Belsa
Belsa, à force déconomie et de travail aux champs, avait enfin pu investir dans une petite échoppe.
Longtemps elle avait hésité : elle était bonne couturière et aurait pu broder des Kimonos. La boucherie, par contre, ne lintéressait pas. Elle se voyait mal, frêle comme elle était, porter de lourdes carcasses et dépecer des cochons encore saignants
Belsa passait souvent voir les étales au marché et constatait de jour en jour que des plats de Udons manquaient alors que de la farine restait invendue. Lidée fit son chemin et elle se dit, quaprès tout, elle avait toujours été bonne cuisinière.
Malgré cela, ses économies étaient bien maigres. Depuis la mort de son frère elle ne pouvait compter que sur elle-même, or lachat de la bâtisse lavait déjà bien endettée. Elle acheta donc un peu de bois et quelques sacs de farine chaque jour, espérant bientôt pouvoir faire ses premiers plats de Udons.
Trois sacs de farine sentassaient dans sa cave, demain elle pourrait en obtenir un quatrième, ainsi elle pourrait faire ses 12 premiers plats. Elle savait quelle devrait vendre un peu cher pour dégager un salaire mais elle espérait de jour en jour pouvoir augmenter sa production et ainsi pouvoir offrir suffisamment de Udons à un prix raisonnable.
Elle était fière delle. Car malgré le mauvais sort qui sétait acharnée sur elle ces derniers temps : la mort de son frère, la disparition de la jeune fille qui laidait, le départ de Takeo au sanctuaire Heureusement Changli était la, malgré ses allez et retour entre Nakatsu et Hita. Elle avait finit par retrouver son énergie et ainsi démontrer quune femme jeune et seule pouvait tout de même arriver à faire quelques choses de sa vie. Belsa sétait toujours refusée à aller retrouver ses deux autres frères et les servir, ce que son rang et sa famille lui imposait de faire. Elle pria pour son frère et espéra secrètement revoir Takeo prochainement.
Un porteur vint lui donner une missive : un jeune inconnu lencourageait dans son entreprise. Elle sourit, les beaux jours revenaient. Elle griffonna une réponse à ce Theolf, lui offrant la possibilité de laider. Puis prépara ses ustensiles pour le lendemain : le bois était prêt à chauffer leau dans laquelle elle plongerait ses pâtes fabriquées à base de farine de blé, eau et sel.
Elle coupa finement des petits légumes, cela agrémenterait son bouillon. Elle possédait aussi un peu de soja, ainsi ses clients pourraient varier les goûts.
Satisfaite de son travail, elle décida de préparer lavenir. La farine ne serait pas inépuisable, bientôt elle aurait besoin de fournisseurs. Elle afficha à lentrée de son échoppe.
Recherche meuniers
Bonjour
Que peut-on retenir de Nakatsu : un village de pêcheurs charmant ? Des poissons de premières qualités et des rizières à faire pâlir nos voisins !
Nous pouvons aussi être réputés pour nos spécialités culinaires dont notre Udon.
Oui ces pâtes parfois bien peu gouteuses, peuvent être apprêtée de différentes manières et ainsi attirer plus dun marchand dans notre village. Mais je ne souhaite pas faire de la promotion pour ma cuisine non ! Car sans un meunier qui fabriquerait de la bonne farine mes Udon risquent de se faire rares.
Je recherche donc une personne motivée à collaborer avec moi.
Ce que joffre :
- Le partage de mon échoppe
- Des portions de Udons fournies par mes soins
- La garantie dun rachat de la farine produite
Si cela vous intéresse, contactez-moi.
Belsa
Longtemps elle avait hésité : elle était bonne couturière et aurait pu broder des Kimonos. La boucherie, par contre, ne lintéressait pas. Elle se voyait mal, frêle comme elle était, porter de lourdes carcasses et dépecer des cochons encore saignants
Belsa passait souvent voir les étales au marché et constatait de jour en jour que des plats de Udons manquaient alors que de la farine restait invendue. Lidée fit son chemin et elle se dit, quaprès tout, elle avait toujours été bonne cuisinière.
Malgré cela, ses économies étaient bien maigres. Depuis la mort de son frère elle ne pouvait compter que sur elle-même, or lachat de la bâtisse lavait déjà bien endettée. Elle acheta donc un peu de bois et quelques sacs de farine chaque jour, espérant bientôt pouvoir faire ses premiers plats de Udons.
Trois sacs de farine sentassaient dans sa cave, demain elle pourrait en obtenir un quatrième, ainsi elle pourrait faire ses 12 premiers plats. Elle savait quelle devrait vendre un peu cher pour dégager un salaire mais elle espérait de jour en jour pouvoir augmenter sa production et ainsi pouvoir offrir suffisamment de Udons à un prix raisonnable.
Elle était fière delle. Car malgré le mauvais sort qui sétait acharnée sur elle ces derniers temps : la mort de son frère, la disparition de la jeune fille qui laidait, le départ de Takeo au sanctuaire Heureusement Changli était la, malgré ses allez et retour entre Nakatsu et Hita. Elle avait finit par retrouver son énergie et ainsi démontrer quune femme jeune et seule pouvait tout de même arriver à faire quelques choses de sa vie. Belsa sétait toujours refusée à aller retrouver ses deux autres frères et les servir, ce que son rang et sa famille lui imposait de faire. Elle pria pour son frère et espéra secrètement revoir Takeo prochainement.
Un porteur vint lui donner une missive : un jeune inconnu lencourageait dans son entreprise. Elle sourit, les beaux jours revenaient. Elle griffonna une réponse à ce Theolf, lui offrant la possibilité de laider. Puis prépara ses ustensiles pour le lendemain : le bois était prêt à chauffer leau dans laquelle elle plongerait ses pâtes fabriquées à base de farine de blé, eau et sel.
Elle coupa finement des petits légumes, cela agrémenterait son bouillon. Elle possédait aussi un peu de soja, ainsi ses clients pourraient varier les goûts.
Satisfaite de son travail, elle décida de préparer lavenir. La farine ne serait pas inépuisable, bientôt elle aurait besoin de fournisseurs. Elle afficha à lentrée de son échoppe.
Recherche meuniers
Bonjour
Que peut-on retenir de Nakatsu : un village de pêcheurs charmant ? Des poissons de premières qualités et des rizières à faire pâlir nos voisins !
Nous pouvons aussi être réputés pour nos spécialités culinaires dont notre Udon.
Oui ces pâtes parfois bien peu gouteuses, peuvent être apprêtée de différentes manières et ainsi attirer plus dun marchand dans notre village. Mais je ne souhaite pas faire de la promotion pour ma cuisine non ! Car sans un meunier qui fabriquerait de la bonne farine mes Udon risquent de se faire rares.
Je recherche donc une personne motivée à collaborer avec moi.
Ce que joffre :
- Le partage de mon échoppe
- Des portions de Udons fournies par mes soins
- La garantie dun rachat de la farine produite
Si cela vous intéresse, contactez-moi.
Belsa