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Second tour des joutes !

Guidonius
Patrick Salut a écrit:
Citation:
Guidonius baron d'Autry contre Cesear d'Arnèke Seigneur d'Arnèke et de Mons en Baroeul.
vs


Les trompette se mettent à jouer, annonçant le début de la joute.
Le baron d'Autry se présente sur la lice !
Mais au bout de quelques minutes, voyant que le seigneur d'Arnèke ne s'est toujours pas présenté, l'arbitre déclare Guidonius vainqueur par forfait !







Guidonius se rendit sur la lice pour le tour suivant. Il avait largement eut le temps de se reposer, puisque son advairsaire s'était déclaré forfait. Il arriva accompagné de son jeune fils.


Bien, Jérome, cette fois ci il va faloir être pret. Mon adversaire a surement eut le temps de se chauffer sur le tour précédent.

Entrant sur la lice, le baron d'Autry entendit que son adversaire était absent et déclarait forfait. Assez mécontent, il se tourna vers son écuyer.

Bien, décidément, à croire que parce que je suis le seul champenois, tous mes tours sont annulés. Si ca continue comme cela, je sens que nous allons purement et simplement rentrer au Domaine.
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Esquerrier
Spoiler:
 
Patrick Salut a écrit:
Citation:
Sirius de Margny-Riddermark, Vicomte de Saulx & Seigneur de Charmoy & de Bourg de Sirod contre Chevalier Esquerrièr
vs


Voilà le premier tour des éliminatoires passé, alors que la foule attendait avec impatience les résultats arrivent.
L’annonce fut faite « Sirius de Margny-Riddermark, Vicomte de Saulx & Seigneur de Charmoy & de Bourg de Sirod, s’opposera au Chevalier Esquerrièr. »

Les vaillants chevaliers s’élancent avec fougue et ardeur. A la première passe les deux adversaires visent bien, tellement bien que tout deux brisent leurs lances, mais aucun ne chute.
Un demi tour fait par les destriers et les voilà relancé, encore une fois la foule est en émoie, les deux lances se brisent à nouveau et les deux chevaliers tiennent bon sur leur selle.
C’est à la dernière passe que tout se joue…. C’est avec l’intention ferme d’en découdre que les deux adversaires s’élancent. Encore une fois les deux lances volent en éclats…Mais cette fois le Vicomte de Saulx qui chute.
D’ou on était on pouvait distinguer qu’il avait une blessure grave à la jambe gauche.
Citation:





Juste à temps en lice ! Son expédition en forêt [RP à venir pour les curieux] avait duré plus que prévu, heureusement qu'il n'était pas le premier à jouter ce jour là.
de plus il avait pris du retard, on lui fit remarquer fort justement qu'attacher les couleurs sur chaque lance ferait attendre de trop son adversaire en cas de brisure de lance. Surtout que... il ne pouvait se permettre d'imposer plus que son anonymat. Par conséquent c'est son bras qui portait les couleurs de la belle, ou plus précisément, celui qu'il avait offert à Dona Beatrice.

Le même rituel : il salue la foule, en particulier les tribunes où se trouvait sa dame, et enfin son adversaire. L'affrontement serait courtois mais pas d'arrière pensée, la victoire au bout de cette lance.

La monture s'élance, les muscles de l'animal entrent en action, puissance pure, suivant les ordres de son cavalier. Les lances frappent les écus, le choc est violent les lances ne tiennent pas, heureusement les protections tiennent. Dieu que c'est éprouvant comme épreuve physique !
Esquerrièr râle un peu, il faudra rééditer l'exploit, son adversaire est coriace, il faut donner plus, ne pas se ménager.

Nouvelle lance, nouveaux saluts : la foule, la dame, l'adversaire. Allons-y cette fois c'est la bonne. Il le dit à voix basse. Est-ce pour le cheval ou la lance ou simplement pour forcer la fortune ? Nouveau choc, ce n'est pas passé loin, le chevalier Esquerrièr se demande encore comment il a su rester en selle, mais le problème, c'est que le Vicomte en face ne semblait pas décidé à tomber.

Il jette la lance usagé.

Nouvelle lance !
Le temps de l'avoir en main il respire, se calme sa légère frustration est derrière lui, il plaisante même avec lui même, ou à moins que ce soit avec son cheval.
Mon vieux, c'est la dernière celle-là de toute façon.
Foule, la Belle, l'Adversaire.
Pleine vitesse, nouveau choc violent, des miettes de bois encore partout, il est déséquilibré, il tient bon. son adversaire est à terre; Victoire !

Esquerrièr jette a terre ce qui lui reste de lance signe de tête vers les hôtes de ces joues et vers Dona Béarice, une nouvelle fois. Mais la joie de la victoire ne dure qu'un temps extrêmement court : son adversaire est touché il s'en sent responsable il se doit d'y aller. Ses gantelets volent, il descend de son cheval et se rend auprès du vicomte pour l'aider alors que des serviteurs arrivent également.


Souffrez Vicomte que je vous offre mon aide.

Pas de manières, la spontanéité prenait le dessus

































Erel de Dénéré
Citation:
Erel de Dénéré, Seigneur de Herlies contre MarieAlice Alterac, Vicomtesse d'Arnac-Pompadour, Baronne d'Eymoutiers, Dame de la Tour du Chavan, Chevalier d'Igny.
vs


Le fracas des trompettes prévient les deux concurrents de se mettre en place de chaque côté de la lice. Les chevaux piétinent, attendant l'affrontement, tandis que les deux cavaliers préparent leurs lance. Ils s'élancent alors, sous les vivats de la foule.

Très concentrés, ils traversent la piste pour se frapper, et Marie Alice n'arrive pas à toucher son adversaire, tandis qu'Erel, lui, brise sa lance contre le plastron de la vicomtesse, la faisant chuter à terre.

Fort heureusement, celle-ci est indemne.


Marie-Alice... À croire qu'à chaque fois qu'il joutait, cela était fasse à une femme. Et pas n'importe laquelle cette fois en plus, mais la Première Secrétaire Royale de France.

Après un soupir, Erel se retrouva dans son armure. Elle semblait lourde à porter... et elle l'était. Heureusement, il avait une musculature assez développée pour que cela ne le gêne pas tellement.

Le voilà à peine monté sur son étalon que des gouttes de sueurs couvraient petit à petit son corps, et ce malgré le froid de l'hiver qui mordait le Comté de Sainct-Omer. Sans aucun doute des bains seraient de mises une fois les joutes terminées, pas question de rester ainsi. Faut dire qu'il était coquet, le ténébreux Seigneur, et qu'il aimait prendre soin de lui et de son corps.
Sa seule barbe très courte, dessinée et douce sur ses joues au teint légèrement mate en était la preuve, tout comme ses exercices journaliers pour entretenir son corps.

Le Dénéré est plutôt du genre à tout vouloir contrôlé, y compris lui-même.

Concentration avant de s'élancer alors qu'il saluait Marie-Alice, tout comme elle agissait à l'identique.

Au signal, tout se passa si vite que le Seigneur d'Herlies eut peine à comprendre qu'il avait gagné en envoyant la Vicomtesse d'Arnac-Pompadour. Mais très vite cela lui revint en mémoire...

Les deux lances... Lui qui touche Marie-Alice à la poitrine, alors que la lance de la jeune femme le rate de peu. De très peu même. Et vu son inexpérience en matière de joutes, il était certain que la victoire ne lui était dû qu'à la chance.

Très rapidement au sol, il ôta son heaume, et retirant lui aussi son gantelet, Erel serra la main de sa concurrente malheureuse, observant ce visage. ll l'avait vu il y a peu, au mariage d'Apolonie, elle était à côté de Malteus, et lui-même s'était assis à côté de l'ancien Connétable Béarnais. Quel mariage... Apo était d'une splendeur incroyable. Cependant Agnès et lui s'étaient fait discrets vu qu'ils ne connaissaient personne, et était également vite reparti. Il faut dire que le mariage tombait au plus mauvaise moment...

Le visage perdu dans les voiles des souvenirs, le jeune homme de 26 ans - enfin jeune, manière de parler - reprit vite contenance, sa main toujours imbriquée dans celle de Marie Alice Alterac.


Belle passe messire. Merci à vous et bonne chance pour la suite.

Le Dénéré sourit.

-C'est moi qui vous remercie Vicomtesse. Ravi de vous revoir, cette fois un peu plus près que la dernière fois.

Leurs mains se séparèrent.

-J'aimerai que vous me rejoignez à ma tente quand les joutes seront terminées et que nous serons tous les deux "présentables"...

Il parlait surtout pour lui qui allait se laver. Erel détestait être dans cet état.

-... et nous irions au château. Vous pourrez vous restaurer avant de repartir. Bien sûr, cela est une simple invitation et je ne m'offusquerai pas d'un refus de votre part.

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MarieAlice
Marie fit signe aux valets que tout allait bien et que, même si elle avait chu, seul son amour propre était froissé, un peu. Des bleus feraient leur apparition sous peu suite à l'échange mais elle n'était jamais à une ecchymose près. Elle songeait même, parfois, à commencer une petite collection personnelle.

Haussement de sourcils au dire de son adversaire du jour.


Revoir messire? Nous nous sommes déjà croisés? Seigneur vous me voyez confuse je ne vous remets pas....Pouvez-vous me dire où et quand?

Joues quelque peu rosies par la honte de ne point reconnaitre ainsi l'homme devant elle.

Je vous remercie pour l'invitation et vous retrouverai avec plaisir une fois que j'aurai retrouvé figure humaine.

Elle rit à s'imaginer en sueur dans une tenue fort peu protocolaire.

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Béatritz
[Joute entre Esquerrièr et Sirius de Margny-Riddermark]

Les couleurs avaient changé de lieu... Mais non de teinte. Il les portait comme brassard, et cela importait peu à la pucelle de Castelmaure, pourvu qu'il leur fît honneur par ses victoires. Il la salua, et elle, encore sur la réserve, lui adressa un simple hochement de tête. Ce n'était rien, somme toute, d'avoir remporté son premier duel la veille, quand tant restait encore à accomplir... Elle ignorait encore si elle avait fait le bon choix et son angoisse était terrifiante ; peu seraient à même de comprendre combien la victoire de ses couleurs lui importait.

Les lances brisent une fois, et il n'y a pas d'éclatante chute du Vicomte... Petit pincement de déception de la belle, ses mains gantées se crispent sur le bord de son siège dans les hourds.
Elle ne salua pas de la tête, au deuxième passage, son chevalier : elle le ferait s'il dominait.

Une deuxième lance passa sans davantage de réussite, et la tension montait pour Béatrice ; non contente d'avoir choisi un petit chevalier, il faudrait qu'il perdît dès le second tour, juste après les éliminatoires ?

Elle ne le salua pas davantage au début du troisième tour - le désespoir la rongeait presque, déjà. Cela manquait de panache !
Mais lorsqu'il fut évident que le déséquilibre du Vicomte de Sault était réel, elle se leva comme frappée par la foudre. Elle se leva, parce qu'elle voulait être debout pour voir la victoire de son chevalier. Parce que c'était sa victoire, somme toute, et parce qu'il ne fallait pas que quiconque l'oubliât.
Quand son chevalier la salua, elle inclina très franchement la tête en signe de respect, et comme le reste ne l'intéressait pas, elle quitta les hourds où le froid commençait à mordre sa peau d'opaline, et rentra au château.

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[Humour inside ~~ Béatrice n'est pas blonde et ne s'appelle pas Paris]
MacCornell
Citation:
Agnès de Saint Just, Vicomtesse de Bapaume, Baronne de Desvres et Dame de Seuiri contre Romuald MacCornell, Seigneur de Baternay
vs


Pour ces joutes, MacCornell avait l'honneur d'ouvrir le deuxième tour. Il était opposé à une Dame, la Vicomtesse de Bapaume, Baronne de Desvres et Dame de Seuiri. C'était la première fois qu'il avait affaire avec une jouteuse. Jusqu'à présent il avait affronté Tixlu, Duc du Bourbonnais-Auvergne et Didier de Warenghien dict Chevalier_dide, Seigneur de Corau, Académicien Royal de France et Hospitalier de Saint Jean de Jérusalem.

Il se présenta dans la lice au son des trompettes et fit un tour d'honneur au côté de la Dame. Tous deux se placèrent de part et d'autre et attendirent le signal de départ donné par l'arbitre et amplifié par les joueurs de trompette. Trop galant pour frapper une Dame, MacCornell hésita un moment à montrer ce dont il était capable. Il n'en fallut pas tant pour qu'il rate sa cible, alors que la Vicomtesse brisait sa lance sur son armure. C'est qu'elle vise juste la Dame !

Faisant volte face, il s'élança pour la deuxième face. Cette fois, il avait la hargne. Il ne ferait plus de cadeau. Il lança sa monture au galop et toucha droit au but. Malheureusement, la belle renouvela sa visée. Le Seigneur de Baternay tomba bas de sa monture. En se relevant, il vit que la Vicomtesse était elle aussi les quatre fers en l'air. Il se remit en selle pour un troisième passage.

Au fond de lui, il était content. Il avait progressé et comprenait certaines des erreurs qu'il avait commise jusque là. Trop occupé à penser aux progrès qu'il a fait, il rate sa dernière lance au contraire de son adversaire. Une fois de plus il tombe. Une douleur plus aigüe qu'une chute sa manifeste à la hanche. Une partie de l'armure lui rentrait dans le côté. Sans doute une pièce qui s'était démise lors de la première chute.

La jouteuse adverse vient s'enquérir de son état. MacCornell se relève avec l'aide d'un écuyer tandis qu'on informe la Dame de son état. Pour le Seigneur de Baternay, quelques soins seraient nécessaires avant d'entamer la route du retour. Avec un peu de chance, il pourrait regarder les joutes des autres nobles du Lyonnais-Dauphiné.

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_____MacCornell_____
__
_Seigneur de Baternay_
bradbury
Spoiler:
 
Citation:
Jontas de Valfrey, Comte de Beaufort, Baron de Clairvaux-les-Lacs contre Solveig Bradbury, dicte La Condé, Dame de Davignac
vs


Deuxième jour des joutes et encore une fois, c’était en fin de journée, mais son adversaire semblait avoir de l’expérience. Après l’Artois, la Franche-Comté !

Tout deux en place après que la Lice fut nettoyée, elle attend avec impatience le signal du départ, et de suite éperonne son cheval, s’élançant à vive allure, lance pointée vers son adversaire, le choc est rude et c’est surprise qu’elle se voit sortir de sa selle, le souffle coupée sous le choc.

Se relevant, elle remarque que c’est aussi le cas du Comtois. Incroyable ! C’est la première fois que ça lui arrive, du coup elle perd sa concentration et ne réussit même pas à le toucher.

La troisième passe, peut être décisive pour son adversaire, toutefois, elle ne retrouve pas sa concentration et une nouvelle fois le choc est rude et elle chute. Au moment de l’impact sur le sol, elle se blesse à l’épaule, et perd son heaume. C’est grimaçant et main gauche sur son épaule droite qui la fait souffrir qu’elle se relève. Les Joutes sont terminées pour elle.

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Et voici le dernier duel de cette journée !

Après le nettoyage de la lice, les deux concurrents arrivent sur leurs fringuant destriers, prêts à en découdre.

Le signal du départ est donné !

Les deux jouteurs mettent leur chevaux au galop, lances baissées, dirigées vers l'adversaire.
Les deux lances touchent leur but, et le choc est alors rude, tellement que les deux jouteurs tombent à terre, déséquilibrés par l'impact. Ils sont remis en selle pour la seconde passe.

Ils s'élancent à nouveau, Bradbury semblant déconcentrée rate complètement son adversaire qui lui ne s'en laisse pas conter et brise sa lance contre l'écu de la Dame de Davignac.
Néanmoins, celle-ci reste heureusement en selle, la force du coup du comtois étant trop faible pour la faire chuter.

Et c'est la dernière passe !

Le même scénario se répête alors, Bradbury ratant sa visée, et le comtois brisant sa lance contre la jeune femme. Qui cette fois-ci ne résiste pas au choc et tombe alors à terre, se blessant à l'épaule, laissant la victoire à son adversaire.
[/quote]










Erel de Dénéré
Revoir messire? Nous nous sommes déjà croisés? Seigneur vous me voyez confuse je ne vous remets pas....Pouvez-vous me dire où et quand?

Erel ne parut pas étonné de sa réponse, elle ne lui avait jamais parlé à vrai dire, donc aucune raison d'avoir un quelconque souvenir de lui.

-Oui, nous nous sommes déjà croisé. Au mariage d'Apolonie il y a peu. Vous étiez en grande conversation avec une vieille connaissance, Maleus. J'étais assis à côté de lui. C'est ma compagne la Vicomtesse de Bapaume qui m'avait signalé qui vous étiez. Mais rien d'étonnant à ce que vous ne vous souveniez pas de moi à vrai dire, car nous n'avons pas parlé ensemble, c'est juste moi qui vous ai reconnue aujourd'hui.

Ainsi, le Dénéré espérait qu'elle déculpabiliserai, car il avait bien vu qu'elle ressentait cela à cause du rose qui marqua ses joues lorsqu'elle lui dit honnêtement ne pas se souvenir de lui.

Je vous remercie pour l'invitation et vous retrouverai avec plaisir une fois que j'aurai retrouvé figure humaine.

-Je vous présente mes excuses d'avoir été un peu trop prompt. Je ne voulais pas vous gêner.

Une petite pause avant de reprendre.

-Et bien je suis vraiment très honoré que vous acceptiez mon invitation Vicomtesse. Et ne vous inquiétez pas, même ainsi vous êtes plus ravissantes que beaucoup de femmes... excepté ma compagne, bien entendu.

[*]Une lueur s'alluma dans ses yeux lorsqu'il évoqua sa bien-aimée. Elle avait remporté le second tour. Certes en faisant une chute, mais rien de bien grave d'après ce qu'on lui avait signalé.

-Je vous dit à tout à l'heure alors, pour ma part je m'en vais repartir me préparer pour le prochain tour.

Sur ces mots, le Dénéré s'inclina de manière "légère" autant que son armure lui permettait en l'état, et les deux jouteurs repartirent chacun de leur côté.
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