Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>

Mobilisation Champenoise - Les Hospitaliers Avril 1458

Thomaslatapie
Thomas alla saluer chacun de ses frères et sœur présents, racontant des boutade ou des idiotie pour détendre atmosphère. Il jeta un œil a l'enfant qui s'agripper a ses braie. Il le décoiffa d'une main en souriant. D'un œil il vit une autre sœur avec deux bâton dans les main. C'etait certainement un grigri comme un autre dont elle ne pouvais se défaire. Thomas commença a s'imaginer sœur Siva mangeant un morceau de viande avec ses bâton. Il pouffa de rire et alla la saluer.

- Bien le bon jour sœur Siva besoin de quelque chose ??? Non ne me donnez pas un coups de caducée. Le voyage n'a pas été trop rude ???

Il jeta un œil au bambin qui se tenais a ses braies.
_________________

Commanderie de l'Hospital

"La simplicité véritable allie la bonté à la beauté" Platon
Siva
Machant par instant un bout de pain,le Heraut profitait de sa fin de repas pour lustrer un peu ses caducées.C'est qu'il fallait en prendre grand soin,et que distribuer quelques corrections avec demandait a ce qu'ils soient d'un eclat irreprochable.
La tache la faisait sourire quand une voix attira son attention.Justement,se tenait face a elle ,le premier Frere qui avait gouté du Caducée de Saint Jehan.Comme il arrivait a point.
Un sourire innocent se dessina sur ses levres alors qu'elle invitait le Grand Hospitalier a venir s'installer pres d'elle,jetant un rapide coup d'oeil au petit garcon qui semnlait trouver en les braies de l'Hospitalier un appui salvateur.


Martin,fais donc monter la tente de mon Maitre.Je ne voudrais pas avoir a ceder la mienne,sous pretexte qu'on omis de le faire...

Le fidele Martin s'eloigna et les laissa seuls.Saint Jean,de nature genereuse envers les siens,pris une pomme non loin,et la tendit au garconnet.Son regard se porta ensuite sur Thomas,alors qu'elle lui versait du vin dans une corne

Las mon Frere,le voyage ne s'est que trop bien passé.Contrairement a l'aller,je n'ai croisé aucun manant en chemin,pas meme de quoi echauffer ma lame.On dit communement que le voyage s'est bien passé en ces cas ci!

Buvant une gorgée de sa corne,elle designa du menton la petite tete timide

Vous avez pris un Page a votre service?Il m'a l'air vigoureux,et en bonne santé.

Elle se doutait de la réponse qui lui serait faite,mais mentionner l'enfant de cette facon lui etait flatteur.Un sourire amusé apparu sur ses traits,alors que son regard de jais ne le quittait pas
_________________
Thomaslatapie
Thomas hocha la tête en écoutant la Saint Jean, il porta lui aussi le regard au petit bout de garçon qui buvait le jus de pomme avidement.

- Non non je ne suis pas le genre d'homme a prendre un petit garçon comme page pour faire le travail que sais faire.

Il lui ébouriffa les cheveux en souriant voyant la grimace qu'il fessais.

- En fait c'est le fils a un de mes ami. Donc il me suis un peu partout parce qu'il connais personne ici. Donc je vais le ramenez a la maison a mon retour de mobilisation.
_________________

Commanderie de l'Hospital

"La simplicité véritable allie la bonté à la beauté" Platon
Yut
[Dans la Chapelle]

Mes Frère, mes Soeurs, je vous souhaite la bienvenue dans cette petite chapelle de campagne.






Je vais vous lire un passage du Livre des vertus.

Citation:
Livre de la Pré-Histoire
Chapitre VII - « L’exode »


1 La ville toute entière d’Oanylone fut ainsi engloutie dans les entrailles du monde, dévorée par les flammes. Afin de purifier les lieux, Dieu répandit du sel sur les traces de la cité du péché, afin que plus aucune vie ne s’y installe et n’y prospère. La puissance du cataclysme divin vint couvrir le ciel de poussière sur plusieurs lieues à la ronde. Les divers groupes qui l’avaient fui redoublèrent de célérité afin d’échapper à la catastrophe, laissant derrière eux leur ancienne vie. La plupart pleurèrent de ce qui leur semblait être une injustice. S’étant détournés de Dieu et de Son amour, ils ne comprenaient pas Sa juste décision divine.

2 Certains arrivèrent jusqu’à la mer. Ils coupèrent du bois et en firent des bateaux. Ils mirent beaucoup de temps pour achever ces constructions. En effet, ils avaient perdu l’habitude du labeur et peinaient à se mettre au travail. Ils passaient plus de temps à paresser sur la plage qu’à chercher à se nourrir ou à construire leur navires. Mais le sombre nuage de poussière leur rappelait sans cesse qu’ils devaient s’activer. Peu à peu, ils reprirent goût à l’effort et, même si ils ne vivaient plus dans la vertu, leur sociétés viciées ne connaissaient plus la débauche de péchés qu’ils pratiquaient à Oanylone.

3 Lorsque les bateaux furent prêts, ils partirent parcourir le monde, traversant les mers et accostant sur toutes les côtes qui leur semblaient propices. D’autres groupes d’évadés fuirent le cataclysme en s’enfonçant encore plus loin à l’intérieur des terres. Ils traversèrent diverses forêts, marécages, rivières, fleuves, vallées, collines, montagnes, ravins, glaciers et plaines. Chaque fois qu’ils trouvaient un lieu propice à leur installation, un groupe s’y arrêtait et y fondait une ville.

4 Ainsi, ils peuplèrent petit à petit le monde entier, installant des villages partout où ils passaient. Chaque cité organisa son système politique. Ils élirent des chefs, qui géraient les ressources de leurs communautés. Ceux-ci nommèrent des gardes, afin que les lois de la cité soient respectées. Afin de financer cette hiérarchie naissante, ils prélevèrent l’or et l’argent des mines et les fondirent pour en faire de la monnaie. Celle-ci leur facilitait les échanges au sein de chaque ville.

5 Mais, surtout, cela leur permettait d’échanger des marchandises entre cités. Mais ce commerce enrichissait certaines alors qu’il appauvrissait les autres. Les cités se concurrençaient de plus en plus pour le contrôle des ressources. Ce qu’elles ne pouvaient avoir par le commerce, elles tentaient de l’obtenir par la force. Ainsi, chaque cité organisa une armée, engageant des soldats, afin de combattre pour enrichir leur communauté et ses dirigeants.

6 Alors, Dieu décida de leur permettre d’apprendre ce qu’était l’amitié, afin que, plus jamais, un humain n’en tue un autre. Il divisa le langage unique en une multitude de langues. Les humains ne se comprirent alors plus entre les cités. Le Très Haut leur permit ensuite de pouvoir apprendre les langues qu’ils ne connaissaient pas. Cet apprentissage nécessitait pour chacun de s’ouvrir à la culture de l’autre. Ainsi, ils étaient moins enclins au combat, étant donné les efforts nécessaires pour apprendre les langages de ceux qu’ils voulaient attaquer.

Spyosu


Mes Frère et Soeurs, cette ville d'Oanylole a été détruite.
C'est ce qui aurait pu arrivé à la ville de Conflans-lès-Sens si vous ne seriez pas venus pour défendre.
En faisant cela, vous avec réèlement fait preuve d'amitié Aristotélicienne et Dieu en sera reconaissant lors du Jugement dernier.




Je prierai pour vous lorsque vous défendrez le pouvoir.
Allez en paix!

_________________
Aldebbarant
La Champagne. Point final d'un voyage commencé dans une sombre chambre, à la frontière entre le Maine et l'Alençon. Oui, la première étape du voyage fut sans aucun doute lorsque le Chevalier s'était relevé. Lorsque son cœur meurtri lui a dit: allez, encore une fois, pour la femme que tu aimais relève toi; "DECET YPRIEX STANTEM MORI", Un Ypriex meurt debout.

Mais en lieu et place d'un pas vers la mort, il avait fait un pas vers un retour à la vie. Une vie certes bien plus fade, aux couleurs plus passées, mais ou l'air ne sentait plus le renfermé. Le hasard de ses pas hagard l'avait mené en la commanderie de Châteauroux ou une certaine agitation régnait. On parlait de mobilisation, on parlait de brigands, on parlait de combat. L'excitation de l'endroit détint un peu sur le Vicomte de Nogent le Rotrou, qui, chose alors impensable il y avait encore 2 mois en arrière, se proposa de rejoindre le rang de ses frères et sœurs. Il boucla ses affaires et retourna prestement vers ses terres alençonnaises ou il ramassa barda, armement complet et provisions pour le voyage. Il fait seller deux lourds percherons et installa couverture, plus armes sur son cheval alors que l'autre porterait provisions et armure.

Il avait alors pris la route (mais rassurez vous, il la rendra) en direction de l'est, là ou le soleil renait, pour celui qui venait de vaincre les ténèbres de son âme et de renaître à la lumière. Le Seigneur dût le prendre en son bras protecteur car rien ne lui arriva sur la route, si ce n'est quelques embarras douaniers, les prévôtés étant peu communicatives à leurs sous-fifres.

Et la Champagne n'y fit pas exception, avec des douaniers qui lui demandèrent de montrer patte blanche et même, chose éhontée, de lui faire retirer ses armes. Le Chevalier de Dévotion expliqua alors son point de vue sur la chose et les agents de la prévôté se rangèrent à son avis, pour le plus grand bien des relations Hospital-Champagne.

Il se dirigea alors vers Conflans, fit le tour des remparts, avisant les potentielles faiblesses de l'endroit et tomba sur le campement durant son inspection. Il faut dire qu'il était dur à louper avec les tentes qui poussaient comme des champignons après un jour de pluie. Il poussa son destrier à aller vers le village de toile qui avait vu jour et pénétra dans l'enceinte. Il salua ses frères et sœurs autour de lui qui s'activaient et s'affairaient. Il arpenta le campement et trouva une tente à ses armoiries juste à côté de celle de son écuyère, Sœur Saint Jean.

Il mit pied à terre à cet instant et attacha rapidement les rênes de ses canassons avant de s'engouffrer dans la tente de Siva et de hurler.


GARDE A VOUS!!

ÉCUYÈRE AU RAPPORT!!

DITES MOI CE QUE FAIT UN HOMME SOUS VOTRE TENTE ALORS QUE VOTRE MARI N'EST PAS LA!


Puis il donna une tape sur l'épaule de Thomas.
_________________
Boivin_de_mesdeuzes
Boivin haut comme trois pommes suivais le chevalier La tapie émerveillé par tout ce déballage d'armes , armures et palefrois de guerre et au regard de "soeur Siva" il répondit par un grand sourire radieux .

Vous avez pris un Page a votre service?Il m'a l'air vigoureux,et en bonne santé.

Non non je ne suis pas le genre d'homme a prendre un petit garçon comme page pour faire le travail que sais faire.En fait c'est le fils a un de mes ami. Donc il me suis un peu partout parce qu'il connais personne ici. Donc je vais le ramenez a la maison a mon retour de mobilisation.

Voyant que les adultes discutaient de son cas ôta son chapeau jaune trop grand pour lui , un souvenir de son père décédé , et entrepris de tenter une révérence en le faisant virevolté tant bien que mal dans les airs .

Z'm'appellois Boivin de mesdeuzes dasme Siva et z'veux êt' chifalier pou' combatre lé méchants et trouver une princhesse avé qui j'auras boucoup de petit enfants coumme moué ... Et pi eux pourrons pourlé li poisteving ... Et pi z'ai trois angs ...

montrant du doigt l'épée de Silva

Ze peut zouer avec ? Si vous plé !! ze f'rais po d'bestises ... J'peut ? hein dites z'peut ?

Quand l'autre chevalier entra en hurlant , Boivin le regarda de la tête au pieds sans plus bouger la main toujours tendue v ers le fourreau de "l'écuyère".
Sniper67150
Le Grand-Maistre, après avoir rendu visite aux autoritées ducales, s'était rendu dans la Chapelle de Campagne installée dans le campement, il adressait ses prières à sa femme restée en Anjou, et à sa fille devait découvrir les parcs de La Roë avec sa mère. Après avoir communiée, le Grand-Maistre sortit, et prit la direction de sa tente.

Sur le chemin, il vit son Escuyer, ébourriffer un gamin devant l'ancien Grand-Maistre et Saint Jean. Un sourire à tout le monde, avant de rentrer dans la tente.

Sur un mannequin, reposait son armure, il prit le plastron, et s'appliqua a refaire, ses gestes de Lieutenant, dans une autre époque, en briquant le plastron qui prenait la poussière de la campagne.

_________________
Siva
Elle ecouta son Frere et compris bien mieux la presence du garconnet.
Ce dernier semblait enthousiaste,et l'effervescence d'un campement hospitalier devait etre une sacré aventure.Meme si la place d'un enfant etait plus a l'abri qu'au milieu de soldat.


Et bien mon Frere,c'est ma plus grande fille qui envierait ce garcon.Las,j'ai preferé ne pas l'amener icelieu.Malgré ses 13 ans,elle est bien trop precieuse pour que je la confronte a tout danger.
Ceci dit,il apprendra beaucoup parmi nous.


Elle avisa le garcon qui se prenta maladroitement,ce qui la fit rire doucement.Il pointa bientot le fourreau de sa ceinture en reclamant a jouer avec son épée.

Nenni jeune Boivin.Ceci n'ets guere un jouet,mais un objet sacré pour tout futur Chevalier...Tu azpprendras bien assez tot a t'en servir si tu suis le chemin du Frere Thomas.Tout bon Chevalier ne joue pas,mais se bat bravement face a son ennemi...

Elle eut a peine le temps de finir sa phrase qu'une grande ombre penetra dans la tente et hurla.Saint Jean retint un hoquet de surprise en reconnaissant ce visage tant apprecié,que celui de son maitre.
Un rapport,un rapport...Ca promettait.
Le connaissant et connaissant son aversion pour certains point d el'etiquette,elle s'executa en bon Ecuyer qu'elle etait.
Son genoux toucha la terre battue du sol,et sa main droite se posa sur son sein marqué de la Croix de Saint jean,la tete baissée.
Ah,il detesterait ca ,a n'en pas douter.Mais tout de meme avoir le privilege de l'avoir a ses genoux,etaient donné a tres peu.
En se relevant elle saisi la main dur de son maitre et deposa son autre main au dessus,la serrant,trahissant son emotion de le revoir.
Elle n'avait pas eu le temps de saluer son retour a la Commanderie,et avait preferé laisser les autres a leurs effusion.

Son regard de jais se posa enfin sur le visage du Chevalier,et pour la premiere fois depuis son retour en Champagne,on y vit une lueur.


Frere Chevalier,mon Maitre,vous voir ici me rechauffe le coeur.Je remercie le Tres Haut de m'avoir exauccé.

Consciente de la chance de le revoir vivant,apres toutes les epreuves traversées,elle serra un peu plus sa main,avant de la lacher doucement.
L'Ecuyer se reprit alors bien vite,et designa Thomas et son petit protegé


Je ne saurais justifier de la presence de tous ces hommes chez moi,en l'absence de mon époux,que je deplore.Frere Thomas me tenait compagnie amicalement,et me presentait ce futur Chevalier,Boivin.Il en va de mon devoir de Heraut d'ainsi l'informer sur la voie a suivre pour y arriver...

Un sourire teinté d'innocence se dessina sur les levres de Saint Jean.Le Grand Maitre passa et un salut lui fut rendu.C'est alors qu'un cadet les informa de l'office

Mes Freres,nos devoirs aristoteliciens nous appellent...Maitre,permettez que je vous accompagne jusque la Chapelle.Je me chargerais ensuite de pourvoir a votre repos,apres cette longue route que vous venez d'achever.

Elle invita ainsi tout ce petit monde a la suivre jusque la Chapelle ou le Novice Yut officiait
_________________
Jehan_de_proisy
[Montargis, la veille…]

Le Fortunat prépare le départ pour rejoindre, dès le lendemain, les autres membres de l’Hospital en la ville de Conflans-lès-Sens.

Tout étant prêt il part en éclaireur sur sa nouvelle monture « Phoebus » un cadeau récent de sa fille. Il emmène avec lui, « Tempête » son destrier de guerre, un frison noir, robuste et endurant. La voiture suivra avec les enfants Isabelle et Meileen. Leello a décidé de chevaucher avec son époux sur « Pirate » et une haquenée blanche suit également.

La chevauchée se déroule sans encombre pour les deux cavaliers qui s’arrêtent à l’entrée de Conflans pour attendre leurs mesnie et leur gens.
Ils en profitent pour se détendre et discuter de choses et d’autres en privé sous les remparts de la ville…


[Conflans-lès-Sens au petit matin]

En fin le lourd carrosse de voyage, frappé aux armes d’Olonne se présente suivi de la charriote assurant le transport des effets de chacun.

Jehan se penche à la fenêtre du carrosse et va pour réveiller les filles et leur annoncer la fin du périple…Il pâlit et interroge son factotum.


Pierre ! où sont les filles ? Pourquoi ne sont-elles pas dans la voiture ?

Pierre est penaud et se tortille les mains avant de répondre…

Ben Monseigneur, j’savions point ousqu’elles sont…Au moment de mettre en route pffft plus d’Isabelle et pu de Meileen.. .Disparues j’les avions cherché à l’auberge, personne, puis en ville personne…pi comme il fallait vous amener la charriote et vos effets ben j’me suis dit qu’j’allions laisser l’Edward en ville et venir vous rejoindre au plus tôt…

Le Fortunat s’emporte rarement sachant qu’il a du mal à s’arrêter une fois lancé mais là la coupe est pleine et déborde…

Bougre de crétin d’abruti débile ! Tu as abandonné les filles pour venir nous voir ? Tu croyais que j’allais te féliciter sans doute ?


Tout le monde vit Pierre effectuer une gracieuse courbe de son siège du la voiture au sol au pied de son maître…Rien de surnaturel la dedans juste un mouvement d’humeur du Vicomte n’osant imaginer sa fille et sa petite cousine seules sur la grand route.

Le tenant par le col Jehan lui parle à cinq centimètre du visage…


Espèce de crétin tu vas me prendre une monture et faire demi-tour jusqu’à Montargis. Débrouilles toi comme tu veux mais je t’attends demain matin avec les filles ou tu es un homme mort ! Tu m’as entendu ? File avant que je ne te découpe en rondelle et te pende à une échauguette des remparts qui nous surplombent !

S’ensuit un magistral coup de botte dans ce qui tient lieu de postérieur à Pierre qui détale sans demander son reste préférant, dans le cas présent, mettre un maximum de distance entre son maître et lui. Il sait que ce dernier jusqu’à l’arrivée de sa chair et de son sang va être d’une humeur exécrable et personne n’y pourra mie. Il plaint, mentalement ceux qui prendraient le risque de contrarier le Fortunat ce jour d’hui.

Fort contrarié, Jehan se retourne vers Lee et tâche, au moins pour elle, de se calmer mais n’y parvient qu’à demi.


Lee nous allons faire le tour à l’extérieur des remparts et voir où l’Ordre a installé son campement. J’espère qu’ils ont choisi un endroit d’où nous pourrons rapidement intervenir. Manquerait plus que l’on soit coincé à l’occasion d’une attaque sur la ville…

Il enfourche son destrier et part en avant suivit par son épouse…

[Arrivée au campement de l’Ordre]

Après un peu de recherches, des oriflammes de l’Ordre apparaissent enfin. Une enceinte grossière semble avoir été délimitée. Le campement s’accole au rempart et Jehan fait signe au valet conduisant sa chariote de le suivre.

Il se présente avec Lee à l’entrée ou des cadets montaient la garde et rectifient la position en voyant arriver Leello, leur Grand Consul.

Cette dernière risque d’avoir un rôle important à jouer durant cette mobilisation ne serait ce que pour éviter que chacun n’aille négocier de son côté soit du ravitaillement soit des modalités d’intervention.


Bonjour mes frères, content de vous avoir trouvé…


Le Fortunat démonte et franchit à pied l’entrée indiquant à son valet d’aller monter leur tente prés de celle du Grand Maître prés du rempart.

Va et soit poli. Je veux que notre tente soit installée rapidement, la Vicomtesse a du travail et doit rédiger des documents. N’oublie pas l’eau et le feu…allez dépêche-toi et il vaudrait mieux que tout soit prêt à notre arrivée…

Ma Mie allons saluer nos frères et sœurs…voyons voir combien nous sommes au final…


Pendant que le couple s’éloigne et va sacrifier aux politesses le valet va installer la tente et le couchage de la mesnie…



_________________
Leello
Enfin ils étaient rendus au campement, tout semblait calme et le roulement des gardes se mettait en place.

Leello restait silencieuse, pour deux raisons.
La première était son inquiétude pour les filles qui avait trouvait le moyen de fausser la compagnie du pauvre Pierre.
Depuis leur départ Isabelle ne pensait qu'à une escapade et elle avait réussi.
Un détail la rassurait, Isabelle avait déjà voyagé seule et elle saurait retrouver Conflans sans trop de difficulté. De plus Pierre ayant fait demi tour devrait les retrouver rapidement.

La seconde raison à son silence, c'était l'état de nerf de son époux. Lorsqu'il était ainsi, il valait mieux ne pas le contrarier. Et Leello s'en abstiendrait bien entendu.

Elle mit pieds à terre et prit la bride de Pirate pour aller le faire boire, alors qu'une tente supplémentaire au couleur d'Olonne était en train de pousser près de celles des autres frères.
Peu à peu elle pensait à ce qu'elle aurait à faire durant leur séjour et essayait d'organiser ses idées.

Jehan s'approcha d'elle et lui donnait les informations sur leur garde.


Citation:
Ma Mie allons saluer nos frères et sœurs…voyons voir combien nous sommes au final…


Oui allons y nous devrions rencontrer du monde en taverne, je vous suis mon coeur.

Ce soir ils étaient de garde et cela tombait très bien, ils verraient arriver les filles dans la nuit. De toute façon ni son époux ni elle n'auraient fermé les yeux les sachant sur les chemins.

Pirate releva la tête poussant un hennissement pour appeler son ami de toujours, "Tempête", et leello décida de mettre les chevaux au repos.
Ensuite elle irait rejoindre leur tente pour se rafraichir un peu avant de faire un tour en ville.
[/i]
_________________
Amory
Un carrosse fit une arrivée discrète au campement des hospitaliers qui étaient venus bravement aider la champagne dans ces moments tumultueux. Amory en descendit le premier et aida son épouse la Duchesse Ysa d'Airain à s'extrère de la voiture.

"Nous voila au campement mon poussin. Il était temps que nous venions remercier ces braves pour leur aide et leur dévouement."

Il prit son épouse par la main et l'entraina un peu plus dans le campement, passant entre plusieurs tentes. Ils finirent par tomber sur un gamin et le vicomte l'interpella:

"Petiot tu peux prévenir le responsable que la duchesse de champagne aimerait rencontrer les frères hospitaliers pour les remercier de leur présence dans notre duché."
_________________
http://www.youtube.com/watch?v=Tn0rtgwICTk
Ysa
Un rapide voyage en carrosse depuis Reims avait permis à la Duchesse de se reposer dans les bras de son époux, premier moment de répit depuis leur prise de fonction. Le prévot avait d'ailleurs confisqué à sa Duchesse de femme les dossiers qu'elle avait emporté avec elle afin de les étudier durant le trajet pour perdre le moins de temps possible.

Une fois à Conflans, se fut donc les traits quasi reposés qu'Ysa descendit à la suite d'Amory à l'entrée du campement des hospitaliers. Elle le tenait fermement par la main de peur de se perdre et de se retrouver seul au milieu de ce campement où elle ne connaissait que peu de personnes. Une gamine ... mais elle n'avait jamais aimé les lieux inconnus et être entourée d'un trop grand nombre de personnes.

_________________
Thomaslatapie
Thomas fit un sourire en voyant frère Aldebbarant entré en braillant. Il écouta sœur siva et puis les regarda partir. Il se leva lui aussi et sortit de la tente de Saint Jean. Il se promena dans le campement toujours avec le petit Boivin a ses cotés. Il alla salué son parrain Jehan et en profita pour faire la bise a sa sœur Grande Consul. Il fit un sourire et continua sa marche dans le campement saluant chacun de ses frères et de ses sœurs. Il fut assez surprit de voir deux personnes qui arrivèrent dans un carrosse. Chose sur c'était quelqu'un d'important. Il s'avança vers eux pour les saluer.

- Bien le bon jour Sire et Dame. Je suis Thomas Latapie Grand Hospitaliers de l'Ordre des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem. Quel bon vent vous mènes a notre humble campement ???

Il leur fit un sourire aimable tous en remontant sa cape sur ses épaules pour ne pas avoir froid.
_________________

Commanderie de l'Hospital

"La simplicité véritable allie la bonté à la beauté" Platon
Yut
Bonjour à vous, Capitaine Amory. Bonjour, Votre Grâce. Je suis Son Excellence, Père Yut et je suis novice de cet Ordre. Le seul de la branche religieuse .
_________________
Aldebbarant
Et voilà, il aurait du le savoir, son écuyère allait encore en faire trop. Et la voici qui se met à genou devant lui. Une main tendue vers elle pour l'aider à se relever et déjà son regard se porte vers le jeune Boiron qui lui est présenté par la Duchesse.

Et bien jeune homme, tu veux devenir un défenseur de la Justice et de la Gloire de Dieu? Voilà fort bonne chose, mais tout le monde n'en est pas capable. Fais moi voir ce bras il est fort ce bras?

Tâte les biscottos du jeune garçon

Et tonton Thomas t'as appris qu'un chevalier ne peut mentir même si la vérité qu'il va dire doit lui couter la vie?

Un sourire puis il le laisse méditer sur ses dernières paroles, surement les plus durs dans la vie d'un homme, le Sans Nom nous pensons sans cesse aux mensonges et à la bassesse pour sauver sa vie ou son honneur.

Puis un Grand Maitre passa distribuant les salut comme Christos les pains dans les rue de Jérusalem la Sainte. Il y répondit avec mon d'allant mais on est Grand Maitre ou on ne l'est pas n'est ce pas? Et c'est alors qu'un frère encore inconnu au bataillon d'Aldebbarant fit son apparition pour les informer de l'office. Ma foy, cela bien des lunes que le Chevalier de Dévotion n'avait assisté à un office en public. Son chapelain se plaignant d'ailleurs souvent de n'avoir que trois personnes à sauver de l'enfer lunaire.

Il commença à sortir avant de se retourner aux dernières paroles de Siva.


N'oubliez pas non plus ma Soeur,
Un bain chaque matin,
secret d'un corps sain.


Il sortit alors pour attendre dehors tout ce petit monde et ensuite se diriger vers la chapelle. Il aperçut du coin de l'œil un carrosse se diriger vers eux mais s'en détourna et reprit sa marche vers le lieu d'élévation spirituel laissant à ceux qui le souhaitaient, le soin d'accueillir les dignitaires nouvellement arrivés.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)