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[RP] Prise de Clermont

--Iorik
Iorik , dans la foule , écoutait l'homme qui parlait comme un livre , assourdissant le public de ses belles métaphores .
Si cet homme n'avait pas peur , pourquoi ne pas dire son nom , se présenter ?
Si cet homme donnait tant de soutien à la duchesse , pourquoi s'évaporer comme un ban de brume dans la colère qu'il a créé ?
Un lâche de plus qui discute sur les faits et gestes de personnes qui ont fait quelque chose de leur vie .

Encore , que Iorik cache sa vrai identité passe encore , après tout , c'est un brigand .
Mais un homme si affable sur les " dorades de l'Eldorado" devrai s'être présenté , s'être fait reconnaitre et ne pas fuir dès son discours haineux proféré . Sinon , cet homme montre le lâche incapable de assumer ses dires . C'est lui qui parle de responsabilité ?
Laissez nous rire !

Heureusement , il était malin , cet homme , il avait deviné qu'on s'amusait bien dans le château , que le temps était à la fête et la fin de leur règne .
L'heure de gloire de Clermont se termine , pour qu'une autre commence là .Une autre heure de gloire dans un autre duché , plus tard . L'Eldorado avait fait tombé le plus grand duché de France , le reste du Royaume peut alors trembler .

Un respect soudain pour cet homme qui essaye de convaincre le peuple à visage recouvert , lui est aussi un symbole , cet homme, un symbole de bassesse , de politique et de masques qui ne tombe plus sous la crise .

Mais encore une fois ,cet homme avait raison , on ne peut résister longtemps sous l'Eldorado , et les mairies seront encore nombreuses à tomber sous le drapeau à l'Aigle noir .
Angel.
[Une nuit de mutinerie]

La nuit approchait, les dires aussi mais tout était près, toutes les issus closes sans que possibilité de les ouvrir si l’Eldorado ne le désirait pas, et c’était le cas... Ses sœurs et frères d’armes, avaient entendu la meute de cabots aboyés en journée mais ont savaient qu’un chien qui aboie ne mort pas... Le sourire aux lèvres, Angel, jonché sur cette muraille si connu de ce château qui avait vu passé pas mal de fait historique... De loin, il pouvait apercevoir des torches scintillées dans cette nuit déjà illuminée par une pleine lune généreuse et dégagée... La qualité et le charisme des dirigeants et ancien locataire des lieux, le faisait rire intérieurement, il est pas concevable selon eux qu’une famille comme l’Eldorado soient plus compétent, cela leurs piquent la bouche mais leurs incompétences et leurs actes si prévisibles montraient bien l’ampleur du souci des citoyens, enfin pensa t il qu’ils ne le verront jamais d’eux même, seul les parties politiques, ses chacal affamés et avide de pouvoir, vont se donné a cœur joie de ce dévoré entre eux... La finesse et acte de style n’étaient pas pour ce genre de race là, juste mensonge, traitrise et fourberie était leurs quotidien...
Angel plissa les yeux en apercevant comme une rivière de feu dans la nuit, il se redressa pour mieux observé la cadence du mouvement, d’un pas rapide et sûr et se pencha vers la cour intérieur, et siffla avec une forte intonation, le son amplifier donné l’alerte mais certains avaient déjà les yeux dessus, il revint vers le mur, et regardait les amas de pierres qu’il avait démembré de ce bars du château :

- « Approchez donc petit chiens qui font du bruit pour rien... »

L’attaque concentré sur la porte de bois, qui avait cédé il y a peu de temps, avait bien encaissé le choque, dans un brouhaha de ferraille des armes de l’assaillant ce faisait entendre... Angel prit la plus grosse des pierres stocké sur le coté puis regarda le bas, les voyant suractivé et agité sans même une coalisions certaines, et sourit et cria :

- « Chauudddddd en dessoussss !!! »

La pierre était lâché et comme par miracle, un homme vraisemblablement très en vus de recevoir ce don du ciel, eue un écarquillent de ses deux globuleux, puis dans un réflexe de survit, il se coucha sur le coté, se relèvent tout aussi rapidement en prennent la direction qui l’avait fait venir...

Angel rit de bon cœur et s’écriât :

- « Ils aboie fort mais aussi ils cours vite !!! Ah ah ah ah !!! »


Il se précipita vers ses compagnons, pour commencé a repoussé la tentative d’envahissement, la hache a la main...
Au petit matin, essoufflé et un peu marqué par la nuit agité, adossé contre un mur, le sourire tout de même aux lèvres, il pouvait que se réjouir de la fuite et mise en déroute de la vile meute...

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Benchichi
LE MATIN DE LA REVOLTE


Après la revolte benchichi reparti discretement. L'a première tentative avait eu lieu, il y en aurait sûrement d'autre. Il alla tout de même faire son marché, juste pour ne pas eveiller les soupçons.

Etrangement, un des defenseurs, qui leur avait lancé des pierres la nuit, vennait faire son marché lui aussi, et justement veint lui acheter cascques. Voilà une bien belle façon de blanchir quelques ecus volés. D'ailleurs, ce matin, le marché avait été innondé. Il pris des notes, sachant qu'un jour elles serviraient.

Ses pillards ne s'en sortiraient sans rien, c'est sûr!

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Marinahe
[Thiers, lendemain de l’attaque de Clermont]

L’annonce lui avait été transmise...sa ville natale avait été attaquée. Désormais, elle se trouvait comme piégée à Thiers, et par ses obligations...Elle n’était pas encore soldat, et infirmière que pourtant, elle ne pouvait pas être maître de ses choix.

Elle venait d’acheter, un bâton..piètre outil de bataille il est vrai, et elle se dirigeait déjà vers les portes de Thiers. La seule lame qu’elle possédait, accrochée à sa cuisse par une sangle en cuir, était le poignard qui lui servait à tuer le bétail....Étrangement, il lui sera fort utile.

Mari n’avait rien à perdre...Son père était décédé, son champ brûlé...Sa vie bafouée par des maréchaux... Et pourtant, même si ces hommes de justice étaient la source de son malheur, elle ne pouvait se résoudre à laisser, ceux qui l’ont aidé subir les attaques de ces raclures. Et puis...Après tout, cette attaque était l'occasion rêvé pour tuer ses propres agresseurs.

Bien sur, Il lui était impossible d’envoyer un pigeon pour annoncer, son départ imminent...L’illettrisme était parfois un avantage.


[Arrivée à Clermont]

L’ambiance était pesante, des visages inconnus se mêlaient à ceux d’habitants effrayés.
Ces raclures, étaient bien présentes...
Son apparence légèrement crasseuse, sa qualité de paysanne, la rapprochait plus de leur monde, celui de la terre et des voyages, que celui de la noblesse.. où tout est beau, tout est parfait.
Il lui sera facile de se faufiler...


[Un blessé...]

Les soldats s’activaient vers les portes du château... Mais, la paysanne cherchait un homme...le chef de ce groupe de maréchaux qui avait poussé les autres à avouer leur vice, ce triste jour.

Elle reste loin de la foule...se fait discrète...et finit par LE repérer.....Cependant, c’est un cri de douleur qui l’interpelle...

Mari, se retourne brusquement, et aperçoit un homme allongé, le visage en sang, et se tenant ferment les côtes...Brigand ? Soldat ? simple civil ?...Elle s’en moque éperdument.
Elle peste, sachant qu’elle laisse encore son violeur s’échapper, et accourt vers le blessé.

Bougez pas...attendez...Rapidement, elle évalue son état...Une plaie ouverte au visage.....et certainement quelques côtes cassées...Si le mal venait de l’intérieur..en somme, de ses organes..il lui serait difficile de l’aider...
Elle retire sa gourde, arrache de ses dents un bout de tissus de sa propre tenue et l’imbibe d’eau. Elle humidifie un peu sa bouche, et nettoie son visage pour mieux voir la plaie.

Calmez vous...Je..j’irai chercher de l’aide..Qui vous a fait ça ?



[le Blessé peut être le perso d'un joueur, aussi bien brigand ou soldat..ou même villageois..ca ouvre un peu plus le Rp, et permet une interaction directe. Bon jeu, Bon RP
PS : de bons RP' présent pour ce topic, c'est fort agréable ]

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_elfi_
Du plus haut des remparts, Elvo contemplait la capitale.. Rien ne valait une capitale dans la panique.. Tous courait dans tous les sens, cherchant épée ou baton histoire de venir reprendre leur château.. Elvo regardait un homme à terre parmis tout ce chahut , le sang se déversait sur les pavés.. Curieuse elle décida d'aller voir de qui il s'agissait..

Impatientée par sa curiosité malsaine, elle s'encapuchonna dans son étoffe lourde, la cape lui couvrant les épaules, pour sortir discrètement du château et se mêlant à la foule se dirigeait vers le corps du bougre, Sa crinière de feu ondulait de chaque côté de son visage, masquant son oeil perdu et vide, son oeil vert emeraude trahissait sa beauté qui n'avait d'égal que sa cruauté, avec un petit sourire sous une moue encore infantile elle se dirigea vers ..
Quand elle vit une femme se pencher sur le corps, levant les yeux au ciel elle s'approcha plus près..

Pour s'adresser à la fille d'une voix douce..

Vous êtes médicastre..? Vous pensez qu'il va.. s'en sortir..?

Sans attendre de réponse qui dans le fond lui importait peu s'approche de plus près pour essayer de reconnaitre l'homme..

Hum.. Il a l'air mal en point , le sang lui couvre le visage..

Puis feintant une aide quelconque s'approchant du corps de l'homme pour lui dérober au passage une bourse pleine d'écus ..

Je vais chercher de l'aide..

Et se retournant vers le château se perd dans la foule..
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Jehan
[ De Thiers à Clermont ]

Premiers rayons d'un soleil timide peinant à faire régner sa loi au sein de l'obscurité des rues de Clermont. A peine arrivé de Thiers, Jehan assistait au désastre aux alentours du chateau. Les rues étaient rougies par le sang, un sang vif, trace d'un combat encore frais. Et dire que personne n'avait rien vu venir... Dire qu'il y a deux jours encore, personne ne se doutait qu'un tel coup se tramait... Fallait bien avouer que le coup avait été merveilleusement bien ficelé. Malgré cela, la pilule avait quand même du mal à passer. L'un des duchés les surs qui met un genou à terre en une nuit. Se relever risquerait d'être compliqué... Jehan n'y avait même pas cru lorsque la nouvelle lui était parvenue. Il avait cru à une mauvaise blague... Quand il en eut le cœur net, il avait pris toutes les mesures en sa possession pour faire ce qu'il fallait. Il avait fait le tour des tavernes, avait interdit à quiconque de fouler le sol des mines, avait recommandé la plus extrême des prudences avec les étrangers qui venaient d'arriver. Tout cela avant d'être envoyé ici. Jehan releva la tête. Devant lui s'élevaient les murailles du chateau... Ces murailles qui lui paraissaient bien hostiles à présent. Un cri perça l'aube. Un cri d'agonie, signe d'un départ vers l'autre monde...

Jehan avança encore, se frayant un chemin parmi les divers objets qui ornaient la rue. Au loin, une silhouette sur les remparts... De profil, elle tend un arc, flèche encochée, dirigée droit sur Jehan. Celui-ci n'a que le temps de se réfugier dans le creux d'un palier avait d'entendre le bruit d'une corde qui claque et d'une flèche qui siffle. Le morceau de bois taillé se perdit derrière Jehan qui sortit de sa cachette. La silhouette n'avait pas bougé. Une silhouette qui lui semble bien familière. Jehan plissa les yeux, espérant ainsi mettre un nom sur cette ombre. Mais il n'en eut pas le temps. L'homme disparut des remparts , laissant Jehan planer dans le doute. Il verrait bien ce soir...

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Marinahe
Le visage de l’homme, retrouvait sa couleur initiale. Néanmoins, alors qu’elle s’occupait de lui, c’est une femme qui vint vers eux, et se soucia de ce blessé.

Un regard en coin, elle ne lui accorde pas vraiment de l’intérêt.
Toutefois, Mari ne peut s’empêcher de surveiller le moindre de ces gestes pour la sécurité de cet homme.
Alors, qu’elle entreprend de retirer la veste du blessé avec une grande précaution, elle voit la main agile de la femme se glisser près de ce dernier, et elle s’empare de sa bourse.

La paysanne hausse un sourcil.. Décidément, elle ne s’ennuyait pas, mais à quoi bon..pour quelques écus..ils avaient gagné bien plus en pillant le château....La veste du blessé retirée, elle regarde la Cyclope s’en aller et attrape son couteau pour découper le tissu.
Elle réalise ainsi une large bande qu’elle place autour de la taille du blessé, et qu’elle sert. Les côtes seraient ainsi retenue. La grimace de l’homme ne la rassure pas vraiment, mais qu’importe...il fallait souffrir pour...survivre !

Concernant sa plaie ouverte au visage...elle verra donc plus tard. C’est pas tout le monde qui a de l’alcool pour désinfecter une plaie...Premièrement il fallait l’éloigner du danger.


[ho...Hisse ! ]

Le lever ? trop douloureux. Elle allait devoir faire à l’ancienne. Elle posa le reste de la veste au sol...et invita l’homme à posé son dos dessus...Les extrémités en main, la jeune femme le traine vers une ruelle plus calme...
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Malaterre
Malaterre était entré dans un duché au bord du gouffre. Le château avait été perdu, les caisses vidés, les mines abandonnées et les soldat et autres nobles étaient sur les dents. Eh oui, il avait déjà connu sa maintes fois... Ivres de revanches, c'était à celui qui étriperait le plus de brigands, à qui serait le plus patriotiques... Des conneries que tout cela.


Il écoutait tous ces nobles parlés du peuple et des autres conneries du genre. De toute façon, le peuple on sait ce qu'ils en pensent ceux là:



- Le peuple pfff arrêtez un peu vous allez me faire gerber. Le peuple pour vous c'est comme une pucelle à qui ont promet monts et merveilles tous les deux mois et puis qu'on envoie ensuite a l'abattage dans un bordel des faubourg...


Il eut un léger sourire en coin:

- C'est votre égo qui vient d'en prendre un coup, hein ? Ca fait mal, non ? Fini le temps vous vous pavanez à la cour du roi en exhibant votre puissance et votre prestige militaire.


Ces mecs là, ils ont quelques choses que vous aurez jamais... Une paire de c...
il s'arrêta puis reprit. Et ca ca plait au peuple; au vrai peuple bien entendu. Je parle pas des larbins qui vous entourent.


Malaterre s'approcha ensuite d'un panneau ou la listes des conseillers nouvellement promus. Un sourire lui échappa en lisant certains noms.
Dekos.
Dimanche soir, alors qu'il faisait déjà nuit, Dekos prit sa plume et rédigea d'urgence un message, un message d'importance capitale.

À l'Abbaye Thomiste de Clermont, vite !

Citation:
À Ivrel, Duchesse se disant "légitime" du Bourbonnais-Auvergne,

Nous, Dekos, général de l'Eldorado, annonçons que l'État-Major de notre organisation vient de se réunir et a décidé, suite à de longues discussions, d'honorer sa part du contrat. Les mines avaient été fermées le jour de la prise de pouvoir, faute de matériaux pour les entretenir, et le sont toujours actuellement.

De plus nous avons décidé que, pour le bien du peuple, et uniquement pour celui-ci, le duché ne devait pas tomber trop bas. Or, les arriérés de salaire de la mine avaient engendré un gros déficit s'élevant à plus de 10 000 écus. Dans notre grande générosité, nous l'avons comblé en rendant deux gros mandats. A l'heure actuelle, il n'est plus. Le duché aura donc l'opportunité de redémarrer à zéro, au lieu de passer des semaines à tenter de remonter un négatif.

Puisse le prochain conseil penser un peu moins à lui-même et un peu plus aux pauvres vagabonds et paysans souffrant chaque jour pour gagner leur croûte.
Ivrel
Le messager d'Ivrel récupéra le parchemin et revint avec un message.

Citation:
Moi, Ivrel, Cardinal-évêque de Clermont et duchesse du BA par la grâce des urnes et non pas par pillage et extorsions diverses, prend note que vous avez laissé les mines fermées et assure par la présente avoir demandé aux armées du duché de vous laisser-passer.

Clermont le, 3 Mai 1458

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Duchesse du BA et Cardinal-évêque de Clermont
Zefta
Une fois la nuit tombée, il vit un grand nombre de torches approcher du château, dans un moment de panique, il informa ses camarades qu'il ne les soutennaient dans ce moment difficile et que pour certains la nuit serait longue, mais qu'il devait désormais les laisser, il descendit les marches à toute allure une fois dans la cours ce saisi du premier palefroi qu'il trouva et sorti au galop... Il vit pendant sa fuite que des combats avaient éclaté sur la place publique autour de la mairie, des auvergnats contre des auvergnats, très étrange de constater un tel mouvement civil alors que le duché est déjà très mal en point. Il continua sa route sans trop se poser de question, il savait que le plus dur restait à faire, les portes de la ville étaient ouvertes, mais une armé s'y trouver juste derrière, dans sa plus grande folie Zefta cria " Yaaaah !! Yaaaaaah !!! " pour aider sa monture à prendre de la vitesse et passer à travers l'armée, mais celle-ci le voyant arrivé à pleine vitesse s'écarta sans même essayer de l'attaquer, il hésita à se retourner pour leur demander ce qu'ils leur arrivaient, mais le temps ne jouait pas en sa faveur et il dû continuer sa route...
--Eva
La nuit était bien avancée quand elle fut réveillée de bonne heure par une agitation importante dans les couloirs du château. Se levant et s'habillant précipitamment, elle avait profité de ces dernières heures à se reposer dans un des lits douillets du Château, pas tous les jours qu'elle pouvait dormir dans des draps aussi fin et ça lui changeait de sa paillasse!

Elle croisa dans le château de nombreux villageois qui se ruaient vers les différents bureaux. Le sien avait été vidé depuis longtemps et c'est d'un pas calme et sans ennuis qu'elle sortit de l'imposante bâtisse pour rejoindre le reste du groupe. Aucune violence n'eu lieu, les pillards n'avaient plus besoin de lutter, le mal était fait...

Quelques uns avaient déjà pu partir mais elle ne s'inquiétait pas trop, l'armée s'était engagée à les laisser passer sans encombre... Mais l'heure n'était pas encore à la fuite et puis ils n'avaient pas pour habitude d'agir de la sorte.
De plus, les premiers procès allaient être lancés, encore quelques bons moments en perspective!! Elle resta donc dans l'enceinte de la ville, attendant de retrouver ses compagnons en taverne...



Eldorado Vitam Aeternam
Lanfeust86
Première attaque échouée...

Ils s'étaient regroupés tant bien que mal à la mairie, réveillant les vieux, les moins vieux, tous ceux qui étaient disponibles pour reprendre un château où flottait un drapeau qui avait écoeurait le peuple du BA.
Les groupes avaient lancés leur attaque sans grand espoir, le nombre de brigands était important et il tenait l'une des plus fortes forteresses de France.
Flêches, pierres, épées, haches, boucliers, un vrai fracas devant l'entrée du château qui se termina au lever du jour.
Les clermontois et autres auvergnats récupérèrent les blessés et repartirent en direction de la mairie où déjà d'autres groupes arrivaient, certains armées de la tête au pied, d'autres avec des chariots pour nourrir la population de la capitale.
Soulagement du Duc, la prochaine attaque libèrera le château.

Durant toute la journée, c'était la course pour accueillir tout le monde, les diriger vers les lieux adéquates et transférer les denrées sur le marché sous bonne garde.
Il avait renvoyé la milice, ils attaqueraient ainsi le château également.


Deuxième attaque, victoire aisée...

La seconde nuit, c'était de nombreux hommes et femmes, nobles, soldats, maréchaux, paysans, qui avaient pris la direction du château mais les portes étaient grandes ouvertes, aucune resistance et tout le monde s'engouffra à l'intérieur.
Point de soucis pour la mairie, il avait laissé les clefs à Petitrusse qui s'y était barricadé.
L'horreur, c'était le mot pour voir l'état du château complètement dépouillé, pas vraiment saccagé mais vide...complètement vide.
Le maire pénétrait dans les bureaux du conseil ducal et là par contre c'était le bazar complet à part la salle au trésor et les granges ducales vides, on voyait des parchemins partout sur le sol.
Caddarik venait d'entrer aussi et il prit les premières personnes présentes pour leur donner des directives, il fallait à présent commencer à s'y retrouver et parer au plus pressé.
Lanfeust accrocha quelques paysans.


Parait que deux brigands sont encore dans ses murs, trouvez les et jettez les dans les douves !

Un nouveau Juge...

Il avait été nommé Juge, Lanfeust connaissait assez bien le tribunal à présent mais lorsqu'il entra, il ne savait pas vraiment par où commençait.
Les dossiers étaient en vrac dans tous les coins du bureau de l'ancien Juge Lamis et ils étaient vraiment nombreux.
Il en trouva deux dizaines au nom de Reginae...la pauvre fille a sûrement pas du comprendre ce qui lui arrivait.
Bon première étape, relaxer tous ceux mis en procès par la Lionne, cette hérétique, il allait d'ailleurs devoir se relaxer lui même mais bon ça promettait d'être palpitant...
Pendant qu'il recherchait les dossiers en attendant un procureur nommé, il songea aux peines qu'il attribuerait à ses marauds, un sourire un coin.

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Elegie2
[Reprise du château]

A la faveur de la nuit, les ombres s'étaient glissées au pied de l'imposante bâtisse. Elegie frissonna un peu, mais ce n'était pas la première fois qu'elle participait à la reprise d'une ville ou d'un duché. Tous se mouvaient en silence et le signal de l'assaut se fit entendre.

La jeune fille avait laissé son lourd bouclier et ne s'était armée que de son bâton pour se mouvoir plus aisément. Elle s'était tant de fois faite rackettée qu'elle avait pris des cours accélérés pour maitriser l'engin au mieux.

Se glissant à la suite des autres combattants, elle pénétra à pas furtifs dans l'enceinte de l'édifice. Les groupes s'égayaient aux signes des meneurs..

Balayant son bâton en pirouettes multiples autour de sa tête ou de son bras. Elle avançait en accompagnant chacun de ses gestes d'un "HAN !" pour y donner encore plus de puissance. On n'y voyait goutte, mais la jeune fille mettait toute son énergie dans cette tactique d'attaque.

Elle sentit soudain une main se poser sur son épaule et fit "volte face" élevant son bâton pour assommer l'ennemi. Le visage de celui qu'on lui avait désigné comme meneur de son groupe parut sous la lune un instant. L'homme semblait un peu contrarié et dit doucement.


Elegie .. Elegie .. que faites vous ? Vous ne voyez pas qu'ils sont partis ..

Posant doucement son arme de bois, la jeune Balsac sentit un feu soudain investir son visage.

Oups ..

Citation:
03-05-2010 04:12 : Votre révolte a abouti ! Vous étiez un groupe nombreux et vous n'avez rencontré aucune résistance !

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Sett
...
Encore une longue nuit de marche ... et enfin, il traversai la frontiere du BA !
Quel joie de revenir parmi les sien ...

Premier village, direction place du marché pour ce nourrir et écouté les ragots ...

Sett, petit garcon de 9 ans et demi, ce faufila entre les grand entassé autour d'un des Soldat de la grande COBA qui donnai les nouvelle de la Capitale ...

Mauvaise nouvelles, très mauvaises nouvelles, Le Chateau avait été attaqué ...

Sett n'attendit pas une seconde de plus, il remit son sac a farinne sur l'epaule et repirt chemin et rallant ...


Sauve toi vite Vieux Brigand Boiteux !
Je te chope, je te saigne !
On ne touche pas a ma Maison sans réveillé ma Colère !
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