Stephandra
Ulrich de travers sur le ventre, couché ainsi sur le dos d'Acamar à vouloir faire tomber Stéphandra, un jour si un truc apparaissait et figeait les images qu'offraient les moments de la vie, celui-ci aurait été à avoir!
La jovente rit de bon coeur, resserrant ses jambes sur les flancs d'Acamar pour ne point chuter et se penchant légèrement vers son oreille en murmurant un petit mot magique, celui-ci bien dressé se cabra quelque peu, suffisamment pour entrainer la chute d'Ulrich, mais point assez pour que ça lui fasse bien mal, sauf peut être à son orgueil de mâle!
Lasteyrie point ne faibliiiit? Ahem bah la bique non plus très cher!
Stéphandra descendit avec agilité de son équidé et s'agenouilla à même le sol prés de son neveu, deux solutions s'offraient à lui: baston dans la terre ou écouter attentivement sa tante!
Alors je vous explique Ulrich, pour la monte, une fois sur vostre équidé je vous conseille:
d'avoir le buste grandi et décontracté.
Le bassin basculé, nombril poussé sans excès vers les oreilles du cheval.
Rein soutenu, plat, plutôt légèrement cambré.
La tête droite dans le prolongement du buste, nuque sans raideur.
Porter vostre regard vers les oreilles du cheval, légèrement plus haut.
Les épaules basses et relaxées.
les bras tombant naturellement prés du corps.
Angle bras/avant-bras plutôt ouvert.
Tout en parlant elle lui montrait part son corps, à chaque phrase posant sa main sur les parties concernées.
Sur les rênes mettez vos poignets arrondis, les ongles se faisant face, mains semi-fermées, doigts relaxés.
Vos jambes relâchées, tombant naturellement à la verticale, jamais plaquées ni serrées.
Vos cuisses dans le prolongement du buste (angle cuisse/tronc le plus ouvert possible.)
Vos genoux non serrés, légèrement ouverts, creux poplités en léger contact.
Vos chevilles souples, talons ni remontés, ni descendus mais libres.
et les pieds parallèles au corps du cheval, reposant simplement au premier tiers, par leur propre poids, sur les étriers.
Voilà et cette attitude varie selon l'allure de vostre équidé... A cheval, imaginez que vous êtes un arbre. Descendez vos jambes, reculez vos cuisses et vos genoux, tirez les pointes de pieds vers le bas. Les racines de larbre sont le bas de votre corps : elles cherchent leau vers la bas, profondément dans le sol. Votre colonne vertébrale jusquà la nuque : le tronc, les branches, les feuilles de larbre, se grandit, sétire vers la lumière, vers le haut.
Vous me suivez? ça répond à vos attentes?
Un seul moyen de le savoir le mettre en selle, elle lui sourit en le regardant.
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La jovente rit de bon coeur, resserrant ses jambes sur les flancs d'Acamar pour ne point chuter et se penchant légèrement vers son oreille en murmurant un petit mot magique, celui-ci bien dressé se cabra quelque peu, suffisamment pour entrainer la chute d'Ulrich, mais point assez pour que ça lui fasse bien mal, sauf peut être à son orgueil de mâle!
Lasteyrie point ne faibliiiit? Ahem bah la bique non plus très cher!
Stéphandra descendit avec agilité de son équidé et s'agenouilla à même le sol prés de son neveu, deux solutions s'offraient à lui: baston dans la terre ou écouter attentivement sa tante!
Alors je vous explique Ulrich, pour la monte, une fois sur vostre équidé je vous conseille:
d'avoir le buste grandi et décontracté.
Le bassin basculé, nombril poussé sans excès vers les oreilles du cheval.
Rein soutenu, plat, plutôt légèrement cambré.
La tête droite dans le prolongement du buste, nuque sans raideur.
Porter vostre regard vers les oreilles du cheval, légèrement plus haut.
Les épaules basses et relaxées.
les bras tombant naturellement prés du corps.
Angle bras/avant-bras plutôt ouvert.
Tout en parlant elle lui montrait part son corps, à chaque phrase posant sa main sur les parties concernées.
Sur les rênes mettez vos poignets arrondis, les ongles se faisant face, mains semi-fermées, doigts relaxés.
Vos jambes relâchées, tombant naturellement à la verticale, jamais plaquées ni serrées.
Vos cuisses dans le prolongement du buste (angle cuisse/tronc le plus ouvert possible.)
Vos genoux non serrés, légèrement ouverts, creux poplités en léger contact.
Vos chevilles souples, talons ni remontés, ni descendus mais libres.
et les pieds parallèles au corps du cheval, reposant simplement au premier tiers, par leur propre poids, sur les étriers.
Voilà et cette attitude varie selon l'allure de vostre équidé... A cheval, imaginez que vous êtes un arbre. Descendez vos jambes, reculez vos cuisses et vos genoux, tirez les pointes de pieds vers le bas. Les racines de larbre sont le bas de votre corps : elles cherchent leau vers la bas, profondément dans le sol. Votre colonne vertébrale jusquà la nuque : le tronc, les branches, les feuilles de larbre, se grandit, sétire vers la lumière, vers le haut.
Vous me suivez? ça répond à vos attentes?
Un seul moyen de le savoir le mettre en selle, elle lui sourit en le regardant.
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