Jo9183
Suite à notre accrochage avec l'armée voici un petit courrier envoyé au maire de Compiègne, au maire de Reims, au prévôt des maréchaux, au chef de l'armée, au juge, au procureur, à la régente.
Citation:
Je me présente, Dame Jo9183 de Behren- lès-Forbach, je voyage avec mon époux, Seigneur Balsamo85 de Behren- lès-Forbach.
Nous sommes arrivés Compiègne le 1er juin 1458. Le soir même nous sommes repartis et avons fait une halte sur le nud ce trouvant entre St Ménéhould et Reims.
Nous avons reçut l'autorisation de passer par Reims afin de rejoindre Argonne dans la nuit du 3 au 4 juin 1458. autorisation donnée par Dame Darkaprincesse la Régente.
De ce fait, nous devions être le 4 à Argonne afin de retrouver des amis et ensuite repartir chez nous au plus vite pour nos différentes obligations.
Normalement, lorsque l'on a une autorisation c'est que l'on ne craint rien, mais cela n'a pas été le cas cette fois ci.
Moi, Dame Jo9183 de Behren- lès-Forbach, portant surement l'enfant du fruit de mon amour avec mon époux Seigneur Balsamo85 de Behren- lès-Forbach, ait été frappé par l'armée "Avalon" dirigée par Gwenhwyvar dans la nuit du 3 au 4 juin 1458.
deux soldats s'en sont pris à moi. Je me suis alors défendu comme j'ai pu et protégé mon corps des possible coup qu'ils m'ont infligés mais ils ont tout de même réussi à me blesser.
Mon époux lui à aussi été frappé à mort par votre armée sans aucun remord. Celui ci ne portait pourtant pas son épée sur lui et n'a pu ce défendre comme il ce doit. Vos soldats sont partis en ricanant de leur méfait nous laissant seul sans aucune aide, sans aucune ressource.
Imaginer mon angoisse, ne voyant pas mon époux auprès de moi. Je l'ai cherché pendant un moment avant de le voir jaillissant dans un champs inanimé. J'avais beau hurler, il ne répondait pas et personne au alentour ne m'entendait. Son bouclier détruit était loin de lui sans doute à t'il été battu à mort sans aucune défense, je trouve cela honteux, agir de la sorte.
Je me vois bloqué sur place durant 5 jours, et mon époux lui 45 jours, avec toutes les contraintes que cela impliques. Je trouverais une hospitalière pour nous soigner et si j'apprends que j'étais bel et bien enceinte mais que j'ai perdu mon enfant sous les coup, je vous promet de vous le faire savoir.
Nous étions en voyage de noce et nous étions dans l'obligation de rentrer chez nous pour reprendre nos activités. Mon époux sa place de Commandeur de Lorraine à l'ODL et moi prendre place au siège de lieutenant à la maréchaussée ainsi que la place de Maire du village.
De notre incapacité à bouger, car certes moi même je ne suis immobilisé que 5 jours mais croyez vous que je vais laissé mon époux seul sur vos terres, il en est hors de question. Donc nous possédons une échoppe chacun et une taverne commune, et la nos impôts bien que absent de la maison vont s'accumuler par votre faute. Vos salaires nous font un manque à gagner en comparaison de chez nous, vos tarifs sont différents et nous devons nous adapter, mais que faites vous, vous pour nous ??? Je vous le demande.
Nous avons pu apprécier le manque de communication de vos unités et nous la déplorons. Ne pas savoir faire la différence entre un ami ou un ennemi .
Sur ce, nous demandons à être indemniser de ce mal, et de notre absence à nos obligations, sur la perte financière encourus du faite d'être bloqué chez vous. Que l'on soit indemniser pour la perte matériel, soit un bouclier pour mon époux et de la perte fonctionnelle de nos attributs (force, intelligence, charisme) si il y a.
Sur ce je vous laisse méditer sur ce qui vient de ce produire en cette nuit du 3 au 4 juin 1458.
Il est bien évident que j'envoie une copie de ce courrier à toutes les personnes que je juge nécessaire de prévenir pour le mal qui a été causé.
Bien à vous.
Dame Jo9183 de Behren- lès-Forbach
Seigneur Balsamo85 de Behren- lès-Forbach
Nous sommes arrivés Compiègne le 1er juin 1458. Le soir même nous sommes repartis et avons fait une halte sur le nud ce trouvant entre St Ménéhould et Reims.
Nous avons reçut l'autorisation de passer par Reims afin de rejoindre Argonne dans la nuit du 3 au 4 juin 1458. autorisation donnée par Dame Darkaprincesse la Régente.
De ce fait, nous devions être le 4 à Argonne afin de retrouver des amis et ensuite repartir chez nous au plus vite pour nos différentes obligations.
Normalement, lorsque l'on a une autorisation c'est que l'on ne craint rien, mais cela n'a pas été le cas cette fois ci.
Moi, Dame Jo9183 de Behren- lès-Forbach, portant surement l'enfant du fruit de mon amour avec mon époux Seigneur Balsamo85 de Behren- lès-Forbach, ait été frappé par l'armée "Avalon" dirigée par Gwenhwyvar dans la nuit du 3 au 4 juin 1458.
deux soldats s'en sont pris à moi. Je me suis alors défendu comme j'ai pu et protégé mon corps des possible coup qu'ils m'ont infligés mais ils ont tout de même réussi à me blesser.
Mon époux lui à aussi été frappé à mort par votre armée sans aucun remord. Celui ci ne portait pourtant pas son épée sur lui et n'a pu ce défendre comme il ce doit. Vos soldats sont partis en ricanant de leur méfait nous laissant seul sans aucune aide, sans aucune ressource.
Imaginer mon angoisse, ne voyant pas mon époux auprès de moi. Je l'ai cherché pendant un moment avant de le voir jaillissant dans un champs inanimé. J'avais beau hurler, il ne répondait pas et personne au alentour ne m'entendait. Son bouclier détruit était loin de lui sans doute à t'il été battu à mort sans aucune défense, je trouve cela honteux, agir de la sorte.
Je me vois bloqué sur place durant 5 jours, et mon époux lui 45 jours, avec toutes les contraintes que cela impliques. Je trouverais une hospitalière pour nous soigner et si j'apprends que j'étais bel et bien enceinte mais que j'ai perdu mon enfant sous les coup, je vous promet de vous le faire savoir.
Nous étions en voyage de noce et nous étions dans l'obligation de rentrer chez nous pour reprendre nos activités. Mon époux sa place de Commandeur de Lorraine à l'ODL et moi prendre place au siège de lieutenant à la maréchaussée ainsi que la place de Maire du village.
De notre incapacité à bouger, car certes moi même je ne suis immobilisé que 5 jours mais croyez vous que je vais laissé mon époux seul sur vos terres, il en est hors de question. Donc nous possédons une échoppe chacun et une taverne commune, et la nos impôts bien que absent de la maison vont s'accumuler par votre faute. Vos salaires nous font un manque à gagner en comparaison de chez nous, vos tarifs sont différents et nous devons nous adapter, mais que faites vous, vous pour nous ??? Je vous le demande.
Nous avons pu apprécier le manque de communication de vos unités et nous la déplorons. Ne pas savoir faire la différence entre un ami ou un ennemi .
Sur ce, nous demandons à être indemniser de ce mal, et de notre absence à nos obligations, sur la perte financière encourus du faite d'être bloqué chez vous. Que l'on soit indemniser pour la perte matériel, soit un bouclier pour mon époux et de la perte fonctionnelle de nos attributs (force, intelligence, charisme) si il y a.
Sur ce je vous laisse méditer sur ce qui vient de ce produire en cette nuit du 3 au 4 juin 1458.
Il est bien évident que j'envoie une copie de ce courrier à toutes les personnes que je juge nécessaire de prévenir pour le mal qui a été causé.
Bien à vous.
Dame Jo9183 de Behren- lès-Forbach
Seigneur Balsamo85 de Behren- lès-Forbach
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