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[RP]La Basilique Sainte-Nitouche de Chambéry

Valeries
je rentrais dans ce lieux saint et me mis a prier

a prier pour qu'aristote me protege pendant mon periple et qu'il me guide pendant mes etudes.
mais surtout a prier pour ma soeur et les genevois ainsi que les bearnais que les armes fassent la part des choses entre les lions de judas et les aristotelicien mais il faudrais un miracle.
et moi etais ja a la hauteur pour demander ce miracle qui etais je donc pour demander cela a dieu?

je marmonais des phrases qui venait du fond de mon coeur et des larmes viennent a couler dans mes yeux.

les mur de cet ediphice resonais des querelles pueriles de certains habitant encore, alors que des choses importante ce passait a travers le monde.

je me mis a penser qu'un peux mois de nombrilisme et qu'un peux plus d'humanisme ne ferait de mal a personne.
Mis le sans nom etait rusé, je le savais, et je ne pouvais en vouloir a mon prochain de cet etat de fait.

que la paix regne en ces lieux et sur ces habitants, tant que les querelles de voisinage persistait cela voulais dire que rien de grave n'arrivais.
alors que ca continue comme ca pour encore des siecles.

puis je me leva et partis le coeur soulagés, une larme sur ma joue et un sourrire aux levres
Zachary
C'était dimanche... le premier de l'année. Zachary se leva et fit sa toilette avant de pousser la grande porte de l'église. Il hota sa capuche et avança doucement dans l'allée avant d'aller s'installer sur un banc. Il pria longuement à l'aube de cette nouvelle année. Repensant à ses amis qui laissa, à ceux qu'il venait de rencontrer. Il demanda au Très haut de continuer à le protéger et à lui donner pitence au quotidien...

Il finit sa prière en chuchotant le Credo qu'il venait d'apprendre...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Pour finir, il alla allumer une bougie en mémoire des décédés, remit sa capuche et sortit de l'église.
Jade.


Citation:
Je me lève aujourd’hui

Par la force du Ciel,
Lumière du Soleil,
Éclat de la Lune,
Splendeur du Feu,
Vitesse de l'Éclair,
Rapidité du Vent,
Profondeur de la Mer,
Stabilité de la Terre,
Solidité de la Pierre...


Chaque jour que le Très-Haut lui offrait de vivre, la belle irlandaise prenait soin de prononcer dès le réveil ces quelques mots dont jamais elle ne s'était lassé. Ce matin-là cependant, et pour la première fois depuis bien des années, elle ne trouva guère l'envie ou la force de les réciter. Elle avait passé la nuit entière à se réveiller en sursaut, sortie d'un sommeil agité par cauchemar revenant inlassablement sans qu'elle ne puisse rien y faire. Le front encore humide, témoignant de l'énergie qu'elle avait dépensé à se débattre contre démons nocturnes, elle se leva. Ses jambes semblaient ne plus vouloir la porter. Membres engourdis et mains tremblotantes, elle tâcha de se préparer convenablement malgré tout, s'épuisant à chaque geste.

Elle avait froid. Pourtant ses joues lui semblaient bouillantes. Son teint presque translucide et l'œil vitreux, elle dû se rendre à l'évidence: Elle était fort mal en point. Mais pourquoi? La veille encore, elle se sentait en grande forme! Poursuivant son effort, elle se vêtit chaudement, laissa son épée à l'auberge et s'arma d'un bâton sur lequel elle pourrait s'appuyer durant son chemin vers l'église. Car il était hors de question de se rendre à l'hôpital. Tout rentrerait dans l'ordre au plus vite. C'est du moins ce qu'elle se répétait, peut-être pour se rassurer...

Bien droite, mâchoires soudées pour ne rien laisser paraître de la douleur, elle entra, posa ensuite genou à terre, effectua signe de croix, se redressa et prit place sur la première rangée de bancs. Enfin, joignant ses mains, paupières closes, elle récita son crédo du bout des lèvres:


_________________








Adrien.


Comme l'avait demandé mes supérieurs je dus me plier à demander le pardon de dieu en priant et priant encore et toujours. N'étais-je pas meilleur croyant qu'elle, la dévérgondée que j'avais eu l'audace d'épousée devant Aristote, elle qui la seule traitrise à la bouche, tentait par ses plaisants atouts de vous faire de doux compliments, laissant aller sa voix sous l'effet de la colère il dit en pensée:

"Hélène, Ô diable de femme, maudit sois-tu. Que les flammes de l'enfer s'amusent avec ton âme scélérate qui offre à tes amants un plaisant visage et de gracieuse forme, mais qui cache la veuve-noire qui tus à petit feu lentement et avec cruauté. Je fais cette prière pour implorer Aristote et tout les Saints de lancer sur toi toute la tristesse du monde, comme je la prendrais sur moi également afin que pendant les 6 mois que t'on accordé les Juges avant de te remarier, 6 mois alors que la seule faute commise était de ta part...profite bien et savours les instants que tu passera avec tes nombreux hommes, je ne saurais être que plus détaché de toi"

Puis de sa main droite il déposa sa paume sur son coeur et récita avec toute la foy d'un vraie Aristotélicien.

Aristote, pardonne moi car j'ai pêché, en penser ou en action, je ne me satisfait point de mes crimes et de mes hontes, je ne réclame seulement que la justice, mon bras et ma voix ne pouvant être assez fort pour révéler la lumière. Prend mon âme en pitié Ô Aristote, père de tout les hommes, seigneur de tout les cieux.

Il se prosterne et récite le crédo qu'il détient sur une petite feuille précédemment donnée à Auryn:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Puis il finit ses prières par quelques mots en latin, langue qu'il apprenait à Rome pour se faire entendre et comprendre des autres gens:

Ave verum corpus natum de Maria virgine ;
Vere passum, immolatum in cruce pro homine.
Cujus latus perforatum fluxit aqua et sanguine,
Esto nobis praegustatum mortis in examine.
O Christo dulcis ! O Christo pie ! O Christo Hoc signo vinces !


Puis il fit le signe de croix, signifiant bien que c'était par ce signe que l'homme vaincra.

_________________
Zachary
Comme chaque dimanche, Zachary se rendit à l'église. Il sortait de taverne et avait encore rencontré plus de monde que la veille. Il affectionnait tout particulièrement le fait d'avoir fait de nouvelles connaissances.

Il s'installa au dernier rang, baissa sa capuche et pria longuement pour remercier le Très Haut de la nouvelle vie qui lui était offerte et il fit la promesse de savoir être reconnaissant de vivre au quotidien, une vie si merveilleuse et si remplie de richesse en les valeurs des habitants.

Il pria aussi pour toutes les personnes qui se sentaient seules ou qui avaient de la peine a trouver la paix...

Il se releva après un long moment, remit sa capuche et sortit de l'église. Le froid lui pinçait les lèvres et il se hâta de rentrer chez lui...
Jade.


(Hrp: Suite du Rp "Quand les helvètes se retrouvaient en Savoie", visible en halle!)

Encore trempée, dents claquant inévitablement, l'Incorruptible tenait toujours "son" nourrisson entre bras avenants. Mais après s'être endormi en retrouvant chaleur presque maternelle, il -car c'était bien un garçon- s'était réveillé et avait commencé à brailler jusqu'à rendre sa bienfaitrice quasiment sourde. Se découvrant une once de ce que l'on pourrait nommer "patience", elle le berçait et lui parlait tout en marchant:

Oui, je sais...Tu dois avoir faim...Ou froid...Ou alors...Enfin, t'en fais pas, on est bientôt arrivés. Après j'irai te chercher du lait et je te raconterai une histoire et...

Avant d'en dire plus, avant d'en dire trop, elle se tut. Ne nous emballons point! D'abord, ce gosse n'était guère le sien. Et tant mieux pour lui d'ailleurs! En plus, elle n'avait pas la moindre idée de comment reconnaitre les besoins d'une si petite chose, faute d'expérience. Sans compter qu'elle avait beau lui raconter ce qu'elle voulait, il ne pouvait la comprendre. M'enfin bon...

Basilique Sainte-Nitouche.

Exténuée ,baby à nouveau dormant (alléluia!), elle y était arrivée. Louant intérieurement le Très-Haut pour lui avoir fait réaliser cet exploit, elle entra. Comme à l'habitude, un genou à terre -bien que ce fut exercice plus compliqué avec cette chose dans les bras- elle se signa. Puis, Trempant deux doigts dans le bénitier, signa le front de l'innocent. Il faisait cru là dedans. Et vu les efforts déjà fournis, elle espérait seulement trouver aide au plus vite, avant de s'écrouler tel soldat s'étant battu seul contre trois armées!

Parler fort en un lieu saint, c'est réservé à ceux qui officient....Pour les autres, c'est impensable. Mais elle jugea qu'il s'agissait là d'un cas de force majeure...Enfin, parler fort oui, mais pas trop non plus hein, parce que ce petit ange là ne tarderait point à redevenir démon s'il se réveillait encore!

Oh eh...S'il vous plait! Y'à quelqu'un? Parce qu'on a besoin d'aide par ici...!

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Philandrain


Encore une nuit bien passé, le jeune brigadier qu'il était s'en retourner dans ses foyer.. ou en taverne comme a son habitude,.. hum.. quel jour étions nous.. samedi? il faut dire que la semaine avait été quelque peu mouvementé, tant d'histoire dont il n'en comprenait même pas le sens alors normal surement qu'il se retrouvait décalés des évènements, ne sachant plus trop finalement ce qu il devait faire ou ne plus faire, a tel point que cet nuit sur les rempart il n'avait plus la force de continuer.

Marchants d'un pas non chalant en arborant les rues encore déserte a cet heures dans la capital il ne pu résister a l'envie de passer vers la basilique, lui qui n'avait guère le temps de se rendre a la messe du fait de ses fonctions .. est ce que cela en valait vraiment la peine au fond au quoi bon avoir la foi si il ne pouvait la partager avec ses frères, d'ailleurs cette foi était surement tout ce qui lui restait, il avait tant de chose sur cœur, tant de chose a comprendre.

il pénétra dans les lieux sans une once d'hésitation, il pensait pouvoir trouver enfin des réponses, il n'eut a peine le temps de posé un genoux a terre qu'il entendit l'écho d'une voix qu'il reconnaissait, un léger soupçon d'accent d'un de ces pays anglophone, Auryn.. la belle ravissante au cœur de glace était la.. tenant un couffin... un couffin? il fit le signe d'une façon bâclé.. Oh non monseigneur ne lui en voulez pas, regardez votre enfants, regardez comme l'amour le frappe encore une fois

Hum.. hum.. Oui auryn, auriez vous donc besoin d'aide?


Il s'approcha d'elle puis la regarda dans les yeux avec beaucoup de tendresse, cela le trahissait et il le savait, un sourire au lèvres forcement prononcé il ne trouver plus les mots, il ne savait plus que dire, et pourtant il devait parler pur ne pas se laisser une fois de plus envouté par cette femme enfin si toute fois il n'était pas déjà tard

Que tenez vous la?..

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(Pour en savoir plus sur ce personnage: http://philandrainrr.spaces.live.com )
Jade.


Ange d'épaule dit: Non Auryn...On ne s'énerve pas dans une Eglise...Calme...Respire...Regarde ce petit, si bien dans tes bras. Il a besoin de toi. Ta colère n'arrangera rien, bien au contraire...

Diablotin d'épaule dit: Si, énerve-toi! Qu'est-ce qu'il fiche le curé, hum? T'imagines, laisser seule une enfant du Très-Haut avec ce...machin qui braille sans cesse! Mais que fait l'Inquisition, je vous le demande!

Bon. Un soldat ne cède pas à la panique. Un soldat pense, un soldat agit en conséquences. D'accord y'à pas de Curé. D'accord je suis fatiguée, congelée et mes oreilles cèderont à la prochaine rafale de décibels. Oui, je ferais bien un massacre. Mais si je fais ça, Il va me foudroyer et je passerai le restant de l'Éternité à pourrir dans un coin de purgatoire, sans bière, sans whiskey...Pfeuh, trop horriiiiibleuh! Faut que je me calme...Faut que je respire.

Ange d'épaule: 1 point.
Diable d'épaule: Zéro pointé.

La balle au centre....!

C'est alors que voix familière se fit entendre, comme un signe envoyé de par là-bas. Non plus haut. Très haut. Et il se tenait soudain là, l'Observé du Ciel, entouré de son aura lumineuse. Manquait plus que l'auréole, une paire d'ailes et le compte y était!

Hum.. hum.. Oui auryn, auriez vous donc besoin d'aide?

Arf...Phil. Si attachant, si adorable. Serviable, attentionné. Prévenant et doux comme miel de fleurs. Oh non, je ne le surestimais guère juste parce qu'il arrivait au bon moment pour m'ôter encombrante épine du pied. J'étais heureuse, et cela sincèrement, de le voir ici. Même si je devais avoir une tronche de zombie, avec ma mine palote, mes cheveux en vrac, parsemés d'une ou deux algues et brindilles, ma houppelande de satin réduite à l'état de haillons et...Oh et puis on s'en fiche! C'est mon plus beau sourire que je lui adressais en guise de réponse, n'ayant rien de mieux à offrir, là tout de suite.

Que tenez vous la?..

Sortant des mes songes éveillés, je failli lâcher la "chose" en question. Un peu embarrassée, ne sachant pas vraiment quoi dire, je découvrais un tantinet le petit pour qu'il constate par lui-même. Le brigadier écarquilla légèrement les yeux. Oui, il faut avouer que voir Auryn un bébé dans les bras, y'à plus...classique! C'est si anormal même, que je me sentais obligée de justifier la situation:

C'est pas...le mien! Je l'ai...Je l'ai trouvé en réalité. Enfin repêché. Et puis, et puis...Bah je...

Finalement, je m'enfonçais semble-t-il plus qu'autre chose, à balbutier explications sans queue ni tête. Phil me regardait un peu perplexe et me mit d'ailleurs sensiblement mal à l'aise. Je resserrais d'abord la demi portion contre moi, avant de me sentir coupable d'affection et lui poser le paquet dans les bras.

Là. Voilà. L'est à vous maintenant!

Quoique, Je reprenais immédiatement l'enfant en arrangeant d'un geste plein de tendresse la cape qui lui servait de couverture. Et enfin, à bout d'idées stupides, je prenais place sur un banc, invitant du regard charmant noiraud à me rejoindre pour lui raconter mes péripéties m'ayant mené jusqu'ici.


Edit: C'est rien de grave ^^
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Philandrain


Phil voyait bien la confusion qui régnait dans l'esprit d'Auryn, elle ne semblait pus pouvoir expliquer d'ou venait ce bébé qu'elle ne semblait plus vouloir lâché, l'irlandaise dévoilait sa sensibilité bien malgré elle, elle donna le couffin au jeune homme puis.. non.. elle reprit.. comme une mère qui ne pourrait confier son enfant a un autre. Le jeune homme déjà éprit n'en était que plus encore, elle s'essaya sur banc puis souriait, enfin de sourire on sentais bien que c 'était surtout pour masquer une personnalité d''elle même qu'elle se refusait a croire, le Philou aurait aimé lui dire que enfin elle se montrer femme que enfin elle ne pouvait plus niez ce qu'elle était, une guerrière soir mais une guerrière sensible et attentionné quand elle le voulait.

La jeune femme presque devenue mère le regarda comme une invitation a s'assoir auprès d'elle, il s'exécuta immédiatement les yeux éblouie par ce qu'il voyait, le Trés -Haut en était témoin , il prit le bras de la jeune demoiselle, attendrit par ce nouveau née..

Ou avez vous trouvé cet enfant ma dou.. euh.. dame ? , il est si mignon.. tout autant que vous l'etez


Pendant que Auryn lui répondait tout en l'écoutant il ne pouvait s'empêcher de regarde l'autel de temps en temps, là ou été posé la croix. comme si il remerciait le Tres-Haut de l'avoir une fois de plus amené dans ces lieux pour lui permettre de voir cette scène unique et d'en être l'heureux témoin

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(Pour en savoir plus sur ce personnage: http://philandrainrr.spaces.live.com )
Jade.


Il y a des fois où silence demeure pour laisser saphirs clairs s'exprimer. On peut alors demander, insister, supplier...Rien n'y fait. Pas un mot, pas un son. Auryn pensive, Auryn sérieuse. Mais il est aussi des moments où l'on souhaiterait pouvoir bâillonner jolie bouche, sceller même souder lèvres, balancer irlandaise au fond d'un puit pour ensuite le condamner et ne plus entendre voix s'envoler en paroles tantôt meurtrières, peut-être moralisatrices, tantôt moqueuses ou légères.

Pour le coup, ce ne fut ni l'un ni l'autre, puisque nombreux éléments elle se garda de citer, d'autre s'appliqua à remodeler en brodant mailles inversées. Phil penserait, puisqu'ainsi elle l'avait conté, que c'est en se penchant pour atteindre le panier qu'elle était tombée à l'eau. Quant à la véritable raison de ces paumes anormalement abimées, elle resterait aussi secrète, dissimulée sous brève allusion d'escalade de la rive un peu ratée. Si Auryn n'aimait guère mentir à ceux qu'elle appréciait, elle détestait d'avantage récolter lauriers, susciter admiration de ses semblables ou pire, dénoncer ses failles pourtant nombreuses. Car l'ami a bien vite fait de se muer en ennemi et l'hypocrisie chez les traitres est rarement décelable à temps. Ainsi donc, telle serait la version officielle.

Mais à force de parler, les bâillements se succédant, ses paupières devenant lourdes et ses fins de phrases se faisant vagues, "maman ad interim" ne se rendit même pas compte qu'elle commençait à s'appuyer de plus en plus sur son interlocuteur. Vers la fin du récit, la fatigue triomphant, Miss Terrible s'endormit là, adopté sur les genoux, tenant le bras de Phil d'une main, l'index de l'autre fermement agrippé par cinq petits doigts nécessitant contact rapproché avec leur protectrice de choc.

Quand elle entrouvrit les yeux, elle était recroquevillée dans un lit plutôt douillet, en chemise de nuit sentant le propre. Fraiche et reposée. Bref, une Auryn toute neuve ou presque! Elle ne savait pas exactement où elle se trouvait mais autre chose la titillait d'avantage. Une impression...Comme si...Oui, il semblait manquait quelque chose...Quoi? Hum...Intense réflexion.



Demi portion!

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Zachary
Comme a son habitude Zachary se leva et alla prier à l'église.
Il ne voulut rien changer a son habitude, malgrès le courrier qu'il venait de recevoir. Il entra, ota son capuchon et pria longuement pour la route qu'on venait de lui forcer à faire.

Il pria aussi pour remercier la ville de lui avoir mis sur son chemin des gens adorables, et dignes de confiance.

Zachary alluma un cierge pour se souvenir... Se leva, remit son capuchon et alla préparer ses males.
Philandrain


La jeunes .. Irlandaise lui conter son histoire, ce panier tombé a terres et ces pleures qu'elle entendit, au fil des minutes la guerrière qu'elle était se faisait de plus en plus femmes.. maman, protegant entre ses bras sa découverte, découverte d'un être.. découverte d'elle même.

Auryn s'était endormir collé tout contre lui tenant toujours le couffin dans ses bras qui faisait office de ces remparts qui protège ceux qu'il aiment, eh bien oui, l'Irlandaise savait aimé... Oh non lecteur vous ne rêvez pas ou bien moi aussi, votre narrateur, je suis au pays des merveilles ou tout ce qui est dit n'est que pur illusion romantique pour vous faire rêver par des histoire invraisemblable de chevaliers en armure sauvant la princesse du donjon..

Philandrain était ému par se qu'il voyait, que faire a présent, que dire, il regarda encore une fois vers le plafond cherchant ses réponses auprès d'Aristote mais celui ci ne semblait pas vouloir le guider plus que ca.. Le libre abrite surement..

Il porta la jeune femme qui elle même portez le nourrisson, il ne fallait en aucun cas les séparés a présent, puis emmena le duo dans une de ses auberge situé dans la capitale et la l'emporta dans une chambre ou enfin elle allait pouvoir se reposer, les draps était propres, quel eu était son frissons lorsque, par des geste bien trop souvent maladroit, il l'as déshabilla pour lui passer une tenue plus confortable a son sommeil... Quoi? oh non!.. Méprenez vous! Il se refusait du regard les courbes de son corps, le jeune brigadiers n'était pas homme a profité d'une pareil situation, n'en déplaise a certain.. Il allongat la jeune hum..maman ? non sans y mettre a ses cotés le nourrisson, ce jolie bébé qui avait sans trop le vouloir trouve enfin l'amour...

Le jeune brigadier sorti de la pièce en regardant une dernière fois cette scène sans trop savoir si un, jour il les reverrait autrement que dans ses rêves, une dernière petite larmes et Fermat la porte..

Et voici comment, chers lecteurs, se termine cette histoire de soldat devenue douceur, les armes ne sont plus de rigueur et les sentiments parfois refoulés se montre au grand jour, histoire de l'Irlandaise au cœur de glace et de l'orphelin

Hum.. mais cette histoire était réellement fini ?

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(Pour en savoir plus sur ce personnage: http://philandrainrr.spaces.live.com )
Valeries
en bonne diaconesse d'Annecy que j'étais étant en pèlerinage, je me devais de m'arrêtais et de prier en cette église, qui se trouvais sur mon chemin.
j'avais reçue une lettre moi aussi, de la part de la douane, alors que je ne me mêlais pas de politique, de la part de la douanière d'Annecy, il est vrai que je n'avais pas de laissez passer.Ma prière allais donc être appropriée à la situation.


SAINT ARNVALD, tant que tu as vécu parmi nous
Tu as été l’avocat des pauvres,
Le magistrat impartial, sévère mais juste,
La Providence de tous les justiciables ;
Écoute aujourd’hui notre prière.

Obtiens nous d’aimer la justice comme tu l’as aimée.
Fais que nous sachions défendre nos droits,
En cherchant avant tout la réconciliation et la paix.
Pour que « justice soit rendue dans l’amour aristotélicien»,
Sans indulgence pour la culpabilité d’un ami ou d’un puissant.

Guide nous sur la chemin parsemé d’embûches de l’intégrité,
Capable de résister à l’attrait du pouvoir et des richesses,
Respectueux de la parole donnée et de l’idéal d’honneur chevaleresque,
Protège nous de la tentation de la facilité et du malin.

Toi, le modèle du prélat humble,
Qui parcourais nos campagnes en quête de vérité
Bouleversant les foules par le feu de ta parole
Et le rayonnement de ta vie,
Obtiens à notre pays les hommes vrais il a besoin.

Saint Arnvald le justicier, priez pour nous,
Aide nous à concilier l’idéal du juste milieu aristotélicien
Avec ton exemple de quête de Justice, de Vérité et d’Intégrité.


Je méditas un long moment, puis m'en fis.
Zachary
Zachary, comme à son habitude vint à la basilique pour sa prière du dimanche. Il était de mauvaise humeur en ce jour et beaucoup de choses lui trottaient dans la tête. Il n'avait même pas voulu prendre le temps de passer par la taverne pour saluer ses amis... Ne voulant pas montrer sa frimousse des mauvais jour.

En entrant, il se fit la remarque que depuis un mois qu'il venait ici, il n'avait encore jamais vu le Père Tully officier et c'en était bien malheureux surtout par les temps qui courraient. Il aurait au moins souhaiter une messe de temps en temps pour encourager les villageois, une petite parole de soutien pour apaiser nos âmes bien en peine... Mais rien, pas un bruit, à part le petit bruit des souris dérangées par une ou deux personnes qui franchissait la porte d'entrée...

Il enleva sa capuche, se plaça sur le banc et pria longuement afin que Dieu puisse lui donner quelques réponses dont il avait le plus grand besoin.

Puis il se releva, regarda le vide autour de lui, secoua la tête et sortit histoire de ne pas déranger plus les souris...
Estainoise
Esta s'était levée de bon matin.
Elle voulait se rendre à la messe afin de se ressourcer un peu.

Mais, sur le parvis de la basilique, il semblait bien qu'il y ait très peu de fidèle.
Elle s'approcha alors de la lourde porte, la poussa de toutes ses petites forces et finalement réussi à entrer.

Que de silence dans ce lieu!

Elle pourra méditer à son aise se dit-elle en s'assayant sur le premier banc.

Il semblait bien que le curé avait encore oublié de venir faire son office....
Quel glandouilleur ce curé se dit elle encore....
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