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[RP] Rue St-Martin, l'Antre de l'Ordre des Encapuchonnés

---fromFRCelan
AIE!! PUTAIN SA RACE DE M.ERDE!!!

Comme si la nuque moitié brisée c'était pas assez!
Celan regardait sa main avec terreur. Non qu'il eu jamais vu du sang, non qu'il eu jamais vu son sang, mais sa main blessée de la main froide et impassible d'un Encapuchonné!
Ça faisait mal, et en plus, il pouvait rien y faire, l'encap avait prit possession de cette main qui venait de lâcher l'épée tombée avec un bruit mat.
Et puis quelqu'un approchait, salue la dame, mon oeil putain!
Saluer quoi? Non mais ça va pas la tête!


Lâche ma main espèce de salo*ard!

Au moins panser la blessure, un peu, pas la laisser se bruler avec le vent comme a feu vif!
Et le con qui le lâchait pas!
Dans ce cas, pas le choix...
Son genoux se plia vers l'avant.
Et paf!
Dans le blanc!
Et au même temps, baisser la tête, l'enlever de l'emprise de l'encap', et tordre le bras pour se faire lâcher.

Le jeune homme s'était donc libéré... Pour ne pas aller bien loin, car sa seule préoccupation était sa paume de main, il pensa même pas à courir, juste à regarder la plaie et la recouvrir d'un bout de sa chemise.


Con*ard

Murmure entre les dents. C'est pas histoire d'un Celan couard qui échappait, juste d'un Celan qui avait aucune envie d'être a la merci d'un démon.
_________________
Celan on dit Cél-a-ne
'Ma vie n'est qu'un jeu dont je suis le maître'
---fromFRcharlotte372
elle ne supportait pas de rester dans le ta d'ordure, elle décida donc de sortir de sa cachette

étrangement elle sentait la rose et non une sale odeur

elle resta en arrière regardant l'homme à la capuche

une force étrange sortait de cette homme, elle le regarda discrètement, il tenait un homme dans ses mains, l'homme avait l'ai de souffrir, il criait de douleur

elle entendit l'homme à la capuche parler, il avait une voix étrange, elle se demanda si ses paroles trait pour elle

elle regarda zalina dans les yeux, elle était elle aussi étrange, tous était-si étrange autour
d'elle
pnj
Mellusine se resaisi, un instant.
Les encapuchonés étaient là, et elle, gourde qu'elle était, avait mis la seule tenue qui pouvait faire qu'ils la reconnaisse! Et si, et si l'un des deux étaient Azazel?!
Mon dieu... Si la dernière fois elle lui avait filé entre les pattes, cette fois si il ne ferait qu'une bouché d'elle.

Et puis maintenant, voilà sa cheville qui la lançait! La rousse tord sa jambe de douleur, perd l'équilibre, un peu.

C'est là qu'elle vois l'amant de Morna, le regard fixé sur sa plaid, et le prince démon une épée ensanglantée à ses genoux.
D'ailleurs, pourquoi est il à genoux? Ce n'est pourtant pas les habitudes de ces 7 frères et soeurs!...

La rousse alors comprend.
Elle se redresse et se dirrige vers le blessé. Une fois à ses côtés, elle lui murmure à l'oreille:


Je crois que c'est le moment de fuir!...
---fromFRDazibaan
Dazibaan, épée en main voyait les hommes en noir approcher des nouveaux arrivants. L’homme tombé du toit, l’amant de Morna allait s’attirer les foudres des Encapuchonnés. Mais Daz ne pouvait rien faire. S’il fonçait tête baissée pour sauver un homme qui le regardait de travers ils ne s’en sortiraient sans doutes ni l’un ni l’autre.

Les prendre a revers. Mais il fallait qu’aucune des ombres ne s’occupe de lui. Pour l’instant les gamins et l’oiseau servaient de diversion. Il fallait se débarrasser des autres avant de s’en prendre a celui qui tenait Celan. Il semblait être le chef… Autant s’en occuper en dernier.

Daz allait se faufiler derrière le premier, le plus proche de lui quand il vit une femme chuter du toit. Qu’est ce que les gens faisaient sur les toits ? On n’a pas idée de monter là-haut… Il grimaça quand il vit l’encapuchonné se saisir de Celan. Trop tard… Et le regard lancé signifiait sans doute qu’il devait le maudire sur moult générations mais bon. Qui dit que l’amant de Morna serait resté sur place au lieu de fuir tant qu’il le pouvait ?

Voyant la fille tombée du toit s’approcher de Celan, Daz se dit que peut-être le moment était venu de faire diversion tant qu’il était temps. Ils auraient le temps de fuir… Espérons… Alors comment jouer ça… ? Il vit un truc se lever des détritus qui formaient un tas sur le mur de la rue adjacente. Oh… Quelqu’un aimant la compagnie des déchets ? Il leva un sourcil… Une petite idée germait dans son esprit mais il faudrait que Celan et sa compagne en profite aussitôt… Et lui qui allait encore se faire prendre sans doute… Enfin, c’était pas la police, encore heureux…

Il regarda un instant dans la ruelle et ne vit personne. Pas un chat et pas un bruit. Eh beh… Ca allait résonner la dedans… C’etait aussi le but recherché fallait bien l’avouer. Il alla derriere le tas et donna un grand coup de pied à la volée. Toute la montagne de bois, poutre et autre s’effondra dans un grand bruit, et Daz arriva au sortir de la ruelle avec une mine étonnée.

Regardant de nouveau derrière lui, puis les hommes en noir qu’il venait de quitter, il fit un sourire


Ca alors… Encore vous ? Un vrai dédale ces rue… Je crois que j’ai tourné en rond… A moins que ce ne soit pas vous… Peut-etre d’autres ?

Il fit mine de regarder autour de lui…

Non non c’est bien vous… Je reconnais l’endroit…

Maintenant qu’il les occupait en parlotte purement inutile, peut-être qu’il allait se passer quelque chose qui les sortirait tous de cette mouise ou ils s’étaient fourrés.
---fromFRAlessya
Le petit jeu de Morna lui fit ouvrir grand les yeux. Puis avec une supplication silencieuse pour le Très Haut et sa bande et reprit vite contenance. Morna la surprendrait toujours. Puis, haussant les épaules, elle s'avança lentement suivi de tout le petit groupe.

Soudainement elle s'arrêta.
Il était là, le géant de tantôt. Elle le fixa d'un regard qui se voulait détaché, mais déterminer. Après tout, la Rose Noire n'avait pas l'habitude de fléchir les genoux.

Elle quémanda d'un regard l'approbation de Morna, puis continua sa route. Maintenant,
Il les avaient vus.

N'osant réfuter sa demande, la jeune fille s'avança, prudement sans pour autant le laisser paraître. Elle tremblait légèrement, ses compagno,s pouvaient le voir, mais ils étaient trop loin pour que l'Encapuchonné le remarque. Un petit encouragement de Morna la fit reprendre confiance en soi. Après tout, ils avaient une mission à mener à bien. Ce n'atait pas le moment de flancher! Elle vit Cassandrel sur le toît qui attendait le moment opportun.


- Bonjour messire, commença-t-elle, je...

Une voix qu'elle ne connaissait que trop bien l'interrompis. Son regard coula vers Mellusine. Elle était vêtue d'un habit d'homme.
Que diable faisait-elle ici? Sur les toits !
Son regard se fit dur, sans pour autant montrer qu'elle la connaissait. Dans son fort intérieur, elle pria tous les saint, les démons, Dieu et même le Diable pour que Mellusine s'en aille sans esclandre...
Elle avait déjà dévoilé ou presque qu'il y avait des gens sur le toit.


* Soit maudite idiote!*

Elle se reprit, Mellusine n'était au courant de rien...
Et celui-la qui venait de débarquer!
Oh! Il ne portait pas de masque! Ce pourrait-il que ce soit le "paquet" en question?!
Elle quetta discrètement le regard de morna. Que devait-elle faire?

_________________

Petite sœur de Mellusine, amatrice en potions et onguents en tout genre, à ses heures perdues...
---fromFRAsmodée l'Encapuchonné
Il encaissa le coup, le Masque dissimulant peut être une grimace de douleur mais il n'en laissa rien paraitre, un léger fléchissement dans les genoux tout au plus, une expiration laborieuse et tardive. Ses doigts se crispèrent, il se retint et laissa sa proie s'échapper de quelques pas, certain de le ramener sous emprise en peu de temps, d'abord le laisser se vider de quelques pintes de sang, attendrir la viande, il se servait de ses connaissances culinaires.

Le bruit ou la senteur du drame attirait nombre … d'insectes qu'il voyait se presser autour d'eux mais à distance respectable comme autour d'une flamme, inconscients du danger, attirés par lui et prêts à se brûler.

Lui il n'avait d'yeux que pour celle qui s'avançait dans la ruelle et lui donnait du "Messire" il décida contre toute attente de la bien aborder,


Souffrez que je … m'introduise … auprès de vous,
ma Chère.


L'instant d'avant il n'y pensait, pour en rire la minute d'après. Joli lapsus en vérité qu'il manqua de peu. "En vous" eut été une entrée en matière un peu abrupte.

Asmodée, reprit-il, c'est ainsi que je me nomme. L'un des sept frères.
Prince … par nature plus que par naissance il est vrai.


Habituellement on avait maintes idées préconçues à leur encontre. Qu'ils étaient les loyaux sujets du Grand Cornu lui-même était la plus répandue. Cela était fort pratique et peu difficile d'exalter la bêtise des petites gens. Assez pour entretenir toutes ces rumeurs.
Certaines d'entre elles étant par ailleurs tout à fait vraies. A dire lesquelles …
Et puis son statut était simplement annoncé, sans y mettre une quelconque vanité, car sa –leur- supériorité n'était à établir, allant naturellement de fait.


Prince disais-je, j'incarne ce délicieux péché qui humecte vos … lèvres … et l'intérieur de votre … bouche.
Il aimait à user de ces tournures ambiguës laissant planer ce doute sur l'endroit véritable qu'il évoquait.

Et vous ?
Recevrais-je de vous autre réponse qu'il me fut donné d'entendre ce jour ? Des fadaises. On me prend pour un sot. Tenez celui-ci…


Rotation de l'avant bras, torsion souple du poignet, la dague de la Dame d'Ascalon s'enfonce cette fois dans le flanc de l'homme déjà récemment harponné provoquant à n'en pas douter de meilleurs dégâts,

… Ne cesse de me conter fantaisie, je lui en donne quelques unes à mon tour car je commence à perdre patience, d'autant plus, mais il n'allait pas en faire état, qu'un rendez-vous galant l'attendait quelque part et que la Dame en question pourrait bien se lasser d'attendre, après avoir un Héron perdu, une caille envolée ce serait par trop de malchance.

et dois-je secouer les gouttières pour que tous les chats en tombent ?

Les yeux brillent la nuit et les chats ne sont pas tous gris.
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La Faim Justifie Les Moyens.
Vilissë_morna
Au bras de Corram une seconde, auprès d'Alessya le seconde suivante. La Sombre guetta en avant du groupe. Jusqu'ici tout s'était déroulé plutôt bien, mais c'était sans compter l'intervention de Mellusine... Foutre diantre! Elle allait les faires repérer si ce n'était déjà fait! Et ce faire prendre par la même occasion!

"Maudite rousse, que fais-tu donc là comme folie..." Murmura-elle entre ses dents.

Il ne fallait pas attendre plus longtemps, mais pourtant, elle hésita à avancer, comme si quelque chose était en train de se dérouler sous ses yeux, sans même qu'elle y prenne garde. En regardant mieux, la rousse avait rejoint un homme à la carrure imposante... Ce n'était pourtant pas l'un des Encapuchonnés...Non, c'était son amant, Celan. Que faisait-il ici aussi lui! Finalement la situation était plus critique qu'elle ne l'avait imaginé, et cela ne fit qu'impirer lorsque le Prince frappa son rival dans le flan...

"Celan..."

Le regard vide, brillant, tremblant presque observait la scène de loin, comme si ce n'était qu'un mauvais rêve dont on ne désire qu'une chose: En sortir, et vite. Hélas, ça n'était pas un songe, c'était la réalité, sombre réalité. Son amant était méchamment touché, il était en train de se faire tuer alors qu'elle, elle était là, plantée comme pieu dans coeur, sans dire mot, les yeux hagards. Son coeur lui disait d'aller à lui, l'aider et mourir peut être, mais sa raison était plus forte que cet amour qu'il y avait eut entre elle et lui.

Quelques paroles vinrent à Alessya, un murmure dans le noir en disant trop.

"On ne s'occupe pas des blessés graves s'il y en a, quant à lui..." le regard toujours sur son amant, "...On ne peut plus rien pour lui, il savait ce qu'il faisait..."

Ces mots étant dit, la Sombre se revêtit à nouveau de son habit de folle, retournant quelques pas en arrière de la "Rose Noire". En y regardant mieux, plus loin encore, il y avait bel et bien ce fameux "paquet" qu'ils étaient venus chercher. Le groupe était un peu trop dispersé pour que tout ce passe comme prévus, néanmoins, ils jouaient sur les braises, si jamais les flammes reprenaient leur souffle, il serait finit de cette petite mésaventure.

La demoiselle retourna en courant jusqu'à Corram, lui attrapa la main puis retourna en avant d'Alessya. Que faisait-elle ? La folle, juste la folle. Une fois à bonne distance de la rousse la jeune fille fit comme si elle n'avait pas vu le Prince, se jetant tout simplement au cou de sa cousine après avoir lâché la main de l'homme. Elle laissa son regard s'introduire dans celui de cette chère et tendre Mellusine, comme une amante retrouvant son grand amour. Elle souriait à cette femme, même si au fond, voir son compagnon perdre son sang à quelques pas d'elle était assez difficile à supporter. Elle ne devait pas se trahir, aussi, la Sombre déposa un baiser sur les lèvres de la rouquine, suivit d'un petit clin d'oeil.

"Que fais-tu donc ici, toi ? Que fais tu ici avec lui!" L'index de l'oiselle pointa le Prince juste derrière elle.

Une moue boudeuse se dessina aux lèvres de Morna. Qu'était-elle en train de faire ? C'était folie pure et simple. Cette intervention pouvait tout faire basculer, mais elle ne voulait pas que le sang s'écoule plus que nécessaire, ors, il coulait déjà, et trop à son goût.

"Tu m'as abandonné après cette nuit qui, je l'avoue, était plus que plaisante... N'as-tu donc pas de coeur ? Sans doute préfères-tu ce masque à moi! Tu me fends le coeur! Moi qui t'aime tant!"

L'étreinte se resserra un peu plus, comme si l'idée de perdre cette femme était insupportable.

"La rousse, reviens avec moi... S'il te plaît.. Je t'aime la rousse, oui. Je t'aime tant, et toi tu me trompes avec tous. Eux ne t'aiment point, mais moi oui."

Une nouvelle fois ses lèvres se déposèrent sur celles de Mellusine. Humides. La dite folle relâcha petit à petit son étreinte, laissant finalement la catin retrouver sa liberté. Malgré cela, la jeune femme attrapa la main de la rousse et essaya de la tirer un peu. Elle voulait qu'elle parte d'ici.

Simple amante cherchant à protéger d'un quelconque danger sa moitié. La Sombre espérait que tout se passerait bien, mais pour l'heure, elle se devait de garder son personnage d'amante détraquée en place.


[HRP]Bien, bien. Dès ce soir je ne pourrai plus répondre à ce RP, et ce pendant minimum deux semaines, je sais, c'est ennuyeux, mais je ne peux faire autrement. D'ici trois semaines environs tout sera en place. Quoi qu'il en soit, j'ai envoyé quelques informations à certain(e)s d'entre vous pour qu'ils sachent ce qui, oui ou non, peut arriver à la Sombre. Bon RP à vous, au plaisir. La joueuse.[/HRP]
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Morna del Cielo Azzuro
On ne peut pas s'installer là ! ça sent mauvais, ça s'effondre de partout, et on entend les souris forniquer dans les murs !
---fromFRcharlotte372
sa capuche rabattu sur sont visage, elle ne voyait pas grand monde, elle releva discrètement la tête pour voir si elle pouvait s'échapper partir loin d'ici

quand elle releva la tête, ses yeux bleu azur croisa le regard de l'homme à la capuche, sont coeur se mit à battre plus vite elle baissa la tête, espérant que s'était pas elle qui regardait

elle entendit des bruits de pas se rapprocher , elle entendit une voix pret d'elle , surprise elle releva la tête en vitesse, le regardant dans les yeux, elle remarque que se n'était pas à elle qui parlais elle , elle baissa la tête retournant dans ses pensé obscure




en entant dans sont nom, elle fut surprise, elle aurait pourtant parier que s'était lui qui avait tué ses parents mais se nom lui était inconnu

elle le regardait dans les yeux en signe de défis, lui ne semblait pas la voir, elle le vit qui regardait autre part, discrètement, elle se déplaça essayant de prendre la fuite


elle regarda l'homme qui souffrait atrocement, elle le regarda avec peur, voyant que le prince pouvait être cruel, elle voulait aider l'homme mais ne savait pas vraiment comment faire, elle était très maladroite dans ses moments de peur et de doute

elle décida de sans alla sans un regard en arrière, il fallait qu'elle trouve un endroit ou dormir

elle fit une petite révérence puis monta sur le toit d'une maison proche et commença à courir
pnj
Mellusine, la rousse, Bella Rossa...
Quoi qu'il en soit, son moment de lucidité partie en éclat dès que sa cousine se jeta dans ses bras, l'embrassant et l'appelant "la rousse" comme si c'était son amante.
Une lueur dans les yeux. Karwina, son amour, sa belle brune, la femme pour qui que le coeur de cette catin s'était consumé... Cette étreinte de femme que lui donnait Morna enfonça la rousse dans une mytomanie incontrôlable.

Ma douce, je n'aime que toi, que toi et personne d'autre...

Ses souvenirs passés, cette sensation d'amour évaporée, elle reprit ses esprits. Le clein d'oeil! Oui, elle devait jouer le jeu. Elle ne savait pour quoi ni pour qui elle devait le faire, mais enfin...

Ma jolie frimousse, jamais je ne prefererais un prince, aussi tenebreux soit il, à toi!

Les propos de l'encapuchoné revinrent alors à la surface. Asmodée.
Oui, elle le connaissait. Et il était interessé par sa soeur?
Non d'un chien, il fallait qu'ils filent tous d'ici, et vite...


Partons mon amour, nous n'avons rien à faire ici...

LA rousse prit la main de sa cousine, l'éloigna un peu... Puis d'un geste fulgurant attrapa l'amant de celle ci et avec une force qu'elle ne se connaissait pas, courut tout en les entrainant dans sa course...

Mais elle oubliait quelqu'un...


Alessya...
---fromFRCassandrel
Quelle agitation. Plusieurs scènes defilèrent sous ses yeux. Petite et ineluctable rencontre entre sa belle cousine Alessya et l'epouvantable epouvantail geant...Une toute autre cousine, Mellusine, ramena sa frimousse pour aller sauver le gibier. Une aliénée portant le nom de la Rose Noir donna signe de vie, en mettant son existence en danger. Pauvre petit encapuchonné, il devait être deconcerté...

Et elle, on l'eût oublié, tandis qu'Hauru avait fait son petit chemin comme un voleur, l'autre biquette n'ayant toujours pas exposer sa ridicule taille, Cassandrel se fit petite, toute petite. Sa colère dissipée, elle s'interrogea quant aux futurs agissements à prevoir ... Aider une partie de sa famille, trois cousines, avec le butin, ou attendre bien sagement ici et là ...
Il serait facheux de se faire repérer, non qu'elle ne voulût point faire connaissance avec son futur ravisseur ravi, mais la situation dégénérait tour à tour.
Elle le prendrait au depouvru. Morna croyait qu'elle les aiderait. Jamais ! Semper fidelis.

A moins que le prince secoue la gouttière .... Dans ce cas, il aurait quatres ou cinq- à compter celle qui aimait les poubelles - femmes rien que pour lui. Bougre ! Elle s'allongea, fit très attention pour ne point tomber car, il était vrai que ces tuiles étaient glissantes...Elle soupçonna même les encapuchonnés d'avoir mis leur grain de sel...

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Evitez-moi ...
---fromFRCelan
Fuir.
Seul mot dans la tête un instant.
FUIR?
Celan qui fuit? Et le super-héros super bisounoursique que nous avons décrit à son arrivée triomphale?
Une seconde à se faire la question primordiale...
Puis défection finalement, Celan était Celan, un rat de la Cour des Miracles, il lui suffisait d'un saut bien fait pour arriver dans les toits, et s'en aller en courant. Bon d'accord, un saut et quelque chose pour s'appuyer, mais pour sur le compagnon d'une nuit de Morna serait parfait pour cette affaire...
Le problème, c'est que, à trop utiliser le muscle du haut, on fini par perdre du temps, et quand le jeune homme allait enfin s'apprêter à fuir, c'est des oiseaux tombés du ciel qui arrivèrent.
Sa douce Morna! Qui s'approchait d'eux!!
Miam, pour sur pour venir lui offrir un baiser et de quoi guérir sa plaie!

Et vous savez quoi? BEN NON!
Elle allait embrasser la rouquine.
Il marmonna quelque chose comme 'Maudites femmes', puis décida qu'il était temps d'appliquer le plan de mélusine avec un petit quelque chose de top discrétion.

Un pas en arrière.
Un deuxième pas en arrière...
Se retourner et essayer de courir...

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Celan on dit Cél-a-ne
'Ma vie n'est qu'un jeu dont je suis le maître'
---fromFRSir Joke
Il était encore là, terré au pied de son arbre.....subjugué par tant de mouvements!! Il en perdit l'appétit, mais resta par pure curiosité.
L'attaque tardait a venir et le "petit homme" était sur le point de s'enfuir..... à la vue du sang de celui-ci, il eut enfin le frisson qu'il attendait...


"Quelle pitoyable mascarade, mais quel délectable spectacle"

Il leva les yeux vers cette ombre se faufilant tant bien que mal sur les toits de la rue, souple mais gauche!
Il perdit son sourire......celle-ci serait surement assez maligne pour s'en tirer, mais vu "l'animal" d'en face....
Malgré la félinité des ses pas, les tuiles se dérobaient. Il se plut a observer sa progression autant que de voir le sang du jeune homme s'écouler sur les pavés de la ruelle, ses yeux n'eurent de cesse de changer de scène...

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---fromFRcorram
Elle était devant lui, et s’était prise à se peinturlurer le visage à l’aide de la terre boueuse de la rue ou ils se trouvaient. Oui, cela lui plaisait bien. Il aimait se grimer. Il était acteur, et cela lui permettait d’incarner des rôles. De devenir un autre. Il s’était dit que l’imiter serait de bonne aloie. Il prit donc à pleine main la terre humide en pliant le genou. En mis un à terre. Puis se peinturluras le visage également. Cela ne lui suffisant guère, il se roula afin d’imprégné ses vêtement de la fange présente. Il mis ensuite ses cheveux maculé en bataille Le visuel, l’odeur était à présent manifeste. Il était un gueux, un vagabond qui montrait sa présence auprès de quelques autres.
La sombre était partie auprès de sa cousine. Puis revint et sans doute l’aspect de Corram lui semblant adéquat le pris par la mains. Sa course se poursuivit pourtant, pas le moindre repos. Une fois sa mains dans celle de la sombre, il la suivit.
Il était entré en son nouveau rôle. Devenu le vagabond fou sans nul doute. Pourtant, il claudiquait de sa jambe blesser. Et le jeu visuel alors ne rendait son personnage que plus crédible. Il se penchât un peut vers l’avant. Les yeux légèrement biaisé en direction de la sombre. Son accoutrement, ses actions ne lui permettait pas de suivre la sombre avec le meilleur effet. Mais cela lui convenait. Elle lui lâchât donc la main pour se jeter au coup de la jeune fille rousse. Son amante à n’en point douter.
Il l’écouta alors sans rien dire, s’assurant alors d’entrer dans son jeu de la meilleure manière possible. Du moins l’espérais il :


"Tu m'as abandonné après cette nuit qui, je l'avoue, était plus que plaisante... N'as-tu donc pas de coeur ? Sans doute préfères-tu ce masque à moi! Tu me fends le coeur! Moi qui t'aime tant!"
"La rousse, reviens avec moi... S'il te plaît.. Je t'aime la rousse, oui. Je t'aime tant, et toi tu me trompes avec tous. Eux ne t'aiment point, mais moi oui."


Son amante ne se fit pas attendre pour lui donner réplique :

Ma douce, je n'aime que toi, que toi et personne d'autre...
Ma jolie frimousse, jamais je ne préférerais un prince, aussi ténébreux soit il, à toi!
Partons mon amour, nous n'avons rien à faire ici...


Comme la scène était touchante, mais il fallait qu’il intervienne également. Il était là présent devant ses deux jeune fille. Devant ce jeune homme qui semblait souffrir. Et devant celui qui semblait fait si peur. Il ne savait pourtant rien de lui, et se contenterais de jouer le rôle d’un fou. Oui, après tout il était belle et bien rester en leur compagnie afin d’incarné un fou. Pourquoi rebrousser chemin à présent qu’ils étaient arrivés en l’endroit, devant leur public. Ils se devaient de donner représentation. Que dirait le commanditaire de la pièce si tel n’était pas le cas. Oui, bien sur, il n’existait point de pièce, mais cela ne faisait point grande importance. Alors il commença à parler :

Madame, des tomates vont bientôt tomber du ciel si nous restons ici. Quoi qu’elle se mange, et nous ferions repas de roi. Et le rouge vous va si bien. Mais les pourceaux nous les prendrons avant même que nous puissions les prendre en mains. Comme la vie est injuste. Mais elle est ainsi. Et vous l’aimer elle. Et elle vous aime également. Comme les chose ce gâte. Oh oui, comme les chose se gâte et pourrisse. Le ciel ne sera bientôt plus. Il nous grillera si nous restons la. Partons d’ici, je vous montrerais les chemins. Simulant alors mal de tête et baissant les yeux, il reprit le cours de son discourt sans fondement. Ha fichu tête, vertige qui reviennent. Oui, votre amante doit avoir raison, partons. Les moustique cesserons peut être ainsi de me harceler.

Elles ne semblaient pas l’avoir écouter. Elles avaient commencé à partir avec le paquet tant désiré. Pourtant, lui restait la devant cette homme masquer. Si prêt et pourtant, si lointain. Oui, partir les rejoindre était sans doute la meilleur des choses. Ici il risquait de ne pas faire salle comble. La troupe ayant quitté l’endroit, il se devait d’en faire autant.

Je vous rattrape, ne vous inquiéter pas mesdames. Vous vous sentirez moins seul comme cela…

Puis il les suivit ou du moins tenta il de le faire…
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pnj
Toutes ces action s'étaient passées si vite.
Ses souvenirs s'étaient mêmlés à son jeu, à son jeu à ce qu'elle était.
Dans tous les cas, la folle et sa consoeur n'avait donné aucune attention à l'homme qui semblait vagabon rustre et demeuré.

La rousse tourna la tête, sans ralentir cependant, et sans lacher la main de sa cousine et de son amant.

Fallait il vraiment rebrousser chemin pour aider ce pauvre bougre à fuir?
Sans doute. Les jambes de la demoiselle lui faisaient mals, surtout sa cheville foulée.

Alors, dans un moment de bonté et d'épuisement, elle lacha la main des deux tourteraux, leur lançant en allant dans le sens inverse:

Continuez! Je ne serais pas une grande perte!

La Dame bleue rejoigni donc l'homme sans nom, mais malheureusement avec une odeur.... putride. L'odeur des cadavres et des rats de la Cour.

Allez, oubliez votre jambe si vous en souffrez et courrez!!!!!

Mellusine ne se tenait plus, elle avait hurlé sur le pauvre homme, et maintenant elle tombait à terre.
Trop, c'était trop. Trop d'amour, trop de sang, trop de course.
Elle glisse ses petites mains crispées dans sa tignasse.
Elle se balance, sa voix est rock, son regard méprisant.


Fuis pauvre imbécile...!

Mais elle, ne joue pas la comédie...
Zalina
Zalina resta dans la ruelle à l’abri des regards du Prince. Elle laissa Morna aller retrouver son amante du moment, suivant la scène de loin. Seules les voix lui indiquait ce qui se passait.

La Sombre ne lui avait donné aucune indication. Il fallait juste distraire les Princes le temps de récupérer le paquet et partir, le plus vite possible.
Vu le nombre de personnes déjà présentes autour du Prince, une de plus pour le distraire risquait plus de le mettre sur ses gardes. Zalina n’était pas aux couleurs locales, les Azurs aiguiseraient plus l’appétit du Gourmand que la jeune Errante. Alessya semblait déjà avoir bien ferré le poisson.
Il ne restait qu’à espérer que le Prince n’aurait pas trop faim et que personne ne tomberait du toit… personne de plus que la chatte déjà tombée en se blessant à la cheville.

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Pleure son Papounet Novo
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