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[RP] L'étang près de la forêt...

Antonof
Revenu d'un long voya...Ahem ! Revenu d'un voyage, Antonof décida avant quoi que ce soit, d'aller se ressourcer au bord de l'étang. Apercevant un groupe sur la rive du plan d'eau, le jeune homme décida de se rendre à l'opposé de ceux-ci. Il avait besoin d'être seul, le voyage l'avait épuisé. Ainsi, notre preux aventur*tousse*notre voyageur épuisé s'allongea dans l'herbe grasse

-Aaaah. Et bien, je n'imaginais pas que matixco allait me manquer à ce point là.

Bien sur, il avait pris connaissance du vent de révolte qui soufflait sur Matixco, mais il avait une totale confiance en son ami, et désormais Calpullec, JB. D'ailleurs, il faudra qu'il se rende en taverne le plus tôt possible.

-Bon, c'est pas tout ça, mais mon champ va pas se récolter tout seul.

Le jeune homme se dirigea donc vers sa maison et son champ attenant, en maudissant les "joies de l'agriculture"
Tililia
Quel voyage et quelle réussite surtout ! Tant de gens croisés, tant de choses vues et tout ce bois vendu... Elle courut au lac où l'eau bienfaitrice lui apporterait quelque soulagement... Une silhouette revenait du bord de l'eau...

- Anto !! Mon frère !

Saut dans les bras, embrassades joyeuses...

- Anto... on repart dès que possible... enfin si tu le veux bien... notre Vénéré Tlatoani m'a donné un mission, nous devons nous rendre quelque part... enfin.... si tu désires toujours m'accompagner bien entendu... notre frère Azti veut venir... je t'en dirai d'avantage un peu plus tard, mais en attendant viens-tu avec moi plonger dans l'eau fraîche et tenter d'attraper quelques piranhas ? Le dernier arrivé répare la natte de l'autre !!

Elle éclata de rire, parti en courant tout en délassant son bâton attaché dans son dos et plongea dans l'étang...
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Première Guerrière Chatte-Tigre et Fière Esclave du Puceau de Matixco.

Antonof
En rentrant chez lui, le jeune homme croisa sa soeur Tili, sa compagnonne de voyage. Celle-ci désirait faire trempette. Pourquoi pas ? Ainsi, antonof sauta dans l'eau à la suite de sa soeur. Après quelques noms d'oiseaux provoqués par la température plutôt fraiche de l'eau, Antonof ne pu s'empecher d'admirer la grâce de son amie dans l'élément liquide. Enfin, sa rage à combattre les piranhas, surtout. Mais bon, perdre n'est pas tellement dérangeant, si le gage est agréabe. Sortant de l'eau, antonof attendi son amie. une fois celle-ci sortie, il dit :

-Ma soeur, nous partons, tout les trois. Je ne t'abandonnerais pas Et puis, ta natte ne doit pas être si délabrée que ça. Et il faut que tu m'expliques ta mission Tlatoaniesque.

En voyant les pirahnas pendus aux mains de Tili, antonof se jura de ne jamais la contrarier

-En attendant, viens donc boire un pulque !
Brume_sauvage
Léger bruissement qui frémit parmi les feuilles, bruit frémissant d’un oiseau qui s’envole… La jeune fille pousse quelque branche de son chemin. Elle avait décidé de visiter les alentours du camp pour pouvoir s’orienter. Ses pas l’avait guidé jusqu’à un étang perdu au milieu de la forêt tropicale. Tlaloc et Chalchihuitlicue avaient du trouver bon d’offrir à son nouveau clan cette réserve d’eau et ils avaient eu raison.

Brume Sauvage s’accroupie et se penche au-dessus de l’étang. Elle touche son visage et suit avec ses doigts les marques qui ornent sa figure en surveillant bien que l’image perçut dans l’eau fait exactement les mêmes mouvements. Il faut s’assurer que c’est bien son reflet qu’elle admire et non une illusion causée par quelque esprit malin de la forêt.

Une fois rassuré, Brume Sauvage guette les alentours. Personne… La jeune fille avance alors dans l’eau laissant ses mollets profiter de la fraîcheur offerte par l’étang. Nouveau mouvement de tête. Toujours rien… Brume Sauvage délaisse alors huipilli et cueitl sur la berge avant de plonger dans l’eau.
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Brume_sauvage
Un tête sort de l'eau et la jeune fille reprend une grande bouffée d'air. Elle secoue la tête pour dégager les longues mèches collées à son visage.

L'étang n'est pas profond et elle a pied mais Bume Sauvage s'essaye tout de même à la natation. La jeune fille entreprend alors quelques brasses maladroites... La nage n'est pas son fort. Quelques poissons lui frôlent les pieds et la jeune aztèque comprend vite que l'étang doit être, certainement, une bonne source de ravitaillement quoi que rapidement épuisable. On doit malgrès tout y trouver plus de grenouille que de poisson... peut être pas un si bon garde-manger après tout.

Brume Sauvage replonge un instant avant de remonter à la surface. Ayant assez profité de l'eau, la jeune fille décide de sortir de l'étang.

Les perles d'eau ruissellent le long de ses hanches généreusement féminine. Un corps toujours empli de la finesse de l'enfance mais les courbes façonner par la grâce communes aux femmes.

La jeune fille se rhabille et ajuste ses vêtements sur sa peau brunie. Elle s'assoit un instant sur la terre humide profitant de cette sereine solitude avant de repartir dans le clan.
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Tezoa
Tez, marchait, marchait, encore et encore dans le clan, cherchant son pas ou bien ceux de quelqu'un d'autre.

Il observait le ciel étoilé, la lune siégeait ce soir, comme une déesse.
Sa lumière ne rencontrait aucun nuage, cette nuit là lui était soudain sereine et il atteignit enfin l'apaisement recherché.

Les huttes avec leurs jardins et les champs de coté couvraient la petite plaine. Les petits monts placés au nord du clan annonçaient les autres provinces, tout comme au sud.

Comme toutes les nuits de ce bel été, les papillons de nuit s'agitaient fébrilement devant les rares abris éclairés par les feux chaleureux.

On aurait pu voir de là-haut (à la place de la lune, cette grande dame) quelques félins faisant la ronde de leur territoire.
Tout ce décor baigné par cette magnifique lumière lunaire, avait aussi droit au fond musicale de l'été: insectes fredonnaient.
Sans doute rassuré par le chant de ces insectes sonores, bien des Matixcotiens et Matixcotiennes, dormaient à poing fermés sur leur paillasse .

Tez, poursuivie son chemin jusqu'à l'étang, admirant les reflets de la lune, danser dans les remouds de l'eau, qu'il s'amusait à réaliser avec la pointe de son pied.
Bizarrement, le corps dégageait moins d'apaisement, la respiration avait elle changé? Peut être... son corps frissonnait à la fraicheur de l'eau.

Ainsi Tez préféra, admirer l'astre, allongé près d'un arbre, et aussitôt, s'endormit et se plaça doucement sur le coté ne bougeant plus une épaule.

Soudain un insecte vint lui chanter à l'oreille, c'est avec le bras libre qu'il amèna la main vers l'oreille. Le jeune homme était réveillé car quelques secondes plus tard, les pieds glissèrent de nouveau sur le lit végétal.

L'insecte cessa et l'accalmie prit place, mais ne dura pas, une minute après, le corps n'avait pas retrouvé l'état de repos optimal et la respiration avait bien changé.
Sans prévenir par un petit mouvement annonciateur, le corps bascula, il tourna d'un quart de tour, ce qui fit mettre sur le dos.
Les bras avaient suivi le mouvement, et s'étaient posé le long du corps.

La lune pouvait voir maintenant (si elle le souhaitait) le visage de l'homme, ainsi que son torse. Elle aurait remarqué qu'il était imberbe. Comme tout individu de son age, mais plus encore par les activités physiques pratiqués tous les jours (même le dimanche), les muscles étaient fortement apparents.

Sans connaître la raison, les paupières de Tezoa s'ouvrirent.
Haaaa quelle terrible erreur; surtout pour retrouver le sommeil. La lumière de la lune avait frappé sur les iris du jeune homme; ce qui fit rejoindre instantanément les cils. Un grognement léger se mit à sortir de la gorge du dormeur, ou plutôt du moitié réveillé, ou moitie endormi.

Bref, il se réveillait mais restait immobile, couché sur le dos. Sa première pensée fut une image de bestiole écrasée par une sandales tenu par erratum avec en toile de fond sa voix disant Maudite bête
Tezoa
Tez gouta toute la nuit le frais murmure d'une petite bise dans les feuillages, appréciant les gazouillis joyeux des petits oiseaux qui s'éveillent et se laisse guider par ses envies.

Profitant de la quiétude de l'endroit, il abandonne son regard sur les vertes feuilles estivales et sur le ballet coloré d'un doux automne naissant.

Les pas de Tezoa l'avaient guidé d’eux-mêmes vers cette clairière où l’union de deux ruisseaux a créé, il y a des siècles, un étang, un refuge, un abri, mais aussi un endroit chaleureux et propice aux amoureux ou aux simples rêveurs.

Les animaux, eux, n’ont pas hésité à l’adopter par ailleurs.
Le jour, félins, batraciens et volatiles enchantent les lieux de leurs discours, la nuit vous entendrez résonner le sage hululement de la chouette et le goupil glapir au loin, sans doute en quête de quelques nouvelles ruses.

Assit près de l’eau sur cette belle souche, ce banc naturel, il fermait les yeux, rêvant de ceux qui en ses lieux, se prennent la main en amoureux, berces leurs enfants en leur montrant du doigt les nuages ou les étoiles, observant et veillant sur cet ermitage, ses occupants.

Au soir tombant, chaque un pouvait être surprit par le souffle d’un vent léger qui se faufil entre les arbres pour venir leur caresser la joue ainsi qu’un frêle soupir.

La lune les accompagnera la nuit venue, âmes en peine et solitaires, elle les prendra dans ses bras et jettera sur leurs esprits embrumés un peu de cette poussière de rêve dont elle a le secret.

Tez pria les dieux, afin que chaque uns de ses frères et sœurs, se réjouissent de déambuler souriant, chantonnant autour de cette étang , sous le soleil dont les rayons percent de ci de là les feuillages verts et touffus et se jettent en milliers de petites tâches dorées sur le sol et les eaux paisibles aux reflets multicolores.
Où amoureux se couchent un moment et écoutent leurs cœurs battre et de leurs passions s’embraser.
Où musiciens s'appuient sur un tronc au bord du rivage et jouent un de leurs airs à la nature, offrant une mélodie de sons, à ce bel endroit, et poète et peintre, où l’inspiration étreint.

Le jeune homme qui rêvait, couché dans l’herbe verte, aux mystères de l’âme humaine fut surpris par une douce harmonie qui flottait dans l’air et aperçut une jeune femme...

Lorsque l’aube survint enfin totalement, la belle partit souriante en jouant et enchanta à jamais les lieux de son bonheur.

Qui était elle? Une déesse?

Tez se leva, cherchant cette femme, qui le ballade de son chant ensorcelant, le son de sa douce voie, se fit de plus en plus lointaine, seul subsistait quelques échos, avant que les chants des oiseaux ne viennent couvrir se doux rêve.

Souriant et fort de cette expérience, le jeune homme reparti au Clan, le cœur léger.
Tililia
Tili venait enfin de rentrer de ces missions... des lunes et des lunes qu'elle était partie et à son retour sa surprise fut grande de découvrir plein de nouvelles huttes à pulque et de nouvelles figures, de nouvelles soeurs, de nouveaux frères... Son Maitre Vénéré avait pris soin d'elle durant la dernière mission d'escorte au retour de la Province Orientale. Que des gens rencontrer, que de fois avait-elle failli se faire manger à la broche ou embrasser de force ! Mais son Maître Adoré lui avait offert la toute première massue taillée de ses mains et à maintes reprises elle l'avait détachée du lien de peau d'anaconda qui la retenait...

- Même pas peur ! Approche, approche !!
disait-elle en tapant sa masse dans la paume de sa main, sourire aux lèvres...

Enfin... elle était chez elle à présent, à elle les pulques à gogo, à elle les retrouvailles avec ses frères, à elle les sauteries dans l'étang grâce aux belles lianes le surplombant ! Après une visite à l'une des huttes à pulque elle se dirigea d'un pas un peu guilleret et incertain jusqu'au fameux étang. Lui n'avait pas changé durant ses périples. Il faisait un peu sombre mais les lianes les plus épaisses étaient visibles. Elle tailla rapidement une pointe à un bâton un peu dur, grimpa lestement à un arbre en chantant à tue tête pour attirer les piranhas et se laissa tomber en criant sa joie ! Cela lui rappela sa toute première baignade... La clarté de la lune ne pénétrait pas suffisamment la profondeur de l'eau mais elle aperçu une forme mouvante et planta sa pointe dedans... qui s'enfonça dans du mou... Une herbe... Où se cachaient donc les poissons argentés ? Elle remonta à la surface et rejoignit le bord en s'agrippant aux hautes herbes. Tant pis, elle viendrait chercher sa nourriture le lendemain, avec cette obscurité, nul doute que les nageurs dentés rasaient les fonds sableux. Elle secoua fortement ses tresses et se laissa tomber dans l'herbe, bras et jambes écartés, riant toute seule...

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Première Guerrière Chatte-Tigre et Fière Esclave du Puceau de Matixco.

Atala
A chaque étape de son voyage Atala avait décidé de découvrir les points d'eau...
Pour elle ces lieux étaient magiques, enchanteurs et source d'apaisement. Depuis sa rencontre avec Xoloth s'était ajouté le plaisir d'apprendre à nager et se retrouver secrêtement dans ses bras...
Elle contempla ce lac, il était impressionnant, assez sombre, semblait très poissonneux
elle n'osait pas s'y aventurer comme ça...
elle s'installa donc au bord de l'eau et regarda pensive et souriante la vie aquatique.....
elle ramassa quelques petits cailloux et s'amusa à essayer de viser les poissons....
Elle était heureuse...
Xoloth
Comme à chaque clan où il y avait un point d'eau, Xoloth était sûr d'y trouver à un moment de la journée Atala.
Cette fois-ci, il l'avait vu partir en direction de l'eau. Il l'avait suivi de loin sans se faire voir. Il avait pu constater avec une certaine fierté qu'Atala ne laissait pas indifférente la gente masculine.
Il la laissa rêver au bord l'eau. Elle était si belle à contre jour. La lumière soulignait et mettait en valeur ses balles formes.
Il la vit lancer de petits cailloux. Il attendit quelques lancers et s'approcha d'elle. Il la ceintura doucement en lui déposant des baisers dans le cou.


Viens, mon coeur... j'ai tout vendu... allons vers notre chez nous


Atala se retourna et ils s'embrassèrent longuement et tendrement. Puis ils quittèrent l'endroit en étant collés l'un à l'autre...
Brume_sauvage
Quelques feuilles bougent, s‘écartent, pour laisser place à une silhouette féminine. Le voilà! L’étang de Matixco! Un sourire se dessine sur son visage tatoué. Lentement elle s’approche l’onde émeraude. Un regard aux alentours et, personne, comme elle s’y attend.

Il fait lourd, une petite trempette lui fera le plus grand bien! Brume sauvage commence alors à se déshabiller. Posant ses affaires sur un rocher qui borde l’étang, la jeune fille pénètre dans l’eau. Elle sent les sables du fond lui chatouiller les pieds. Une douce fraîcheur s’empare d’elle et la brume se délecte de cette sensation. Un soupire…

Elle avance jusqu’au cœur de la petite étendue liquide. Son pied tape alors sur quelque chose. Un rocher au fond de l’eau. La Brume en profite, elle s’assoit sur la pierre, ne laissant dépasser de l’eau, que sa tête et ses épaules.

Elle est bien, plantée seule au milieu de l’étang. Seul le silence comme compagnon. Idéal pour réfléchir… mais à quoi? Brume Sauvage tord du nez. Si ce n’est pas désespérant çà, ne pas savoir à quoi penser!

Lentement, elle appuie ses deux mains sur la pierre plate et immergée. Elle sent l’eau engloutir son crâne, commençant à lécher ses joues. Elle ferme alors le yeux, laissant vagabonder son esprit.
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Augustin60
il se promena prés de l'étang en sifflant,il fesait des ricochers sur l'eau,tous en avançant puis il retourna dans son bureaux aprés cette petite promenade
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Guerriers onzas de Matixco!
Brume_sauvage
Les sons, sous l’eau, se déforment et deviennent méconnaissable pour ne former qu’une sorte de silence assourdissant.

De drôle de « plaf » parviennent à ses oreilles. De l’eau gicle sur son visage. La Brume fronce les sourcils tout en redressant la tête. Sur la berge Augustin s’amuse à faire quelques ricochets.

La sauvageonne l’observe un instant. Son frère ne semble pas la voir et il repart l’air de rien. Après un temps d’immobilité, la Brume retrouve sa position initiale. Qu’est-ce que c’est calme… Un sourire s’affiche sur son visage. Elle repense à la belle Mayakao. C’est que la Brume a une revanche à prendre sur elle! Elle espère avoir l’occasion de retournée à Olac pour revoir sa sauvageonne. C’est qu’elle l’aime bien Maya. Elle l’adore même!

On sourire disparaissant, elle referme les yeux un instant.
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Woldrinne
Woldrinne était assise au bord de l'étang sous un arbre
Elle reflechissait...
Franchement il y avait de quoi !
Comment était-elle arrivée ici ?
Elle releva la tete regarda autourd'elle le clan était actif
Du monde partout...
Elle avait bien rit en taverne renconté ces "frères et soeurs"
Tous desirant l'aidé...
Elle sourit replia ces genoux sous son manton et regarde son reflet dans l'eau...

Quel drole de tete j'ai ce dit-elle...
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Woldrinne
Pffff bon là sa va !
Deux jours de temple et pas 1 de plus
Fait pas charier non plus...


Woldrinne ce secoue pour ce débarasser de la poussière qui là couvre...

Puis elle s'asseil et laisse trempé ces pieds dans l'étang en jouant à faire des vagues...
Elle avait revu Koulus sa lui avait fait plaisir...
L'eau était bonne...
Elle regarda autour d'elle, ne vit personne alors elle plongea...
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