Argael
Prit par quelques affaires, le Vicomte était arrivé, plaidant sa cause pour excuser son retard. Devant ses explications Sa Grandeur ne fit point de complication, et son fils en personne laccompagnant sur le lieu des joutes.
Remerciant avec sincérité son guide, il neu guère le temps de saluer grand monde que déjà il lui fallait revêtir heaume et armure, séquiper pour monter en selle, aidé admirablement en ce sens par son écuyer.
Dit moi dont quel est le gentilhomme contre qui je joute, une fois sur la joute fait parvenir mes excuses à son écuyer pour ne pas mêtre présenté a lui autrement que par le contact de nos lances, voici qui nest pas pour me plaire.
Monseigneur il sagit ici du Baron de Bec Thomas, Seigneur de Criquebeuf en Caux et de Claville.
Fait donc lui savoir quen mon nom, et même si il a le message après notre rencontre et sans savoir qui Aristote choisira, je le salue le plus humblement possible, quil soit assuré que cest plaisir pour moi que de me mesurer a sa personne. Que je lui souhaite de bonnes joutes.
Il en sera fait ainsi Vicomte.
Bientôt le cor sonna annonçant la mise ne place des nobles. Une fois ceci fait, lécuyer partit en la tente adverse tandis que le « fier » se concentrer.
Le drapeau fut abaissé, faisant sélancer les cavaliers. Sapprochant bien vite lun de lautre les visées furent bonnes mais les nobles tinrent bon, les deux lances cédèrent en même tant que leur force à tenir sur leur monture.
Blessé plus dans son orgueil quautrement on laida à se remettre en selle. Par Aristote voici un baron qui a du coffre et qui vise juste se dit til.
Nouveau départ, le drapeau sabaisse, de même les chevaux sélancèrent la même volonté animant les adversaires dun jour. Limpact ressembla en tout point au premier. Deux bonnes visées, deux lances brisées, mais pour la joie de notre homme, seul le baron chut heureusement sans mal, après sêtre enquit de son état.
Retournant après avoir saluer les personnes présentes a leur duel, il repartit sous la tente.
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Remerciant avec sincérité son guide, il neu guère le temps de saluer grand monde que déjà il lui fallait revêtir heaume et armure, séquiper pour monter en selle, aidé admirablement en ce sens par son écuyer.
Dit moi dont quel est le gentilhomme contre qui je joute, une fois sur la joute fait parvenir mes excuses à son écuyer pour ne pas mêtre présenté a lui autrement que par le contact de nos lances, voici qui nest pas pour me plaire.
Monseigneur il sagit ici du Baron de Bec Thomas, Seigneur de Criquebeuf en Caux et de Claville.
Fait donc lui savoir quen mon nom, et même si il a le message après notre rencontre et sans savoir qui Aristote choisira, je le salue le plus humblement possible, quil soit assuré que cest plaisir pour moi que de me mesurer a sa personne. Que je lui souhaite de bonnes joutes.
Il en sera fait ainsi Vicomte.
Bientôt le cor sonna annonçant la mise ne place des nobles. Une fois ceci fait, lécuyer partit en la tente adverse tandis que le « fier » se concentrer.
Le drapeau fut abaissé, faisant sélancer les cavaliers. Sapprochant bien vite lun de lautre les visées furent bonnes mais les nobles tinrent bon, les deux lances cédèrent en même tant que leur force à tenir sur leur monture.
Blessé plus dans son orgueil quautrement on laida à se remettre en selle. Par Aristote voici un baron qui a du coffre et qui vise juste se dit til.
Nouveau départ, le drapeau sabaisse, de même les chevaux sélancèrent la même volonté animant les adversaires dun jour. Limpact ressembla en tout point au premier. Deux bonnes visées, deux lances brisées, mais pour la joie de notre homme, seul le baron chut heureusement sans mal, après sêtre enquit de son état.
Retournant après avoir saluer les personnes présentes a leur duel, il repartit sous la tente.
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