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[RP] L'étang près de la forêt...

Augustin60
il vit Woldrinne,elle était trés belle,il l'a regardais souriant et il s'approcha de l'étang,s'assis et plongea lui aussi dans l'eau,il enlevit sa serape et c'est mocassins,il ne restait plus que son pagne
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Guerriers onzas de Matixco!
Woldrinne
Wodrinne entendit un ennorme "plouf"
Elle sursauta et remonta a la surface... des vagues mais personne
Elle regarda sous l'eau rien...
Inquiète elle s'éloigna un peu...
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Augustin60
il nagea tranquillement il n'y avait personne,mais il vit une ombre en haut,il remonta

oh,niltzé!comment vas-tu?

il lui sourit et remis c'est habits même si son pagne était tous mouillés
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Guerriers onzas de Matixco!
Woldrinne
Je vais bien merci !
L'eau et bonne n'est-ce pas ?


Elle resta dans l'eau tout au bord...

Aprés la mine sa fait du bien !
Et toi tu es bien habillé !
Tu dois être un grand homme !

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Augustin60
moi aussi,je suis aller a la mine!

je suis le Tribun^^

il lui sourit,et s'assit a coté d'elle

et l'eau est trés bonne!
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Guerriers onzas de Matixco!
Woldrinne
Aprés un moment de silence Wildrinne sortit de l'eau

Il ce fait tard, je vais rentré chez moi
Je suis heureuse d'avoir fait ta connaissance
A trés bientot sans doute !


Woldrinne serra ces cheveux noir dans ses mains pour les essorer
Sourit à Augustin et pris la direction de sa propriété...
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Pamuy
La nuit de son départ, rien ne se passait comme elle aurait esprérer, les dieux l'avait-elle abandonnée?


La jeune femme courru près de l'étant... S'arretant devant. Elle avait reussi a se défaire de cette vie d'esclave imposer par un guerrier de Taxcallan. Elle de sang aztèque. Il avait fait du mal aux gens autour de lui, prit prisonniers des gens comme elle qui ne le méritaient pas. Une rencontre avait tout changé et maintenant encore une fois... tout changeait. Le bracelet qui avait permis à cette personne à l'identifier, elle le portait toujours. Relevant la jambe retira celui-ci de sa cheville et le laissa tomber près de l'eau.

Comment j'ai pu être si ... dupe!

Elle prit la direction de son petit campement temporaire pour ramasser ce qui lui restait. Elle devrait recommencer sa vie ici... esprérant que les dieux lui donnerais cette chance.
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Chirapaq
Brume_sauvage
Il était temps! L’étang s’ étend enfin devant ses yeux (mouarf ^^). La brume observe un instant la surface tranquille de l’étendue liquide puis d’un pas léger mais fatigué elle le contourne. En un coup d’œil, elle repère un arbre dont les racines dépasse du sol et elle s’y dirige. Tournant le dos à l’étang, la jeune rebelle se laisse glisser contre le tronc et s’assoit au sol, encadré par les grosses racines.

Elle a besoin de calme, de penser à tête reposée à son prochain voyage… Elle étouffe ici, mais à un point inimaginable. C’est comme si un poids trop lourd repose sur son cœur, l’empêchant de battre. Prendre la route quelque ne lui fera vraiment pas de mal, chercher ailleurs un peu d’air pur. A la base, elle pensait attendre JB, car lui aussi voulait aller à Olac, mais la Brume ne veut pas tarder… et puis… Elle grimace… Supportera elle seulement de voyager avec lui? Au vu des récents évènements non… Elle l’aura étrangler avant d’arriver même dans le prochain clan.

La jeune femelle ferme les yeux doucement pour tenter de penser à autre chose. Aller chasser? La sauvageonne grimace; elle n’en a pas réellement envie. Pourtant, une chose de sur, çà lui changera les idées! En pensant à ce qu’elle s’apprête à faire, Brume Sauvage se remémore sa courte conversation avec le Chaman, Aca. L’ombre d’un sourire… Leurs domaines respectifs sont bien plus proche qu’il ne semble le penser. N’a-t-il donc pas percé son âme? Il n’a peut être tout simplement pas chercher à le faire… Ses capacités lui apparaissent quelque fois comme un fardeau, c’est-ce qu’il lui a dit. Et elle? Voyait t’elle les siennes comme telles? Assurément non… Pour la féline, c’est une libération.

Une libération oui, cela ne peut pas lui faire de mal de toute façon. De plus, elle aimerait bien savoir ou est le petit Ocelot. Son esprit se sent toujours attiré par le petit félin… ce ne peut être une coïncidence. Brume Sauvage se concentre alors laissant son âme et son corps glisser lentement vers un état de rêve. Pas exactement pourtant. Elle cherche ce fameux passage, cet état qui équilibre la balance. On peut dire çà, oui. Lors de l’éveil, le corps physique est - souvent- plus ou moins maître du reste. Il nous dicte quand on a faim, si on a mal, chaud ou froid… Dans le rêves c’est l’esprit qui a les commande et le corps ne régit plus, ou peu. Il faut effleurer cet état, du bout de l’âme pour s’échapper s’en sombre dans le sommeil.

Elle l’a fait tellement de fois, depuis tellement longtemps, elle n’éprouve aucun difficulté à obtenir ce qu’elle désire. Quelque battement de cœur après avoir fermé les yeux, la Brume fait tombé les chaînes qui retiennent son esprit… et ses pensées s’échappent…

Léger frémissement… le petit félin ouvre le yeux…
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Belleayla
Ayla, marche le long de l'étang, regard dans le vide, corps encore meurtri par le dernier combat, elle réfléchit.
L'eau reflete un ciel sans nuage, par cette journée trop chaude. Au loin, elle cherche Popocatepetl, son volcan, son repère. Par delà ce volcan ce trouve son clan, et déjà, elle sait qu'elle n'y retournera pas.

Bientôt les guerriers blessés seront en état de se déplacer, et pourtant... ira t'elle les chercher. Passer sa vie sur les chemins, elle en a marre. Ils sont bien assez fort pour rentrer seuls, et elle se refuse à regarder en, arrière. Des années qu'elle coure, qu'elle nourrit, qu'elle se bat sans jamais penser à elle, à sa vie.

Son regard se perd dans le bleu de l'eau, et elle retrouve en rêve, ce regard noir et profond.

Où est-il à présent, celui qui a su faire fondre les glaces qui envahissait son coeur? Saura t-il comprendre une amazone comme elle?

Son pas est lent, son état ne lui permet pas d'accélerer et la fait plonger dans la mélancolie.
Elle repense à ses soeurs et à son frère. Quelle famille ! Tous guerriers, élevés à la dure, élévés à coup de révolte, de pillages, et de combats. Certes maintenant son clan est riche, sa province est forte et tous les jeunes continuent à raller, à pleurer tels des enfants trop gatés, habitué à ce que tout arrive directement au clan, nourriture, vêtements, objets, elle en a marre de charger et décharger le lama.
Est-elle donc comdamnée à cette vie. Est ce le sors des Amazones?

Elle revoit ce visage encore et toujours qui ne la quitte plus. Alors se demande si elle est prête à changer de vie...pour lui.

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Stoppez le flood...Grrrr
Pamuy
Pamuy revint de son voyage et retourna vers l'étang où elle s'était exprimé de sa rage avant le départ.

Son coeur encore un peu meurtri, se replaçait lentement. Mais qui était elle pour décider de ce que les dieux désiraient et plaçaient sur son chemin? Il devait y avoir une raison.

S'agenouillant sur le sol, remant les pierres et cailloux pour trouver son trésor. Le soleil brillant fit reluire le coin près d'un rocher, s'approchant lentement, ses yeux bleus s'illuminèrent lorsqu'elle se pencha, elle retrouva son bracelet de cheville, la marque de son peuple, sa famille.

Oh... je vous remercie de l'avoir garder en état pendant mon séjour.
La jeune femme regardait le ciel en disant ça.

Elle se redirigea ensuite vers la maison de Tili pour voir où ils en étaient pour le rite de passage guerrier.
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Chirapaq
Ella
Elle n'était pas venue en ces lieux depuis plusieurs semaines, voir des mois.
C'est avec un grand plaisir qu'elle s'y rend et redécouvre le paysage environnant ce petit lac.
Dans ces souvenirs, la dernière fois, elle y avait rencontré Atlan.
Tout cela était bien vieux, la Sulfureuse s'était presque coupée de tout et de tout le monde depuis qu'elle était Tlatoane. Trop de travail, trop de rats attirés par le Pouvoir.
La fin de mandat approchant, l'envie de renaitre se faisait ressentir. Elle aspirait à retrouver sa joie d'antan.
Elle avait besoin de s'échapper de libérer son esprit, de se libérer de ce pouvoir et de ses responsabilités.
Comme le disait si bien le Roi, le pouvoir est un poison.
Elle ne supportait plus ce dit pouvoir. Elle en serait débarrassé dans quelques jours . Quand elle avait monté sa liste, elle n'avait pas la prétention d'être Tlatoane, elle se voyait plutôt au commerce. Son inexpérience avait fait ses preuves, personne ou presque ne respectait ses directives, mais elle continuait de se battre comme un chien enragé pour remplir la caisse. Son objectif était de laisser aux prochains une caisse confortable.

Ses envies aujourd'hui se tournaient vers une carrière militaire, comme elle l'avait toujours rêvée. Elle avait passé Camaxtli il y a des mois, mais ses postes successives entravaient sa liberté.
Liberté qu'elle devait retrouver. A tout prix.

Chemin faisait, elle passe les derniers arbres menant au lac. L'aube se levant à peine, les premiers rayons du soleil trempent dans l'eau.
Elle observe et respire la sérénité de ce lieu. Lieu qui lui avait manqué. Beaucoup de choses lui manquaient réellement, sa famille, son feu père, Tlacaelel..Papa..Si tu étais là...Tu saurais me guider...

S'en suivit des larmes de tristesses, de désarroi, d'amertume et de regret.
Elle se laissa aller contre une pierre à bout de force, non pas physiquement mais mentalement.

Allongée sur le sable, elle craque, seule, mais cela lui procure un immense bien-fait. Elle n'a pas honte.

Elle pense à son frère, puis au son deuxième frère Zazzera.
La famille Achtli s'agrandit, le sang de Tenoch coule dans les veines.

Ses pensées deviennent alors très floues et doucement la belle ferme ses paupières, relâchent la tension présente dans ces muscles et s'endort..

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Les Femelles dominent, les mâles s'inclinent!
Brume_sauvage
[ Dans la hutte de la Brume ]

Le soleil a terminé sa course dans le ciel, laissant l’astre blanc régner en maître dans le ciel. Le moment parfait… Cela va faire trois semaines qu’elle a ramené Tcheku de la foret.
Trois semaines de long travail, trois semaines pour se découvrir…

Plusieurs fois, elle est sorti avec lui dans le clan, mais jamais ils ne l’ont fais séparément, marchant côte à côter. Le jeune ocelot a eu le temps de s’habituer à elle et désormais, elle peut le lâcher sans prendre le risque de le voir partir.

Brume Sauvage attache un couteau à sa taille avant de s’approcher du petit félin. Il l’observe en silence, sans bouger. Lentement, elle s’accroupi à côté de lui. Avec précaution, elle avance ses mains vers son cou. Elle ressent immédiatement sa crispation. Son museau se fronce, accompagné d’un grognement sourd. Tout aussi sereinement, pourtant, elle continue ce qu’elle étais en train de faire car elle a compris, que ce grondement n’est qu’un avertissement, pas une menace.

Avec précaution, elle desserre le nœud qui enlace le cou du félin depuis des semaines. La corde tombe sur le sol. Brume se relève sans mouvement brusque et se dirige vers la sortie. De son bras gauche, toujours marqué de la morsure du félin, elle écarte les peaux et se retourne vers Tcheku.

Ce dernier la regarde sans comprendre. Enfin, il semble réagir et commence à sentir la liane qui repose au sol. Un sourire sur le visage, elle attend qu’il se décide à bouger et quand enfin il esquisse quelque pas, la pisteuse passe l’ouverture.

La fraîcheur de la nuit s’empare d’elle, la faisant frissonner agréablement. Les yeux fermés elle patiente. Elle ressent alors une présence hésitante derrière elle. La nahaualli se retourne lentement pour apercevoir le jeune ocelot qui pointe timidement son nez dehors. Il ne comprend pas ce qui lui arrive. C’est la première fois depuis presque une lune qu’il n’a pu se mouvoir en toute liberté.

La Brume le fixe avant de tourner sur la gauche pour rejoindre la foret. Une nouvelle fois, Tcheku hésite. La jeune femelle s’enfonce dans la végétation suivit de loin par le petit félin.

[ Près du lac ]

Les deux êtres marchent depuis un moment à travers la jungle. Tcheku n’a pas attendu pour grimper dans les arbres et son enthousiaste juvénile ravie en tout point la brume. Elle craignait tout de mène de voir le félin la semé, mais il n’en était rien. Maintenant, il ne pourront plus se séparer.

C’est sans aucune difficulté que la guerrière s’oriente dans la jungle. Pour avoir longtemps côtoyer les ombres, l’obscurité n’est que futilité. Ce soir, ils doivent chasser, pour le geste, le plaisir, mais surtout pour sceller le lien...

Elle est nahaualli et Tcheku est son nagual.

Leur prise sera l’achèvement de leur travail. Tout reste à faire, mais le plus dur est passé.

L’étang n’est plus très loin. La nuit, les animaux sortent de leur cachette et parte s’abreuver. Un lieu idéal pour trouver des proies.

En s’approchant du point d’eau, Tcheku et la brume ont la même réaction. Leurs poils se dressent dans leurs nuque sous le poids de l’excitation. La féline s’accroupie dans les feuillages, l’ocelot descend de son arbre avec discrétion. Une famille de tapir se trouve non loin de l’étang. Deux gros adultes et plusieurs jeunes. Les petits quadrupède son largement à leur porter.

La nahaualli ne détache pas ses yeux de sa proie, une lueur sauvage animant son regard. Son attitude calme rassure l’ocelot nerveux à côté d’elle. Elle agit comme une femelle dominante, bien que la notion de groupe n’existe que très peu chez les félins. C’est elle qui mène la chasse. A l’ocelot de suivre le jaguar. Rapidement elle analyse la situation, leur nombre, le terrain… il faut dispersé le groupe. Elle attend alors, que Tcheku soit près pour intervenir.

Une main glisse sur le couteau qu’elle détache de sa ceinture. Furtivement, la jeune chamane contourne l’étang.
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Nayeli..

Cela faisait deux jours qu'elle s'était rendue à Matixco, le clan était toujours aussi calme, peut-être un peu trop à son goût. Elle qui se réjouissait d'enfin pouvoir se changer les idées.. Entre ces élections à Tizatepec.. Deux candidates, dont les programmes étaient vides, il fallait bien l’avouer.. Deux programmes, qui avaient pour idée similaire de Dynamiser le clan.. Comment ? Ah non, ça c’est la question en trop, tu t’la boucles, t’attends et tu verras. Se la boucler.. C’était mal connaître l’oiseau. Mais à vrai dire, ça n’était pas ça qui agaçait le plus Nayeli.. Ce qui l’énervait tant, c’était les habitants de Tizatepec et leur bientôt célèbre, passivité. Et pourtant, pas faute d’avoir taper un scandale en taverne, critiquant les programmes, dénonçant le manque de précisions, l’absence d’objectifs, de prises de positions.. Mais rien n’y faisait, elle n’était pas parvenue à attiser la curiosité des habitants, ceux-ci se contentaient de dire que la future capullec était présente en taverne.. Qu’elle était bête, la Naye, c’est évident qu’un programme précis, clair, et garni, est inutile.. Ça n'était pas comme-ci on se préparait à élire le chef de clan.
Dépitée, elle était dépitée.

Ses pas devinrent rapidement hasardeux, sa main droite fermement accrochée au manche de la rame. Elle zigzague, virevolte, si on la regardait de loin, on pourrait croire qu’elle recherche quelque chose.. Ou bien qu’elle est folle.. Ou peut-être un peu des deux ? Nombreux doivent-être ceux qui la pensent déjantée. Nayeli le sait, mais cela fait bien longtemps qu’elle ne s’occupe plus de l’avis des autres sur sa personne, sur sa Ô grande personne, devrais-je dire. Voilà l’aspect positif de la solitude, de la vie de sédentaire qu’elle est devenue.. Se suffire à soi-même, pas de risque d’être déçue comme ça. Nul besoin des autres.. Ou.. Peut-être un peu, parfois.. Mais discrètement, alors. Orgueil oblige. Parfois c’est d’affection, alors elle choisit un homme parmi tous ces admirateurs, celui-ci trop heureux d’avoir été choisi semble incapable de voir qu’il ne représente rien. Ou peut-être a-t-il dans l’espoir d’être époux de la brune ? Douces illusions. Et puis face aux autres personnes, on s’laisse aller, l’ironie est de mise. Les remarques fusent avec aplomb, parfois avec impassibilité.. A tel point que nombreux se demandent si elle plaisante ou non. Nayeli rit de voir tant de réactions différentes, elle rit de voir des gens s’offusquer, de voir des gens abonder dans son sens pour être tranquille par la suite.. Elle rit.. De tout, de rien. Folle ? Si peu..

Et elle continue sa route, laquelle ? Celle du hasard.. Pourquoi changer les habitudes ? Son pas est léger et rapide, elle s’éloigne.. Le paysage défile sous ses yeux, mais elle n’y prête pas vraiment attention, elle se contente de marcher.. Sans accorder d'importance aux personnes qu’elle croise, au paysage qui se métamorphose. Elle s’éloigne peu à peu du clan, plus de huttes, la terre n’est plus vraiment travaillée. Le sol terreux perd lentement ses nuances de marron : marron foncé, marron clair, marron clair strié de blanc.. Et puis… Un étang. Grand, majestueux.. Imposant. Les rayons du soleil brillent à travers la surface de l'eau. En quelques foulées, Nayeli se retrouve au bord de l’eau, accroupie, elle plonge ses mains dans l’eau fraîche afin de s’humidifier le visage. Le contact lui fait du bien, l’apaise.. Tout comme l’ambiance calme et sereine, drapée d’une douce luminosité.

Quelques instants plus tard, elle est là, allongée sur le dos, sable humide mélangé à quelques racines en guise de lit. Elle fait le vide, elle rumine.. Il lui faut quelque chose de plus, ça ne lui convient pas. Plus, toujours plus. Mèche brune qui s’entortille autour de son index.. Que veut-elle.. De plus ?
Khardor
Khardor était heureux, et triste à la fois.

Déambulant à côté de l'étang, il restait à l'ombre d'un arbre.


Le clan ne changeait pas.
Fier.
Puissant.
Magique.

Peut-être, justement, ne changeait-il pas assez.

Khardor était maintenant calpullec. Et si ses habitants se faisaient maintenant voir par tous, comme étant de ceux sur qui la Province peut compter, pour l'intérêt général, le clan voyait partir ses enfants les plus motivés.

Mais Khardor n'était pas du genre à laisser tomber, bien au contraire.

Ce n'était que le début.
Oui, le début ...

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Empire Azteque
Province d'Acolhuachcan
Membre du clan de Matixco, comme tisserand et calpullec (février/mars/avril/mai)
Brume_sauvage
La nuit avait été agité et tendu.
Elle n’a pu fermé l’œil… du moins elle n’a pas pu trouvé le sommeil.
Tcheku était toujours à la chasse quand le matin est arrivé. Elle ne peut lui en vouloir, c’est son droit, mais elle aurait préféré l’avoir auprès d’elle, elle aurait été plus rassuré. C’est un félin certes, mais c’est un ocelot, et il ne pourra faire le poids face à un animal plus gros…. Même face à un être humain.

Le visage fermé et les poil de sa nuque hérissé, elle se dirige vers l’étang pour tenter de se rafraîchir un peu les idées. La saison est sec, un peu d’humidité ne ferait pas de mal.

La petite étendue d’eau se dévoile rapidement à sa vue. Regard méfiant jeté au alentour, la chamane s’y accroupie et y plonge ses mains.
A plusieurs reprise et s’inonde le visage, tandis que tout son esprit reste aux aguets et en éveil.

Nouveau frisson qui lui parcoure l’échine. La nahualli redresse la tête et jette un regard noir autour d’elle. Son nez se fronce.

Une nouvelle fois elle plonge son visage dans ses main formant une coupelle d’eau.
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