---fromFRSatan l'Encapuchonné
Le marchand fait enfin son office. Il laisse le choix à Satan de pouvoir apprécier la marchandise. Mais alors qu'il commence a s'approcher. Une femme vient s'interférer à la vente, à la négoce. Elle regarde de trop près et aussitôt le marchand à l'art de la replacer. Dur en affaire celui-ci. Quelques mots d'échange et comme un éclair, elle disparaît sur les toits de la cour des miracles.
Le prince de l'envie commence doucement à regarder le lit, passant sa main sur les montures. Un beau bois à du être utilisé. Le matelas tendre et ferme à la fois. De quoi satisfaire des envies folles durant la nuit.
Quel bois a été utilisé pour dessiner la charpente de ce lit, le sais-tu. Un bois fort je présume.
Continuant de faire le tour du lit, Satan imagine ce que la princesse Ann a pu faire. Un sourire se dessine sur ses lèvres. Dommage vraiment qu'elle ne soit pas là cette princesse. Il aurait bien aimé lui rappeler les souvenirs passés sur cette couche. Une sorte de droit de cuissage malgré le fait qu'il ne soit pas seigneur. Pas grave, il s'y nommerait s'il le fallait. Seigneur Satan, Prince de l'Envie. Son fief pourrait s'étaler jusqu'à perdre de vue. Tous l'imploreraient et lui, têtu, n'en ferait que ce qu'il veut. Un seigneur et maître despotique. Oui, ce serait bien. Et le princesse Ann subirait tous ses désirs...
Autour du lit, la rue s'efface et pousse comme les arbres les murs et contours de sa chambre. Les meubles se positionnent à l'endroit où ils ont été posés. Les tentures tombent, l'odeur de sueur et d'herbes aromatiques se mélangent. Satan n'est plus dans la rue. Il voit, il sent. Sa chambre avec le lit d'Ann.
Il s'assoit sur le lit et apprécie le confort sur ses fesses. La douceur. Il reste un temps ainsi, pensif. Il manque quelque chose mais il n'arrive pas encore à savoir quoi. Le rêve se dissipe doucement. La rue Saint Martin reprend sa place. Le marchand barbu réapparaît. Un seul mot s'échappe de la bouche du Prince.
Combien
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"Dieu pêche les âmes à la ligne, Satan les pêche au filet."
Le prince de l'envie commence doucement à regarder le lit, passant sa main sur les montures. Un beau bois à du être utilisé. Le matelas tendre et ferme à la fois. De quoi satisfaire des envies folles durant la nuit.
Quel bois a été utilisé pour dessiner la charpente de ce lit, le sais-tu. Un bois fort je présume.
Continuant de faire le tour du lit, Satan imagine ce que la princesse Ann a pu faire. Un sourire se dessine sur ses lèvres. Dommage vraiment qu'elle ne soit pas là cette princesse. Il aurait bien aimé lui rappeler les souvenirs passés sur cette couche. Une sorte de droit de cuissage malgré le fait qu'il ne soit pas seigneur. Pas grave, il s'y nommerait s'il le fallait. Seigneur Satan, Prince de l'Envie. Son fief pourrait s'étaler jusqu'à perdre de vue. Tous l'imploreraient et lui, têtu, n'en ferait que ce qu'il veut. Un seigneur et maître despotique. Oui, ce serait bien. Et le princesse Ann subirait tous ses désirs...
Autour du lit, la rue s'efface et pousse comme les arbres les murs et contours de sa chambre. Les meubles se positionnent à l'endroit où ils ont été posés. Les tentures tombent, l'odeur de sueur et d'herbes aromatiques se mélangent. Satan n'est plus dans la rue. Il voit, il sent. Sa chambre avec le lit d'Ann.
Il s'assoit sur le lit et apprécie le confort sur ses fesses. La douceur. Il reste un temps ainsi, pensif. Il manque quelque chose mais il n'arrive pas encore à savoir quoi. Le rêve se dissipe doucement. La rue Saint Martin reprend sa place. Le marchand barbu réapparaît. Un seul mot s'échappe de la bouche du Prince.
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"Dieu pêche les âmes à la ligne, Satan les pêche au filet."