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Acte II scène III : Le doute et la confiance de la louve.
Il nétait pas là.
La main sur le ventre, la compréhension est instantanée. Il aurait aussi bien pu sadresser directement à son cur, à son âme et à sa raison. Elle reste avec sa tête contre son épaule, doucement, le creux nest pas bien grand, la douleur de lenfant elle la reconnaît, tout comme elle reconnaît la sienne. Evidement, quil nait pas été là était plutôt naturel, ils étaient partis, deux dun côté, mission calme, ramener une maman à son fils, Aucunement se faire charcuter à la guerre Aucunement. Il était parti du sien, pour des raisons mystérieuse, a trait à son ordre, a trait à lui. Pas plus de questionnement que de réponses à se sujet, sans en avoir parlés, tacitement, ils avaient mis leur bulle à lécart de leurs vie, comme on construit un havre de paix sur les cendres de la guerre.
Mais Aznar sil était dans leurs bulle, était respectivement dans le désordre de leurs deux vies.
Azazel, ne pouvait pas savoir.
Il nétait pas là, nous oui.
Mais, entre toutes ses péripéties, et depuis ses moments de calme à Valence elle aussi avait ressenti la brûlure, toujours, un moment sans sen apercevoir, presque, les jours, deviennent des semaines, et ses même semaines se changent en mois. Les lunes salignent. Et aujourdhui, elle lavait vu. Un bref instant. Offrant une vision intéressante. Il se retourne et sen va. Lhistoire de Calembredaine compte déjà trois abandons. La douleur du père qui abandonne son enfant. La douleur dun mari qui abandonne sa femme. La douleur dun amant qui sen va. Et là une explication quelle ne pouvait fournir Il avait surement une bonne raison...
« Ne me laisse plus jamais toublier »
Elle ferme les yeux.
« Ne me laisse plus jamais te perdre »
Elle lui fera confiance, elle le sait.
Il avait de bonnes raisons
Soupir
Il ne savait pas, qu'on avait besoin de Lui, sinon il serait venu Tu as confiance en moi ? Jai confiance en lui.
« Azazel, si tu me fais mentir, je te tue » vux silencieux, promesse gratuite. Quil ne déçoive pas son fils.
Il nétait pas là.
La main sur le ventre, la compréhension est instantanée. Il aurait aussi bien pu sadresser directement à son cur, à son âme et à sa raison. Elle reste avec sa tête contre son épaule, doucement, le creux nest pas bien grand, la douleur de lenfant elle la reconnaît, tout comme elle reconnaît la sienne. Evidement, quil nait pas été là était plutôt naturel, ils étaient partis, deux dun côté, mission calme, ramener une maman à son fils, Aucunement se faire charcuter à la guerre Aucunement. Il était parti du sien, pour des raisons mystérieuse, a trait à son ordre, a trait à lui. Pas plus de questionnement que de réponses à se sujet, sans en avoir parlés, tacitement, ils avaient mis leur bulle à lécart de leurs vie, comme on construit un havre de paix sur les cendres de la guerre.
Mais Aznar sil était dans leurs bulle, était respectivement dans le désordre de leurs deux vies.
Azazel, ne pouvait pas savoir.
Il nétait pas là, nous oui.
Mais, entre toutes ses péripéties, et depuis ses moments de calme à Valence elle aussi avait ressenti la brûlure, toujours, un moment sans sen apercevoir, presque, les jours, deviennent des semaines, et ses même semaines se changent en mois. Les lunes salignent. Et aujourdhui, elle lavait vu. Un bref instant. Offrant une vision intéressante. Il se retourne et sen va. Lhistoire de Calembredaine compte déjà trois abandons. La douleur du père qui abandonne son enfant. La douleur dun mari qui abandonne sa femme. La douleur dun amant qui sen va. Et là une explication quelle ne pouvait fournir Il avait surement une bonne raison...
« Ne me laisse plus jamais toublier »
Elle ferme les yeux.
« Ne me laisse plus jamais te perdre »
Elle lui fera confiance, elle le sait.
Il avait de bonnes raisons
Soupir
Il ne savait pas, qu'on avait besoin de Lui, sinon il serait venu Tu as confiance en moi ? Jai confiance en lui.
« Azazel, si tu me fais mentir, je te tue » vux silencieux, promesse gratuite. Quil ne déçoive pas son fils.