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Les écuries du Collège

Stephandra
Ely avait des petites mimiques lorsque Stéphandra s’adressait à elle, la jovente ne percuta pas du tout qu’elle employait des mots que l’enfant ne connaissait peut être pas, ha bah vi voilà le souci lorsqu’on est passionné partie dans son discours presque on s’imaginerait que tout le sait de quoi on parlait !

La damoiselle était vraiment mignonne et ses petits airs lui faisait vraiment penser à la petite fille de Sémur, ça faisait des mois qu’elle ne l’avait pas vu et son cœur se serrait lorsqu’elle y pensait, mais pas là, Ely était attendrissante et pleine de vie.

Stéph plissa le nez, car elle se rendait bien compte que plutôt que de la rassurer elle venait de lui coller mille et une questions en tête. La petite bouille d’Elyaëlle était sans équivoque, la jovente espérait bien comprendre là où elle avait failli afin d’expliquer au mieux à la fillette.

Lorsque la damoiselle se mit à lui poser des questions, la magister acquiesçait bien entendu qu’elle resterait à ses côtés, mais quand la damoiselle demanda si elles lui donneraient de la bière arich cob, Stéphandra se mordit la joue pour ne pas éclater de rire, d’une part elle ne souhaitait pas blesser l’enfant et d’autre part c’était bien fait pour elle, mais le jeu de mot sur la bière était excellent !

Elya bondit sur ses pieds ravie au possible, puis chuchota quelques autres questions,Stéphandra toujours assise, prit la main de l’enfant dans la sienne se leva doucement et contempla quelques secondes les étoiles qui papillonnaient dans les yeux d’Ely. Elle lui sourit avec une infinie tendresse et lui répondit :


Ahem… le Welsh Cob est une race de chevaux très petite, comme les poneys en fait ! L’Irish Cob c’est la même race mais plus grand, mais ils boivent pas de bière savez vous, même si je pense qu’ils aimeraient bien cela !
Ils ne mordent pas non plus ne vous souciez guère je reste à vos côtés.


Doucement, elle amena la petite fille tout près du box d’Acamar

Je vous présente Acamar, comme vous pouvez le voir il a de très longs poils sur le bas des jambes et une très belle crinière, il a une robe qu’on dit pie,vous voyez car il est blanc avec de jolies tâches marrons.

Stéphandra lâcha la menotte de l’enfant attrapa un banc et ouvrit le box, posa le banc non loin d’elle. Avec précaution dé sella sa monture sous le regard attentif d’Ely , puis s’assit sur le banc et s’adressa à elle

Voilà, il est prêt pour que l’on s’occupe de lui, voulez vous le panser ?

Stéphandra sort de sa besace, de la brosse douce, l'étrille et le peigne, pose le tout sur le banc et invita Ely à grimper sur le banc en lui tendant la main.

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Cassian_darlezac
« Morbleu de fichtre ! Une coupe de Bourgogne Duchesse et que ça saute ! » Installé dans un vaste fauteuil l’intrépide Paon de Bourgogne balançait ses ordres à la volée, invectivant une pauvre Nennya qui en soubrette vêtue, s’empressait de répondre à ses moindres caprices. « Cornegidouille de saperlotte ! Quand je dis que ça saute c’est pas vous, ça veut dire que vous devez allez vite et non faire de la dégueulasserie en renversant du vin partout comme de la sale dégénérée d’angevine ! »

Et le rêve se poursuit dans un soupire, le gamin se soulageant en songe de toutes les frustrations de la veille. Et alors que le cours d’équitation se poursuivait, c’est toujours endormi sur l’herbe humide du clos du roy qu’il termine sa nuit, loin de toutes autres préoccupations. Fléance quant à lui roupille également. Blotti contre son maître, il savoure avec allégresse ce rare moment de tranquillité partagée. Il faut dire que l’intrépide l’a plus habitué à courir dans tout les sens qu’à se livrer à la paresse. Mais pioncer le Fléance c’est son truc, unique instant ou il peut se sentir en adéquation avec sa nature profonde. Ainsi ne parsème t-il point ses rêves de combats épiques ou de soubrettes ducales mais bien de siestes interminables. Qui a t-il de plus agréable de dormir tout en s’imaginant entrain de dormir ? Et ce jour là ne fait pas entorse à la règle . C’est alors qu’il se figure entrain de roupiller sous un soleil de plomb, bercé par le chant de quelques oiseaux exotiques aux couleurs envoûtantes qu’elle avait osé. Vile pintade d’homme qui en l’espace d’un instant venait de lui atterrir sur le poitrail comme s’il n’était guère plus qu’une vulgaire carpette.

Glapissement de terreur qui résonne, venant troubler la tranquillité du lieu alors que d’un bond il s’extrait de dessous la pintade et file se cacher derrière un buisson. Envolé oiseaux exotiques, tapi moussu et soleil chaud. Ne reste plus que la réalité, dure, éprouvante. Non seulement elle a osé le réveiller, mais en plus elle l’a poussé à bondir puis à courir. Réalité bien trop éprouvante en effet pour le pauvre animal qui de guerre las épuisé, s’affale sur le sol et se rendort illico. Dormir pour oublier, dormir pour s’apaiser, dormir pour dormir.

Dire que le gamin a été réveillé par le glapissement fléanciens est un bien grand mot, disons plutôt qu’il était à se stade du sommeil ou il ne lui paraissait pas improbable que sa rectrice onirique ai changé de timbre de voix pour s’enquérir de sa santé en ces mots :

- « Progresserais-je encore d’avantage en vous présentant ce linge, et en m’inquiétant plus manifestement de votre santé ? » Et la réponse ne se fait pas attendre et c’est dans un grommellement encore plus ou moins endormi qu’il répond au Malemort qui dans ses songes avait revêtit les traits de la rectrice.

« Je vais très bien et je me fiche assez de votre linge. Aussi au lieu de dire des âneries d’attardé du mental, allez plutôt me chercher une autre coupe de Bourgogne. Ca vous fera être utile pour une fois ! » Ces quelques mots énoncés le gamin émergeait progressivement et c’est machinalement qu’il guida à tâtons sa main en direction de Fléance pour constater sa présence. Or quand il ouvrit les yeux interloqué, en lieu et place du pelage dru de son compagnon, c’est le fessier Isaurien que caressait vigoureusement l’intrépide paume. Au môme à son tour de se redresser d’un bon et de retirer sa main aussitôt dans un « Fichtre !» aussi sonore qu’incrédule.

« Morvilliers ! Aussi tu fais quoi là ?! Ca va pas ou quoi d’aller se frotter comme ça contre les gens ? Et t’as fait quoi de Fléance ? »
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[Seigneur de Corcelles - 18 ans]

[Merci à JD Aymon pour la bannière. ]
Jehan_de_montfaucon
Jehan, qui n'avait encore jamais monté à cheval avait pourtant tout suivit les instructions du Magister.
Noircissant vélin après vélin, à en avoir lui-même les mains noircies, il avait prit des notes de tout. Les parties du corps, la nourriture, les soins, comment monter. Tout !

Certes, de la théorie à la pratique, il y avait bien souvent un fossé, mais avoir un bout de théorie était toujours mieux pour aborder la pratique. Et pour ça au moins, il était du même niveau que tout le monde.

Lorsque le cours fut terminé, le jeune de Montfaucon se leva et sortit de l'écurie.
Elyaelle
Ely ouvrit de grand yeux un peu étonné du nom compliqué pour si peu de chose. Ce n’était pas un truc bizarre qui mordait comme les lièvres garou ? Simplement un petit cheval ? Rooo mais qu’ils étaient compliqué ces adultes quand même. Utiliser des termes si compliqué alors qu’il existait des mots tellement plus simple et en plus faire comme si les enfants comprenait toujours tout.
Quand ils comprenaient, les adultes faisaient comme s’ils ne comprenaient rien, et quand ils ne comprenaient rien, ils faisaient comme s’ils comprenaient… C’était à n’y rien comprendre…
Ely n’était pas pressé de grandir en voyant cela… Oh non alors… Le monde des adultes était beaucoup trop compliqué à son gout… Mais bon…. Revenons à ces arich cob et wesh cob qui pour le moment tracassait la fillette qui se demandait tout de même quelle tête cela pouvait avoir…

Serrant la main du magister dans la sienne, comme elle le faisait avec sa tutrice pour se donner du courage et surtout de l’assurance, Elyaelle suivit Stephandra près du box d’Acamar.
D’abord surprise par la prestance de l’animal et surtout sa grandeur, la fillette se recula, toisant la bête de haut en bas.
Il était beau, tres beau même, jamais elle n’avait vu de pareil cheval et surtout avec une crinière aussi touffue et belle. Il ressemblait un peu à ses grands messieurs de la cours avec leurs cheveux bizarres et leurs braies en peu bouffante.
En y pensant la fillette ne put se retenir de rire, et s’approcha alors, un peu plus décontracter, pour caresser les naseaux du cheval. Il était doux, chaud, comme son poney. Pas méchant non plus… Finalement, hormis la hauteur, il n’avait pas l’air différent de son poney…

Mais quand Stéphandra commença à le desseller, la gamine eut un bref instant de panique… Comment ferait-elle pour lui remettre cette engin, qui devait surement pesait plus lourds qu’elle sur le dos de l’animal qui faisait le double de sa taille.
Si seulement elle avait pu l’emmener au collège son poney… Elle aurait sans doute eu moins peur des leçons d’équitation à venir… Mais pourquoi fallait-il toujours qu’ils essaient de transformer les enfants en adultes…

Petite grimace de la gamine en entendant la magister lui annoncer que le cheval était prêt et que c’était à elle de jouer. Petite moue boudeuse, pas vraiment rassuré en voyant les instruments et le cheval… Et un regard plein de détresse vers Stephandra en grimpant sur le banc, étrille en main…

-Euh….

La main suspendu dans les airs, le front plissé, Ely arrêta son geste. Comment ça marchait un cheval ? De la même manière qu’un poney ? Sait-on jamais… Les lièvres sont bien différent des lapins, pour preuves, ils montent des armées et se transforme en poisson-lièvres-garou… Alors imaginez un cheval ? Surtout ici ! Parce que chez elle, à Chaumont, au domaine, elle savait bien le faire, elle avait vu son père le faire des dizaines de fois, et les palefreniers aussi… Mais ici, tout semblait différent, magique… ensorceler même…

Ely secoua la tête en soupirant, il ne valait mieux rien dire et essayer de faire comme elle avait appris avec son noisette…
Et avec autant d’énergie que lui permettait son petit gabarit, la fillette se mit à étriller le cheval qui paisible de bougeait pas, tournant la tête de temps à autre pour observer la gamine.


-C’est comme ça qu’il faut faire ? Demanda-t-elle alors en continuant son travail d’arrache pied. Tout y passa, l’étrille, la brosse et même le peigne pour soigner la magnifique crinière de l’animal, mais quand arriva le moment du sellage, Ely regarda avec effroi la selle et le professeur.

-Mais... Comment je vais faire ? C’est trop lourd… et pi c’est trop haut aussi… Je vais jamais y arriver… Bougonna-t-elle en se laissant tomber assise sur le banc.

Elle venait de faire beaucoup d’effort, et là, elle avait l’impression de voir un mur… Un mur immense et insurmontable… Quand la plupart des gamins de ce collège savait déjà monter à cheval, elle, ne parvenait même pas à poser une selle sur le dos d’un bourrin… Quelle frustration pour la fillette qui sentait là, toute la différence de sa naissance…

Un long soupire à faire pleurer une souris s’échappa de la poitrine de la gamine qui regarda alors la grande bestiole désespérer…
Stephandra
Ely y avait mis tout son coeur,toute son énergie parfois elle adressait un regard de cocker ce qui attendrit la jovente.

Vous vous débrouillez très bien Damoiselle,bravo!

[i]Elle l'encourageait d'un sourire, Acamar lui était aux anges, il aimait que l'on s'occupe de lui et observait parfois la petite fille, d'un air de dire "trop bien continue encore!"

La petite était assise sur le banc la selle en bras, Steph cala doucement ses mains sous la selle et allégeât largement la charge pour Ely et lui fit un clin d'oeil:


Allez vous allez y parvenir je suis là,je vais vous y aider!

Elle avait pratiquement terminé et franchement Stéphandra espérait qu'elle n'abandonnerait pas si proche de but! Steph voulait sa voix encourageant et rassurante, ses azurs aussi guettaient chaque mimique de l'enfant.

A deux nous y arriveront et vous pourrez même si vous le souhaiter monter sur lui après...

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Elyaelle
Ely leva la tête vers le magister, la regardant avec ses petits yeux de chien battu, découragée devant la montagne à gravir. Même si elle avait tout fait comme il le fallait jusque maintenant, elle voyait la suite comme une épreuve insurmontable.

Le cheval avait tout simplement, et subitement grandi en l’espace d’un instant ou était-ce elle qui avait rapetissé ? Toujours est-il qu’elle ne voyait pas comment mettre la selle sur cet animal si immense. Surtout si elle devait le faire toute seule…
Ils en avaient quand même de drôle d’idée… Comment voulaient-ils qu’ils sachent se débrouiller pour seller et prendre soin d’une monture quand on n’arrivait même pas à voir de l’autre coté de l’animal. C’était pour les grands gabarits ça ! Pas pour les poids mouche comme elle….

Ely se sentait prête à abandonner, à fondre en larmes quand elle sentit une main se glisser sous la selle pour l’aider a la porter. La fillette regarda alors le professeur qui d’une voix douce et posé l’encouragea, lui assurant qu’elle l’aiderait.


-Vous… Vous m’aiderez ? C’est sûr hein ? Demanda la gamine la voix tremblante.

Manquerez plus qu’elle lui mente, et qu’elle se retrouve a devoir la poser seule et que le cheval s’emballe et qu’il parte au galop et qu’il casse tout et qu’en plus il lui donne un coup de sabot…
Petit regard vers l’animal qui ne bougeait pas d’un poil, un autre vers le professeur qui ne cesser de l’encourager du regard, petit pas hésitant pour remonter sur le banc et la fillette se laissa guider par la main de la jeune femme.

Il lui fallait juste faire confiance et se laisser guider…
Et malgré sa petite taille, la selle fut bientôt posée sur le dos du cheval. Par contre quand vint le moment de sangler l’animal, Ely ne put s’empêcher de faire une belle grimace.
En plus d’être un géant pour seller un cheval, il fallait avoir une force Herculienne. Silencieusement la fillette pria pour que jamais, oh non jamais elle n’ait pas à préparer un cheval ! Du moins jusqu'à ce qu’elle ait grandi un peu et prit un peu de force !

Le pansage fait, la selle attaché, Ely se recula un instant pour regarder le cheval des pieds a la tete. Et se tourna alors vers Stephandra en fronçant les sourcils.

-Je suis pas trop petite pour monter dessus ? Je suis jamais monté sur un cheval aussi haut moi ? Et puis j’ai jamais non pus tenu les rênes toute seule. C’est difficile ? Je risque pas de tomber ? Et puis, quand on va faire les cours pratiques, on devra préparer nos chevaux tout seul ? Et si on y arrive pas ?
Isaure.beaumont
Tout était allé très vite. Les pieds qui se prennent dans un obstacle, la chute qui se fait inévitable et la tête qui s’enfouit dans le pelage cotonneux et odorant de Fléance. Cela aurait pu être acceptable et la demoiselle s’en serait remise si quelque chose – ou plutôt une main – n’était pas venu flatter son exquis postérieur.

La réaction de la Morvilliers ne se fit pas attendre : se relevant, elle se retourna vivement vers Cassian qui s’était, lui aussi, redressé et ses petits poings sans force s’abattirent avec toute la violence dont elle était capable sur le torse du garçon.


-Espèce de petit goujat ! Comment osez-vous me toucher sans plus de manière ! Je vais vous apprendre, MOI, à avoir les mains baladeuses ! Ne vous inculque-t-on pas les bonnes manières en Bourgogne ?


Et les petits points s’agitaient avec encore plus de frénésie sur le jeune paon.

-Mufle ! Malotru ! Cessez donc de vous inquiéter de votre serpillère de chien! C’est mon honneur que vous avez sali de vos sales pattes de bourgogneux! Est-ce que je me permets de toucher vos délicates parties ? Non ! Alors faites de même je vous prie ! Non, en fait je ne vous prie pas ! Je vous ordonne !

Le visage de la Brune, un instant plus tôt, rouge de trouble puis de honte était à présent rouge de colère. Après avoir toisé quelques instants le Blanc COmbaz, la jeune fille se tourna vers le Malmort à qui elle offrit un ravissant sourire. Elle lui arracha le mouchoir qu’il lui proposait alors, vérifia son immaculée propreté et s’approchant de Fléance qui s’était assoupi un peu plus loin, lui essuya le museau dégoulinant.

-voilà une délicate attention, Arnaut. Cela me réconforte de savoir que tous les individus de votre espèce ne sont pas des rustres ! Oui ! Vraiment, heureusement que Fléance est là pour relever le niveau ! Pauvre petit père hideux. Il a du avoir aussi peur que moi ! Tout ca parce que Cassian s’allonge n’importe où !

Elle caressa du bout des doigts l’animal, réprimant une grimace et s’en retourna rendre le mouchoir visqueux au malemort avec un sourire de gratitude. Après quoi elle se tourna vers Cassian :

-J’espère tout de même ne pas t’avoir fait trop mal, mais tu l’as bien mérité !



En partenariat avec LJD ALéanore, parce qu’elle est parfaitement parfaite !

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Stephandra
Stéphandra regarda Ely tout en l'aidant, la petite fille se débrouilla extrêmement bien. L'équidé était totalement prêt à partir en promenade et d'ailleurs il lança un regard insistant à la damoiselle d'un air de dire "bon alors on y va ?"

Stéphandra sourit et observa Ely qui fronçait les sourcils et la questionna


Je suis pas trop petite pour monter dessus ? Je suis jamais monté sur un cheval aussi haut moi ? Et puis j’ai jamais non pus tenu les rênes toute seule. C’est difficile ? Je risque pas de tomber ? Et puis, quand on va faire les cours pratiques, on devra préparer nos chevaux tout seul ? Et si on y arrive pas ?

La jovente regarda l'enfant et Acamar, et lui répondit:

Je vais adapter les étriers à vostre taille d'une part, ensuite une fois sur son dos, je vous guiderai à l'extérieur nous marcherons un peu et si vous le souhaitez je vous laisserai un peu les rênes, de toute façon je ne vous quitterai pas d'un pas.

Oui quand on fera le cours de pratique vous devrez équiper vostre cheval seul mais là vous l'avez fait à merveille, alors je ne me soucie pas de cela.


Stéphandra fixa tendrement de ses azurs l'enfant et attendit sa décision.

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Karel
Petite tape dans le dos du vénéré professeur... Le bâtard avait hésité à la pousser dans la boue, mais il songea avec le grand à propos qui était le sien que cela risquait de nuire à l'exécution de sa requête...
Stephandra
Stéphandra toujours occupée avec Ely sentit une tape en son dos, surprise elle se demanda quel élève se permettrait telle chose, elle se retourna rapidement et écarquilla les yeux en voyant Ulrich lui faire face.

Se disant qu'elle était las ou folle, elle se frotta vigoureusement les yeux de ses mains puis le fixa de ses azurs! Bha nan c'était bien lui elle ne rêvait pas, enfin pour être certaine encore aurait il fallu qu'elle se pinça mais si elle le disait à haute voix, il se ferait un plaisir de le faire pour elle alors elle fit la carpe .... puis s'adressa à lui:


Ulrich? Mais.... euh... que faites vous ici?

Dîtes moi pas que c'est pas vrai!Mais pourquoi était il là? Quel coup préparait il encore?
Il était sûrement pas passé par hasard pour la saluer, non pas possible ça!

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Karel
Bon, mission numéro un, essayer de lui faire gober que c'est une visite de courtoisie.
Mission numéro deux, amener subtilement le sujet...


Bonjour, ma tante!
Quel plaisir de vous voir, vous estes ravissante, comme d'habitude!

Je passais par là, et je me suis dit que j'allais vous rendre une visite de courtoisie!


Voilà, obligé, elle allait avaler!

Et sinon.. vous m'apprenez à monter autrement qu'un hun?
ce sera plus intéressant que... materner des fils à papa qui peuvent se payer vos services...


Mission numéro deux accomplie!
Stephandra
Stéphandra sourit en coin , ravissante comme d'habitude? Rho il en faisait beaucoup son neveu là, avait elle les oreilles d'une lapine de trois semaines? Non hein! Mais bon il devait avoir quelque chose à se faire pardonner ou à demander.

Pas loupé, il enchaina rapidement, il passait par là, bah vi bien entendu on entrait et sortait comme dans un moulin au collège c'était bien connu. Attention on y venait elle le sentait gros comme un castel!

Oui il avait besoin d'elle, elle sourit timidement... se disant que....


Mais même si je suis charmante et tout et tout! qui vous a permis d'être là?

Elle comptait bien le faire mariner un peu

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Nennya
Il est où le bougre???Nennya était bien remontée contre celui ou celle qui l'avait fait raté sa lettrine...Remontée, d'ailleurs, était un faible mot. On venait de tocer à sa porte et personne ne s'était présenté, la Duchesse de Mortain n'était pas de ce moule. La hache dans son dos, elle interpela une meschine de passage, pauvre d'elle:

-Dîtes moi, vous n'auriez pas vu une personne venir à mon bureau, et repartir sans entrer?

Elle tremblait légèrement, comme si Nennya allait la manger, mais elle ne mangeait personne! Un vrai cœur d'artichaut la Violette. Avec hésitations, elle répondit:

-Oui Madame, il était brun, et se diriger vers les écuries, je vous assure je l'ai vu!


Ah ah c'était un homme...La Duchesse sourit à la meschine et la laissa partir tranquillement, ses talons martelaient les pavés de pierre, sa robe virevoltait au vent, Nennya était en route. La métairie, les écuries, Nennua grognait d'avance, son air renfrognée, sa moue presque boudeuse, elle arriva au lieu du crime. Les collégiants étaient installés autour de Stephandra, et un homme, qu'elle connaissait, MAIS, qui ne faisait point partie du Collège aux dernières nouvelles. Nennya l'observa, devait-elle de suite brandir sa hache et le menacer ouvertement?
Elle se racla la gorge, fixant Stephandra que le jeune damoiseau semblait connaître. Prête à dégainer la hache...
Karel
[toujours aux écuries]

Ha, elle avait avalé le morceau, le reste allait passer comme une lettre à la poste...
Ignorant qu'il avait bien moins de temps qu'il ne croyait avant de se faire estropier, il décida de badiner un peu, ignorant le raclement de gorge, qu'il croyait provenir de l'élève...


Permis?
Ai-je besoin de la permission de quiconque pour aller voir mon adorable tante?


sluuuurp!

Le bâtard se retourna enfin pour sermonner l'élève qui avait l'outrecuidance de l'interrompre en pleine séance de galanteries...

Blurg! Elle foutait quoi elle? Le bâtard l'avait déjà rencontrée sur un champ de bataille, en Provence, ou à une boucherie en Normandie, ou en place publique, il ne savait plus... Enfin rien à voir avec ce lieu...

Elle devait probablement curer les chevaux (le bâtard n'ayant pas pris en compte les vêtements de la rectrice) dont Stephandra avait la charge...Voix glaciale de rigueur, par conséquent, mais pas aussi grossière que celle qu'il pensait utiliser à l'égard de l'élève...


En quoi peut-on vous estre utile, madame? Vous ne voyez pas que vous nous interrompez?
Stephandra
Alors qu'il parlait, la rectrice entra dans les écuries, machinallement la jovente prit la petite Ely par l'épaule et se plaçât devant elle, au cas où la hache partait en direction de son neveu que la Damoiselle ne soit pas trop choquée.

Son neveu malgré le raclement de gorge de la sanguinaire poursuivait et quand il se retourna plutôt que de se fondre en excuse il garda son ton de Neveu! Enfin c'était tout lui ça... Elle murmura :


Ulrich.... c'est la .... Rectrice..........

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