Jo9183
Épinal le 22 Avril 1458
Le moment est proche, je cède la mairie à mon amie Liz pour enfin profiter pleinement de mon époux. Ce poste me tient à cur mais l'amour que je lui porte l'emporte.
Bal s'occupe de préparer l'itinéraire et des billets du bateaux, tendit que je prépare notre départ en baluchon et en denrées.
La route allait être longue, et il fallait bien ce préparer.
Titus le cheval de Balsamo était pret, Corleone mon aigle laisser au bon soin de leur amis à la maison, porte et fenêtres fermées, la route les attendait.
L'heure des embrassades arrivait, Bal et Jo saluèrent leurs amis et prirent la route.
St Dié le 23 Avril 1458
Première escale, 3 mois pile après notre mariage, St Dié terre encore inconnu pour ma personne, de notre Lorraine de naissance. Nous retrouvons quelques amis en taverne tel que Rosa, Catha et Cao, avec qui nous passons un bon moment bien que ces temps ne soient pas forcement aux réjouissances.
Début de voyage, ensoleillé, la route ce passe bien et nous fêtons notre voyage en taverne. Bal prenant les rênes de ce début, je m'octroie quelques verres et je finis plus que ronde. Me voilà partir à rire de tout et de rien, surtout de rien.
Pour bien débuter j'ai même à un dormeur de taverne, qui paraîtrait il ne dort pas en général dessiner au charbon de bois une belle moustache brune à l'aide d'un morceau de charbon de la cheminée. Celle ci n'avait pas été vidée et il en restait donc un peu. Surprise de son réveille au même moment, j'en lâchais le charbon l'air de rien, et je fus prévue que si j'osais, il me collerait à ma chaise. J'avoue ne pas savoir comment, mais si il dit qu'il le fera, je ne m'y tente pas.
La nuit était vite tombé en cette belle journée, mais il fallait déjà repartir sur la route, repassé par chez nous pour continuer le chemin.
Impossible pour moi de repartir droit sur mes pieds, Bal se propose alors de me porter, et nous sommes obliger de faire moult arrêt sur le chemin. Je suis sur que secrètement il espère que toute la route ne ce fera pas ainsi avec moi sur le dos.
Jo9183
Epinal le 24 Avril 1458
Retour sur le dos de Balou à Epinal, décuvé de la veille est difficile mais rien n'est impossible heureusement j'ai un mari pleins d'attention à mon égard qui me porte sur son dos même lorsque que j'ai trop bu.
C'est dingue la Lorraine est tellement calme qu'on ne croise même personne en chemin. Les baluchons restent en place, juste un tour en taverne ce soir et on repart direction Vaudemont.
Vaudemont le 25 Avril 1458
La nuit tombe, nous repartons, Vaudemont nous voila. Nous sommes dimanche et j'espère pouvoir aller à la messe. Les cloches sonnes 10h, j'entre où j'ai fais mon entrée dans la famille Aristotélicienne. Elle est vide, je fais le signe de croix et j'entre m'installer.
Toujours aussi belle cette Eglise. La lumière pénétrait par les vitraux, ce qui mit l'Eglise de Notre Dame de Sion tout en couleur. Du rouge, du bleu, du jaune, comme c'est étrange, le mélange des couleurs en fait apparaître d'autres.
Midi sonne et pas de messe à l'horizon, reste plus que la boulasse pour remonter le moral, qu'on vienne pas me dire après que je bois trop hein.
Après une prière pour mes amis, je me lève et part en taverne. Je reviendrais pensa t'elle, comment ne pas revenir dans l'Église ou l'on a dit Oui à celui que l'on chérit.
J'entre dans la taverne municipale ou je passe une longe heure seule à méditer, roooh mais non je ne bois pas seul, ralalal vous êtes pas possible vous. Reprenons, une heure après je vois enfin un visage familier, celui de Maryjo, qui a bien faillit être ma belle sur à une époque. Elle ce porte bien et ses deux petits anges aussi, Clémence et Léa. Je prends des nouvelles de son frère nommé Roy maintenant et j'apprend qu'il vit à Dax.
Surprise, Vaudemont toujours si calme se rempli comme un rien aujourd'hui, cela fait plaisir à voir.
Angedouce, que je n'avais pas revue depuis un moment maintenant à reprit résidence ici. La venue de Fogacer et Sisi, me réjouie.
Silius, lui toujours aussi étrange à ça façon dêtre, il na confiance en aucune femme, même pas en celle qui laime, drôle de relation.
Un peu de repos mérité, nous nous reposons un peu et nous nous retrouvons avec Bal en taverne. Milieu de soirée et personne en vu, dans les bras lun de lautre nous en profitons pour rester un peu au calme et discuter.
Mes craintes sur le passage de lArtois sont grandes et si nous nous faisions couper la tête
..
Entre temps japprends quon me demande dêtre le lieutenant de la maréchaussée de Epinal, comment ce concentré sur son voyage de noce quand on vous fait de tel proposition hein et en plus on me demande de pas répondre dans 6 mois ralala sont pas patient ces gens. Ben ils attendront un peu que je faire mur réflexion.
Direction Toul la magnifique. Enfin ça cest heu qui le dise.
Jo9183
Toul le 26 Avril 1458
De bon matin, je me pose en taverne et personne, je continue de pensées que la lorraine est calme bien trop calme par rapport à ce que j'ai connus.
Les problèmes du duché comment à m'envahir, je suis en vacances, je ne suis pas la pour discuter de qui devrait être où.
Nous partons le soir même pour échouer sur un nud près de Argonne. Les brigands font ras motte nous n'en voyons aucun pour le moment et pourtant on sait que ce nud n'as pas bonne réputation.
Nous profitons de ce temps calme pour nous reposé un peu. Je passe la journée dans les bras de mon aimée, je savoure cet instant.
Argonne le 28 Avril 1458
Ce matin, un lapin à ..... heu pardon je m'égare la.
Argonne, ville encore inconnu pour moi, je fais un bref tour et comme nous en avions parler nous détruisons notre groupe et rangeons les armes. Nous ne voulons aucun problème durant notre séjour.
au alentour du déjeuner je passe faire un tour en taverne ou je rencontre deux charmantes Argonaute, Dydy et Solane. Le soir même après avoir été en foret couper un peu de bois, je fais la connaissance d'un peu plus de monde. Je revoit Clap rencontré il y a fort longtemps à Vaudemont, toujours aussi sympathique, mais le plus drôle de cette soirée restera Grondar.
Les temps sont calme et ennuyeux. et Grondar propose une course de Lézard. J'éclate de rire et le suit dans son délire. Fort peu motivé les autres ne suivent pas vraiment mais on tente d'animer tant bien que mal la soirée.
La soif ce fait sentir, on dirait qu'ici, ils ne boivent jamais. Personne ne prends jamais de verres sont drôle ces Argonaute. Bon afin de boire un verre et de ne pas me ruiner var la taverne est pleine, je propose un tire à la courte paille, pour savoir qui payera cette tournée. Forcement je n'allait pas avoir la plus courte c'est logique.
Après cette soirée amusant au final je part me coucher dans l'auberge de la Rose Blanche tenue par Dame Kallana, mairesse de la ville.
Fatiguée je ne sort pas de l'auberge jusqu'à reprendre la route. direction Reims Capitale de la Champagne.
Jo9183
Reims le 29 Avril 1458
La route prise en direction de la capitale de la Champagne, terre bien calme allons pas ce plaindre de la Lorraine je vous assure que la Champagne c'est trop mortel pfiou.
Nous arrivons de bon matin, et comme chaque jour je regarde si il y a un peu de monde en taverne. Inespéré j'entre et je tombe nez à nez avec une dame qui rêvasse. Les présentations faite, elle n'est autre que Dame Delvi Connétable de Champagne. J'vous raconte pas le savon qu'elle me passe.
Bien oui j'ai jamais eu de réponse pour notre demande de laisser passer du coup nous on ce laisse passe quand même, adviendra ce qu'il adviendra.
Delvi me sermonne, ne croyant limite pas, et j'en suis sur que ma demande a été faite auprès de leur prévôt, pffff encore un homme qui dors sur ces dossier celui la.
Je lui envoie donc sur le champ notre demande mais pour sur elle me prévient que le douanier à une artillerie de pigeon et que nous allons en bénéficier.
Nous déposons donc les armes, et restons bien sagement en retrait de toute civilisation pour la journée, ne cherchant à ce faire remarqué mais voila que le douanier ce déchaine sur nous.
Et vous avez pas le droit d'être la
Et vous avez pas de laisser passer
Et vous devez déposés vos armes
Et patati et patata
Douanier non mais il n'a que cela à faire d'embêter des gens comme nous??? comme si nous étions des brigands des grands chemins. Nous sommes des gens respectables voyons.
Bon je fait quand même profil bas, j'veux pas s'ennuie et j'pense beaucoup à Liz qui me tuerais si je me faisait couper la tête, j'avoue que je ne sais pas comment elle ferais mais bon, à voir. J'envoie donc un pigeon d'excuse à messire douanier des remparts de Reims.
Varennes le 30 Avril 1458
Nous ne trainons pas à Reims et repartons aussi sec, pffff on à payer l'hôtel alors qu'on a pas passer la nuit, même pas on a fait des folies dedans. Ils sont pas top leur hôtel en fait, la décoration bieurk ça donne pas envie, on ce sent observé de part et d'autre.
Je tombe sous l'emprise du silence, Varennes est comment dire... aHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH au secourrrrrrrrrrs trop de silence tue le silenceeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Dans la journée nous nous promenons Balou et moi dans le village. Main dans la main, nous profitons de ce voyage pour nous retrouver un peu, nous en avons besoins. Marchant nous passons par un parc, pas aussi jolie que le parc de la Chipotte et tous ses animaux mais bien en fleurs, un concert de parfum nos envahit, le soleil tape sur nos visages, une journée comme on n'en a peu vu avec cet hivers rigoureux que l'on a eu.
Après cette douce promenade au grand air, nous allons prendre un verre. Ah enfin nous rencontrons du monde. Un messire charmant du nom de Cheee, beau brun bien aimable qui hésite pas à payer moultes tournées de bière; Oh il nous a aussi donné du champagne, drôle de petites bulles qui parsemée ce breuvage. Nous l'invitons à venir visiter Epinal, il passera prochainement. Il y a eu aussi le petit Flow, espérant qu'il ne s'ennuiera pas trop tot la ou il est, pauvre jeunot, va falloir qu'il s'accroche celui la.
L'heure du départ à sonner. Quelques embrassades et direction le nud, oh au faite on vous à pas dit, mais on parle de faire un petit nous peut être cette nuit qui sait.
Jo9183
Premier Nud entre Compiègne et Peronne en Artois le 01 Mai 1458
Le jour n'était pas encore levé, quand nous arrivions sur le nud. Celui ci abritait une mine d'or, que rêver de mieux pour s'enrichir.
Bal attrapa Jo et l'entraina en courant loin des chemins. Elle ce demandait d'où venait ce regain d'énergie après cette longue marche qu'ils venaient de faire. Il s'arrêta net ce retourna et me fixa. J'avais beau lui demandé ce qui ce passait, il ne répondit pas. Inquiète, car on m'avait bien dit de faire attention en Artois, je me retournais sur moi même voir si l'on était suivit mais non rien.
Elle le regarda cherchant à comprendre ce qui ce passait. Lui n'arrêtait pas de me regarder à m'en faire fondre, les jambes vacillantes. Il m'attrapa et m'embrassa tendrement comme il savait si bien le faire dans ces moments la.
Jo le lui rendit se laissa faire. L'amour qu'il y avait entre ces deux êtres à qui le Très Haut donna la vie n'était pas quantifiable ni qualifiable.
Rien de plus intense, de plus beau ne pouvait avoir lieu en ce moment précis.
Enlacé, ils passèrent la journée là, dans les bras l'un de l'autre, amoureux comme au premier jour. Jo l'embrassa après ce moment de bonheur vécut à cet instant.
Le soleil ce couchait, Jo et Bal ce levèrent de leur nid d'amour improvisé et ce remirent en route. Prochain nud l'Abbaye de Tastevin.
Jo9183
Les jours passaient mais ne ce ressemblaient pas.
Abbaye de Tastevin, le 2 Mai 1458
Nous avons surement pénétrer ces terres à l'heure de la messe car personne en vue. Les rues sont désertes.
Nous décidons quand même de visiter un peu. Nous laissons donc Titus à l'entrée avec nos armes, pour ne pas trop attirés l'il.
Au fur à mesure que nous avancions, nous nous demandions si des moines vivaient la, vu le silence qui régnait. Ah on nous fait mentir, un moine approche et nous salue. Il nous indiques les recommandations à suivre en ces lieux, tel que les conditions de ventes pour le marché. Ce qui est sur c'est que la spéculation les moines connaissent c'est leur grande amie.
Ce petit moine, ca il était petit et gras en plus, imaginer le Frère Jean dans un conte célèbre. Ses cheveux absents sur le haut de son crane, il n'en avait que tout autour de sa tête formant comme une couronne autour de celle ci. Je vous assure, pas très craquant ce moine.
Oh j'oubliais, moi qui me promène en jupette depuis le début, j'ai tout de même enfiler ma houppelande pour plus de convenance.
Nous parons faire la visite de l'Abbaye de Tastevin, en compagnie du moine. Celui ci nous emmena voir comment était fabriqué la bière. Impressionnante manipulation, nous étions en extase devant ce flot.
Nous eûmes la chance d'y gouter, et je vous assure qu'elle est bonne. La visite de l'Abbaye ce terminait, nous remercions ce bon moine de ça compagnie et de son précieux temps offert.
Pour le remercier, nous lui faisons offrande de deux trois denrées que nous transportons pour les plus démunis.
La nuit était tombée, quand en fin de soirée nous étions en taverne en train de nous délecté de cette merveilleuse bière. Je tombais de sommeil, mais Bal était formel, nous ne pouvions rester sur place cette nuit, il nous fallait repartir. Il m'était impossible de marché tellement la fatigue me prenait. Je regardais Bal, de mes petits yeux amoureux et fatigués, lui faisant ma plus belle moue. Me connaissant bien, il comprit et accepta de me porter sur son dos, ainsi je pourrais me reposer. Titus, notre monture fatiguait aussi, nous décidons donc de ne pas monté dessus pour le soulager le temps de ce trajet.
Sur son dos, il m'attrapa les jambes afin de bien me maintenir et j'enroulais mes bras autour de ses épaules. Fatiguée, je déposais un baiser sur sa tête et posa la mienne sur ses épaules et je fermais les yeux, lui murmurant un dernier je t'aime...
Jo9183
Dieppe le 4 Mai 1458
Après un repos bien mérité sur le nud précédent entre Amiens et Bertincourt, nous voila remonté sur Titus pour aller à Dieppe.
La mer ... nous sommes arrivés à la mer. Pas le temps de ce reposé nous filons à l'auberge la plus proche pour déposer nos affaires.
Je criais partout "il y a la mer, il y a la mer" et puis c'était la première fois que je la voyait. Une eau si bleu, et d'après ce qu'on m'a dit elle a un goût différent; différent de l'eau du lac de Luxeuil. Je me demande bien ce qui pourrait changer d'une eau à l'autre.
Bal m'a expliquer que l'eau de mer était remplis de sel .... quoi de sel .... mais qui as bien pu mettre du sel dans l'eau?? ils ont un grain eux. Il faut absolument que je trouve quelqu'un qui a cette réponse. Dès ce soir je me met en quête d'avoir réponse à ma question, pourquoi la mer est salée. (pour sur j'aurais l'air d'une idiote hein). En plus c'est dingue, mais si il y a vraiment du sel, la mer, elle doit être petite non ?? car sinon celui qui a déversé ça dedans il a du en mette un paquet pour qu'on le remarque.....
Quel vent, je pensais pas qu'au bord de la mer il y avait un temps comme celui la, un vent fort venant de loin.
Voulant à tout pris toucher l'eau nous voila partit pour une ballade sur la plage sans même nous être reposer après la route. Main dans la main, nous marchons. les galets très peu pratique pour avancer avec les bottes.
Sur la plage, il nous arrivait de nous arrêter pour regarder la mer et son paysage. Elle venait et repartait. Au fur à mesure de la promenade, j'avais l'impression que l'eau n'était jamais à la même place, mais je n'en dit rien, n'étant pas sur de ce que j'allais avancé.
Jo9183
Notre séjour à Dieppe ce passait bien, l'air de la mer y était serein et apaisant. J4avais envu eu mes réponses à mes questions. Réponses donné par une connaissance qui avait quitter la Lorraine Dame_Gally et de son ami Pitt.
J'eus deux versions bien qu'une d'entre elle semblait étrange mais tellement vrai.
Pitt m'expliqua que c'était lui qui avait salée la mer. Portant des sacs de sel sur le dos, il tomba à la reverse et tout ceux ci ce déversèrent dans la mer.
Gally prise d'un fou rire, réfuta l'histoire et m'expliqua que la mer avait toujours été salée, que c"était une oeuvre du Très Haut d'être ainsi.
Ils nous conseillèrent un ami à eux pour le trajet en bateau, nous contactons donc le capitaine Boubouscador.
Nous voila sur le bateau la Lizie en train d'attendre Double et Gribouille. Arrivant les larmes aux yeux Grib nous apprend ce qui est arrivée à Double sa sur. Nous restons sans voix, elle ne pourra continuer. Une pensée pour elle et le bateau prend le large.
Nous profitons de cette croisière pour visiter le bateau, lieu de résidence pour quelques jours. Le point est immense, lorsque je vais à la tête de celui ci, mes yeux suivent un grand mat si grand que je n'en voit pas le sommet. Au bout de celui ci, il y a une voile si grande qu'elle nous arrive presque dessus.
Tour à tour avec Bal nous faisons partit de l'équipage, nettoyage de pont, serrage des cordes. Grib nous aurait elle soutenue un peu, pfff tu parles.
Le soir nous nous retrouvons au mess, nous trinquons à notre voyage, buvons de bon cur et en profitons pour aller voir les vagues du hublot. Elles sont magnifiques, en avant, en arrière, une danse si merveilleuse que je ne m'en lasserait pas. Enfin .... je ne m'en lasserais pas mais je fais tout de même des poses car cela me retourne le cur. Je ne pensais pas que le bateau me ferait cela, mais apparemment j'ai le mal de mer, drôle d'idée d'être malade sur le plus merveilleux des moyens de ce déplacer.
A l'intérieur, je me sentais étrange, nouvelle sensation, foutu sale mal de mer va, serait capable de me gâcher mon voyage en plus. Une fois ma couleur changer, je finis les fesses au sol essayant tant bien que mal de retrouver mes esprits mais la seule chose à faire est de filer sur le pont et de trouver un sceau. J'ai essayé par dessus bord mais je me suis prise une vague en pleine tête cela n'as pas arrangé les choses car j'étais malade et trempée. Le soucis c'est que c'est plus fort que moi, j'aime tant voir les vagues, que Grib me crie dessus pour me retenir mais en vain; par contre elle aime ce moquer mais j'aimerais bien l'y voir elle.
La voila qui prend une plume et une mouette et direction Epinal pour demander à notre amie Isis ce qu'il en ai et ce que je peut prendre pour arrêter ce mal. En attendant je file me reposer à ma cabine.
Jo9183
Le retour est la, nous faisons demi-tour pour remonter à bord de la Lizie. Nous espérons tous que les vents seront en notre faveur cette fois pour ne pas rester trop longtemps à son bord. Mes nausées ont diminuées mais ne ce sont pas arrêtées même à terre.
Inquiète et sous les conseils de Grib, j'écris à notre amie Isis à Épinal. J'envoie mon meilleurs pigeon afin qu'il fasse au plus vite.
Citation:Courrier envoyé a isis le 24/05/1458 à 21h35
Objet : conseils et questions
Bonsoir Isis,
j'espère que tu vas bien, et que ton Slark aussi.
J'aurais quelques petites questions à vrai dire. Grib m'a conseillé de t'écrire pour savoir ce qu'il en ai en fait. Que c'était finalement la meilleure chose à faire n'ayant pas de réponse toute faite.
Voila je t'explique c'est un peu délicat par pigeon en plus.
Nous avons pris le bateau pour les terres anglaises et durant tout le voyage. De ce faite Grib m'a gentilement proposé de ces fameuses infusions que tu lui avais confié avant son départ. Celle ci on un peu fait passé le mal, mais un pied à terre cela avait un peu ralentit mais je me sentais tout de même barbouillé.
Bal s'inquiète, et je ne sais pas quoi pensé en faite.
Saurais tu ce que j'ai Isis ??? je sais que à distance sans me voir cela ne doit pas être facile, mais si tu as des questions j'y répondrais volontiers, si cela peut m'aider à savoir ce qui ce passe chez moi.
Bises Isis et merci d'avance de ton retour
Jo
Un moment plus tard je vois revenir un autre pigeon, mais pas le mien. Je prend à sa patte le message envoyé, il est de Isis.
Code:Expéditeur : Isis25
Date d'envoi : 2010-05-24 22:07:27
Coucou ma Jo,
j'ai bien reçu ton pigeon.
Je l'ai mit au repos pour quelques jours.
Cela sera l'un des miens qui te donnera ce message.
D'après ce que tu me dis, tu as encore des nausées même quelques jours après votre arrivée.
Je ne vois que 2 choses ma belle
Soit tu as mangé quelque chose d'avarié soit ben dans quelques semaines vous serez plus deux mais trois.
Pour les nausées, boit 3 fois par jour des infusions de réglisse et de menthe.
C'est tout ce que je peux te dire par pigeon ma belle.
Ne pouvant t'examiner, je ne vois que ça.
Dis moi si tu as d'autres symptômes afin que je puisse affiner mon diagnostic.
Reposes-toi aussi le plus possible. Et manges léger pendant quelques jours.
Embrasses pour moi Gribouille et Bal
Je te fais une grosse bises
A bientôt de vos nouvelles
Isis
Elle m'éclaircit l'esprit et je vais pouvoir prêter attention maintenant à ce qui ce passe en moi. Je lui réécris tout de même pour me réconforter et lui dire ce que j'ai remarqué.
Citation:Courrier envoyé a isis le 24/05/1458 à 00h11
bonsoir Isis,
Merci pour ta réponse aussi rapide.
Alors voila depuis notre départ je ne mange que du poissons. J'espère qu'il est frais en tout cas il en a l'air.
Hum, je vais mangé un peu plus léger donc pour commencer, des légumes feront l'affaire je penses.
J'ai demandé a Grib, menthe et réglisse elle a voulut me donné de la camomille, je pense qu'elle ce prend pour l'hospitalière j'ai été obligé d'insister tu sais. Mais c'est bon elle m'a donné ce qu'il fallait.
Avant que j'oublie merci pour mon pigeon. J'ai bien soigné le tient ne t'en fait pas.
Oh oui j'oubliais, bon heu j'avais pas vraiment fait attention à ça avec le voyage mais ..... il est vrai que les anglais comme dirais Gribouille n'ont pas forcément débarqué récemment.
Enfin voila, je vais voir comment cela ce présente, et suivre tes bons conseils.
Merci ma belle et prend soin de toi
Bises
Tu as la bise retour de Grib et Bal.
Jo
Sa réponse fut rapide, et simple.
Code:Expéditeur : Isis25
Date d'envoi : 2010-05-26 20:53:07
Kikou ma belle,
Je réponds à ta missive qui m'a fait très plaisir.
J'ai constaté que tu suis à la lettre mes conseils.
Continues à les suivre jusqu'à ton retour à Épinal.
Et là, je pourrais de dire ce qu'il en est exactement.
Faites bon retour et surtout reposes toi le plus possible pendant vos haltes.
Vous avez la bises de tout le monde ici.
Bises à gribouille et à Bal
La voila rassuré rien de grave en soit il ne faut surtout pas d'inquiété pour rien. Le temps nous le dira, j'en doute pas._________________