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[RP] Pension de famille Belsa

Malik
Malik qui marchait à longues heures .. Pour oublier le travail.
Et le manque de sa douce.
Tout cela jouait dans son humeur. Mais quand il passait devant la pension, il vit un peu de mouvement à l'intérieur. Il ne put s'empêcher d'approcher.
Deux, trois et le quatrième pats avant de se retrouver près de la porte.
Il s'accroupit de facon à ce qu'on ne le voit pas et poussa doucement la porte pour entendre les paroles de Belsa.
Ce qu'il entendit d'abord fut Nakatsu, un magnifique nom de Ville, ça le fit sourire. Mais le reste ne fut que .. Désordre , endormie .. A croire que tout le monde baisse les bras aux moindres trucs ici. Malik réfléchit puis prononca quelques à vois assez basses.


- Faut pas se décourager comme ça

Il se releva et frotta son hakama, salit par l'herbe non coupé.
Il sourit et grimpa sur le toit comme il en avait le secret
Guyhom_hotaru


Guyhom... vieux crouton! A force j'ai cru que tu m'avais oublié!
Regarde dans quel triste état est ma pension... et notre ville.. jure moi que tu resteras quelques temps par ici avec moi.


Guyhom rit et prit Belsa dans ses bras en la serrant contre lui. Il lui embrassa le front, chastement et lui répondit:


bon, déjà je suis pas vieux. Ensuite, je t'ai pas oublié. Je suis même arrivé en avance mais on m'a dit que tu étais au sanctuaire. et je jure pas. mais je te promets de rester, le temps de ranger ici. un vrai foutoir.

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Belsa
oui un vrai foutoir... Zak a fait une crise quand il a découvert que j'étais partie de Nakatsu...

Elle reste tout contre lui, la jeune fille a conscience qu'elle devrait lui proposer à boire et à manger, qu'une femme de sa condition n'aurait pas du rester ainsi dans les bras d'un homme qui n'est même pas son époux.

Elle l'observe du coin de l'œil. Elle ne sais pas ce qu'il attend d'elle. Elle devine simplement qu'un jour l'appel de la route sera plus fort et qu'il faudra repartir. Aura-t-elle le courage de supporter ces séparations et rester seule ici? Ou laissera-t-elle tout ses projets pour partir avec lui?


Guyhom... si tu le souhaites, partage cette maison avec moi.

Que vont penser les habitants? Ou tout cela va la mener... acceptera-t-il?

Son cœur s'emballe et elle attend, silencieuse et impassible, une réponse.

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Guyhom_hotaru


Guyhom... si tu le souhaites, partage cette maison avec moi.

euh...

Guyhom prit au dépourvu, répondit en un compromis...chose du!

je te propose un mi temps. la moitié du temps ici et l'autre chez moi. pas envie d'abandonner ma ptite maison en haut de la colline avec ma brasserie.

d'accord?

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Belsa
je te propose un mi temps. la moitié du temps ici et l'autre chez moi. pas envie d'abandonner ma ptite maison en haut de la colline avec ma brasserie.

d'accord?


Elle resta impassible mais... un mi-temps? c'est quoi cette foutue idée? Pour elle le mi temps avait raisonné comme : Compagne à mi-temps et le reste du temps c'est qui? c'est quoi?

Et les gens qu'allaient-ils penser ? Qu'il se rende à la pension aucun soucis c'est un client habituel... mais ils vont trouver louche qu'elle passe tant de temps chez lui. Elle allait bientôt passer pour une fille de peu de vertu...

Et pas envie d'abandonner sa petite maison! Il a surtout pas envie d'abandonner ses habitudes de célibataire oui! Elle se mordit la lèvre inférieur... il veut pas vraiment s'engager alors?


Un mi temps...


Bon ok de toute façon j'ai pas le choix. Si je râle, il va partir en ronchonnant. J'ai pas envie qu'il parte cet ours mal luné! Je t'aime espèce de vielle brute, pas envie de quitter tes bras!

d'accord... on fera maison séparée.

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Guyhom_hotaru


Guyhom sourit...

c'est temporaire...mais ici, tu as du passage...chez moi, on est tranquille...et puis la vue est superbe...on voit la mer...et j'aime bien manger sur ma terrasse en regardant les jonques se diriger vers les iles lointaines...un jour on ira se le faire ce voyage.

Guyhom l'embrassa tendrement...puis...décida de passer à l'action. Pas envie non plus qu'elle croit que je vais plus passer de temps ici que chez moi...en plus il aura du mal à dormir seul maintenant...

Bon...au boulot. Ménage, réparation...vais commencer par jeter ce qui est irrécupérable...


Et il commença par jeter dehors ce qui était brisé et détruit définitivement...

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Iyo
Tout le long du chemin de chez elle à la pension de Belsa, Iyo se dit qu'elle ne peut faire autrement de présenter ses excuses.
Mais chaque pas qui l'approche de la grande maison, fait grimper sa nervosité.
Il faut dire que la situation de la jeune femme n'est guère enviable.
Contrairement à celle de la veille au soir…
Rien que d'y penser Iyo sent ses joues s'empourprer.
La soirée était si douce à l'Archipel, et pour une fois Onibaka et elle profitaient de leur solitude. Des discussions en baisers, d'étreintes en caresses, la tendresse s'était enflammée.
Et si d'habitude, ils vivaient ces moments chez l'un ou l'autre, le point de non retour avait été atteint et … Iyo se mordille les lèvres.... Et Belsa avait fait irruption …

La jeune femme déglutit .
Le sang se retire de son visage.
Il faut qu'elle présente ses excuses … Seulement trouver les mots, ça ne va pas être si simple. Compromission … Il n'y a pas d'excuses …

Et ses pas s'arrêtent.
La pension est déjà là. Le temps a passé trop vite, toutes les phrases qu'elle a imaginées se sont envolées.
Iyo inspire longuement, cherchant un brin de courage.
Aller … tu dois le faire.

Elle entreprend de faire le tour de la maison espérant trouver Belsa sans être obligée d'expliquer sa venue devant des témoins, et évite de justesse un projectile qui semble provenir tout droit de l'intérieur.
Interdite … elle ne sait plus si elle doit encore avancer. Ce n'est peut-être pas le meilleur moment. Elle entend la voix de Guyhom.
Son courage la fuit pour de bon.
Elle ne veut pas le rencontrer ... Baisser les yeux, repartir comme si de rien n'était. Surtout faire comme si elle n'avait jamais été là ...

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Belsa
Elle observa Guyhom et n'ajouta rien. Il se leva pour ranger et elle sortit discrètement dans le jardin pour se rendre près de la petite cascade.

C'est que ce mi-temps, elle avait du mal à l'accepter. Il râlait parce qu'elle allait devenir Shomin et qu'elle aurait moins de temps à lui consacrer... mais elle elle disait quelques choses quand il s'en allait sur les routes? Son Guyhom qui refusait de lui montrer une once de tendresse en publique de peur d'égratigner son image de ronchon?

Elle s'assit sur une pierre et profita de ce temps automnal, admirant les feuilles qui rougissaient déposant des touches de couleur chaude dans ce jardin.

Elle repensa à sa dernière soirée en gargote. Elle l'avait passée seule derrière ses bols de saké. Belsa buvait trop, elle en avait bien trop conscience. Pourtant difficile de faire autrement!

Elle avait dérangé deux couples dans des moments peu opportun et était ressortie rouge de honte.

Elle n'y connaissait rien à ces choses la et son éducation lui dictait qu'elle devait désapprouver ce type de comportement...

Bref elle n'osait plus les déranger et préférait la solitude d'une gargote et l'espoir de le voir la rejoindre. Même si elle savait qu'il ne serait présent que pour lui rappeler tous ses défauts.

Ce soir la, elle avait vraiment trop bu. Ses bols lui avaient tenu compagnie, elle leur avait parlé et confié ses doutes. Un début de folie?

Elle aperçut Iyo au loin. La jeune femme semblait hésiter et faire demi-tour. Belsa ne savait pas si elle souhaitait cette rencontre. Qu'aurait-elle pu lui dire? Elle n'était même pas convaincue d'arriver à la regarder encore dans les yeux.

Elle regarda le ciel. Qu'aurait fait son frère? Il aurait ignoré tout sentiment amoureux... Il n'aurait même pas donné de l'importance à ces comportements et il se serait consacré uniquement à ses élections et à la ville... La jeune femme soupira.

D'un pas qui se voulait convainquant et la tête haute, elle alla à la rencontre de Iyo, laissant ses peurs, ses doutes et ses problème près de la cascade...

Iyo! Que fais-tu ici?

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Iyo
Iyo! Que fais-tu ici?

Aah! plus de fuite possible …
Iyo se retourne vers Belsa et la voyant marcher vers elle d'un pas décidé et le regard droit, se ramasse dans sa coquille.
Les yeux baissés, elle esquisse un vague salut en la laissant s'approcher.
Ses yeux s'accrochent aux quelques brins d'herbe un peu plus hauts que d'autres, comme s'ils étaient source de force et de courage. Elle vaudrait être taupe, voire ver de terre pour s'enfouir et disparaitre.
Mais il est trop tard.
Le silence perdure quelques instants jusqu'à ce qu'Iyo se jette à l'eau.


Je voulais te voir Belsa

Tentative d'un regard hésitant qui se relève vers Belsa et le sang qui lui monte aux joues, débordant sur ses oreilles...

Te présenter des excuses …
Je suis désolée … Vraiment.


Sa voix qui gargouille dans sa gorge
Nous n'aurions pas dû nous laisser emporter Oni et moi.
Elle va pour rajouter un "mais" … et le chasse aussi vite. Argh … elle ne sait quoi dire encore. Du bout des lèvres, elle articule un timide

Ça n'arrivera plus ...

Elle reste là, pantelante s'attendant à la réprimande qui ne saurait tarder. Pourquoi ? elle ne sait pas vraiment. Mais elle respecte profondément Belsa et a le sentiment de l'avoir déçue.
Et en même temps, elle ne regrette rien de ce qui a pu se passer. Tout se mêle étrangement.

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Belsa
Belsa fixa Iyo. Elle ne souhaitait pas que la jeune femme lise la gène dans son regard, heureusement son éducation lui avait appris à rester impassible en toute circonstance...

Iyo tu n'as pas à venir t'excuser... je n'avais pas à venir comme ça, j'aurai du vous laisser tranquille alors que vous partagiez un moment ensemble.

C'est à moi de m'excuser.


Elle tenta un petit sourire puis détourna la tête et regarda au loin.

J'avoue que parfois je ne réalise pas certaine chose et j'agis sans réfléchir...


Elle resta silencieuse un moment.

Enfin c'est du passé, oublions tout ceci. Je ferai attention à l'avenir et profitez de votre bonheur.
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Fujita
La morsure de l’automne commençait à se faire sentir au dehors dans la frime de nos matins trop gris de Nakatsu.

L’errance de ma vie en la cité, avec pour seules occupations mes bains dans le lac et mon champs de terre et son blé dorant sous l’astre solaire ses épis dressés, se mouvant dans les frissonnements de l air ambiant lui donnant la vie.
Lopin précieux que dame nature et de son infinie générosité nourricière à mon égard me régale de ses récoltes opulentes.

Le temps passait inexorablement, m’éloignant chaque jour un peu plus de mes semblables humains.

Tout en traversant la ville, pieds nus dans la boues dont le crachin incessant alimentait un ru continu de terre boueuse dans laquelle je m’enfonçais comme dans la vie de ce monde.

J’avançais pourtant d un pas décidé cependant vers la pension de famille de mon amie Belsa.

Elle m’avait gentiment proposé un hébergement contre quelques menus travaux en sa demeure.
Peut être des réparations ou bien encore le jardin et ses fleurs à entretenir, qui sait un jardin potager et ses plantations soigneusement alignées, un champs ou que sais je encore.

J’arpentais les rues les unes après les autres, regardant les échoppes d’artisans aux couleurs bigarrées, aux soins infinis de la précision des gestes ancestraux de notre culture raffinée millénaire en sa maîtrise et la dextérité de son savoir faire.

Je prenais le temps, humer les arômes des jardins traversés, celui des gargotes odorantes, un temps pour chaque chose emplissant mes sens exacerbés de ravissements en eux.

J’arrivais enfin a destination, la demeure semblait fort bien entretenue. Bois et peintures finement réalisées en leurs équilibres d’harmonies et leurs ornements finement ouvragés.

Je me pressentais devant la porte et d’une main j’agitais les clochettes de son entrée pour en avertir la propriétaire des lieux de ma présence.

Doux tintinnabulements, que leurs entre chocs faisaient entre elles, se poussant et se retrouvant en leur aplomb géométrique, loi universelle de la gravité d’ici bas.

J’attendais impassible la maîtresse de maison, protégé par ce haut vent des perles de pluies, poussées en petites rafales contre mon visage.
Belsa
Belsa était dans le jardin avec Iyo quand elle aperçut une silhouette s'approcher de sa pension.

Un client? Elle n'en avait plus vu un depuis bien des mois maintenant.


Excuse-moi Iyo… le travail reprend.


Elle s'inclina devant son amie, un peu soulagée que cet entretien prenne fin et s'approcha de l'entrée de sa pension.

Elle reconnut Fujita ! A force d'insister, il était venu. Elle était ravie de cette surprise et l'observa quelques instants avant de s'approcher de lui.


C'est une belle journée d'automne.


Elle avait glissé sur l'herbe jusqu'à ces côtés et il se retourna peut-être un peu surpris.

L'eau du lac était-elle trop froide et souhaites tu tester mes bains et mes sources d'eau chaude?

Elle l'invita à la suivre dans le jardin. Des mèches de cheveux échappée de son chignon serré voletaient au vent et lui barrait le visage, d'un geste élégant elle les repoussa pour les coincer derrière son oreille.

Ou est-ce la réputation de mes pâtisseries qui t'ont décidé à me rendre visite ?

Elle stoppa sa marche et contempla son jardin devenu rouge et or.

Chaque saison embelli ce lieu de paix et de repos à sa manière... j'ai toujours trouvé égoïste de garder pareil lieu pour moi toute seule, je préfère que chacun puisse en profiter.

Elle se retourna et le fixa avec ses grands yeux bleus.

Alors? Tu ne m'as pas répondu. Que puis-je t'offrir?
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Fujita
Les instants s’écoulaient paisiblement,le chapelet de clochettes reprenait sa place originelle, quand tout à coup une voix cristalline surgit en mon dos.

C'est une belle journée d'automne.

Je me retournais tranquillement, j’avais reconnu cette voix mélodieuse parcourant les méandres en mes oreilles, Belsa !

Konnichi wa Belsa Sama, que les dieux vous portent en cette soirée de leurs bienfaits
Je tournerai en mes prières pour vous honorer les rouleaux sacrés du temple.


Je m’inclinais respectueusement devant mon amie

Son visage illuminé et surprit de ma venue, partage entre le plaisir de me voir et la retenue de sa réserve naturelle incrustée au plus profond de son être.

Elle était finement vêtue, avec le goût de la minutie dans ses choix harmonieux des motifs et couleurs décorant son kimono de soie finement brodé en fils de lumières et d'ors.

Femme de passions et de raffinements certainement liés à son éducation stricte pensais je
Un précepteur privé certainement avait du lui enseigner les disciplines complexes régissant la connaissance et les arts, la religion , le temple avait pourvu à cela tout au long de sa vie, je pouvais ressentir cela en moi.

Femme de cœur emprisonné et de tête ou la raison l’emporte toujours sur les futilités de la vie.


La clémence des cieux me permettait de sortir de mon abris, je m approchais de Belsa , un sourire aux lèvres humides d’une goutte d’eau perlée ruisselant encore sur elles

Un doux rayon de soleil venait de poindre sur le ciel de l’horizon couchant, nous dardant de son infinie chaleur nos corps de ses bienfaits. Réchauffant en nous , âmes et cœurs

Dame Belsa se détendait après le moment de la surprise en elle, maintenant elle me parlait en me regardant avec le sourire ironique et ses propos de mêmes natures.

L'eau du lac était-elle trop froide et souhaites tu tester mes bains et mes sources d'eau chaude?
Ou est-ce la réputation de mes pâtisseries qui t'ont décidé à me rendre visite ?


Le visage éclaircit par le sourire naissant aux commissures de ma bouche, je lui répondais de ma voix grave et sereine

Les canards portent le deuil ce jour Belsa, ils vont regretter nos brasses journalières et la douceur d’un bain tiède aux effluves délicates de leurs onguents diluées ainsi que vos pâtisseries savoureuses sont autant de tentations que je ne puis refuser…..

Tout en parlant un sourire malicieux se dessinait sur mes lèvres, mon regard plongeant en le sien de mes yeux bleus perçants.

Nous avancions lentement en son jardin resplendissant d’arbres fruitiers dont la récolte hélas déjà terminée, ou seulement les parterres et massifs étaient encore fleuris pour le ravissement des yeux et le plaisir des senteurs. Oui, l’automne est bien là et se dessine de ses teintes en la végétation de ce petit Paradis terrestre

La quiétude des lieux emplissait mon cœur et mon esprit


Nous cheminions tout en devisant profitant de l’instant présent.

Chaque saison embelli ce lieu de paix et de repos à sa manière... j'ai toujours trouvé égoïste de garder pareil lieu pour moi toute seule, je préfère que chacun puisse en profiter.

Alors? Tu ne m'as pas répondu. Que puis-je t'offrir?


Nous venions de nous arrêter sous une tonnelle arborée. Elle était face à moi maintenant me regardant avec ses opalines bleutées

Je pense que je vais survivre en prenant pension chez toi Belsa, avec grand plaisir je viens résider en ta demeure et tu me diras les taches que tu me voudrais voir accomplir pour te dédommager de ta générosité à mon égard, il va sans dire.

Je m’inclinais le plus respectueusement vers Belsa.
Me redressant je la regardais dans les yeux………..
Guyhom_hotaru


Guyhom avait terminé de ranger, de reconstruire et de remplacer ce qui devait être quand Belsa l'abandonna pour Iyo qui trainait dans le jardin...ne sachant pas pourquoi elle était pas venue lui dire bonjour...puis apparemment un autre type qui voulait faire je sais quoi ici...prendre pension? jamais tranquille avec sa douce alors....il sortit dans le jardin avec sa hache, et apostropha l'homme:

hey toi, touche pas à ma douce sinon je te coupe la tête!

tu viens pour quoi d'abord?


Guyhom et sa hache menaçant l'intrus....hésitant entre mettre à exécution son geste ou juste lui couper autre chose...

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Fujita
Discutant paisiblement avec mon amie Belsa, une voix derriere mon dos se fit entendre.

hey toi, touche pas à ma douce sinon je te coupe la tête!

tu viens pour quoi d'abord?


Je me retournais regardant le malheureux irrévérencieux avec pitié.

Décidément le manque de culture et de savoir vivre se trouvait ici aussi en ce Paradis resplendissant.

Je me retournais vers dame Belsa, la regardant dans les yeux ignorant l'homme désirant me couper en deux, à vrai dire l'idée m'amusait énormément


Mon amie, tout compte fait je préfère retourner vers les canards eux ont de la tenue et de l'éducation et ici me connaissant, cela se solderait en une fin tragique pour votre ami. Vous m'en voyez navré, mais je préfère m'en retourner .

Je la saluais avec respects et repartais vers la ville et mon lac et la liberté que j'ai toujours estimé dans la paix et la quiétude des moments de ma solitude...
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