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[RP] Rue St-Martin, l'Antre de l'Ordre des Encapuchonnés

---fromFRAsmodée l'Encapuchonné
Un disciple ?
Par la malpeste Satan comme tu y vas.
Toujours trop d'enthousiasme, tu es ta première victime mon cher frère.
Ne vois donc pas partout futur disciple !
Celui là est un curieux intrépide, au mieux un vulgaire voleur, il n'a pas l'étoffe.
Bailles lui un sou pour le spectacle ou marques son fondement de l'empreinte de ta botte mais ne gâche pas un temps précieux.


Asmodée, fortement déçu d'avoir vu s'enfuir des courbes autrement plus avantageuses s'impatiente et raisonne celui de ses frères qu'il comprend le mieux, avec Azazel naturellement car de nombreux points communs les réunit.

Regardes le mon frère !

Il déplace sa lourde carcasse autour de l'importun à pas lents.

Pitoyable vraiment.
Pensiez vous une seconde nous mystifier aussi aisément ? Croyez vous que nous fussions à ce point sots ? Crédules ? Dépourvus de cervelle pour porter crédit à pareilles fables ?!


Croisant ses bras sur son pourpoint au cuir noircit du frottement de ses armes, ses mains comme des battoirs tenant chacune un coude, vous êtes à notre porte Monsieur, déclama t'il avec emphase, et la politesse exigeait de vous un tant soit peu d'honnêteté en lieu et place de nous vouloir embobiner aussi peu glorieusement.

Dites…
se penchant vers son oreille et haussant le ton, exprès, vous n'étiez pas seul ?
Ou bien j'ai la berlue,
Mais je suis certain que non.

Moi ce que je crois Satan, c'est que ce godelureau était gentiment accompagné et qu'à eux deux il avaient de vilaines petites affaires à tramer par ici et c'est de cela qu'il devrait nous instruire, au lieu de nous servir de telles couleuvres.

Montrez un peu raison, vous feriez bien.
Il se pourrait qu'alors nous montrions quelque clémence… n'est-ce pas frère ?

De toutes les façons, il serait fort malcommode de nous offenser de la sorte.

Alors ?

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La Faim Justifie Les Moyens.
---fromFRLes mouchards
Elle court, elle court la marmaille...
Leur butin dans les poches et les yeux pétillants, les trois mômes sont de bonne humeur, mais voilà qu'au tournant, ils découvrent l'horreur.

Les gosses s'arrêtèrent, manquant de mordre la poussière une fois encore et observe la scène plus loin devant...et là, c'est le choc!
Ou bien ils ont un problème de vue, ou bien ils viennent de tomber sur le carnaval! Ah! Ces déguisement, ce sont les même que celui qu'ils ont échangé quelques temps auparavant!


T. : "Aaaah!!! R'gardez!!! L'même déguisement qu'tout à l'heure!!!"
F. : "Wouaaaah...c'est tout d'suite mieux quand c'est bien porté! Parce qu'nous on était pas très au point!"
P. : "Moi j'dis qu'on devrait pas traîner...qu'est-ce que vous en dites ?"


Pffff! Il ne sait pas rire ce Pierrot! Pas comme la Teigne et l'Franfran! Eux, ils ont une idée en tête! Oh que oui! Mais faudra donner un pourboire par contre!
Les deux gosses reprirent leur course, laissant Pierrot en arrière, marchant d'un pas nonchalant.
La Teigne et Franfran ralentirent une fois à bonne distance du groupe et firent de grands signes de bras, espérant attirer encore plus l'intention sur eux.


T. : "Hééé! Les m'ssieurs là!!!"
F. : "V'nez voiiir!!! On un truc à vous dire!!! Viendez!!! Viiiiite!!!"


Pierrot, quant à lui, arriva les mains dans les poches, se faisant discret, pas comme les deux autres forts en gueule juste devant.
Ils allaient encore avoir des ennuis, c'était certain, ou alors ils auraient une vaine du tonnerre!


T. : "Hééé!!! M'ssieurs!!! On a trouver un truc à vous tout à l'heure!!!"
F. : "Ouais! Même qui y'a une madame qui nous l'a ache..."


Un grand coup de coude frappa Franfran dans le ventre, le stoppant net, c'était la Teigne...

T. : "Ouais! Une madame qui nous l'a piqué!"

Pierrot, en arrière, secoue la tête négativement. Dans quoi avaient-ils encore fourré leurs nez...
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Les mouchards, même s'ils sont mouchardés, ils moucharderont!
---fromFRDazibaan
Dazibaan gardait les yeux rivés sur l’homme qui le tenait en place grâce à son épée. Observant de temps en temps cette fameuse épée qui se rapprochait et s’éloignait de lui… A croire que l’homme ne savait pas s’il voulait l’embrocher ou non. Vulgaire voleur… Curieux intrépide… Peut-être les deux en fait…

Il entendit le deuxième, un homme de carrure imposante appeler le premier Satan… Qui donc étaient ces gens ? Il sut tout de suite que son tour n’avait pas été convaincant. Quelle plaie. Qu’allait-il donc pouvoir raconter. C’est la que sa sœur devrait entrer en scène logiquement. Mais elle n’avait pas l’air d’être dans le coin… Morna devait maintenant être bien loin et oubliée de ces ombres qui le surveillaient. En pousser un sur l’autre ?... S’il ratait son coup ce serait la mort assurée…

Dazibaan suivit des yeux celui dont il ne connaissait pas la nom. Il tournait autour de lui comme un chat autour de sa proie. Avec la nuit, le tableau n’était pas fait pour être rassurant loin de là, et Daz ne donnait pas cher de sa peau après cette rencontre. Il se promit de retrouver la jeune femme qui l’avait conduit ici… Non pour la punir du fait qu’il se retrouvait dans cette fâcheuse situation mais juste pour la revoir…

L’ombre grasse qui se faufilait autour de lui, parlait. Dazibaan écoutait mais ne répondait pas. Il cherchait ce qu’il pourrait dire pour se sortir de cette mauvaise passe sans trop de casse. Il fit une petite grimace en entendant qu’il était à leurs portes… Ah ça… il avait cru le remarquer… Et il eut un petit sourire narquois en repensant à ce qu’il avait eu le culot de leur dire comme excuse.


Il ne bougea pas quand l’homme se pencha vers lui, mais eut un mouvement de recul en l’entendant crier. Dazibaan fit la grimace et frotta son oreille meurtrie par le son mélodieux de la voix de l’homme. Il avait l’air d’avoir deviné qu’ils n’étaient pas la en simple visiteurs, mais ça, Daz ne l’avouerait jamais. A dire vrai il ne se souvenait plus avoir su pourquoi il était ici… Simplement pour les beaux yeux d’une femme peut-être… Il ne s’y ferait plus prendre.

L’homme qui parlait attendait une réponse… Mais que dire… ? Dazibaan regarda l’homme à l’épée face a lui et chercha… Il fallait que cette histoire tienne la route et surtout qu’elle arrive rapidement sinon il sentait déjà la lame mordre sa chair. L’homme la tenant l’avait dangereusement rapproché de lui et il remercia le fait de pouvoir voir la mort en face si jamais elle frappait, plutôt que de ne pas la sentir venir en étant frappé dans le dos. Mais il ne comptait pas laisser sa peau ici. Faisant un sourire discret il se prépara a prendre la parole, gagnant encore un peu de temps pour peaufiner son histoire… Il devrait éviter de parler de Morna… Il allait se servir de sa sœur. A défaut de la voir venir ici…

Je ne suis qu’un vulgaire voleur comme vous l’avez deviné… Je ne peux malheureusement pas le cacher. Il prit un air désolé, je suis vraiment navré que vous ne m’ayez pas cru, cela n’arrange pas mes affaires….

Il sourit en se tournant vers l’homme qui lui avait hurlé dans l’oreille, en se disant qu’il était décidément fou…

Et non Messire Je n’étais pas seul ! Ma sœur m’accompagnait, et c’est elle que vous avez vu fuir.

Maintenant, le plus délicat. Arriver à faire passer un deuxième mensonge…

Nous ne sommes pas issu de la Cour. Un homme, ne me demandez pas son nom, nous avait donné rendez vous ici afin que nous puissions lui parler des objets que nous avions volé chez de riches gens. Mais il ne s’est pas montré et quand nous vous avons vu sortir, nous nous sommes cachés. Bien que l’on ne vous connaisse pas, vos réputations vous ont précédées…

Oh, celui la devrait passer… Au pire il s’en sortirait avec un trou dans la peau mais bien vivant… Enfin… C’est ce que le voleur espérait… Jusqu'à ce que des marmots arrivent… Trois gamins… Oh non… De quoi parlaient ces maudits gosses… ?! Mais et lui… Que faisait-il encore ici ? Il n’avait pas réagi tout de suite, ce qui l’étonna mais fini par profiter de la diversion fournie pour s’éclipser discrètement et espérant pouvoir échapper a ces hommes. Il fallait qu’il retrouve Morna. La femme dont parlaient ces gamins ne pouvait être qu’elle…
---fromFRAsmodée l'Encapuchonné
Que ne le disiez vous plus tôt !
Une soeur ?!
Dommage qu'elle ait préféré nous fausser compagnie, en vous laissant soit dit en passant d'ailleurs, bien seul pour affronter les Maîtres des lieux...

Dommage oui, j'ai serré au frais quelques fruits glacés, un goûter improvisé en charmante compagnie aurait été fort divertissant et sans doute instructif.


Asmodée revient en arrière, les mains croisées dans le dos cette fois. Tournant le dos au visiteur improvisé, certain de son innocuité.

Les crapules dans ce quartier se trouvent en aussi grand nombre que les dragées de sucre de mes bonbonnières, je ne sais pas qui vous cherchez mais il n'est pas en la rue Saint Martin un seul camelot qui fasse petit commerce de ce genre.
Il ne se retourne toujours pas, décidé à regagner la grande cheminée afin de surveiller la cuisson du jeune héron mis en broche plus tôt et nécessitant maints soins attentifs, ajoutant seulement insidieusement, on vous aura mal renseigné ou pire, sciemment mené ici. Si j'étais vous, je chercherais éclaircissement à l'affaire.

En quelques sorte il le congédiait et si Satan le voulait chaperonner en douce et bien qu'il lui file au train. Asmodée s'en lavait tout bonnement les mains.

Il s'en fut d'un cheveu qu'il ne soit hors de portée de la petite voix qui s'éleva parlant d'un "truc à eux" qu'une "madame" avait "ache..piqué".


Héron calciné, Héron gâté.
Le Prince grand gosier hésite le temps d'un souffle, exaspéré et fort contrarié du contretemps, puis effectue volte face dans une envolée de cape noire claquant au vent du geste brutal.

Que fait la marmaille par ici ?
Un fameux ragoût en ma plus grosse marmite si elle ne dit pas céans quoi ? Qui ? Comment ?

Et prestement !


Héron trop cuit, Asmodée en furie.
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La Faim Justifie Les Moyens.
---fromFRLes mouchards
L'grand et gros monsieur s'était retourné, il avait donc bel et bien entendu les deux mouchards.
Imposant. C'était l'mot juste, oh que oui! Mais la marmaille ne s'en fait pas pour autant, oh que non! C'est pas l'genre des mouchards d'avoir peur! Enfin...

La Teigne poussa l'Franfran en avant, le fameux "les dames d'abords" ne marchera pas avec elle, il veut lui prouver qu'il est fort, et bien soit, qu'il parle, et sans bégailler de préférence!

En brave mouchard qu'il était, il s'avança, les bras dans l'dos, jetant un coup d'oeil furtif en arrière.
Il avala sa salive et regarda ce masque d'ivoire. L'gosse prit donc son courage à deux mains, car, il faut l'avouer, l'Franfran est loin d'être courageux.


F. : "Hé..."

Un noeud dans la gorge l'empêchait de poursuivre, fâcheuse posture pour lui, il ne faudrait pas énerver l'colosse, ce serait idiot...et dangereux.
C'est qu'ils tiennent pas à mourir prématurément les marmots.

Pierrot, derrière, était en train de savourer le spectacle, et voyant le Franfran en train de s'enliser, dû à contre coeur reprendre les choses en mains.
Le troisième gosse tira le second en arrière, l'envoyant valser dans les bras de sa chère et tendre et reprit sur les mots du géant.


P. : "Quoi ? Une tenue, tout comme la votre. Qui ? Une femme de taille moyenne, assez finotte et avec des longs ch'veux noirs. Comment ? On voulait faire une farce, sauf qu'on s'est plantés, comme toujours, et la dame en a profiter pour filer à l'anglaise avec l'tout.

C'est pas joli, joli de mentir, mais à leur âge, qui pourrait leur en vouloir ? Eheh...
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Les mouchards, même s'ils sont mouchardés, ils moucharderont!
---fromFRAsmodée l'Encapuchonné
Comme nous dis tu ?

La chose était déroutante.
Fort curieuse.
Et extrêmement dérangeante.

Chaque frère portait une bure en tous points identiques et taillée à ses propres mesures. Il n'en existait de pareille car l'étoffe dont elles étaient faites avait été tissée spécialement pour eux. Une commande unique, qui avait coûté fort cher, Belzébuth leur en gardait d'ailleurs encore rancune...

La description faite ne lui rappelait aucune femme en particulier, il eut beau passer en revue le moindre de ses souvenirs.

Sept Princes mais huit bures lors de la fête des Fous.

A cela il vient de songer. Il y a aussi Azazel qui n'est pas reparu depuis longtemps. On lui aurait volé son vêtement ? Peu probable et pourtant... c'est une éventualité à ne pas négliger.


Il y a là mystère à éclaircir.

Il fait gros yeux et grosse voix, et d'où teniez vous donc pareil vêtement marmaille ?
Commencez donc par le début et pas d'entourloupes !

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La Faim Justifie Les Moyens.
---fromFRCelan
Il avait tardé des heures à recopier cette fameuse écriture. Celle de Lucifer l'Encapuchoné, Prince Démon de l'Acédie.
Et c'est donc avec pour but de déposer cette fausse missive sous la porte de l'Antre à la Rue St. Martin, que le jeune homme se faufilait sur les toits d'une Cour Miraculée.
Pendant toute la journée le soleil avait frappé sa peau indélicate et a présent ses vêtements puaient la sueur a plein nez, mais on le sentait pas, car après la chaleur qui avait été en journée et qui continuait à être en nuitée, tout le monde suait, tout le monde puait et personne ne sentait la puanteur des autres.
Mais Celan sentait la sienne, seul dans les toits de la Cour, il sentait tout son corps mouillé et collant et tenait une main en pincette sur son nez pour ne pas se sentir. Trooooop lourde chaleur avait réveillé sa transpiration qui avait elle-même réveillé l'odeur de... six mois sans un bain.
Car après la fête des fous et le lavage de déguisement, on ne peut pas dire que la pluie soit vraiment un bain... Donc oui, six mois sans un bain, six mois sans un bout de savon frotté au corps.
Et alors? A quelqu'un lui importe? Pff, on peut tout de même pas sentir les roses quand on se veut futur Prince des Catacombes, non?

Enfin, tout a ses calculs mathématiques et ses pensées philosophiques, il avait complètement oublié son but, et quand il vit trois bourres, un homme et trois mômes au milieu de la rue Saint Martin se fut un sursaut accompagné d'un murmure dans la peur d'avoir été vu.


Put....

Même pas le temps de finir son insulte, il n'avait pas du sursauter, il était sur les toits, pas dans les Catacombes, et qu'arrive-t-il à ce qui s'agitent trop sur les toits délabrés de la Cour?
Bravo, deviné!
Les tuiles cédèrent.


MEERDE!

Ups! Mains a la bouche.
Crié? Hoho... et avec les trois encap's... ces plans risquaient de pas aller comme il le voulait.
Et se relever la tête tournante... pour apercevoir que... même sans avoir crié, il était tombé juste entre deux marmots, alors il aurait été vu.
Et non seulement... sinon que le compagnon de Morna était là!
Le fils de chienne, qu'avait-t-il fait de son amante???!!!

Main au pommeau de l'épée.
Bon d'accord... contre trois princes démons, le futur princes des catacombes n'avait pas de grandes chances, mais quand même, pour une fois qu'on a envie d'avouer que le comportement humain va souvent vers le bisounounoursage héroïque...

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Celan on dit Cél-a-ne
'Ma vie n'est qu'un jeu dont je suis le maître'
---fromFRCassandrel
[Pas loin d'ici et là, cette Rue ...]

-Ah ! fit-elle seulement

Un duel .... Et voilà le point culminant de l'affaire. Qu'était-ce réellement ?
Elle entendit un pied percuter une dalle, accompagné d'un assortiment de jurons ...Tiens ?! IL avait les pensées ailleurs l'llusioniste ? Elle ne chercha pas plus à en connaitre le contenu. Une mission, une aide devait être accomplie. Elle avait donné sa parole. Un homme entre les mains de princes ? Hum...

"Mes p'tits epouvantails !" Elle espera qu'ils soient d'allures altières ! Morna n'en avait pas dit beaucoup malheureusement ... Et elle semblait n'en avoir cure. Cependant Cassandrel aimait savoir Qui elle allait rencontrer et ....


- Mais au fait, tu vas récuperer un paquet, n'est ce point ? Mais ... ce charmant jeune homme, comme tu le cites, qui est-ce ?
Elle sourit en coin, et continua :
- Toi ... Tu attaches de l'importance à un homme ? Cette espèce qui devrait être en voie de disparition ?

Elle jeta un regard en coin, de sorte à apercevoir Hauru. Peu d'exceptions confirmaient la règle ....
Corram, lui, s'était présenté en marchant, tel un crabe, à la petite foule. Il aimait différer les pommes à la fantaisie ! Décidemment, cet homme sortait du lot. Lot très morbide et sanguinaire, à l'affût du moindre danger ! Mais Corram s'appréciait en tant que Comedien. Il n'était pas réellement mordant, ni dangeureux. Elle le sentait. Or, son entourage ne semblait pas être du même avis.

Son ombre la suivait. Les oreilles en pointes, les yeux ocre sur le qui-vive...

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Evitez-moi ...
---fromFRcharlotte372
il faisait froid, elle s'était enrouler dans sa grande cape noir, sont étalon noir était épuiser, il avait galoper pendant une journée entière, fuyant un homme aussi à cheval qui voulait leurs peaux elle mit sont destrier au pas tous deux était épuiser elle vie deux hommes parler entre eux, elle crue comprendre qu'elle marchait en se moment dans la rue Saint-Martin, étrange elle n'en avait jamais entendu parler elle chuchota quelques mots à sont cheval

courage devil courage, il suffit juste de trouver un endroit pour se reposer

elle entendit un bruit derrière elle, elle se retourna et vie l'homme qui la suivait depuis le début, elle mit sa capuche sur sa tête espérant passer inaperçue trop, tard l'homme l'avait reconnue et il venait à sa rencontre elle dit quelque mot à dont destrier qui se mit au galop

elle réussi à le distancer, mais ne savait ou elle était, elle était tous simplement perdu

elle soupira et essaya de trouver une personne pouvant la renseigner hélas la rue était déserte


elle décida de continuer sont chemin en espérant voir une personne qui pourrait lui indiquer un endroit pour qu'elle se repose,pour elle et sont cheval

elle sortie deux pommes et en donna une à sont étalon noir puis croqua à pleine dents dans la sienne
---fromFRLes mouchards
Ah! Il a pas bientôt finit avec toutes ses questions l'titan là ?! Ils ont à faire, eux! Faudrait pas qu'la donzelle en question leur tombe dessus!
Tan pis, le Pierrot va devoir continuer à jouer son rôle plus longtemps que prévus.


P. : "Hé bin...La t'nue, on l'a trouvé sur un cadavre, quelques rues plus loin. Mais on sait pas l'nom d'la rue en question, on sait même pas lire m'sieur."

Petit coup d'oeil en arrière. La Teigne et Franfran sont toujours là, ils attentent tranquillement que chose se fasse. Ah! Elle est belle la marmaille! Tous des lâches! Bref! L'gamin ne rajouta rien. Il ne voulait rien ajouter, et n'avait rien à dire de plus de toute manière.
Ils ne devaient pas s'attarder, mais d'un côté, ils ne pouvaient pas partir ainsi, il ne manquerai plus que l'géant s'mette à les suivre pour leur faire la peau!


P. : "J'pourrais rien vous dire d'autre m'sieur, c'est tout ce qu'on sait! En plus bah...On doit partir...Parce que...parce que... Euh...'fin on doit partir, m'sieur!"

Un noeud dans la gorge, il n'arrive pas à l'avaler, fichtre! Le voilà bien! Espérons que l'Prince soit pas énervé! Ce serait bien ennuyeux pour leurs derrières de marmots!
Les deux poltrons, derrière, commençaient déjà à reculer discrètement.
Juste le temps pour la Teigne d'attraper l'Pierrot par le bras, de le tirer en arrière et de reculer en ajoutant quelques mots:


T. : "Si on croise la madame on lui dira d'venir vous voir! On doit partir là! A la revoyure!"

Rien de plus, rien de moins, ils filent en courant. Pas le temps de traîner, y'a d'la monnaie à ramasser, ça va pas s'faire tout seul!
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Les mouchards, même s'ils sont mouchardés, ils moucharderont!
---fromFRBelzébuth l'Encapuchonné
Foutre ventre bleu!

Valse à cinq temps.

Et d'un: une femme qui se débine. Soeur ou pas, Belzébuth n'aime guère ça. Même pas eu la courtoisie de se présenter. Avoir le courage de ses actions n'est certes pas choses aisée.

Et de deux: un discours qui le laisse stoïque, où les mots semblent plus destinés à les enrober dans un flou artistique qu'à dévoiler la vérité. Si tant est que la Vérité existe d'ailleurs, Belzébuth rêve de la posséder.

Et de trois: trois marmots, petits chatons sans chapeau de paille, mais portant bure aux princes destinés. Tenue trouvée sur un cadavre. Il manquait un frère à l'appel. Belzébuth fronce les sourcils, mécontentement affiché.

Et de quatre: un oiseau tombé du toit, main sur la garde. Décidément, la rue Saint Martin devenait un lieu de tourisme incontournable ces derniers temps! Il faudrait voir à faire payer pour la visite... Il n'y a pas de petits profits quand on est prince de la possession.

Pour le cinquième temps, Belzébuth s'avance à grande enjambées, faisant bloc avec ses frères, main sur le pommeau.
Quitte à valser, autant que les couples se présentent.


Par ici les marmots! La danse n'est pas terminée. Qui veut bien être mon cavalier? Fffffffff.....
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Bien mal acquis profite... mais plus à la même personne, voilà tout !
---fromFRcharlotte372
elle vie le jour se levé, elle s'était donc endormit sur sa selle, elle regarda autour d'elle était belle et bien perdu, elle saut à terre, chercha dans ses bagages et sorties plusieurs carottes elle les donna à sont cheval puis elle sortie quelque fraises pour elle, elle les mangea

elle continua à marcher à pieds, sont cheval la suivait, elle entendit un bruit de conversation elle remit sa cape en place, rabattu la capuche sur sont visage puis s'approcha

elle vie un homme qui portait une bure, sont allure lui était familier, peut être l'avait t'elle croisée quelque part

elle l'entendit parler, mais ne voyait pas celui qui l'écoutait, de la ou elle était elle ne voyait que des ombres

elle monta sur sont étalon noir puis s'approcha comme si de rien était
---fromFRLes mouchards
Oups! Route bloquée, marmots mal barrés!
Et bien voilà, ils s'étaient bel et bien fourrés dans le pétrin..

Les trois gosses, un tantinet apeurés, restaient plantés comme des piquets sans bouger.
Il valait mieux pour eux qu'ils ne cherches pas à s'enfuir, les grands masqués n'était pas en train de plaisanter à première vue.

La Teigne, grande gueule du groupe ne réussi pas à ne pas parler, pauvre idiote qu'elle était, elle ne savait pas où elle était en train de mettre les pieds.


T. : "Hé! Z'avez qu'à danser après avec l'autre madame hein!!!! Nous on est occupés d'abord!!!! Z'avez qu'à nous laisser partir!!! Z'avez pas l'droit d'nous garder!!!! Moi ze veux m'en aller, et tout suite! Et puis...et puis...et puis 'devriez nous r'mercier plutôt qu'nous garder! Moi z'veux pas danser! Pis la madame si elle nous voit avec vous, elle va nous faire la peau!"

Hochement de la tête. Tous son du même avis: Traîner dans l'coin c'est risquer sa peau, entre Masques et Catin, ils n'auraient pus rêver meilleurs bourreaux!
Raaah! Ils auraient bien essayé de fuir, mais la situation ne semblait guère appropriée, aussi mieux valait-il obéir et se taire.

Et pourtant...
S'ils étaient assez courageux, ils auraient essayé de prendre la poudre d'escampette lorsqu'une silhouette montée sur un...un...un gros truc à quatre grandes pattes, s'était approchée. Non. Ils n'étaient pas suffisamment courageux pour tenter de fuir, aussi les mouchards se prirent les mains et s'assirent au sol, attendant de voir ce qui pourrait bien arrivé par la suite...
Ce qui était certain, c'est que la rue était bien agitée, et sans doute cela n'était-ce pas terminé.

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Les mouchards, même s'ils sont mouchardés, ils moucharderont!
---fromFRDazibaan
Dazibaan s’était éloigné lentement et a reculons pendant que les encapuchonnés étaient absorbés par les trois gamins. Autant en profiter et en plus le plus gras, celui qui lui avait crié dans l’oreille, n’avait pas l’air vraiment préoccupé par ce qui se passait par chez lui. Alors autant saisir sa chance !

Pendant qu’il reculait, il tendait l’oreille pour écouter ce que les mioches racontaient. Oui… Ils parlaient bien de Morna. Elle avait donc réussi à trouver ce qu’elle cherchait mais maintenant, s’ils comprenaient ce que les gamins racontaient, les hommes en noirs allaient sûrement se méfier et chercher à la retrouver. Si seulement il pouvait la retrouver avant eux…

Il allait atteindre le coin de la ruelle la plus proche quand il entendit quelqu’un jurer. Levant les yeux vers le toit de la maison face a lui, il vit un homme dégringoler et chuter au sol. Pour un peu, un des gamins se faisait écraser… Mais que faisait-il sur le toit lui ?

Dazibaan le reconnut alors que l’homme était en train de se relever. Le compagnon de Morna. Mais qu’est ce qu’il fichait ici ? Et Morna était-elle avec lui ? Daz jeta un œil aux princes et vit que l’un d’eux marchait droit sur l’homme et les gosses. Il se retourna et regarda la ruelle sombre qui lui tendait les bras. Il pouvait partir et retrouver Alhena qui était seule maintenant. Du moins il l’espérait… Ou bien retourner en direction de cet homme tombé du ciel et des gamins.

Rangeant le chapelet et la bourse de Morna dans son pourpoint, il sortit son épée et s’avança prudemment. Il ne savait pas dans quel guêpier il était tombé mais il ne s’en sortirait décidément jamais. Il fit un signe a l’homme qu’il avait deviné comme étant l’amant de la rose noire et lui montra l’épée qu’il tenait. L’homme en ayant une aussi, ils seraient au moins deux pour se défendre contre les hommes masqués au cas ou. Il ne savait pas si les hommes en noirs pensaient qu’il était partit ou non, ce qui pouvait lui laisser un léger avantage puisqu’ils lui tournaient le dos maintenant…

Un bruit de sabot se fit entendre au loin, résonnant dans une ruelle et Daz chercha d’où cela pouvait provenir. On n’a pas idée d’amener un cheval ici… Il finirait sûrement dans une assiette tôt ou tard. Et il servirait à nourrir plusieurs personnes pendant plusieurs jours. Ne surtout pas afficher la moindre richesse ici. Rester sobre. Cela permet de rester en vie.
---fromFRcharlotte372
elle regarda autour d'elle puis descendit de sont cheval, elle avait peur pour lui, elle l'aimait tellement,ele vie un enfant bousculer sont étalon qui commença à s'agiter elle murmura quelque parole et l'étalon s'évapora comme par magie

elle décida de continuer à pied, elle n'était pas riche mais avait été entraîner à tuée sont allure ressemblant plus à celle d'un homme, déguiser personne n'osera l'approcher pensa t'elle

elle mit la main sur sont sabre voyant qu'il était toujours la elle s'approche de l'homme capuchonner, quand elle le vit elle retourna sur ses pas espérant qu'on ne l'avait pas vue , se personnage n'inspirait pas confiance, elle espérait que l'enfant ne dirait pas qu'il l'avait vue

elle se cacha dans un coin et s'enroula dans sa cape, elle n'espérait que personne s'aperçoit qu'elle était une femme sinon elle aurait de grave ennuie, encore heureux qu'elle savait se défendre


elle avait froid, elle fouilla dans une poche et en sortie une bouteille de rhum elle bue une gorgée pour se donner du courage puis elle regarda autour d'elle tous était calme elle décida par sécurité de rester la ou elle était
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