." pensa-t-elle, de mauvais foi. Et, à travers le masque, elle s'amuserait à observer son expression....si elle arrivait à discerner quoi que ce fût...
Et lui sentirait quelle ineptie il avait commis de lui avoir faussé compagnie.
Un rendez-vous ! Qu'il aille au diable son rendez-vous ! Et par la même ocassion, lui et tous ses frères .... Oui, qu'ils aillent tous griller en enfer, avec, pour maître des lieux, le diable !

Elle se retourna et, d'une feinte amertume et le peu de dignité qui lui restait, elle commença sa marche ...laissant l'inconscient Corram ne faire plus qu'un avec le sol, et ignora superbement son autre cousine, Mellusine.

Elle se souvint qu'hauru aussi s'était volatilisé. Tanpis, elle n'avait pas à l'attendre. En avançant, elle vit Alessya et .... un homme discuter. Elle s'approcha de sa cousine, et lui demanda d'une voix arrogante :


- Est-ce là le paquet de Morna ?
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Evitez-moi ...
---fromFRAlessya
Alessya gloussa. Dazibaan et elle devaient avoir la même méfiance. Il fronça les sourcils et parla avant de sortir le dit chapelet. Alessya l'examina lentement

- Si vous pouvez me faire confiance?

Elle laissa le doute planer...

- Et bien enchantée messire Dazibaan, dit-elle dans un sourire. Je me présente, Alessya, cousine de Morna.

Elle sourit plus ouvertement

Vous pouvez donc me faire confiance, pour le moment, je n'ai rien contre vous et j'espère que cette condition ne changera jamais... Et nous étions venus vous chercher...

Elle regarda Dazibaan, cherchat à comprendre l'expression de son regard. Elle s'était maintenant appuyée sur un mur, attendant Zalina et, qui saît, Cassandrel ou Mellusine...

- MAintenant, je propose que l'on change de quartier, le quartier Azur me convient parfaitement...

Elle entendit un bruit sur sa gauche et regarda. Une ombre s'avançait. C'était Cassandrel. Elle s'avançait impérialement. Alessya ne put s'empecher de penser que les femmes de cette famille étaient très belles...
Cassandrel parla.


- Oui, il s'agît là de notre... hum... paquet...

Elle lança un regard à Dazibaan et fit les présentations.

- Dazibaan Cassandrel, Cassandrel Dazibaan.
Les présentations faites, je serais partante pour retourner dans notre quartier Cas''. On pourra régler nos affaires dans de meilleures conditions...

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Petite sœur de Mellusine, amatrice en potions et onguents en tout genre, à ses heures perdues...
pnj
La rousse fut surprise, dépitée même par la réaction fort sympathique et peu cruelle de l'homme.
En fait, elle n'aurait sans doute montré aucune resistance à ce qu'il lui fasse du mal. Au contraire, la rousse cherchait à se faire violenter...

Cela étant, une fois le refus essuyait, elle parti en chantonnant sa contine d'enfant, comme si rien ne s'était passé...

Mellusine ne se rendait même pas compte que ses actes étant sans but ni cause. Non, elle errait et allait à l'instinct.
Un jour elle esperait rencontrer celui avec qui sa folie avait débutée.
C'était drôle tout de même, car il ne serait pas arrivé, cet étrangé d'un soir, elle aurait été le festin de la luxure...

Mais qu'importait! Pour l'instant elle sautillait, sa lourde poitrine se mouvant au rytme de sa course. Qu'elle était belle la folie!


Bâteau, sur l'eau... la la la!!! ha ha ha!
la rivière la rivière... hi hi hi
la rivière est tombée dans l'eau! Plouf! ha ha ha ha!!!!!
---fromFRAsmodée l'Encapuchonné
Et il franchit le seuil de l’ancestrale demeure, résolument hautain, semblant se désintéresser de ce qui pouvait ensuite advenir, néanmoins il avait gravé les traits de l’une et l’autre et ne manquerait de s’en souvenir.

Il fallait bien que leçon soit donnée, aux présomptueux d’abord puis aux fillettes.

Puis il s’immergea dans un baquet d’eau propre où surnageaient feuilles de menthe et pétales de roses ; senteurs et couleurs pour délasser l’âme et le corps en prévision d’une bien longue chevauchée vers le sud des Royaumes.
Il frotta vigoureusement, lavant sueur et traces de sang et, se trouvant frais et dispos entreprit de se vêtir d’habits de voyage, de sa bure nettoyée également, et d’enfiler ses lourdes bottes.

De préparer son bagage. Simple sac de cuir au fermoir ouvragé où il déposa quelques épices et provisions de bouche qu’il savait ne pas pouvoir trouver en route, une bourse tellement pansue qu’elle menaçait d’en éclater d’or comme feu de bombarde, un pourpoint brodé d’argent et des braies de cuir noir et quelques autres objets qu’il avait coutume d’emporter pour ensuite descendre aux cuisines commander un solide en-cas suffisant pour n’avoir pas à perdre du temps durant de longs arrêts, tout ceci sans effrayer l’armée de marmitons comme à son habitude.

Il était d’excellente humeur.

Ordonna que l’on selle son cheval, un énorme animal au large poitrail et d’un caractère versatile, le monta dans la foulée, et disparut par les ruelles dans un grand fracas.

Il se rendait ici où il était attendu.

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La Faim Justifie Les Moyens.
---fromFRMauvais AugureITenebris
CROOOOOOOOOOOAAAAAAAAAAAAAAA!!!!

Cri acerbe et vol de nuitée pour Mauvais Augure, mais l'obscurité lui convient. Sorti de l'Antre par l'une des galeries, il file porter le message.
Son oeil perçant distingue silhouettes là en bas. D'autres sur les toits. Joyeux troupeaux. Et le cavalier qui s'eloigne.
Ailes deployées, envergure tenebreuse, le voilà qui se pose sur l'epaule du grand encapuchonné encore present.
Royal et serein.
A sa patte un pli enroulé qui n'attend que la main pour l'en delester. Encre de sang, sceau officiel.
L'oiseau de malheur est patient et son bec noir et acéré contraste là sur le blanc du masque où il se decoupe avec netteté.
Il attend sans craindre.
Les Tenebres s'entendent.
Parfois quand cela est necessaire.
Mais le messager n'en a cure, ses questions essentielles le depassent lui qui survolent de si haut le Royaume si souvent.
Il execute sa mission. Bien dréssé, le corbeau noir et brillant. Portant la parure collier et la bague rouges et noires. Livrée coupée sur mesure, il en est fier Mauvais Augure. Il toise ceux qui pourraient encore se trouver là, la vermine aux yeux delicieux et il croasse doucement.



Citation:
Salut à vous, Princes des Tenebres !

Par cette missive Tenebris s'en vient au devant de ses alliés peut etre.
Il regne en la Cour climat qui nous fait penser que sous peu une repression sanglante sera à envisager.
Trop de têtes se redressent, trop de langues bien pendues, trop de ces chiens et chiennes ont oublié qui sont les maitres et osent...Bien trop de choses.
Il est temps du rappel à l'ordre. Sanglant et ferme. Impitoyable.
En serez vous ?
Une fois encore cote à cote, armes aux poings, pour etouffer dans l'oeuf toutes ces velleités ridicules...
Bientôt, ils reapprendront...Apres cette campagne Dauphinoise.
Nous prenons chemin de guerre, les votres sont bienvenue aussi là bas.
Interet commun une fois de plus.

Salutations des serviteurs de Nestrecha!
Halleck!



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Le messager, Mauvais Augure!!
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