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[RP] Rue St-Martin, l'Antre de l'Ordre des Encapuchonnés

Zalina
Alessya a écrit:
Je le crois bien. Nous pouvons nous en aller.
Nous prendrons le même chemin que Morna.

Zalina suivit le regard d’Alessya. Elle était presque déçue de ne pas avoir vu les Princes avant de partir, mais il ne fallait pas trop en demander. Et ils n’étaient pas sortis du quartier… qui sait.
Le même chemin que Morna ? Soit, de toute façon, l’Errante était bien incapable de se repérer dans le dédale des ruelles de cette Cour des Miracles. Autant suivre la cousine, elle devait savoir où elle allait.

Zaza suivit donc Alessya et Dazibaan jusqu’à ce qu’ils s’arrêtent. Le paquet lui tendit un chapelet. Etait ce vraiment le moment de prier ? Et depuis quand les habitants de la Cour prient ils ? Zalina était venue pour avoir des réponses, elle avait passé son temps à se poser des questions.
Elle soupira et laissa les jeunes gens à leurs affaires, fixant le détour où avait disparut l’encapuchonné
.

Euh… excusez moi m’sieur, Dame… c’est pas que je voudrais être impolie… mais on pourrait pas régler çà un peu plu

Un bruit de chute la fit sursauter et l’interrompit. Elle se retourna, toujours l’épée à la main et soupira en voyant la seconde cousine se relever. Elle s’avança vers leur groupe et ne semblait pas avoir souffert de sa descente imprévue et brutale.
Zalina se pencha pour regarder derrière Cassandrel. Personne.


Euh… m’dame Cassandrel, vous n’aviez pas une trainée d’admirateurs toute à l’heure ? Vous les avez vendus en route ?

L’Errante se tourna ensuite vers Dazibaan avant de fixer nerveusement la ruelle.

Euh… ouais, enchantée aussi m’sieur. Moi c’est « la petite Peste qui préfèrerait aller faire un tour ailleurs ».
Pas que je sois particulièrement plus à l’aise dans le quartier Azur mais bon… ce coin n’est pas le meilleur salon de thé que j’ai connu.

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Pleure son Papounet Novo
---fromFRCassandrel
Elle examina le jeune paquet ....enfin, âgée d'une trentaine d'années, elle appreciait le physique de cet homme. Mais en attendant, d'autres occupations l'attendaient. Elle entendit au loin, dans les airs, un croissement .... de corbeau ? Elle n'y prêta pas attention, et vit Zalina lui adresser la parole. Cassandrel leva son sourcil hautain et lui repondit d'une voix pleine d'assurance :

- Qu'ils soient mort ou pas, qu'est ce que ca change ... ?

Puis, elle se retourna vers Alessya, une de ses femmes qu'elle appreciat etonnement, et la jaugea d'un regard suspect. Le quartier Azur ? Elle se mit à reflechir, plus pour sa destination que la leur ...

- Certes, trainer ici ne vous apportera que des ennuis, Morna étant en securité, son paquet avec et un de ses amants ne s'ouffrira plus de voir sa maîtresse batifoler avec d'autres goujats.
Pour ma part, je prefère vous quitter, j'ai des prérogatives plus importantes et j'aimerai faire voyage en solitaire. Je ramenerai mon derrière prochainement pour venir te voir Alessya.


Une vision de collaborateurs stupéfaits et elle fit feintre révérence :

- A une prochaine fois. Se tournant vers Zalina .... Madame .... Se tournant vers Dazibaan ... Monsieur .... Que le diable vous protège.

Elle tourna les talons, repensa à la mort de son estrier qui lui manquait enormement, et partit d'un pas impatient... Direction, le Domaine de Nauzhor .... et sans une pomme !
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Evitez-moi ...
---fromFRBelzébuth l'Encapuchonné
Asmodée avait géré de main de maitre, en fin connoisseur des choses délicates, le remue-ménage de la rue Saint Martin.

Belzébuth l'avait observé, attentif aux diverses personnes qui allaient et venaient, juste au cas où quelque chose d'intéressant aurait été à prendre. Mais le Prince fut déçu et bailla grandement en suivant son frère. Il avait un compte à régler avec Lucifer et tout ce bruit pour rien l'avait encore plus rendu impatient de conclure le marché.

Emboitant les pas d'Asmodée, Belzébuth ne voit pas arriver l'oiseau ébène qui se pose brutalement sur son épaule. Il s'en faut de peu que le Prince ne lui attrape les pattes pour l'offrir à son frère en échange de son héron gâché... Seul un éclat sur un parchemin coincé entre les griffes du volatile retient l'attention du Prince.


Par la mordiable!

La missive est ouverte et lue rapidement. Belzébuth sourit, tout en intériorité. Il ne va pas non plus se dévoiler. Faudrait pas voir à prendre un Prince pour un bouffon de foire de printemps.

En trois enjambées sveltes, Belzébuth rejoint leur domaine. La porte est franchie. Les destinataires du parchemin avertis.

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Bien mal acquis profite... mais plus à la même personne, voilà tout !
---fromFRAlessya
Cassandrel semblait courroucée, non tendue ou plutôt impatiente de s'en aller. Elle répondit assez abruptement à Zalina, sous le regard mécontent. après tout, cette petiote ne luiavait rien fait !

A l'heure qu'il était, Morna et les autres devaient déjà être arrivés dans le quartier Azur... Elle soupira...
Cass' se retourna vers elle et lui annonça qu'elle reviendrait. Alessya hocha la tête et se reconcentra sur ce qu'elle devait faire maintenant.


- D'accord Cass' à plus...

Alessya la regarda tourner les talons quand soudain elle réalisa! Elle aussi était su voyage. Elle regarda tour à tour Dazibaan, Zalina, Cassandrel, Dazibaan, Zalina, Cassandrel...

- Je suis désolée...

Elle s'adressa à Zalina

- Tu connais dèjà le chemin, je suis désolée de vous abandonner aussi abruptement...

Elle s'inclina légèrement devant eux, en guise d'excuse

- Au plaisir de vous revoir, Dazibaan, Zalina...

Puis elle se mit à courrir après sa cousine. Elle suposa que Dazibaan et Zalina devaient être éttonés de sa réaction...

- Cass' !

Elle la rattrapa, mis ses mains autour de ses hanches et l'embrassa dans le cou

- J'avais promis de venir avec toi...

Elle la lacha et se mit à marcher à ses côtés
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Petite sœur de Mellusine, amatrice en potions et onguents en tout genre, à ses heures perdues...
Zalina
Zalina fut surprise de la réponse de Cassandrel. Pas du ton employé mais de la réponse en elle-même. Elle avait oublié qu’elle était à la Cour des Miracles. Ici tout est différent. Après tout, si la Dame se foutait de ses serviteurs, ce n’était pas son problème.
L’Errante salua la jeune femme puis Alessya qui prenait congés à son tour, la laissant seul avec le paquet
.

Y’a pas de mal. On se débrouillera.
Salut m’dame
.

Puis, se tournant vers Dazibaan, elle prit elle aussi congés.

M’sieur. La mission était de vous sortir de là. Voilà qui est fait.
J’ai maintenant une autre affaire à régler… plus personnelle. Morna doit être de retour au Azur, vous la trouverez sans mal.
P’t’être à un de ces jours
.

Elle lui adressa une rapide révérence, se demandant si c’était bien le lieu pour cela, puis tourna elle aussi les talons.
Il lui restait son « homme à un bras » à retrouver avant de rentrer. Au bout de la rue, elle hésita. Droite ou gauche… finalement elle prit à droite et disparut.

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Pleure son Papounet Novo
---fromFRJoseph des rouscilles
Quel bordel ! S'pas un quartier, c'est l'foutoir. Joseph guide le chariot à travers les rues inadaptées pour ce genre d'exercice. Il commence à se dire que sa bonne blague va lui coûter plus d'effort que de réjouissance. Comment qui font ces couriens pour s'retrouver dans tout ce merdier ?! Pis quel populo ! Pardon ! Le dernier virage à négocier n'est pas des moindre. Plus serré que l'trou du khul d'un curé. L'a fallu s'y reprendre à trois fois. Ca passe ... ça passe ... Krack ! ça passe pas ! Enfin, un peu que j'poussse, un peu que j'tire, ça fini tout de même par bien vouloir s'infiltrer. A noter : penser le prochain coup à prendre un chariot moins large.

Là, il stoppe le canasson et son attelage devant la porte, but de ses pérégrinations. Il saute à bas de son siège et reste quelques secondes hésitants devant le battant de bois. L'est pas trop sûr des gaillards qui vivent derrière ces murs. Sont loin d'avoir bonne réputation. Va falloir se la jouer tranquille, pas risquer un coup de surin vicieux ou quèque chose du même tonneau. Il y tient à sa bidoche même si l'a pas grand prix. Presque il ferait demi tour après tout. Mais non, l'affaire était trop belle et il fallait la tenter. Déjà un sourire naissait sous la moustache à l'idée que ces princes pourraient profiter de la chose qu'il leur apportait. Non vraiment, c'était trop beau. Aller mon vieux, on se lance. Le poing massif du Joseph vient s'écraser contre le battant et patient, il attend qu'on veuille daigner l'entendre.


BOUM BOUM BOUM
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Du silence les enfants, surtout du silence !
---fromFRSatan l'Encapuchonné
Ils étaient tous partis il ne savait où. Et surtout, il s'en moquait. Ce n'était point parce qu'ils se présentaient de la même façon qu'il fallait qu'ils soient identiques. Alors, lui, Satan, est resté là. Tranquille.

La demeure était grande, Il y avait de quoi se promener. Il s'y baladait, découvrant des petits endroits encore inconnus. Des niches où on aurait pu cacher un enfant, des âtres abandonnés, et la vue à travers les vitraux. Une vue sur la cour, rasant les toits des maisons. C'était beau.

Dans un fauteuil en cuir de taureau, il se posa et attendit que le temps passe paisiblement. Un verre à la main. Vin rouge qu'il avait pris dans la cave. Impossible de lire sur l'étiquette tellement la poussière le recouvrait mais il ne s'arrêta pas à cela. Il l'avait pris et n'en était pas déçu. Ce vin mariait parfaitement le goût du fruit avec sa vieillesse. Fort et fruité. Un mélange parfait.

Tout en degustant son vin, il se mit a fumer. Possible que Lucifer ait oublié une pipe, qu'importe. Il avait envie d'essayer ça. Souffler un nuage pour mieux s'y noyer en pensée. La première aspiration fut étrange, le brulé vint emplir son palais. Puis ensuite, les arômes d'herbe se distinguèrent. Il y avait de la menthe dans la mixture, il en était sûr... Il faudrait qu'il demande a Asmodée de fumer cela pour avoir plus de détail quant à la composition.

Il n'était désormais plus là. Satan voguait sur les nuages qu'il créait et le vin qu'il buvait les faisait danser. Lui, tel un sur-homme les suivait, les maitrisait. Toujours au dessus. Le ciel était d'un bleu clair. Aucune noirceur. Le bas de sa bure obscure se plongeait dans les nuages. Impossible de discerner le dessous. Un instant magique où il se demandait comme tout cela pouvait exister.

Puis il revint sur son fauteuil en cuir. L'âtre crépitant devant ses yeux. L'enfer qui venait de le rattraper. Et il se souvint qu'il était Satan. Un prince. Des démons. Le feu grandit un instant. Deux mètres peut être... Etait-ce une réalité ou une illusion ? Puis encore, il revint. Pour le deuxième fois.

A la troisième fois, il comprit enfin qu'on tapait à la porte.

Il se leva et prit le chemin de la lourde porte. Ouvrant le fenestron grillagé, il vit ce barbu.


C'est pour quoi ? On n'achete rien ici. Tu peux passer ton chemin.
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"Dieu pêche les âmes à la ligne, Satan les pêche au filet."

---fromFRJoseph des rouscilles
Sans bruit, la porte s'ouvre livrant passage à un homme. A la voix, c'est un homme ... Lequel ? Va t'en savoir. Joseph recule de quelques pas, histoire de mettre une distance de sécurité entre le monsieur et lui. Pas même le temps de prononcer ni quoi ni qu'est-ce que l'autre déjà dit non. Ben mes aïeux s'était pas gagné. Mais à couillon, couillon et demi, Joseph n'était pas né de la dernière pluie. Il serait bien à mal de dire de quelle pluie il était né, mais pour sûr, ce n'était pas de la dernière, au pire de l'avant, avant dernière. En rameutant un zeste de courage, un brin de jugeote et avec un soupçon de chance, il devrait se tirer vivant de cette affaire et avec quelques écus en poche. Déjà vivant, ce serait pas mal. Aller sors nous ton baratin.

Parfait Grand Seigneur, car voyez vous, je ne vends pas rien.

Reculant encore, sans quitter son interlocuteur du regard, il soulève la bâche qui dérobe aux yeux des indiscrets l'objet de cette palabre.

Constatez par vous même comme ce chariot est bien empli. Vous me direz : que veux tu que je fasse d'un lit ? Et je vous répondrais : pas n'importe quel lit mon Seigneur, celui de la Princesse Ann en personne ! Désormais vous pourrez affirmer sans mentir que vous jouissez du royaume. Imaginez un peu, tripatouillant et vous délectant des plus doux délices dans le creux de cette couche qui a recueilli la chaleur d'une princesse de France.

Toujours, au Joseph ça le faisait bien marrer cette vision des choses. Un des princes se vautrant dans les soies de la royauté, ripaillant sur le dos de la famille royale. Sans lâcher la bâche, il cherche à deviner les impressions produites sur l'homme. Il n'y a pourtant pas grand chose à tirer de son attitude, quant à savoir ce qu'il se passait sous ce masque ...
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Du silence les enfants, surtout du silence !
---fromFRSatan l'Encapuchonné
Le parfait marchand, puisqu'il l'avait appelé parfait seigneur, pourquoi ne pas en faire autant, s'était reculé. Avait-il peur de lui ? Ce serait amusant qu'il ait peur. Satan jouirait plus de ce fait que la couche d'un princesse, quoi que. Mais pour l'heure, sûrement les arômes de vin et d'herbes mélangés, le prince était encore ailleurs. Et son envie sur l'instant était de jouer. Une devinette. Le parfait marchand donc, devrait savoir qui se cachait sous ce masque et ensuite, peut être qu'il écouterait et acheterait le lit... Peut être. Cela allait de soi, il n'allait pas dire au marchand que la conversation serait une devinette...

Mon parfait marchand, sachez tout d'abord que ce n'est point moi qui m'occupe de notre fortune. Bien mal à l'aise serait mes frères, croyez moi.

Premier indice. Un vrai celui-ci. Mais Satan, le sourire aux lèvres désirait que le marchand se creuse la cervelle. Alors des énigmes, il allait lui en donner. Des vraies et des fausses. De quoi rentre plus fous le plus sain des philosophes.

De plus, un lit, que voulez-vous que je fasses d'un lit. Pensez bien que j'ai tout ce qu'il me faut dans cette demeure. Nous sommes princes et nous nous devons de vivre en tant que tel. Regardez cela, il a l'air d'être beau mais il y serait beaucoup plus si la princesse Ann comme vous l'avez appelé était encore dedans. Ne pensez vous pas.

Deuxième indice. Erroné celui-ci, désolé.

Satan se retient, l'envie de posséder un objet appartenant à une princesse le démange. Mais il ne faut pas céder, pas encore. Tenir le coup jusqu'à ce que le marchand craque. Son prix chutera ensuite...

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"Dieu pêche les âmes à la ligne, Satan les pêche au filet."

---fromFRJoseph des rouscilles
Le monsieur faisait donc partie de la frange discutailleur des acheteurs. Le Joseph avait ses catégorie d'acquéreurs : le crédule, que du bonheur celui-là; celui qui croit s'y connaître, peut donner du fil à retordre mais est plus crétin qu'autre chose; l'avare, affreux, pouah ! rien à en tirer; et le dernier, le pire, le discutailleur. Ca marchande, ça tourne autour du pot, ça tente de vous embrouiller l'esprit. En gros, le type même du gars qui joue la montre.

La semelle du Joseph tâte les pavés glissants de la rue et la main relâche la bâche pour faire disparaître le lit de la vue du prince. On discute, mais tu t'éloignes de l'acquisition. Toujours à distance respectueuse, il entame le taillage de bavette.


Vous me voyez désolé, mais je ne fais pas dans le rapt. Sinon, cela eu été avec joie que je vous aurai remis la princesse en plus du lit. Mais, une literie ça se change. Et accordez moi tout de même que je ne vous propose pas un échange perdant.

Et au mot d'échange, une idée lumineuse vient clignoter dans la cervelle tortueuse du vendeur.

Tiens d'ailleurs je vais m'arracher un bras, mais tant pis votre Seigneurie mérite bien cela, votre propre lit, je vous le reprends. Bien sûr sa valeur viendra en déduction du prix final. Ainsi vous ne serez point encombré par deux lits dont vous n'auriez l'utilité.

Vouais ... c'était une idée ça, une vache d'idée même. Au bout de la rue, des éclats de voix interrompent la lancée verbale. Un coup d'oeil en coin, voir un peu ce qu'il se passe. Rien ... c'est déjà fini. Quel quartier pourri ! Reprenons, sans omettre de noter ce petit détail ...

Malheureusement puisque votre Majesté affirme elle même ne pas détenir la fortune qui permettrait l'acquisition ... Peut être que cette discussion n'a pas lieu d'être.

Déjà, il fait mine de reprendre les rênes. Un soupir navré.

Et pourtant, il est fait pour vous ce lit, pensez donc, un lit royal ... quel dommage que vous ne puissiez le posséder.
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Du silence les enfants, surtout du silence !
---fromFRcharlotte372
cela faisait longtemps qu'elle n'était pas venue dans la Rue St-Martin, elle marchait tranquillement dans la rue sans jeter un coup d’œil aux passants.

elle portait une grande cape noire, la capuche rabattue sur son visage, on pouvait apercevoir de temps en temps une mèche brune sortir de la capuche ou bien ses yeux d'un rouge sang, elle avait la main sous sa cape noire, prête à sortir une arme si on l'attaquait, une odeur de fleur sauvage se dégageait d'elle

Elle vit un mendiant assis sur le sol, il était habillé salement, ses vêtements étaient troués, elle s'approcha de lui et lui déposa quelques pièces, l'homme lui sourit, elle le regarda et lui sourit aussi, mais elle pu lire la peur sur son visage quand il vit ses yeux, elle baissa la tête et continua à marcher sans but.

Elle arriva devant une grande demeure, le bâtiment faisait peur, quelque chose d'étrange se dégageait de ces lieux, un petit sourire se dessina sur ses lèvres, la demeure ne paraissait pas être habitée, elle s'approcha donc essayant de trouver une entrée pour se faufiler en douce et visiter les lieux.


elle vit un homme étrangement habiller, elle le contourna sans se faire remarquer, elle continua ses recherche et trouva enfin une petite porte a l'arrière du bâtiment, elle posa délicatement sa main sur la poignée et tourna

la porte était ouvert, elle la poussa doucement, un grincement aigu se fuit entendre, elle entra et laissa la porte ouvert prêt a s'échapper si elle surprenait quelqu'un
---fromFRSatan l'Encapuchonné
Satan voit le lit disparaître sous ses yeux. Le drap le recouvre entier. Et c'est encore par malheur que le marchand lui annonce qu'il n'a pas la princesse avec lui. Qu'il ne fait pas dans l'enlèvement. Dommage. L'air renfrogné du prince se cache sous son masque. Comment pouvait-il acheter quelque chose sans pouvoir l'essayer, le palper ou même le voir devant lui. Le marchand était dur en affaire. De ceux qui te mette l'eau à la bouche et qui au dernier moment, enlève le verre. Alors le ton du prince se fait plus fort, plus ferme, un peu comme si Léviathan avait réagi en voyant qu'on lui enlevait son butin.

Ah mais c'est pas vrai ça. Vous les marchands, vous êtes tous les mêmes. Vous voulez nous vendre une marchandise sans qu'on puisse être sûr de la qualité. Tu veux me le vendre ce lit ? Alors au lieu de me le retirer de la vue, fais le moi essayer plutôt.

Satan se calme doucement. Ne faisant pas attention où ses yeux se posent. Par hasard, il distingue une personne, une ombre un peu plus loin dans la rue. Arrêtée devant un grande bâtisse. Il n'avait jamais cherché à savoir qui étaient les autres habitants de cette rue. Mais il se dit qu'une sorte de réunion devait se préparer vu l'accoutrement de l'ombre au loin, bien cachée derrière ses habits qui ne laissaient pas dépasser un bout de chair.

Il revint sans plus attendre sur le marchand et son offre.


Me reprendre mon lit ? Sais-tu au moins comment il se présente ? Les sculptures au pied représentent des femmes tenant fermement un vase comme si l'eau en coulait...

Satan se voit noyer dans l'immense voile de ses draps. S'enrouler pour se camoufler et se détendre, entier.

Le soupir navré du marchand le fait se reprendre aussitôt.


J'ai dit que ce n'était pas moi qui m'occupais de nos finances, je n'ai pas dit que je n'avais pas de fortune...

Et puis le mot magique survint. Posséder. Satan, l'envieux. La possession.

Enlève ce drap que je puisse admirer.
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"Dieu pêche les âmes à la ligne, Satan les pêche au filet."

---fromFRcharlotte372
elle tendit l'oreille essayant d'entendre des bruits de pas, n'entendant rien elle commença a chercher des objets de valeurs, elle se déplaçait étrangement, telle un fantôme, sans faire de bruit, elle marchait tranquillement quand sont pied se prix dans un objet lourd, elle s'étala de tous sont corps, elle jura tellement fort qu'on aurait bien pue l'entendre dans la rue si on faisait attention aux bruits.

elle se releva donnant de grand coups sur sa cape recouvert de poussière, puis elle prit l'objet dans ses mains, elle avait du mal a distinguer se que sa pouvait être, j'aurais du prévoir une torche, qu'elle idiote je suis murmura elle tous haut

elle laissa glisser ses mains sur l'objet qui semblait être un coffre, le mesurant de tous les coter essayant de trouver quelque chose de précieux qu'elle pourrait vendre pour se faire un peu argent, sous ses doigts elle sentie une sorte de cadenas, d'un mouvement rapide mais fort elle arriva a l'ouvrir, le cadenas tomba en mille morceaux sur le sol, elle l'ouvrit et y découvrit un pendentif en or, elle le prit précieusement et le glissa dans une de ses poche

après cette perdu plusieurs fois, elle trouva enfin la sortie, un rayon de soleil l'éblouissait, elle remonta vivement sa capuche qui avait glisser sans qu'elle sans rende compte, sont regard fut attirer part un homme étrange parlant à un autre homme, il semblait dans une grande discussion, l'homme étrange portait un masque sur sont visage, elle recula d'un pas, puis se ressaisit, elle n'avait rien a craindre d'un homme qui semblait tous droit sortie d'un bal masquer, un sourire moqueur se dessina sur ses lèvres

elle s'approcha furtivement des deux hommes et remarqua que le 2eme homme était en fête un marchand, elle regarda vendait, tous était au dessus de ses moyens, elle se demanda si le marchand lui achèterais sa marchandise
---fromFRJoseph des rouscilles
Le geste s'interrompt, suspendu en plein vol, les lourdes épaules du Joseph fléchissent à peine. La pêche au gros prenait bonne tournure. Et ce petit mot, fortune, qui voletait dans l'air avait le don de tinter aussi agréablement à ses oreilles que les murmures réjouis des quelques donzelles de sa vie.

Ha Mon Seigneur, comme je vous comprends, excusez en effet que je ne vous fasse pas meilleure presse.

Et la bâche de se soulever à nouveau pour rendre à la lumière du jour le bois ouvragé du lit royal. A le regarder encore, le marchand occasionnel se dit que la princesse devait aimer ses aises. La chose n'était pas petite, loin s'en fallait. Pour preuve, le mal de chien qu'ils s'étaient donné à le sortir de la demeure sans le démonter. Celui là leur avait valu quelques mots fleuris bien dosés.

Tatez Messire, faites le tour, admirez la chose. Je suis bien sûr de la valeur de ce lit. Il ne sera pas dit que j'essaierais de vous voler.

Ca, c'était pas mentir. Même pas en rêve il s'amuserait à les voler eux. Ou si peut être bien le jour où il aurait décidé de mettre fin à sa vie. Mais, il n'en était pas là. Que non, que non !

Une donzelle, vu les formes que laisse deviner son accoutrement, s'approche l'air circonspect de la carriole et de fait de la discussion. Le sourcil épais du Joseph se lève et l'oeil s'intéresse à l'intrusion fortuite. Les muscles se préparent à la baffe, des fois qu'elle aurait l'idée de fourrer son nez un peu trop près. Il s'en tamponne le Joseph d'en coller une à une femelle, si elle mérite, y'avait pas de raison qu'elle y échappe. Mais non, l'a pas l'air de vouloir gouter la tarte aux doigts, simplement, elle se pose là, à les écouter.


Dites donc la p'tite dame, ça va, on vous dérange pas des fois ? Vous voudriez pas qu'on vous fasse un compte rendu de nos jactances ? A moins qu'vous ayez l'coeur généreux pour offrir l'occasion à Messire de tester ce pieu pour de bon !

Il est pas encore colère mais ça pourrait venir et d'un coup, le ton et le langage ont changé. Déjà pas facile de traiter une affaire en serrant les fesses si en plus fallait s'encombrer de tous les pèquenots du coin, on était pas encore prêt de fêter ça devant un verre.
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Du silence les enfants, surtout du silence !
---fromFRcharlotte372
elle regarda le marchand en train de montrer sa marchandise à un client mal fagoter, elle laissa sont regard vagabonder sur un lit fort accueillant, très spacieux, elle sourit en pensant que le marchand l'avait sans doute voler, un lit de cette taille devait coûter fort cher pensa t'elle

une voix forte l'agressa, elle ne prit pas la peine de lever le regard ne voulant pas qu'on remarque sont visage, elle ne voulait plus voir l'expression de peur sur le visage des gens la regardant, elle était un monstre et en resterais un à jamais


non merci je ne fréquente pas se genre de personne a mon habitude je ne suis pas non plus généreuse avec les...
je vous laisse ma place mais je crois que cette homme ne voudra pas de vous


elle rit doucement ne voulant pas trop chercher les ennuies, elle fuit demi-tour et repéra un ta de caisses empiler les une sur les autres contre le bâtiment en ruine qu'elle avait visiter, elle grimpa dessus avec facilité et se retrouva sur le toit la elle s'assit et regarda les gens passer espérant voir la personne qu'elle cherchait

elle sortie une pomme de sa poche et croqua dedans tous en scrutant avec intentions la chausser
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