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[RP ouvert à tous] Enseigne Watelse - Orfèvrerie renommée

Arfadette01
Un ange passe, puis deux puis toute la famille... Arfadette admirait le triste spectacle, un Orfèvre bouche bée , surement en extase devant sa beauté . Une échoppe remplie d'objets encombrants, des cruches, un homme à cruches et elle . Il y a des jours ou on se demande ce qu'on fait là et c'était le jour J pour Arfadette. Son attirance pour tout ce qui brille l'avait encore conduite n'importe où. Mais finalement à bien regarder ... plus rien ne brillait ici . Elle decida donc de poursuivre sa route et de quitter au plus vite cette boutique. Elle se fraya un chemin vers la sortie

Pardon, pardon , pardon.

La porte presque atteinte, une dame fit irruption violemment, bousculant l'aimant à pot. Elle s'excusa et celui ci l'invita même à recommencer. A n'y rien comprendre. Il aimait ca ... Z'avaient des droles de moeurs les gens biens... Enfin autant se faire des amis finalement ca peut toujours servir. Elle ne serait pas venu pour rien ... Elle s'approcha de l'homme , le poussa de toute ses forces , lui écrasa le pied , en profita pour effleurer discrètement sa poche dans l'espoir d'y trouver quelques écus . Lui fit son plus beau sourire.

Arfadette de Rodez pour vous servir, j'ai cru comprendre que vous aimiez ce genre de chose... Ne me remerciez pas... Heureuse de vous avoir fait plaisir... Sur ce vous m'excuserez mais on m'attend..

Puis elle lui chuchotta son mensonge préféré...

Enfin on m'attend.... le Roy m'attend chuuut !

Pauvre stupide Arfadette, persuadée d'avoir ébloui le pauvre homme, elle se retourna et se dirigea enfin vers la porte , serrant très fort son butin : un écu qu'elle avait réussi a dérober dans la poche de son nouvel ami ...
Watelse
[HRP]: Allez me revoilà et cette fois pour longtemps... enfin! Place au jeu!

Watelse se mirait: en cet homme il voyait le reflet de ses jeunes années. L'ivresse de son arrogance, le brilalnt de sa peau sans les sillons de l'âge avancé, la verve si élégamment placée, l'emprise de ses propos sur la gente femelle... Ah! Qu'il fut beau Georges Léonard Watelse à ses heures jouvencelles.

Et pendant que son esprit prenait ses aise dans une contemplation égocentrée, la boutique si prisée devenait le passage des classes moins hautes. A d'autres heures, plus saines d'esprit, le vieil homme aurait donné ordre à son valet de mettre dehors ces va-nu-pieds, mais là il était dans un autre monde. Elianor de Vergy prenait congé, et Loubadour se chargea de la racompagner. Heureusement, l'apprenti veillait.

Watelse tendait la cruche demandée par cette idole, attendant un regard en retour du mâle qu'il fut un jour.

Mais son regard glissa un moment par-dessus l'épaule du bellâtre jusqu'à rencontrer la blondeur de la chienne bourguignonne. Et là, son esprit reprit pieds: elle partait. Elle partait rompant le combat. Ne flattant pas son talent d'artiste en compliment. Ne lui adressant plus d'un regard. Ne lui offrant pas plus de son temps. Voilà qui vexait le Grand Watelse.

Il flanqua la cruche dans les bras de l'homme admiré. Et... s'arrêta net: encore une nouvelle arrivée. Mais celle-là était de la basse marmaille même si son titre fleurait le sang bleu: cela s'entendait à mille lieux avec son acccent du terroir à couper au couteau.

Il lui fallait remettre un peu d'ordre dans sa clientèle: sa boutique ne devait pas se remplir de rats alors qu'il y attendait des hermines. Alors gaussé de toute son orgueil, il interpela la Vellini d'Ambroise:


Ma Dame, votre accent me rappelle de lointaines contrées où se roulent les gueux à même le sol tellement leur croute de crasse s'entasse sur leur peau.. Comme des porcs. Vos parents sont de quelle lignée, je vous prie?

Watelse manquait de tact, il est vrai, mais n'était ce pas que de la volaille qu'il avait devant lui?
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création de jipelecriket
--Hi.han.solo
Loubadour sentait son Maitre ailleurs. D'ailleurs, il n'aimait pas trop le regard que portait celui qu'il adorait sur un homme. Loubadour aurait tant aimé ête regardé de lui de cette manière... Il poussa un soupir long comme une messe du Père Bardieu.

La belle dame de Vergy s'en allait: Voilà une tâche pour Loubadour!

Il fit amples révérences devant la Noble qui s'en allait d'un pas décidé vers la sortie emportant avec elle le jeune garçon:



Dame, il en sera fait selon vos désirs. Pourriez-vous m'indiquer l'adresse de votre demeure parisienne afin que mon Maitre puisse vous envoyer vos commandes?

Loubadour reprit sa chorégraphie exagérée de révérences, essayant d'en trouver tour à tour de plus originales que les précédentes. Et prit d'inspiration il poussa la chansonnette de sa voix fluette. Il ne pouvait laisser partir une telle dame sans lui laisser une bonne impression de l'enseigne Watelse:

Dame de Vergy, l'honneur fut pour nous
De prévenir les désirs de Votre Personne,
Des souhaits des plus originaux et des plus fous
Mais voilà que l'heure du départ déjà sonne
Toute l'enseigne Watelse se rompt de révérences
Et qu'Aristote vous épargne toute souffrance....


[hrp pardon je me suis trompé de pnj, c'est Loubadour qui joue. Je n'arrive plus à le changer... sorry]
--Mathusin.
Comment ça, il leur en faudrait plus à ces nouilles femelles pour appâter leur curiosité??! Et bien il allait leur en servir. Enfin plutôt, "lui" en servir, des histoires. Car la plus jeune conversait maintenant avec le discourtois personnage qui semblait tant passionner son maitre.

"lui" désignait "la tante". Alors, il revint vers elle, l'entrainant d'un geste vers le coin de l'orfèvrerie. Parlant bas. Sur un air de complète confidence. Chargée de mystère, de chagrin, et de tragédies.


Mon Maitre fut un homme heureux, fut un temps... Il plaisait à toutes les dames de Gascogne. Ses talents d'orateur, sa bonne humeur, sa gentillesse - oui gentillesse, Ma Dame - et sa générosité charmaient même les potentielles belles-mères de la région. Aîné de sa famille, son père le chargea de reprendre l'atelier d'orfèvrerie familiale. Un petit négoce local, rien de bien important... Il la fit prospérer avec le talent qu'on lui connait : tout ce qu'il touchait devenait une oeuvre d'art aux yeux de sa clientèle. Mais la seule chose comparable à un diamant à ses yeux était une jeune femme de Bayonne... Blanche ...

Il feint un long soupir, jetant un oeil de travers à la blondasse pour juger de son effet.

Della
Etaient-elles dans une boutique chic ou sur un vulgaire marché de province ?
A voir les gens qui entraient ici, la deuxième réponse semblait être la bonne et cela agaça terriblement la Volvent.
Il y avait deux raisons à sa présence en ces murs.
La première, acheter un bracelet !
La seconde, narguer Watelse !

Or, ni l'une ni l'autre de ces motivations ne semblaient devoir se concrétiser.
Nabel se faisait les griffes sur la pâle imitation du Paon et des allées et venues incessantes cassaient l'ambiance feutrée mi figue et très raisin qu'elle avait voulu créer.
Bref...tout allait de travers !

Clairement, elle n'irait pas dans une autre boutique. Ce bracelet, ce serait Watelse qui le lui confectionnerait, lui et nul autre !
Le plaisir de se promener avec à son bras, un travail réalisé par Lui pour Elle...hmmm...plaisir sans pareil...le Paon à son bras...
Mais il lui fallait menacer pour cela. Car elle savait très bien que Watelse ne se laisserait pas faire de la sorte. Ils devaient s'amuser un peu avant...de s'affronter dans une commande d'orfèvrerie.

Las, elle soupira et fit mine de tendre une oreille attentive aux paroles de celui qui servait Watelse.
Elle hocha la tête en l'écoutant raconter "l'émouvante" aventure du Paon.
Mais son regard changea lorsqu'il évoqua cette Blanche.
Là, elle se tourna réellement vers Mathusin et l'interrogea :
Il me semble avoir déjà entendu ce nom par votre maître. Etait-ce son épouse ?
Mathusin avait vu juste, les femmes aiment les ragots...surtout ceux qui concernent la personne qu'elles ont envie de mettre à leurs pieds.
Et Della sourit, son regard se fit doux sur le serviteur, pour l'inviter à continuer sa confession...Qu'allait-elle encore apprendre sur ce goujat ? Car chacun sait que tout homme a un point faible...Et si cette Blanche était celui de Watelse ?

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--Mathusin.
Voilà la belle plante bien enracinée dans cette épopée watelesque. Voilà qui enorgueillissait Mathusin qui connaissait son don pour l'entourloupe et ne manquait pas de s'en flatter.

Finaude, elle avança que Blanche était l'épouse de Watelse.

Oh ... Feue sa femme. Elle eut une triste fin. Mais cette fieffée coquine n'est pas à plaindre lorsqu'on voit les dégats qu'elle a causé chez mon Maitre estimé...

Il soupira de plus bel.

Aahhhh... Blanche n'était pas très riche, mais elle était certainement l'une des plus belles et des plus fines d'esprit. Elle se passionnait pour les remèdes en tout genre, et personne mieux qu'elle ne connaissait les plantes locales... Certainement, elle l'a drogué pour qu'il tombe en amour avec elle, cela ne se peut autrement... Une satanée sorcière, cette Blanche! Il lui fit la cour sans relâche pendant des mois. Cette femme avait tourné la tête de mon Maitre, et comme toute Gasconne, elle savait le destin merveilleux qu'elle aurait en donnant sa main à l'héritier de la très estimée famille Watelse. C'est ce qu'elle fit après l'avoir un peu fait mariné et qu'il lui eut proposé plus d'une dizaine de bagues de fiançailles toutes plus belles les unes des autres. Qu'elle dédaignait, la scélérate. Et lui trouvait ses oeuvres bien pâles à côté d'elle...

En fait, Mathusin enjolivait un peu les choses, car s'il connaissait l'histoire, il ne pouvait qu'imaginer les détails. Mathusin n'avait été pris au service de Watelse que vingt ans après les noces, et les vagues informations qu'il avait récolté provenait des nuits enivrées d'un maitre dans le désespoir et l'aigreur. Le regard faussement dans le vague:

Cette décision fut tragique pour mon Maitre...

Il calculait combien d'écus elle serait prête à donner après de telles révélations... Vingt? Trente? Il faudrait pousser encore un peu plus le larmoyant témoignage... Il tendit la main discrètement pour signifier qu'il faudrait un peu d'aide pour qu'il livre plus amples informations.

Della
La Volvent avait le sourcil expressif, chacun le sait pour peu qu'il la suive dans ses pérégrinations. Là, il eut de quoi s'amuser, ce fameux sourcil. Levé, froncé, levé à nouveau mais avec une autre nuance...Tout ce que Della ne disait pas était traduit en mouvement de sourcil.
Le conte - car c'en était un, vous l'avez remarqué vous aussi - que narra Mathusin ne manqua pas d'intéresser la Blonde même si elle était certaine que le serviteur enjolivait la situation à la faveur de son Maître. Car, parler de destin merveilleux en évoquant une union avec Watelse était...du domaine de l'affabulation. D'ailleurs, en s'attardant sur cette pensée, la Blonde virginale en frissonna d'effroi...Brrr, partager la couche de cet homme...plutôt...céder un fût de vin !
Ce qui parut beaucoup plus plausible fut le passage sur les bagues. Là, elle se marra...car en effet, qui connaît les femmes ne sera pas étonné de ce caprice. Della elle-même espérait bien pouvoir en satisfaire un avec ce fameux bracelet...Et c'est à ce moment-là qu'elle coula un regard discret vers le Paon, empêtrer dans une conversation pour le moins délicate avec une jeune furie qu'il comparait à un cochon ! Aahhh, voilà donc qu'il se réveillait, le bougre !

Le regard d'un bleu irrésistible revint sur le serviteur qui semblait vouloir arrêter sa narration.
La belle posa délicatement sa main gantée sur le bras du brave Mathurin et se penchant légèrement vers lui, lui posa la question :
Quelle fut donc cette tragédie, mon brave ?
L'invitation à poursuivre se précisa en un délicat sourire enjoliveur.
S'il le fallait, elle promettrait une pièce à l'homme mais tant qu'il parlait gracieusement...autant en profiter.

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Rozenn.
Recommencer ? Ok !
Melly ! Naaaaaaaaaaaaaan ! Arrêêêêêêêêêêêêête ! L'ironie tu connais ? Le faux humour ? Le "euh... casse toi tu me fais de l'ombre là tu vois ma grosse" ?
Ah oui, vu sous cet angle, il ne vallait mieux pas recommencer, hé puis imaginons un seul instant qu'elle y mette tout son poids (oui bon c'est pas un mastodonte non plus, mais c'est pas une planche à repasser c'est sur) et que le pauvre voltige dans les vitrine et que PAF ! tout cassé... La pauvre tirelire de la Diaconesse tiendrait pas le coup, même avec l'aide de pôpa, môman, beau pôpa, belle môman, han... nan... y'avait pas encore de belle maman. Maiiis elle ne perdait pas espoir que son super papa retrouve un jour une femme aussi géniale que sa trop chouette maman et que...

Enfin bref, revenons en à nos asticots si vous le voulez bien.
Lesquels ?
Ceux qui te disent "Va y Melly, regarde les jolies chooooooses dans le magasin et demande à ton papa d'amour de t'en acheter un pour ton n'anniversaiiiiire"
Ou ceux qui te disent "elle est où la route pour Angers ?"
C'était peut être une très mauvaise idée de demander au Monsieur comment on allait à Angers, il devait déjà être pas trop trop d'humeur vu qu'il venait de se faire rentrer dedans sans son consentement, alors si elle plus elle lui demandait comment on se rend dans le Duché jugé le plus in du moment pour les jeunes/hérétiques (rayez la mention inutile), ça ferait pas bon genre du tout.

Pis de toute façon, elle allait pas pouvoir lui poser la question au mec, parce d'une, y'avait une autre qui lui était rentrer dedans à sa place, et de deux, y'avait un gens qui lui causait. Pis quel gens, un d'ceux qui s'croient tout permis parce qu'ils sont bien fringués, un d'ceux qu'ont besoin d'avoir un noble d'vant leur nez pour leur causer. Quoi qu'il avait réussis à lui dire quelque chose sans pourtant savoir qu'elle v'nait d'une "lignée" de pas bouseux.
Pisk'il le fallait, elle allait l'faire. Le délire... C'est qu'il allait encore la casser si elle causait avec son accent pourrissime. Que faiiiiire ? Il allait jamais la croire qu'elle decendait des d'Ambroise si elle lui disait, c'est vrai que c'est chiant d'mal parlé, on est jamais pris au sérieux..

L'Official leva le nez, implorant l'aide du Très Haut qui resta muet comme une tombe. Pfeuh ! Jamais là quand on a b'soin d'lui celui là. Au lieu d'la faire causer la france quand elle faisait des cérémonies, il pourrait lui faire bien causer quand elle est avec des gens d'la haute, histoire d'pas avoir à justifier son rang.
La vie est inzuste...


-Pour vot' gouverne j'me lave, j'pas b'soin d'me rouler par terre pour enl'ver la crasse. Pis d'abord, j'viens d'Lorraine, et y'a personne qui colle à vot' description d'gens qui s'roulent par terre, jamais vus... Pourtant j'en vois des cas en tant qu'diaconesse et official ! Par contre vous, v'ferriez mieux d'faire rouler vot' langue dans vot' boucher avant d'parler vous. Z'êtes pas sehr agréable.... Bref.. J'imagine que z'êtes l'patron d'ici pour m'poser cette question ?

De ses yeux foncés elle soutint le regard du vieux débris et se lança dans l'explication de qui étaient ceux l'avait conçue.
Mais avant de prendre la parole...... Elle fut.. Possédée, par cette chose qui faisait qu'elle causait bon !
Youpiiiiiiiiiiiiii ! Le Très Haut est un Dieu ! (ben oui.... il l'a toujours été......)


-Mon père est Joey Vellini d'Ambroise, fier Bourguignon, il a servi pendant des années la Bourgogne sous diverses façons, mais plus particulièrement en portant les armes dans les conflits opposant son Duché à d'autres contrés. Il est présentement Chancelier de l'Ordre de la Toison d'Or Bourguignonne, il est lui même toisonné d'airain pour tous les faits qu'il a accompli. Il a risqué sa vie pour son Duché lors que vous étiez sagement ici dans votre orfèvrerie.... Ma mère ? Nadège Rose-Eclose, dite Nadkiroul, pendant des années elle a oeuvré pour l'animation du Duché de Bourgogne, elle a été Vice-Chambellan de Bourgogne pendant des mois entiers, elle a même assisté le Chambellan pendant de longues semaines car il était surmené. Je viens donc de la lignée des "d'Ambroise" dont la cheffe de famille est Dame Johanara d'Ambroise. Je peux donc aisément entrer dans votre boutique, j'ai parfaitement les moyens de me payer un bijou taillé par vos soins..... C'est malheureux n'est-ce pas ?

La présence la quitta à ce moment précis, et la Mellyssa que tout le monde connait refit surface, elle avait envie de l'emmerder lui maintenant. Elle l'avait dans le colimateur..

-Et vous ? C'est quoi vot' nom ? C'est la moind' des choses de s'présenter à une demoiselle, surtout quand on est l'patron du magasin. Un grand nob' comme vous, y doit bien connaître les règles d'la bienséance nan ? Ca s'rait bête qu'moi j'les connaisse et pas vous. Vous rendez compte un peu ? Une fille qui s'roule dans la boue qui connait un truc qu'un gens bien fringué connait pas, ça s'rait l'comble hein ?

Fallait peut être pas l'ennuyer trop longtemps, c'était pas franchement lui l'plus intéressant dans les parages. Mais bon, maintenant qu'elle avait commencé avec lui, elle allait pas lui dire "excusez moi, mais z'êtes pas intéressant par rapport à l'autre monsieur là. Alors j'vous laisse dans votre égocentrisme hein, tchao." Elle avait beau avoir appris à parler avec les russes, elle savait bien se tenir !

[EDIT HRP (=précision) : Le passage sur Johanara, faut le prendre avec des pincettes, ça fait trois plombes que le RP est lancé mais il avance pas très très... vite et donc je suis pas encore sure à 2000% qu'elle sera une d'Ambroise, seulement 99.9% pour le moment ^^]
Welden
Poussé, bousculé et maintenant voilà que son p'tit orteil criait à l'injustice ! On l'avait écrasé, écrabouillé, torturé. Mon Dieu ! Ah non...pas lui. Mon pauvre orteil ! Que le monde est cruel. Se tenant la jambe, la main ferme et les dents serraient. Il y avait toujours autant d'étrangeté en ce lieu.

Apparemment, une phrase à plusieurs syllabes est trop complexe pour les deux "blondasses". Si bien que l'une se mit à réfléchir...la lumière et l'autre à faire semblant de comprendre ce qu'il se passe. Quand à l'orfèvre, bon, il est gentil mais à "zieuter" aussi longuement le Welden, il risque de passer pour un pédéraste. Et ceux-là, on les brûlent, paraît-il.

Enfin bon, rien de plus normal. Nous sommes à Paris, après tout. Il y a toujours un idiot du village et proportionnellement dans une grande ville, on en a une tripoté. Quel dommage, qu'ils se soient tous donnés rendez-vous ici...

L'envie de quitter les lieux au plus vite se fit sentir. Il faut dire que ces gens ne l'intéressaient guère. Autre chose à faire...de plus intéressant. Bref ! La dinde qui l'avait bousculé, tripoté et tout ce qui s'en suit, prit la direction de la porte. Encore faut-il qu'elle comprenne comment fonctionne le mécanisme d'une poignet de porte. Il y a du travail.


Bon, les gueux, gueuses et les...intellectuels...

Il n'eut prit le temps de finir sa phrase et se dirigea vers la porte. Il se décala, mit un tampon de l'épaule à la volaille juste devant, tourna la poignet et ouvrit la porte. Un petit courant d'air se fit sentir.

Ne prenez pas froid ! Que diable ! Un rhume de "cerveau" est vite attrapé. Il la regarda rapidement et se reprit. Enfin, cela ne risque pas de vous arriver.
Arfadette01
Arfie sentit la main de l'homme aimant à pot qui lui tapait sur l'épaule. Elle prit peur, il avait du s'appercevoir de son larcin. Elle mit rapidement sa pièce dans son décolleté... La il irait pas la chercher, vue les échanges de regards qu'il échangeait avec l'orfevre , il devait pas aimer vraiment les atouts féminins... Elle se retourna, le regarda droit dans les yeux... prette à lui mettre un bon coups dans le tibia et à partir en courrant. Et à sa grande stupeur , elle le vit lui ouvrir la porte. Rhoo il était gentil et galant finalement. Le coup du rendez vous avec le Roy avait marché...
Peut habituée à de telles attentions elle le remercia mais bien vite se reprit , elle était une grande Dame ici donc...


Heu oui enfin merci , c'est normal aussi hein... Un homme ouvre toujours la porte aux belles Dames de mon rang... Suis,-je bête ou avais-je la tête ?

Ne prenez pas froid ! Que diable ! Un rhume de "cerveau" est vite attrapé.

En plus il se préoccupait de sa santé... Il avait succombé à son charme plus de doutes dans la petite tête d'Arfadette. Elle rougit , comme le font les grandes Dames..

Euh non j'ai un bonnet dans mes sacs qui se trouvent sur mon ane .... Venez jvais vous le montrer, vous verrez il me va a ravir.

Elle l'attrapa par le bras et l'entraina hors de la boutique.
Watelse
L'enseigne se désemplissait. Et lui, le Grand Maitre se retrouvait devant.. une folle. Garder le plus grand calme, il le fallait en cet instant.

Il la fit attendre un moment, et interrompant la discussion de son valet et de celle qui lui inspirait un si profond mépris, il prit le serviteur à part et lui murmura, ajoutant en sa main deux-écus:


Mathusin, va t'en mander quelqu'un à l'Hotel Dieu. Il vont pouvoir ouvrir le crâne à une autre folle! Elle parle de deux voix différentes...

Prenant Della par les épaules, il la rapprocha de la jeune fille, tout en lui disant très bas:

J'ai besoin de vos talents de diplomate pour faire patienter cette jeune possédée pendant que des médicastres accourent... Oeuvrez bien, très chère enquiquineuse, prouvez enfin vos talents...
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--Mathusin.
Elle jeta le déshonneur sur la famille de son époux à peine une demie année après les noces

Mathusin fut arrêter par une voix rude: celle de son Maitre. Espérant sincèrement que Watelse n'ai pas entendu ses propos, il respira mieux, soulagé, lorsque l'orfèvre l'enjoignit d'aller chercher des gens de l'Hotel Dieu.


Il fit une révérence servile et s'empressa vers la sortie. Un regard vers la noble de Volvent : la tragédie de Watelse ne venait que de commencer. il aurait tout le temps nécessaire pour faire mariner cette curiosité féminine.

[suite à l'Hotel Dieu avec Mathusin]

Della
Elle le sentait bien, là, le Mathurin, il allait tout lui dire, héhé...Que du bon à se mettre sous la dent. Tout serait bon pour obtenir de Watelse ce qu'elle voulait !

La conversation qui prenait des airs de confession reprenait lorsque le Paon lui-même se trouva à leurs côtés.
Mince ! Il les avait sans doute entendus et il venait fracasser le crâne de son serviteur.
Della leva de grands yeux vers l'orfèvre.
Mais...mais ce dernier emmena le brave Mathusin et lui confia une tâche qui lui fit quitter la boutique.
Une jolie moue se dessina sur les lèvres de la Blonde qui aurait bien taper du pied si son éducation n'avait pas fait son oeuvre.
Alors qu'elle allait reprendre le bras de sa nièce, voilà-t'y-pas que le Paon pose les mains sur elle et lui donne ordre de s'occuper d'une folasse !

D'un brusque mouvement, la Volvent se dégagea de l'emprise physique de Watelse mais...contre toute attente, elle ne put se défaire d'une autre emprise...bien plus tortueuse, bien plus complexe et surtout indéfinissable...

C'est ainsi que l'on vit la Blonde lever un sourcil sur la jeune fille devant elle et entamer la conversation.

Damoiselle, il m'a semblé vous entendre parler de la Bourgogne...Je suis moi-même Bourguignonne. Peut-être avons-nous des intérêts communs...
Hé oui, la Blonde entendait toujours lorsqu'on parlait de son pays. Par contre, elle n'avait pas saisi un mot du délire de la jeune fille. Ce qui, peut-être, allait donner lieu à un échange étrange.

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Une petite main, incarné par Watelse
Un ouvrier passa la tête dans l'ambrasure d'une porte qui menait aux ateliers. Une petite main parmi tant d'autre. Mais ses yeux respiraient la frayeur et les perles de sueur trahissaient l'angoisse.

Maitre... oh Maitre...

Le Maitre semblait l'esprit occupé à reluquer deux belles femmes. L'ouovrier n'y aurait rien trouver à redire s'il ne sentait pas derrière lui quelques autres de ses compagnons qui le pressait de parler.

Plus fort:


Maitre! Excusez-moi...

L'instant redouté arriva, le Maitre avait noté sa présence.
Watelse
Watelse fut perturber par une petite voix craintive derrière son dos. Le chef de ses ouvriers. Un problème au niveau de conception? A regret, il laissa les femmes parler ensemble, et détacha son regard des boucles blondes.

Rudement, il s'adressa à son employé, à l'écart des oreilles des poulettes cancaneuses:


Parle!


Ses ouvriers insupportait le Maitre. Toujours à rechigner pour un oui ou un non. Toujours à parler en son dos. Seul Loubadour semblait sincère dans ses manières et ses mots. Watelse aimait être idolâtré, et ses employés le voyaient plus comme une Bête sans Nom que comme un nouvel Aristote.
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