Atirenna
Affolée, affolant le parcours jusquà destination, des mains semblaient lui tirer les jupons, quand dautres frôlaient sa bourse, des regards la déshabillaient, quand dautres la fusillaient
il semblait se perdre et elle frissonnait de peur
il la lâchait parfois, comme sil loubliait et elle était perdue
pourquoi lentrainait il ? et elle
pourquoi le suivait elle ?
Le palpitant accéléré, les lèvres entrouvertes elle cherchait le moyen déchapper à son emprise la main ferme de linconnu, lentrainait comme un torrent dans ces ruelles peu fréquentables, et mal fréquentées les odeurs nauséabondes faisaient perdre haleine à la belle, sil ne la tirait pas elle resterait certainement pétrifiée !
Quand enfin il poussa la porte, Ati écarquilla les yeux, balayant de tous côtés de son regard vert/noisette, elle ne vit dans cette pièce sombre et lugubre rien qui semblait linspirer à rester Satan avait refermé la porte derrière elle, se dirigeant dans la pièce comme chez lui, et la laissant là seule contre ce mur froid !
Son sang était baigné de torpeur, et pourtant, malgré se sentiment dinsécurité, elle déglutissait et restait sur place ses yeux se perdaient à chercher quelque chose de familier elle se demandait vraiment ce quelle faisait là
Quand il était assez éloigné delle, Atirenna, sapprocha discrètement de la porte, cherchant vainement à louvrir tremblante, la sueur perlait sur son visage et se mêlaient à ses larmes, sa poitrine rebondissait à chaque à-coup de respiration fortement donnée, la gorge nouée et la main toujours en quête douverture sur la ruelle la douce et triste jeune femme ne voulait se résigner, cependant elle se demandait si elle serait plus en sécurité de lautre côté de la lourde porte aux charnières noires forgées !
Satan revenait vers elle, dune voix assurée il sadressa encore à elle elle qui cherchait toujours et encore à savoir ce qui linterpelait en lui !
Comment t'appelles tu?
Nous devons manger. J'ai moi aussi grande faim.
En disant ces mots, il la serrait contre lui et elle se demandait si vraiment ce ne serait pas elle le festin ?
Je . Atirenna Dame de . De Verlinghem Ambassadrice de
Elle ne parvenait plus à parler sa gorge avait trop serré ses cordes vocales, la peur était à ses limites tout devint blanc autour delle et elle seffondra sur lhomme qui la tenait encore dans ses bras
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Le palpitant accéléré, les lèvres entrouvertes elle cherchait le moyen déchapper à son emprise la main ferme de linconnu, lentrainait comme un torrent dans ces ruelles peu fréquentables, et mal fréquentées les odeurs nauséabondes faisaient perdre haleine à la belle, sil ne la tirait pas elle resterait certainement pétrifiée !
Quand enfin il poussa la porte, Ati écarquilla les yeux, balayant de tous côtés de son regard vert/noisette, elle ne vit dans cette pièce sombre et lugubre rien qui semblait linspirer à rester Satan avait refermé la porte derrière elle, se dirigeant dans la pièce comme chez lui, et la laissant là seule contre ce mur froid !
Son sang était baigné de torpeur, et pourtant, malgré se sentiment dinsécurité, elle déglutissait et restait sur place ses yeux se perdaient à chercher quelque chose de familier elle se demandait vraiment ce quelle faisait là
Quand il était assez éloigné delle, Atirenna, sapprocha discrètement de la porte, cherchant vainement à louvrir tremblante, la sueur perlait sur son visage et se mêlaient à ses larmes, sa poitrine rebondissait à chaque à-coup de respiration fortement donnée, la gorge nouée et la main toujours en quête douverture sur la ruelle la douce et triste jeune femme ne voulait se résigner, cependant elle se demandait si elle serait plus en sécurité de lautre côté de la lourde porte aux charnières noires forgées !
Satan revenait vers elle, dune voix assurée il sadressa encore à elle elle qui cherchait toujours et encore à savoir ce qui linterpelait en lui !
Comment t'appelles tu?
Nous devons manger. J'ai moi aussi grande faim.
En disant ces mots, il la serrait contre lui et elle se demandait si vraiment ce ne serait pas elle le festin ?
Je . Atirenna Dame de . De Verlinghem Ambassadrice de
Elle ne parvenait plus à parler sa gorge avait trop serré ses cordes vocales, la peur était à ses limites tout devint blanc autour delle et elle seffondra sur lhomme qui la tenait encore dans ses bras
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